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Aujourd'hui, une caravane mêlant tracteurs et vélos conduits par des opposants au futur aéroport "Grand Ouest" de Notre-Dame-des-Landes, au nord de Nantes, a pris la route pour rejoindre Paris et y exposer ses arguments contre le projet.Pour la première étape en Loire-Atlantique, une vingtaine de tracteurs et quelque 200 cyclistes formaient le convoi. Puis, une demi-douzaine de tracteurs, 50 cyclistes, un car et quelques voitures d'organisation formeront le convoi qui doit rallier en cinq jours Notre-Dame-des-Landes, au coeur du site que doit occuper le futur aéroport à partir de 2017, à la capitale, pour y être reçus au Sénat samedi.
"Peser sur les négociations entre partis"
"On ne peut pas se contenter d'un statu quo. Le débat public sur ce projet a eu lieu en 2002. Entre-temps, nous sommes entrés dans une crise sans précédent", a déclaré François de Rugy, député d'Europe Ecologie-Les Verts de Loire-Atlantique, qui a assisté au départ. "A l'heure où le gouvernement examine chaque ligne budgétaire, l'utilité d'un projet qui coûte 140 M€ à l'Etat et qui est très contesté sur le plan environnemental doit être réexaminée. C'est pourquoi, nous demandons l'annulation de sa déclaration d'utilité publique", a-t-il ajouté.
Les militants de la "tracto-vélo" entendent "porter à la connaissance des décideurs nationaux les résultats de l'étude économique indépendante réalisée par le collectif d'élus, peser sur les négociations entre partis qui ne manqueront pas d'avoir lieu pour la présidentielle 2012 et dénoncer encore une fois l'aberration de ce projet dans les conjonctures financière, économique, sociale et environnementale actuelles", selon leurs revendications.
"Peser sur les négociations entre partis"
"On ne peut pas se contenter d'un statu quo. Le débat public sur ce projet a eu lieu en 2002. Entre-temps, nous sommes entrés dans une crise sans précédent", a déclaré François de Rugy, député d'Europe Ecologie-Les Verts de Loire-Atlantique, qui a assisté au départ. "A l'heure où le gouvernement examine chaque ligne budgétaire, l'utilité d'un projet qui coûte 140 M€ à l'Etat et qui est très contesté sur le plan environnemental doit être réexaminée. C'est pourquoi, nous demandons l'annulation de sa déclaration d'utilité publique", a-t-il ajouté.
Les militants de la "tracto-vélo" entendent "porter à la connaissance des décideurs nationaux les résultats de l'étude économique indépendante réalisée par le collectif d'élus, peser sur les négociations entre partis qui ne manqueront pas d'avoir lieu pour la présidentielle 2012 et dénoncer encore une fois l'aberration de ce projet dans les conjonctures financière, économique, sociale et environnementale actuelles", selon leurs revendications.
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