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Samedi 5 octobre 2013, au départ des Sables d'Olonne, Yvan Bourgnon ((42 ans) et Vincent Beauvarlet (39 ans) partiront pour un tour du monde de plus de 50 000 km avec escales en petit catamaran de 6,30 m. Ces deux marins navigueront à l'ancienne "nous partirons avec un sextant, des cartes en papier et le minimum vital de survie". Sur leur catamaran sans abri, étape après étape, ils devront se débrouiller seuls pour manger, boire, dormir, s'orienter... un défi que ces deux hommes devront affronter au quotidien. "Il faudra parfois soigner un marin ou le bateau." A la question : de quoi avez-vous peur durant votre voyage ? Ils ont répondu tous les deux "des hommes."
Sont-ils devenus fou ? Pas du tout, le skipper Suisse Yvan Bourgnon et le Guadeloupéen Vincent Beauvarlet ont tous deux une grande expérience en navigation. "Nous avons navigué en compétition sur toutes les mers du monde. Nous avions envie de revoir ces endroits en retrouvant les sensations de notre enfance, sans GPS, ni électronique." Un bateau d'assistance va les suivre tout au long de leur périple. Samedi 5 octobre, jour du grand départ, les deux équipiers prendront le cap vers le canal de Panama.
La durée du défi devrait se terminer dans un an. Retour aux Sables d'Olonne en leur souhaitant bon vent !
Rendez-vous sur les quais ce samedi 5 octobre 2013 à partir de 14 heures !
Sont-ils devenus fou ? Pas du tout, le skipper Suisse Yvan Bourgnon et le Guadeloupéen Vincent Beauvarlet ont tous deux une grande expérience en navigation. "Nous avons navigué en compétition sur toutes les mers du monde. Nous avions envie de revoir ces endroits en retrouvant les sensations de notre enfance, sans GPS, ni électronique." Un bateau d'assistance va les suivre tout au long de leur périple. Samedi 5 octobre, jour du grand départ, les deux équipiers prendront le cap vers le canal de Panama.
La durée du défi devrait se terminer dans un an. Retour aux Sables d'Olonne en leur souhaitant bon vent !
Rendez-vous sur les quais ce samedi 5 octobre 2013 à partir de 14 heures !
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Yvan Bourgnon et Vincent Beauvarlet
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Après des mois de préparation, le grand départ approche pour Yvan Bourgnon et Vincent Beauvarlet qui s’apprêtent à retrouver leur terrain de jeu favori pour une aventure maritime et humaine d’exception. Le rendez-vous est pris le 5 octobre prochain au port des Sables d’Olonne (Vendée) d’où vont s’élancer les deux aventuriers de l’extrême !
C’est sur un voilier « miniature », un catamaran de sport surpuissant de 6.3 mètres de long et doté d’un important plan de voilure, que vont cohabiter les deux skippers jusqu’en septembre 2014 au cours d’un périple de 11 mois et quelques 50 000 km !
De la côte atlantique aux Antilles puis du Pacifique vers l’Indonésie avant de rallier la Méditerranée via le canal de Suez, 20 étapes vont ponctuer ce voyage maritime, dont certaines dotées d’une charge émotionnelle toute particulière pour les deux sportifs. Pour Vincent Beauvarlet, l’enfant du pays, l’arrivée en Guadeloupe prévue en novembre 2013, promet d’être un moment intense, comme pour Yvan Bourgnon à Tahiti, qui y retrouvera son frère Laurent en mars 2014.
Des étapes aussi et surtout nécessaires afin d’assurer la récupération des organismes fortement sollicités par des semaines de traversée dans des conditions de vie des plus sommaires. 12h par jour à barrer à tour de rôle sans même pouvoir bénéficier d’une cabine pour se reposer le moment venu : un banc situé à côté de la barre fait office de sommier, sur lequel les navigateurs sont protégés par une sangle pour éviter la chute mais restent à la merci des vagues, du sel et du soleil. Un retour aux fondamentaux de la voile, y compris pour la navigation qui s’effectue au sextant et à base de cartes papier, non pas au GPS, et pour la météo, guidée par l’observation directe du ciel et du vent.
Départ de cette folle aventure le 5 octobre 2013 du port des Sables d’Olonne, direction La Corogne en Espagne pour une première escale prévue autour du 8 octobre !
De la côte atlantique aux Antilles puis du Pacifique vers l’Indonésie avant de rallier la Méditerranée via le canal de Suez, 20 étapes vont ponctuer ce voyage maritime, dont certaines dotées d’une charge émotionnelle toute particulière pour les deux sportifs. Pour Vincent Beauvarlet, l’enfant du pays, l’arrivée en Guadeloupe prévue en novembre 2013, promet d’être un moment intense, comme pour Yvan Bourgnon à Tahiti, qui y retrouvera son frère Laurent en mars 2014.
Des étapes aussi et surtout nécessaires afin d’assurer la récupération des organismes fortement sollicités par des semaines de traversée dans des conditions de vie des plus sommaires. 12h par jour à barrer à tour de rôle sans même pouvoir bénéficier d’une cabine pour se reposer le moment venu : un banc situé à côté de la barre fait office de sommier, sur lequel les navigateurs sont protégés par une sangle pour éviter la chute mais restent à la merci des vagues, du sel et du soleil. Un retour aux fondamentaux de la voile, y compris pour la navigation qui s’effectue au sextant et à base de cartes papier, non pas au GPS, et pour la météo, guidée par l’observation directe du ciel et du vent.
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Copyright Thibault Jandot
La Ville des Sables d’Olonne a souhaité créer des repères permettant de rappeler aux Sablais et aux visiteurs que Les Sables d’Olonne, c’est la ville du Vendée Globe. Pour ce faire, la municipalité a choisi de « stariser » les vainqueurs de la course en leur offrant, comme à Hollywood, leur propre « Walk of Fame » ! Un parcours jalonné de leurs empreintes sur le nouveau remblai leur rend hommage.
Christophe Auguin, vainqueur du Vendée Globe 1996/1997, était présent aux Sables d’Olonne hier pour la prise d’empreintes de ses mains. Comme les six autres vainqueurs du tour du monde en solitaire sans escales, son exploit sera immortalisé sur le nouveau remblai de la ville.
Résidant en Uruguay, Christophe Auguin nous a fait l’heureuse surprise d’annoncer sa venue en France et aux Sables d’Olonne il y a quelques jours. Il a très gracieusement fait le déplacement dans son planning déjà très chargé pour jouer le jeu des stars hollywoodiennes. La ville des Sables d’Olonne le remercie vivement de sa collaboration et se réjouit d’avoir un Walk of Fame complet… jusqu’à la prochaine édition du Vendée Globe !
Christophe Auguin, vainqueur du Vendée Globe 1996/1997, était présent aux Sables d’Olonne hier pour la prise d’empreintes de ses mains. Comme les six autres vainqueurs du tour du monde en solitaire sans escales, son exploit sera immortalisé sur le nouveau remblai de la ville.
Résidant en Uruguay, Christophe Auguin nous a fait l’heureuse surprise d’annoncer sa venue en France et aux Sables d’Olonne il y a quelques jours. Il a très gracieusement fait le déplacement dans son planning déjà très chargé pour jouer le jeu des stars hollywoodiennes. La ville des Sables d’Olonne le remercie vivement de sa collaboration et se réjouit d’avoir un Walk of Fame complet… jusqu’à la prochaine édition du Vendée Globe !
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Dès les premières éditions, la Mini Transat a toujours été génératrice de nouvelles idées, de progrès technologiques, d’évolution des carènes. Condenser sur 6,50m tout ce qui pourrait faire qu’un bateau aille plus vite a donné lieu à nombre de nouvelles idées, certains se révélant géniales, d’autres de parfaits ratages. Même si aujourd’hui, la tendance est à une certaine forme de sagesse.
Dès la création de l’épreuve en 1977, la Mini Transat a suscité des vocations d’architectes, exploré des voies nouvelles avec plus ou moins de bonheur. Aux chapitres des succès, on pourrait évoquer le prototype vainqueur de l’édition 1979 qui inaugurait les carènes planantes et les ballasts, le mât carbone de Yves Parlier en 1985, la quille basculante de Michel Desjoyeaux en 1991 ou bien encore la carène particulièrement puissante dans le tiers avant du prototype de Sébastien Magnen, Karen Liquid, double vainqueur de l’épreuve en 1997 et 1999. Bien évidemment, on n’oubliera pas dans cet inventaire le Magnum de David Raison dont la forme, héritée des scows de la côte est des Etats-Unis, a démontré sa supériorité dans l’édition 2011.
Des mises au point complexes
Toute la difficulté est de savoir innover au bon moment. Trop tôt, on prend le risque de développer un concept qui n’est pas suffisamment abouti, trop tard, on aura laissé la concurrence prendre le dessus. On a vu ainsi quelques bateaux « révolutionnaires » avoir des carrières d’une brièveté exemplaire, comme un prototype dénommée « Babouche », taillé en lame de couteau et sur lequel le skipper ne pouvait tenir sur le pont. Heureusement, il chavira en baie de Concarneau avant même de prendre le départ de la Mini Transat 1987. Pour d’autres, la mise au point d’un concept novateur est une affaire de temps et de conviction. Quand David Raison mit à l’eau son Magnum, le cercle des sceptiques était largement fourni. « C’est un bateau qui m’a demandé une longue mise au point. Tout d’abord, parce que certains procédés innovants comme la quille basculante tout en pouvant être plus ou moins descendue, demandent une parfaite maîtrise des processus de manœuvre. Mais aussi, parce que la carène implique une autre manière de naviguer. On ne recherche pas les mêmes angles au près comme aux allures portantes… » Même son de cloche chez Samuel Manuard, architecte de plusieurs prototypes pouvant prétendre à la victoire : « Aujourd’hui, on constate que les coureurs doivent passer de plus en plus de temps sur l’eau. L’adéquation entre le solitaire et son bateau reste le paramètre premier. Mieux vaut disposer parfois d’une machine un peu plus simple, que l’on saura utiliser au mieux, que d’une usine à gaz que l’on ne maitrisera pas. Après certains projets sont plus novateurs que d’autres. Quand David Raison dessine son Magnum, il saute un pas, mais la tendance lourde est là depuis plusieurs années d’avoir des bateaux de plus en plus puissants devant. »
C’est la même philosophie radicale qu’applique Dominique Pédron, de la société Isotop, quand il décide de construire un Mini équipé du DSS, une sorte de foil horizontal amovible d’un bord sur l’autre, censé compenser l’efficacité d’une quille pendulaire par un appui dynamique sous le vent. Jean Saucet, collaborateur du projet tire les premiers bilans : « On a pu voir que le bateau était très rapide au près dans le petit temps, mais on manque d’appuis dans de la brise. Pour que le foil soit efficace, il faut de la vitesse et c’est cette phase de transition qu’il nous faut travailler. » Le DSS est-il la solution d’avenir chez les Minis ? En tous les cas, c’est un projet à suivre.
Jouer sur des détails
Il reste que dans le contexte économique actuel, les nouveaux prototypes ne sont pas légions. Pour cette édition 2013, un seul nouveau prototype verra le jour et les architectes les plus reconnus n’ont pas enregistré une seule commande depuis plus de deux ans. La crise économique est là et si les candidats à l’aventure ne manquent pas, peu hésitent à se lancer dans un nouveau projet. « Le contexte général n’est pas porteur, c’est certain. Et paradoxalement, le changement de parcours a rendu les coureurs encore plus hésitants. Pour beaucoup c’est : attendons de voir les bateaux qui ont marché en 2013 pour prendre des décisions pour 2015 » confirme David Raison. « La prise de risque financière est un frein évident à la créativité. Aujourd’hui, ce sont plutôt les coureurs qui auraient tendance à freiner devant toute proposition trop différente » souligne Samuel Manuard. Alors, on joue sur des améliorations de détail : augmenter la possibilité de quête longitudinale d’un mât, travailler sur des système permettant de régler les bouts dehors en hauteur, installer un appendice sur le tableau arrière pour modifier les filets d’eau et gagner en stabilité aux allures portantes, enlever les ballasts en prévision d’un parcours proche du vent arrière… Pour cette édition 2013, on retrouve ainsi des unités qui ont parfois quatre ans ou plus, qui sont tout à fait capables de remporter la Mini Transat. Car qu’on le veuille ou non, c’est toujours le couple marin plus bateau qui fait la différence.
Des mises au point complexes
Toute la difficulté est de savoir innover au bon moment. Trop tôt, on prend le risque de développer un concept qui n’est pas suffisamment abouti, trop tard, on aura laissé la concurrence prendre le dessus. On a vu ainsi quelques bateaux « révolutionnaires » avoir des carrières d’une brièveté exemplaire, comme un prototype dénommée « Babouche », taillé en lame de couteau et sur lequel le skipper ne pouvait tenir sur le pont. Heureusement, il chavira en baie de Concarneau avant même de prendre le départ de la Mini Transat 1987. Pour d’autres, la mise au point d’un concept novateur est une affaire de temps et de conviction. Quand David Raison mit à l’eau son Magnum, le cercle des sceptiques était largement fourni. « C’est un bateau qui m’a demandé une longue mise au point. Tout d’abord, parce que certains procédés innovants comme la quille basculante tout en pouvant être plus ou moins descendue, demandent une parfaite maîtrise des processus de manœuvre. Mais aussi, parce que la carène implique une autre manière de naviguer. On ne recherche pas les mêmes angles au près comme aux allures portantes… » Même son de cloche chez Samuel Manuard, architecte de plusieurs prototypes pouvant prétendre à la victoire : « Aujourd’hui, on constate que les coureurs doivent passer de plus en plus de temps sur l’eau. L’adéquation entre le solitaire et son bateau reste le paramètre premier. Mieux vaut disposer parfois d’une machine un peu plus simple, que l’on saura utiliser au mieux, que d’une usine à gaz que l’on ne maitrisera pas. Après certains projets sont plus novateurs que d’autres. Quand David Raison dessine son Magnum, il saute un pas, mais la tendance lourde est là depuis plusieurs années d’avoir des bateaux de plus en plus puissants devant. »
C’est la même philosophie radicale qu’applique Dominique Pédron, de la société Isotop, quand il décide de construire un Mini équipé du DSS, une sorte de foil horizontal amovible d’un bord sur l’autre, censé compenser l’efficacité d’une quille pendulaire par un appui dynamique sous le vent. Jean Saucet, collaborateur du projet tire les premiers bilans : « On a pu voir que le bateau était très rapide au près dans le petit temps, mais on manque d’appuis dans de la brise. Pour que le foil soit efficace, il faut de la vitesse et c’est cette phase de transition qu’il nous faut travailler. » Le DSS est-il la solution d’avenir chez les Minis ? En tous les cas, c’est un projet à suivre.
Jouer sur des détails
Il reste que dans le contexte économique actuel, les nouveaux prototypes ne sont pas légions. Pour cette édition 2013, un seul nouveau prototype verra le jour et les architectes les plus reconnus n’ont pas enregistré une seule commande depuis plus de deux ans. La crise économique est là et si les candidats à l’aventure ne manquent pas, peu hésitent à se lancer dans un nouveau projet. « Le contexte général n’est pas porteur, c’est certain. Et paradoxalement, le changement de parcours a rendu les coureurs encore plus hésitants. Pour beaucoup c’est : attendons de voir les bateaux qui ont marché en 2013 pour prendre des décisions pour 2015 » confirme David Raison. « La prise de risque financière est un frein évident à la créativité. Aujourd’hui, ce sont plutôt les coureurs qui auraient tendance à freiner devant toute proposition trop différente » souligne Samuel Manuard. Alors, on joue sur des améliorations de détail : augmenter la possibilité de quête longitudinale d’un mât, travailler sur des système permettant de régler les bouts dehors en hauteur, installer un appendice sur le tableau arrière pour modifier les filets d’eau et gagner en stabilité aux allures portantes, enlever les ballasts en prévision d’un parcours proche du vent arrière… Pour cette édition 2013, on retrouve ainsi des unités qui ont parfois quatre ans ou plus, qui sont tout à fait capables de remporter la Mini Transat. Car qu’on le veuille ou non, c’est toujours le couple marin plus bateau qui fait la différence.
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La Transat Jacques Vabre commence dès la semaine prochaine pour les élèves des écoles de La Baussaine Saint Thual et de Montgermont ! Jeudi 26 septembre, une centaine d'enfants de CM1 - CM2 vont embarquer à bord du trimaran Maître Jacques, le temps d'une visite de ce bel engin de course, en compagnie de son skipper Loïc Féquet.
On image facilement l'excitation de ces petits bouts de chou, jeudi prochain, au moment où ils vont d'abord embarquer sur un semi-rigide qui va les mener à bord du bateau malouin en lice pour la Transat Jacques Vabre.
Le skipper de Maître Jacques leur fera faire le tour du propriétaire, ils pourront s'essayer à la marche sur les filets du trampoline avant de découvrir l'intérieur très spartiate de ce multicoque de 50 pieds. Loïc leur expliquera comment il manœuvre, mange, dort à bord en course et répondra aux nombreuses questions des enfants.
De retour en classe, les enseignants vont pouvoir débuter un travail de fond sur le suivi de cette aventure humaine et sportive.
Les enfants ont rendez-vous dès 10h à la cale des Bas Sablon à Saint-Malo. Les dernières visites se termineront à 15h30.
Déroulé
Date : 26 septembre 13
Lieu : Cale de port des bas sablons à Saint Malo
Horaires :
école de Montgermont 10h - 12h
école la baussaine saint Thual 12h30 - 15h30
Petit trajet de 5 minutes en semi-rigide pour embarquer sur le trimaran puis visite du pont, de la cabine et échanges avec le skipper.
Le skipper de Maître Jacques leur fera faire le tour du propriétaire, ils pourront s'essayer à la marche sur les filets du trampoline avant de découvrir l'intérieur très spartiate de ce multicoque de 50 pieds. Loïc leur expliquera comment il manœuvre, mange, dort à bord en course et répondra aux nombreuses questions des enfants.
De retour en classe, les enseignants vont pouvoir débuter un travail de fond sur le suivi de cette aventure humaine et sportive.
Les enfants ont rendez-vous dès 10h à la cale des Bas Sablon à Saint-Malo. Les dernières visites se termineront à 15h30.
Déroulé
Date : 26 septembre 13
Lieu : Cale de port des bas sablons à Saint Malo
Horaires :
école de Montgermont 10h - 12h
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Vendredi prochain, Jérémie Beyou et Christopher Pratt seront au départ de l’ultime épreuve du calendrier Imoca avant la Transat Jacques Vabre : le Défi Azimut. Ce parcours de 220 milles disputé en double au départ de Lorient réunira presque tous les duos en lice pour la transat. Cette épreuve « tombe à point nommé », comme le précise le skipper Maître CoQ, pour compléter les entraînements organisés ces dernières semaines au Pôle Finistère Course au Large de Port la Forêt.
Ce week-end, à Lorient, la flotte Imoca va se retrouver une dernière fois, en course, avant la Transat Jacques Vabre.
Pour le skipper Maître CoQ, cette épreuve s’intègre parfaitement dans le programme d’entraînement de l’équipe. Ce Défi Azimut des Imoca, va en effet permettre à Jérémie et Christopher de franchir une nouvelle étape dans leur préparation à la transat. Au large, en course, ils vont pouvoir valider le travail accompli depuis la mise à l’eau du Maître CoQ 2, début août.
Jérémie Beyou, skipper Maître CoQ : « le Défi Azimut tombe à point nommé, après trois stages d’entraînement au Pôle de Port la Foret. Ces stages consistent surtout à régater près des côtes, sur une mer plate, à la journée. Nous y travaillons beaucoup les manœuvres et les comparatifs de vitesse. Là, sur ce parcours de 24h nous allons pouvoir prendre un rythme « course » et naviguer au large.
Cela s’inscrit dans la continuité de la Rolex Fastnet Race que nous avions disputée juste après la mise à l’eau du bateau, sans entraînement. Là, nous allons pouvoir valider notre progression notamment en terme de communication, d’organisation à bord, de choix de voiles. Le classement final ne sera pas forcément significatif par rapport à la transat qui nous attend, mais c’est un rendez-vous de validation très important. »
En stage, en début de semaine, au Pôle Finistère Course au Large, le duo Maître CoQ ralliera Lorient dès jeudi soir. Le départ des 24h Azimut sera donné vendredi 20 septembre à 18h au large de la pointe du Talud, à la sortie du port lorientais.
Inscrits au Défi Azimut des Imoca 2013
Bureau Vallée – Louis Burton et Guillaume Le Brec
Cheminées Poujoulat – Bernard Stamm et Philippe Legros
Initiatives Cœur – Tanguy Delamotte et François Damiens
Macif – François Gabart et Michel Desjoyeaux
Maître CoQ – Jérémie Beyou et Christopher Pratt
Mare – Jorg Riechers et Sébastien Audigane
PRB – Vincent Riou et Jean le Cam
Safran – Marc Guillemot et Pascal Bidégorry
Votre nom autour du monde – Bertrand de Broc et Arnaud Boissières
Programme du Défi Azimut des Imoca 2013
Vendredi 20 septembre :
14h30 : Briefing
18h00 : Mise à disposition du Comité de Course pour les 24h Azimut-Imoca
Samedi 21 septembre :
16h00 : Arrivées des bateaux
19h30 : Remise des prix des 24h Azimut-Imoca
Dimanche 22 septembre :
13h00 : Ouverture des "Runs"
14h30 : Mise à disposition du Comité Course pour le Chrono Azimut (Tour de Groix)
16h30 : Arrivées estimées au ponton.
Pour le skipper Maître CoQ, cette épreuve s’intègre parfaitement dans le programme d’entraînement de l’équipe. Ce Défi Azimut des Imoca, va en effet permettre à Jérémie et Christopher de franchir une nouvelle étape dans leur préparation à la transat. Au large, en course, ils vont pouvoir valider le travail accompli depuis la mise à l’eau du Maître CoQ 2, début août.
Jérémie Beyou, skipper Maître CoQ : « le Défi Azimut tombe à point nommé, après trois stages d’entraînement au Pôle de Port la Foret. Ces stages consistent surtout à régater près des côtes, sur une mer plate, à la journée. Nous y travaillons beaucoup les manœuvres et les comparatifs de vitesse. Là, sur ce parcours de 24h nous allons pouvoir prendre un rythme « course » et naviguer au large.
Cela s’inscrit dans la continuité de la Rolex Fastnet Race que nous avions disputée juste après la mise à l’eau du bateau, sans entraînement. Là, nous allons pouvoir valider notre progression notamment en terme de communication, d’organisation à bord, de choix de voiles. Le classement final ne sera pas forcément significatif par rapport à la transat qui nous attend, mais c’est un rendez-vous de validation très important. »
En stage, en début de semaine, au Pôle Finistère Course au Large, le duo Maître CoQ ralliera Lorient dès jeudi soir. Le départ des 24h Azimut sera donné vendredi 20 septembre à 18h au large de la pointe du Talud, à la sortie du port lorientais.
Inscrits au Défi Azimut des Imoca 2013
Bureau Vallée – Louis Burton et Guillaume Le Brec
Cheminées Poujoulat – Bernard Stamm et Philippe Legros
Initiatives Cœur – Tanguy Delamotte et François Damiens
Macif – François Gabart et Michel Desjoyeaux
Maître CoQ – Jérémie Beyou et Christopher Pratt
Mare – Jorg Riechers et Sébastien Audigane
PRB – Vincent Riou et Jean le Cam
Safran – Marc Guillemot et Pascal Bidégorry
Votre nom autour du monde – Bertrand de Broc et Arnaud Boissières
Programme du Défi Azimut des Imoca 2013
Vendredi 20 septembre :
14h30 : Briefing
18h00 : Mise à disposition du Comité de Course pour les 24h Azimut-Imoca
Samedi 21 septembre :
16h00 : Arrivées des bateaux
19h30 : Remise des prix des 24h Azimut-Imoca
Dimanche 22 septembre :
13h00 : Ouverture des "Runs"
14h30 : Mise à disposition du Comité Course pour le Chrono Azimut (Tour de Groix)
16h30 : Arrivées estimées au ponton.
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Après un samedi très humide, toutes les conditions étaient réunies ce dimanche pour faire de cette 8ème édition un bel événement !
Ce dimanche s’est clôturée la 8ème édition du Fort Boyard Challenge qui a rassemblé tout au long du week-end 170 Windsurfers, une vingtaine de SUPers et 10 pirogues polynésiennes V6 (équipage de 6 rameurs) sur un même évènement. Un objectif : le tour du Fort Boyard ! Mais aussi la remontée de La Charente avec une arrivée à La Corderie royale à Rochefort pour les paddle. L’occasion non seulement de mettre en valeur les sports de glisse mais aussi de valoriser le patrimoine marin et historique de Fouras et de ses alentours. Une superbe journée pour tous les compétiteurs.
Cette 8ème édition a su séduire les compétiteurs en windsurf, en SUP et en pirogues que ce soit par la beauté et l’originalité des parcours mais aussi par la complexité de l’épreuve notamment pour les pirogues. Nous pouvons d’ores et déjà dire que le Fort Boyard Challenge 2013 restera dans les annales…
Retour sur l’épreuve de Windsurf :
Tout comme samedi les windsurfers ont couru mais les 2 manches n’ont pas été validées en course de longue distance, les conditions ne le permettant malheureusement pas. Au classement général toute catégorie, Antoine Albeau a été détrôné par le jeune Alexandre Cousin, 11ème mondial. Néanmoins, l’homme aux 20 titres mondiaux est heureux de ce moment sur l’eau : « La bataille a été rude, On a bien régaté avec Alexandre et les autres. Même si le vent était relativement faible entre 12-13 nœuds, c’était une belle bagarre sur l’eau et un super moment comme d’habitude. Le FBC permet aux amateurs de se confronter aux meilleurs, c’est ce qui rend cet événement convivial.
Fin septembre, je pars à Sylt (Allemagne) pour l'ultime étape de la PWA, et qui sait me rapprocher ainsi d’une 21ème couronne mondiale. Puis en octobre, direction la Namibie pour tenter le record de vitesse, essayer d’atteindre les 100 km/h… »
Classement général non officiel toute catégorie :
1 – Alexandre Cousin
2 - Antoine Albeau
3 – Yoann Fleury
…
24 – Delphine Cousin
Cette 8ème édition a su séduire les compétiteurs en windsurf, en SUP et en pirogues que ce soit par la beauté et l’originalité des parcours mais aussi par la complexité de l’épreuve notamment pour les pirogues. Nous pouvons d’ores et déjà dire que le Fort Boyard Challenge 2013 restera dans les annales…
Retour sur l’épreuve de Windsurf :
Tout comme samedi les windsurfers ont couru mais les 2 manches n’ont pas été validées en course de longue distance, les conditions ne le permettant malheureusement pas. Au classement général toute catégorie, Antoine Albeau a été détrôné par le jeune Alexandre Cousin, 11ème mondial. Néanmoins, l’homme aux 20 titres mondiaux est heureux de ce moment sur l’eau : « La bataille a été rude, On a bien régaté avec Alexandre et les autres. Même si le vent était relativement faible entre 12-13 nœuds, c’était une belle bagarre sur l’eau et un super moment comme d’habitude. Le FBC permet aux amateurs de se confronter aux meilleurs, c’est ce qui rend cet événement convivial.
Fin septembre, je pars à Sylt (Allemagne) pour l'ultime étape de la PWA, et qui sait me rapprocher ainsi d’une 21ème couronne mondiale. Puis en octobre, direction la Namibie pour tenter le record de vitesse, essayer d’atteindre les 100 km/h… »
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1 – Alexandre Cousin
2 - Antoine Albeau
3 – Yoann Fleury
…
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