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A 24 heures du départ de la Transat Jacques Vabre, qui sera donné lundi à 14h15, Marc Guillemot et Pascal Bidégorry sont sereins. Bien sûr, tout est prêt pour mettre le cap sur le Brésil et affronter les 5 400 milles qui les attendent. Du point de vue des conditions, comme lors des deux dernières, ce sera tout sauf confortable…
Toute la flotte est restée à quai ce dimanche dans le bassin Paul Vatine. Les grains violents qui balaient déjà le village de la Transat Jacques Vabre confirment que la décision de reporter le départ d’une journée était sage et logique. Safran tire donc tranquillement sur ses amarres ce dimanche, pour 24 heures encore. Il quittera le port demain matin à 9h36 pour atteindre la zone de départ sous les falaises du cap de la Hève. Coup de canon à 14h15.
Tout est plus que prêt à bord évidemment et les deux marins sont d’un calme olympien. Pascal Bidégorry et Marc Guillemot sont rompus à l’exercice de l’avant-course : une veille de départ de transat, il s’agit surtout de bien se reposer et d’étudier les dernières évolutions météo.
La météo ? Marc Guillemot prévient : « Il ne faut surtout pas croire que les deux premiers jours de course seront tranquilles ! Le report du départ nous permet d'éviter les rafales prévues dans la nuit de dimanche à lundi… mais ce qui nous attend reste bien corsé, il y aura du vent, de la mer et du sport ! »
Au près dans une mer mauvaise
Le skipper de Safran développe : « Sur le départ stricto sensu, le vent sera d’une dizaine de nœuds. Nous serons au près… et nous le serons peut-être jusqu’à l’Espagne, voire Lisbonne. Le vent va très vite s’intensifier à l’approche d’une nouvelle perturbation. Très rapidement nous serons dans 25 puis 30, voire 35 nœuds de secteur ouest. La gestion ne sera pas simple dès le passage du Cotentin car nous partons avec un coefficient de marée de 100, le courant sera donc fort, parfois supérieur à 5 nœuds. » L’état de la mer ? « Au vu de ce qu’il se passe sur l’Atlantique depuis trois semaines avec ces trains de dépression, nous ne nous attendons pas à trouver une mer plate à Ouessant, ni dans le golfe de Gascogne ! »
L'enjeu des deux premiers jours de course semble relativement clair pour Marc : « Il faudra aller vite, ne rien casser, être attentif aux éventuels petits bords à tirer pour suivre les oscillations du vent… et surtout tenter de privilégier le sommeil ! Savoir dormir à ce moment là est indispensable parce qu’il faudra être lucide pour ne pas perdre de temps lors de la première transition, quand le nouveau vent viendra du nord-ouest et sera donc portant. Il faudra réagir au bon moment pour s’adapter au changement de vent et donc à la nouvelle configuration de voiles. » Préserver les hommes et la machine est une sage précaution mais c’est surtout un vecteur de performance quand on part pour une compétition transatlantique longue, qui devrait durer environ 19 jours.
Pendant ces trois semaines, l'analyse météo (routage interdit) sera une des grandes préoccupations des deux marins de Safran. « Je récupère les données et nous les analysons à deux, avec Pascal. Nous décidons ensuite de déclencher un bord… ou pas. Sur le début de course, il faudra probablement en tirer quelques-uns, ne serait-ce que pour respecter les zones de séparation du trafic des Casquets et de Ouessant. Et puis, on sait bien qu’il y a toujours des choses à jouer, même quand les modèles météo préconisent d’aller tout droit. Il y a toujours de petits coups stratégiques à jouer ! », explique Marc.
Tout est plus que prêt à bord évidemment et les deux marins sont d’un calme olympien. Pascal Bidégorry et Marc Guillemot sont rompus à l’exercice de l’avant-course : une veille de départ de transat, il s’agit surtout de bien se reposer et d’étudier les dernières évolutions météo.
La météo ? Marc Guillemot prévient : « Il ne faut surtout pas croire que les deux premiers jours de course seront tranquilles ! Le report du départ nous permet d'éviter les rafales prévues dans la nuit de dimanche à lundi… mais ce qui nous attend reste bien corsé, il y aura du vent, de la mer et du sport ! »
Au près dans une mer mauvaise
Le skipper de Safran développe : « Sur le départ stricto sensu, le vent sera d’une dizaine de nœuds. Nous serons au près… et nous le serons peut-être jusqu’à l’Espagne, voire Lisbonne. Le vent va très vite s’intensifier à l’approche d’une nouvelle perturbation. Très rapidement nous serons dans 25 puis 30, voire 35 nœuds de secteur ouest. La gestion ne sera pas simple dès le passage du Cotentin car nous partons avec un coefficient de marée de 100, le courant sera donc fort, parfois supérieur à 5 nœuds. » L’état de la mer ? « Au vu de ce qu’il se passe sur l’Atlantique depuis trois semaines avec ces trains de dépression, nous ne nous attendons pas à trouver une mer plate à Ouessant, ni dans le golfe de Gascogne ! »
L'enjeu des deux premiers jours de course semble relativement clair pour Marc : « Il faudra aller vite, ne rien casser, être attentif aux éventuels petits bords à tirer pour suivre les oscillations du vent… et surtout tenter de privilégier le sommeil ! Savoir dormir à ce moment là est indispensable parce qu’il faudra être lucide pour ne pas perdre de temps lors de la première transition, quand le nouveau vent viendra du nord-ouest et sera donc portant. Il faudra réagir au bon moment pour s’adapter au changement de vent et donc à la nouvelle configuration de voiles. » Préserver les hommes et la machine est une sage précaution mais c’est surtout un vecteur de performance quand on part pour une compétition transatlantique longue, qui devrait durer environ 19 jours.
Pendant ces trois semaines, l'analyse météo (routage interdit) sera une des grandes préoccupations des deux marins de Safran. « Je récupère les données et nous les analysons à deux, avec Pascal. Nous décidons ensuite de déclencher un bord… ou pas. Sur le début de course, il faudra probablement en tirer quelques-uns, ne serait-ce que pour respecter les zones de séparation du trafic des Casquets et de Ouessant. Et puis, on sait bien qu’il y a toujours des choses à jouer, même quand les modèles météo préconisent d’aller tout droit. Il y a toujours de petits coups stratégiques à jouer ! », explique Marc.
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Les dépressions se suivent et se déchaînent depuis un mois sur les côtes françaises et la météo de ce dimanche 3 novembre ne permet pas de lancer le départ de la Transat Jacques Vabre. Du coup, la flotte des Multi 50 partira en même temps que les monocoques lundi à 14h15. Les conditions météo restent cependant très musclées pour les 4 à 5 jours à venir : pour Loïc, il faut y aller, mais sans forcer...
Loïc Féquet, skipper Maître Jacques : « Lundi est la seule opportunité de départ de toute la semaine, il faut donc en profiter. Les conditions ne vont pas être faciles, mais c'est tout à fait habituel et normal à cette saison, en Manche et dans le golfe de Gascogne. Mardi, nous allons devoir négocier un premier front un peu avant la sortie de Manche. 35 à 40 nœuds sont annoncés avec 4 à 5 mètres de creux et du courant. Il va falloir faire le dos rond, mais nous savons que le bateau est marin et qu'il est capable de passer dans de telles conditions. A nous de trouver le bon équilibre, sans forcer...
Ensuite, la situation météo est très évolutive, nous verrons cela en temps utiles. »
Demain dimanche, les concurrents resteront à quai, la fête pourra continuer de battre son plein autour du bassin Paul Vatine. Et, lundi, à 9h14 précise, les deux Loïc largueront les amarres : cap sur Itajai !
Loïc Féquet, skipper Maître Jacques : « Lundi est la seule opportunité de départ de toute la semaine, il faut donc en profiter. Les conditions ne vont pas être faciles, mais c'est tout à fait habituel et normal à cette saison, en Manche et dans le golfe de Gascogne. Mardi, nous allons devoir négocier un premier front un peu avant la sortie de Manche. 35 à 40 nœuds sont annoncés avec 4 à 5 mètres de creux et du courant. Il va falloir faire le dos rond, mais nous savons que le bateau est marin et qu'il est capable de passer dans de telles conditions. A nous de trouver le bon équilibre, sans forcer...
Ensuite, la situation météo est très évolutive, nous verrons cela en temps utiles. »
Demain dimanche, les concurrents resteront à quai, la fête pourra continuer de battre son plein autour du bassin Paul Vatine. Et, lundi, à 9h14 précise, les deux Loïc largueront les amarres : cap sur Itajai !
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Laurent Voulzy, chanteur et compositeur français, sera présent sur le ponton Class40 de la Transat Jacques Vabre ce samedi 2 novembre à partir de 17h00. Parrain de l'association Aïna, soutenue par le Groupe Picoty Laurent Voulzy sera à bord du Class40 Groupe Picoty avec des surprises pour les enfants...
Aïna, fournisseur d'avenir aux enfants de Madagascar depuis 2005
"Aïna, Enfance et Avenir" contribue à sortir les enfants de Madagascar de la rue, à leur offrir un toit, une alimentation équilibrée, des soins et une écoute. Scolarisés, ils se construisent un avenir. Plus forts, ils réussiront pour certains à formuler un projet professionnel et à accéder à une vie décente.
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"Aïna, Enfance et Avenir" contribue à sortir les enfants de Madagascar de la rue, à leur offrir un toit, une alimentation équilibrée, des soins et une écoute. Scolarisés, ils se construisent un avenir. Plus forts, ils réussiront pour certains à formuler un projet professionnel et à accéder à une vie décente.
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Dimanche ou lundi, telle est la question ? Oui et non. Pour le duo du Team groupe Picoty, que le départ de la Transat Jacques Vabre soit donné, comme prévu, ce dimanche ou décalé de 24h, ne change rien à leur concentration d'avant départ. Le bateau est prêt, ils sont mentalement déjà en course : alors, 24h de plus ou de moins...
Crédit photo Bertrand Duquenne
Une grosse dépression est attendue en Manche dimanche. Si la route de ce système météo s'incurve un peu vers le nord, les conditions pourraient devenir maniables.
Sinon, dès la première nuit, alors que les concurrents de la Transat Jacques Vabre seront encore en Manche, les fichiers prévoient 35 nœuds de vent établis avec des rafales à 45 voire 50 nœuds dans une mer très formée et 7 à 9 nœuds de courant... Bref, des conditions casse-bateaux qui relègueraient le côté sportif de la course au second plan.
« Il y a de grosses chances que le départ de la course soit décalé à lundi. C'est intelligent en tous cas de se donner un peu de temps de réflexion et d'attendre les dernières informations météo. Pour nous, cela ne change rien, mais il est certain que lorsque l'on sait que l'on a des chances de partir dans de bonnes conditions (lundi), cela permet d'aborder ce début de parcours avec plus de sérénité », détaille Jean-Christophe Caso, skipper Groupe Picoty.
« Les rafales à 45 - 50 nœuds, le coefficient de marée de 100 et le fort courant que cela génère, la mer formée, le rail de trafic maritime à traverser : tout cela représente du danger et des conditions casse-bateaux.
La fenêtre de lundi est meilleure, mais la mer sera encore très formée et il y a de fortes chances que tout le monde « attaque ». Il faudra être rapides... Ce sera en tous cas viril jusqu'au cap Finisterre, à la sortie du golfe de Gascogne », confirme Aymeric Chappellier, co-skipper Groupe Picoty.
Dépression ou pas, le départ reste une fête
Au-delà de ces inconnues météorologiques, il y a la fête du départ. Or, le Groupe Picoty et le Lac de Vassivière sont, comme toujours, présents en force sur le village de la Transat Jacques Vabre pour hisser haut leurs couleurs, leurs valeurs et leur bonne humeur.
Cette année, le distributeur d'énergie du Limousin met en avant les nombreux services de proximité offerts dans les stations Avia Picoty : restauration, produits frais, presse, conseil, la cool douche pour les voitures, mais aussi du conseil pour les économies d'énergies. La venue d'un large public autour du Bassin Paul Vatine et sur les stands permet aux partenaires d'exploiter pleinement ces moments forts et fédérateurs et de mettre en avant leurs produits et services.
Le partage avant d'entrer dans sa bulle...
Jean-Christophe et Aymeric : « Nous sommes arrivés au Havre avec un bateau complètement préparé, cela nous a laissé du temps pour partager de bons moments avec nos partenaires qui ont un savoir-faire incomparable pour transformer les départs de course en fête ! C'est toujours un grand bonheur de passer du temps avec eux. En revanche, dès ce soir, nous serons complètement dans notre course. Nous travaillons pour cela avec David Lanier : nous allons prévoir deux schémas de course avec un départ dimanche et un lundi, pour les 5 - 6 jours à venir et nous affinerons ensuite. »
La décision d'un report de course sera prise ce matin, samedi 2 novembre, par la direction de course.
Sinon, dès la première nuit, alors que les concurrents de la Transat Jacques Vabre seront encore en Manche, les fichiers prévoient 35 nœuds de vent établis avec des rafales à 45 voire 50 nœuds dans une mer très formée et 7 à 9 nœuds de courant... Bref, des conditions casse-bateaux qui relègueraient le côté sportif de la course au second plan.
« Il y a de grosses chances que le départ de la course soit décalé à lundi. C'est intelligent en tous cas de se donner un peu de temps de réflexion et d'attendre les dernières informations météo. Pour nous, cela ne change rien, mais il est certain que lorsque l'on sait que l'on a des chances de partir dans de bonnes conditions (lundi), cela permet d'aborder ce début de parcours avec plus de sérénité », détaille Jean-Christophe Caso, skipper Groupe Picoty.
« Les rafales à 45 - 50 nœuds, le coefficient de marée de 100 et le fort courant que cela génère, la mer formée, le rail de trafic maritime à traverser : tout cela représente du danger et des conditions casse-bateaux.
La fenêtre de lundi est meilleure, mais la mer sera encore très formée et il y a de fortes chances que tout le monde « attaque ». Il faudra être rapides... Ce sera en tous cas viril jusqu'au cap Finisterre, à la sortie du golfe de Gascogne », confirme Aymeric Chappellier, co-skipper Groupe Picoty.
Dépression ou pas, le départ reste une fête
Au-delà de ces inconnues météorologiques, il y a la fête du départ. Or, le Groupe Picoty et le Lac de Vassivière sont, comme toujours, présents en force sur le village de la Transat Jacques Vabre pour hisser haut leurs couleurs, leurs valeurs et leur bonne humeur.
Cette année, le distributeur d'énergie du Limousin met en avant les nombreux services de proximité offerts dans les stations Avia Picoty : restauration, produits frais, presse, conseil, la cool douche pour les voitures, mais aussi du conseil pour les économies d'énergies. La venue d'un large public autour du Bassin Paul Vatine et sur les stands permet aux partenaires d'exploiter pleinement ces moments forts et fédérateurs et de mettre en avant leurs produits et services.
Le partage avant d'entrer dans sa bulle...
Jean-Christophe et Aymeric : « Nous sommes arrivés au Havre avec un bateau complètement préparé, cela nous a laissé du temps pour partager de bons moments avec nos partenaires qui ont un savoir-faire incomparable pour transformer les départs de course en fête ! C'est toujours un grand bonheur de passer du temps avec eux. En revanche, dès ce soir, nous serons complètement dans notre course. Nous travaillons pour cela avec David Lanier : nous allons prévoir deux schémas de course avec un départ dimanche et un lundi, pour les 5 - 6 jours à venir et nous affinerons ensuite. »
La décision d'un report de course sera prise ce matin, samedi 2 novembre, par la direction de course.
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Le duo du trimaran Maître Jacques a quitté Saint Malo ce jeudi matin : cap sur Le Havre ! Loïc Féquet et Loïc Escoffier font partie des cinq duos qui peuvent prétendre à un podium, au moins, sur cette Transat Jacques Vabre 2013.
A bord de leur Multi50 de l'ancienne génération (mis à l'eau en 2005), sensiblement « boosté » depuis 2011 par Loïc Féquet et son équipe, ces deux semi-pros ont mis toutes les chances de leur côté pour jouer aux avant-postes de cette longue transat.
L'hémisphère Sud, qu'ils vont sillonner pour la toute première fois tous les deux les attend !
Mais, d'ici là, c'était dans le Bassin Vatine que le duo Maître Jacques était attendu en soirée, ce jeudi.
A bord de leur Multi50 de l'ancienne génération (mis à l'eau en 2005), sensiblement « boosté » depuis 2011 par Loïc Féquet et son équipe, ces deux semi-pros ont mis toutes les chances de leur côté pour jouer aux avant-postes de cette longue transat.
L'hémisphère Sud, qu'ils vont sillonner pour la toute première fois tous les deux les attend !
Mais, d'ici là, c'était dans le Bassin Vatine que le duo Maître Jacques était attendu en soirée, ce jeudi.
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Le Team Maître CoQ est en route pour Le Havre, port de départ de la Transat Jacques Vabre. Ce convoyage entre la Bretagne et la Normandie est bien sûr un ultime entraînement pour Jérémie Beyou et Christopher Pratt, mais c’est aussi la meilleure des façons de se dire : on y est ! Le départ de cette longue transat vers le Brésil est prévu le 3 novembre prochain.
Mercredi 23 octobre 2013, Jérémie Beyou et Christopher Pratt ont renfilé bottes et ciré, après une semaine de repos relatif. Le monocoque Imoca Maître CoQ fait route vers le port de départ de la Transat Jacques Vabre. Une fois qu’ils seront sur place, au Havre, les skippers Maître CoQ seront bel et bien immergés dans la course, dans leur course.
Que font des coureurs au large une semaine avant de partir en mer ? Et bien, ils ont presque une vie « normale »… Jérémie et Christopher ont passé un peu de temps en famille, auprès de leurs enfants surtout. Quelques séances de sport étaient aussi au programme.
Enfin, Jérémie comme Christopher sont aussi des chefs d’entreprise et d’incontournables tâches administratives les ont rappelés à l’ordre terrestre avant de partir courir trois semaines sur l’Atlantique.
Entre Lorient et Le Havre, le duo Maître CoQ déguste ce convoyage aux avant-goûts de grand large, avant d’entrer dans le tourbillon d’avant-départ. Dès vendredi, un planning chargé attend Jérémie et Christopher. Pendant 10 jours, ils vont enchaîner rendez-vous, rencontres et briefings, mais, paradoxalement, au cœur de cette frénésie, doucement, mais sûrement, ils vont commencer à entrer dans leur bulle de coureur au large…
Jérémie Beyou, skipper Maître CoQ , avant le convoyage vers le Havre : « C’est difficile d’arrêter le tourbillon de mon emploi du temps !... Mais j’ai pu passer du temps avec mes enfants et faire un peu de sport. Nous avons navigué aussi, préparé le chantier technique de l’hiver prochain, participé à l’AG de la Classe Imoca…
Le bateau est bien prêt, je suis très content du travail de l’équipe technique. Ils sont tous pointus et perfectionnistes. Nous partons sereins de Lorient. »
Christopher Pratt, co-skipper Maître CoQ : « Nous sommes toujours happés par des tas de choses à faire et à anticiper, mais après tous les stages d’entraînement, c’est appréciable de passer un peu de temps en famille, avec ses enfants.
Ce repos relatif ne nous empêche pas de rester concentrés sur la course et les derniers préparatifs… Nous continuons toujours à nous poser des questions sur certains détails, mais les grandes lignes de notre préparation sont bien sûr figées. Nous entrons dans le vif du sujet ! »
Que font des coureurs au large une semaine avant de partir en mer ? Et bien, ils ont presque une vie « normale »… Jérémie et Christopher ont passé un peu de temps en famille, auprès de leurs enfants surtout. Quelques séances de sport étaient aussi au programme.
Enfin, Jérémie comme Christopher sont aussi des chefs d’entreprise et d’incontournables tâches administratives les ont rappelés à l’ordre terrestre avant de partir courir trois semaines sur l’Atlantique.
Entre Lorient et Le Havre, le duo Maître CoQ déguste ce convoyage aux avant-goûts de grand large, avant d’entrer dans le tourbillon d’avant-départ. Dès vendredi, un planning chargé attend Jérémie et Christopher. Pendant 10 jours, ils vont enchaîner rendez-vous, rencontres et briefings, mais, paradoxalement, au cœur de cette frénésie, doucement, mais sûrement, ils vont commencer à entrer dans leur bulle de coureur au large…
Jérémie Beyou, skipper Maître CoQ , avant le convoyage vers le Havre : « C’est difficile d’arrêter le tourbillon de mon emploi du temps !... Mais j’ai pu passer du temps avec mes enfants et faire un peu de sport. Nous avons navigué aussi, préparé le chantier technique de l’hiver prochain, participé à l’AG de la Classe Imoca…
Le bateau est bien prêt, je suis très content du travail de l’équipe technique. Ils sont tous pointus et perfectionnistes. Nous partons sereins de Lorient. »
Christopher Pratt, co-skipper Maître CoQ : « Nous sommes toujours happés par des tas de choses à faire et à anticiper, mais après tous les stages d’entraînement, c’est appréciable de passer un peu de temps en famille, avec ses enfants.
Ce repos relatif ne nous empêche pas de rester concentrés sur la course et les derniers préparatifs… Nous continuons toujours à nous poser des questions sur certains détails, mais les grandes lignes de notre préparation sont bien sûr figées. Nous entrons dans le vif du sujet ! »
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A dix jours du départ de la Transat Jacques Vabre 2013, Marc Guillemot et Pascal Bidégorry sont arrivés au Havre ce vendredi matin, au terme d’un convoyage sportif. Tout est prêt pour le départ de la Transat Jacques Vabre dans dix jours, le dimanche 3 novembre.
C’est fait : Safran est amarré dans le bassin Paul Vatine du Havre. Partis jeudi à 8h de la Trinité-sur-Mer, Marc Guillemot, Pascal Bidégorry et le boat captain Loïc Lingois sont arrivés ce vendredi matin à 9h dans le grand port normand, dix jours avant le départ de la Transat Jacques Vabre.
Tout s’est passé sans encombre pour les trois hommes, qui ont avalé les 300 milles de ce convoyage en 25 heures. Marc Guillemot raconte : « comme prévu, nous avons eu du vent soutenu pour venir ici. Jusqu’à 30 nœuds, voire 35 dans les rafales. C’était d’abord au portant jusqu’au Conquet, ce qui nous a permis d’envoyer le grand gennaker et de faire des manœuvres de ris intéressantes. Nous avons eu droit à un raz de Sein magnifique. La montée en Manche s’est faite également dans du vent soutenu jusqu’à Cherbourg ».
Pour résumer, « c’était un convoyage intéressant, riche, dans des conditions variées ». Marc Guillemot ajoute : « il n’y a pas de travail supplémentaire à ajouter à la liste de l’équipe – c’est une bonne chose – et cette navigation a été aussi l’occasion de faire un bel entraînement avec Pascal. C’est toujours bon à prendre ».
A dix jours du départ tout est prêt, même si l’équipe fera une dernière inspection complète du bateau lundi, par acquis de conscience. Ce sera ensuite le ballet habituel des avant-départs de grandes courses : contrôles de jauge et de sécurité et avitaillement pour 18 à 20 jours de mer.
Le programme au Havre
Le village de la Transat Jacques Vabre a ouvert ses portes au public ce samedi. Safran sera présent sur un stand pour y exposer son engagement dans la voile auprès de Marc Guillemot et son implication technologique dans la conception de son IMOCA 60´. Le public découvrira également les activités du Groupe, sa politique de recrutement, ainsi que de nombreuses animations : jeux, ateliers, quizz etc. Marc Guillemot et Pascal Bidégorry viendront y dédicacer des posters. Ils y rencontreront également des salariés d’Aircelle, filiale havraise de Safran, entre deux rendez-vous avec la presse… même si l’essentiel de leur travail sera l’étude quotidienne de la météo. Dans dix jours, 5500 milles marins seront ouverts devant l’étrave de Safran.
Tout s’est passé sans encombre pour les trois hommes, qui ont avalé les 300 milles de ce convoyage en 25 heures. Marc Guillemot raconte : « comme prévu, nous avons eu du vent soutenu pour venir ici. Jusqu’à 30 nœuds, voire 35 dans les rafales. C’était d’abord au portant jusqu’au Conquet, ce qui nous a permis d’envoyer le grand gennaker et de faire des manœuvres de ris intéressantes. Nous avons eu droit à un raz de Sein magnifique. La montée en Manche s’est faite également dans du vent soutenu jusqu’à Cherbourg ».
Pour résumer, « c’était un convoyage intéressant, riche, dans des conditions variées ». Marc Guillemot ajoute : « il n’y a pas de travail supplémentaire à ajouter à la liste de l’équipe – c’est une bonne chose – et cette navigation a été aussi l’occasion de faire un bel entraînement avec Pascal. C’est toujours bon à prendre ».
A dix jours du départ tout est prêt, même si l’équipe fera une dernière inspection complète du bateau lundi, par acquis de conscience. Ce sera ensuite le ballet habituel des avant-départs de grandes courses : contrôles de jauge et de sécurité et avitaillement pour 18 à 20 jours de mer.
Le programme au Havre
Le village de la Transat Jacques Vabre a ouvert ses portes au public ce samedi. Safran sera présent sur un stand pour y exposer son engagement dans la voile auprès de Marc Guillemot et son implication technologique dans la conception de son IMOCA 60´. Le public découvrira également les activités du Groupe, sa politique de recrutement, ainsi que de nombreuses animations : jeux, ateliers, quizz etc. Marc Guillemot et Pascal Bidégorry viendront y dédicacer des posters. Ils y rencontreront également des salariés d’Aircelle, filiale havraise de Safran, entre deux rendez-vous avec la presse… même si l’essentiel de leur travail sera l’étude quotidienne de la météo. Dans dix jours, 5500 milles marins seront ouverts devant l’étrave de Safran.
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