Rubriques
Rubriques
Dernières notes
Une lettre qui tombe à point
17/12/2018
France
International
Cinéma à Nantes
Galerie
Samedi 8 décembre 2018, dans toute la France mais aussi à Nantes !! OUI, OUI ON VA MARCHER !!
Qu’est-ce que la “Climate Alarm” ?
Après le succès des marches du 8 septembre et du 13 octobre 2018, nous appelons à une nouvelle mobilisation massive pendant la COP24 - le 8 décembre 2018 - date de la Journée mondiale d’action pour le Climat. Nous serons nombreux dans les rues, partout dans le monde mais aussi à Nantes pour faire entendre nos réveils, nos cloches et sonner l’alarme climatique pour rappeler qu’il est encore temps d’agir et que face aux lobbies et à l’inaction des gouvernements, la société civile ne démissionne pas.
Qu’est-ce que la “Climate Alarm” ?
Après le succès des marches du 8 septembre et du 13 octobre 2018, nous appelons à une nouvelle mobilisation massive pendant la COP24 - le 8 décembre 2018 - date de la Journée mondiale d’action pour le Climat. Nous serons nombreux dans les rues, partout dans le monde mais aussi à Nantes pour faire entendre nos réveils, nos cloches et sonner l’alarme climatique pour rappeler qu’il est encore temps d’agir et que face aux lobbies et à l’inaction des gouvernements, la société civile ne démissionne pas.
Tags :
L'actualité à Nantes
Une quarantaine d’associations, de collectifs et de partis politiques (dont le Modem 44, NPA44 et Europe Ecologie Les Verts) organisent le samedi 24 mars une manifestation pour s’opposer à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Ils réclament l’arrêt immédiat du projet de plate-forme aéroportuaire, dont la construction et l’exploitation ont été confiées début 2011 par l’Etat à un consortium mené par le groupe Vinci. Tracteurs, vélos et piétons commenceront à se rassembler au Cardo, à la Haluchère et à Pirmil à 12h, avant de converger une heure plus tard vers la préfecture et le Cours des 50 otages.
Tags :
Environnement
Le géant pétrolier Total a été condamné mardi 17 janvier par la justice française à une amende de 300 000 euros pour pollution, conformément aux réquisitions du parquet, après la fuite de fuel de sa raffinerie de Donges (ouest) en 2008 qui avait pollué l'estuaire de la Loire. En revanche, les réparations pour préjudice écologique demandées par des associations qui se sont portées parties civiles, ont été rejetées par le tribunal de Saint-Nazaire.Il était reproché à la société Total raffinage marketing, en tant que personne morale, le déversement de fioul-soute "dans les eaux souterraines superficielles ou de la mer", le rejet de cet hydrocarbure "nuisible pour le maintien ou la consommation de la faune ou de la flore" et l'"exploitation non conforme d'une installation classée autorisée". Le groupe a cependant été relaxé de cette dernière infraction.Le département de Vendée et la région des Pays de la Loire se sont vu par ailleurs accorder 50 000 euros chacun au titre du préjudice moral. Le tribunal a également accordé 20 000 euros à la Ligue de protection des oiseaux (LPO) et au réseau d'associations France Nature Environnement (FNE).
Le procureur avait requis lors du procès, en octobre dernier, une peine d'amende de 300 000 euros contre le groupe pétrolier français pour sa "négligence" en matière de prévention des risques, qu'elle avait qualifiée de "coupable".Le 16 mars 2008, une fuite de fuel était signalée par Total sur une canalisation de la raffinerie. D'abord sous-évaluée, la pollution se révélera bien plus importante que prévu avec 500 tonnes de perdues, dont 180 tonnes se sont dispersées dans le milieu très fragile de l'estuaire de la Loire.
Le procureur avait requis lors du procès, en octobre dernier, une peine d'amende de 300 000 euros contre le groupe pétrolier français pour sa "négligence" en matière de prévention des risques, qu'elle avait qualifiée de "coupable".Le 16 mars 2008, une fuite de fuel était signalée par Total sur une canalisation de la raffinerie. D'abord sous-évaluée, la pollution se révélera bien plus importante que prévu avec 500 tonnes de perdues, dont 180 tonnes se sont dispersées dans le milieu très fragile de l'estuaire de la Loire.
Tags :
Environnement
M. Guéant avait tout prévu ... sauf que les paysan-ne-s se lèvent tôt.
C'est dès quatre heures ce matin que les tracteurs de la tracto-velo sont entrés dans Paris pour rejoindre le Sénat. Un joli pied de nez au Minsitre de l'Intérieur qui nous a encore un peu plus regonflé en attendant les cars pour, à notre tour, entrer dans Paris et crier notre opposition à la destruction irrémédiable du bocage et de centaines d'hectares de terres vivrières pour la construction d'un nouvel aéroport inutile et écologiquement et socialement désastreux. Pour dire non à l'aéroport de Notre Dame des Landes, on vous attend toutes et tous Porte d'Orléans.
Source: http://www.alternatifs44.com
Source: http://www.alternatifs44.com
Aujourd'hui, une caravane mêlant tracteurs et vélos conduits par des opposants au futur aéroport "Grand Ouest" de Notre-Dame-des-Landes, au nord de Nantes, a pris la route pour rejoindre Paris et y exposer ses arguments contre le projet.Pour la première étape en Loire-Atlantique, une vingtaine de tracteurs et quelque 200 cyclistes formaient le convoi. Puis, une demi-douzaine de tracteurs, 50 cyclistes, un car et quelques voitures d'organisation formeront le convoi qui doit rallier en cinq jours Notre-Dame-des-Landes, au coeur du site que doit occuper le futur aéroport à partir de 2017, à la capitale, pour y être reçus au Sénat samedi.
"Peser sur les négociations entre partis"
"On ne peut pas se contenter d'un statu quo. Le débat public sur ce projet a eu lieu en 2002. Entre-temps, nous sommes entrés dans une crise sans précédent", a déclaré François de Rugy, député d'Europe Ecologie-Les Verts de Loire-Atlantique, qui a assisté au départ. "A l'heure où le gouvernement examine chaque ligne budgétaire, l'utilité d'un projet qui coûte 140 M€ à l'Etat et qui est très contesté sur le plan environnemental doit être réexaminée. C'est pourquoi, nous demandons l'annulation de sa déclaration d'utilité publique", a-t-il ajouté.
Les militants de la "tracto-vélo" entendent "porter à la connaissance des décideurs nationaux les résultats de l'étude économique indépendante réalisée par le collectif d'élus, peser sur les négociations entre partis qui ne manqueront pas d'avoir lieu pour la présidentielle 2012 et dénoncer encore une fois l'aberration de ce projet dans les conjonctures financière, économique, sociale et environnementale actuelles", selon leurs revendications.
"Peser sur les négociations entre partis"
"On ne peut pas se contenter d'un statu quo. Le débat public sur ce projet a eu lieu en 2002. Entre-temps, nous sommes entrés dans une crise sans précédent", a déclaré François de Rugy, député d'Europe Ecologie-Les Verts de Loire-Atlantique, qui a assisté au départ. "A l'heure où le gouvernement examine chaque ligne budgétaire, l'utilité d'un projet qui coûte 140 M€ à l'Etat et qui est très contesté sur le plan environnemental doit être réexaminée. C'est pourquoi, nous demandons l'annulation de sa déclaration d'utilité publique", a-t-il ajouté.
Les militants de la "tracto-vélo" entendent "porter à la connaissance des décideurs nationaux les résultats de l'étude économique indépendante réalisée par le collectif d'élus, peser sur les négociations entre partis qui ne manqueront pas d'avoir lieu pour la présidentielle 2012 et dénoncer encore une fois l'aberration de ce projet dans les conjonctures financière, économique, sociale et environnementale actuelles", selon leurs revendications.
Contact: nantesinfo@gmx.com ou par téléphone au 06 86 76 52 32
Environnement
| Commentaires (0)