Rubriques
Rubriques
Dernières notes
France
International
Archives
Cinéma à Nantes
Galerie
Samedi 10 et dimanche 11 septembre 2011, le parc du Grand Blottereau accueille la Folie des Plantes de Nantes sur le thème: "Déracinées, enracinées".Cette 24ème édition donne la part belle aux "racines", ce formidable ancrage végétal qui assure les fondations, la stabilité et l'alimentation des plantes.A la fois crampons et bouche ouverte, elle explore les confins du sol à la recherche des ingrédients nécessaires à la croissance de la plante toute entière.Exploratrice dans l'âme, elle nous permettra de revisiter les origines des plantes, de retraverser les continents dans le sillage des grands voyageurs à la recherche de nouveautés qui font la richesse du monde végétal et donc de nos jardins.De là à explorer les richesses des cultures et des hommes, il n'y a qu'un pas!Principale manifestation florale du grand ouest, La folie des plantes réunit en un même lieu 150 exposants, producteurs de plantes, associations horticoles, jardins familiaux et depuis 2009 une trentaine d'exposants, acteurs du commerce équitable et solidaire.Cette année encore, près de 40000 visiteurs sont attendus.Ces deux jours sont une occasion unique pour le public de rencontrer et d’échanger avec les professionnels du monde horticole et les acteurs du jardinage biologique, de la protection de l’environnement, de la biodiversité.
Au programme:
• Près de 130 producteurs-collectionneurs de plantes français et étrangers, associations horticoles, jardins familiaux.
• Une trentaine d’exposants, acteurs de l’économie sociale et solidaire.
• Des animations :
> Histoires de racines - Compagnie Science 89, chorégraphies de Flora Théfaine, musiques de Frédéric Bouley, Armand Placet, Die Frisur Lyric Band, Jazz Quintet universitaire avec la collaboration de Samuel Danilo et la présence de la jument Princesse… Un voyage théâtral, à travers le Parc du Grand Blottereau, en musique, danses et poèmes, à la recherche des racines étrangères qui font nos arbres d’aujourd’hui, sous la houlette de la compagnie Science 89 / Salle Vasse.
> Les légumes racines - Xavier Mathias, maraîcher bio. Collection de légumes méconnus, oubliés ou exotiques : carottes jaunes, betteraves à rayures, ulluques…
> Prendre soin de ses racines - Les jardiniers du Service des Espaces Verts et de l’Environnement de la Ville de Nantes. Conseils, démonstrations sur le bouturage, l’habillage des racines, le chignonage…
> L’arbre de bas en haut - Association les Petits Débrouillards. Ateliers d’expérimentations scientifiques et ludiques autour du bois et des racines. Tout public à partir de 4 ans.
> Les rondos racines - Claire Alary, artiste plasticienne. Atelier de création artistique à partir d’empreintes de racines. Tout public.
> Atelier les racines de plantes sauvages - Dana, extrait de nature. Animations autour des racines, techniques de cueillettes, recettes de cuisine, utilisation médicinale… Tout public.
> Les ateliers du goût - Association Slow food. Ateliers de formation et d’éducation au goût sur les légumes racines, les tomates, les petits fruits… Sur inscription.
> Racines médicinales et culinaires - Terraherba phyto herboriste. Exposition, dégustation et vente de produits à base de racines.
> Racines coréennes - Association Nantes Suncheon, une amitié franco-coréenne. Conte, expo-photos, danses, visites.
Au programme:
• Près de 130 producteurs-collectionneurs de plantes français et étrangers, associations horticoles, jardins familiaux.
• Une trentaine d’exposants, acteurs de l’économie sociale et solidaire.
• Des animations :
> Histoires de racines - Compagnie Science 89, chorégraphies de Flora Théfaine, musiques de Frédéric Bouley, Armand Placet, Die Frisur Lyric Band, Jazz Quintet universitaire avec la collaboration de Samuel Danilo et la présence de la jument Princesse… Un voyage théâtral, à travers le Parc du Grand Blottereau, en musique, danses et poèmes, à la recherche des racines étrangères qui font nos arbres d’aujourd’hui, sous la houlette de la compagnie Science 89 / Salle Vasse.
> Les légumes racines - Xavier Mathias, maraîcher bio. Collection de légumes méconnus, oubliés ou exotiques : carottes jaunes, betteraves à rayures, ulluques…
> Prendre soin de ses racines - Les jardiniers du Service des Espaces Verts et de l’Environnement de la Ville de Nantes. Conseils, démonstrations sur le bouturage, l’habillage des racines, le chignonage…
> L’arbre de bas en haut - Association les Petits Débrouillards. Ateliers d’expérimentations scientifiques et ludiques autour du bois et des racines. Tout public à partir de 4 ans.
> Les rondos racines - Claire Alary, artiste plasticienne. Atelier de création artistique à partir d’empreintes de racines. Tout public.
> Atelier les racines de plantes sauvages - Dana, extrait de nature. Animations autour des racines, techniques de cueillettes, recettes de cuisine, utilisation médicinale… Tout public.
> Les ateliers du goût - Association Slow food. Ateliers de formation et d’éducation au goût sur les légumes racines, les tomates, les petits fruits… Sur inscription.
> Racines médicinales et culinaires - Terraherba phyto herboriste. Exposition, dégustation et vente de produits à base de racines.
> Racines coréennes - Association Nantes Suncheon, une amitié franco-coréenne. Conte, expo-photos, danses, visites.
L’Ecole Centrale de Nantes est lauréat de l’appel à projets au titre des investissements d’avenir pour la constitution d’un Institut d’Excellence des Énergies Décarbonées (IEED) à vocation internationale.
Il devrait ainsi bénéficier de 43 M€ de soutien pour un budget total de 142 M€ sur 10 ans.
Ce nouveau centre contribuera à la création d’une filière industrielle française dans le domaine des énergies marines renouvelables : énergie éolienne en mer, énergie des courants, énergie des vagues, énergie thermique des mers.
Porteur du projet à l’Ecole Centrale de Nantes, Bertrand Alessandrini peut si vous le souhaitez vous donnez des informations complémentaires par téléphone.
Le projet France Énergies Marines fait partie des lauréats de l’appel à projets au titre des investissements d’avenir pour la constitution d’un Institut d’Excellence des Énergies Décarbonées (IEED) à vocation internationale. Il devrait ainsi bénéficier de 43 M€ de soutien pour un budget total de 142 M€ sur 10 ans.
Les énergies marines renouvelables (EMR) représentent des enjeux considérables : un vaste potentiel énergétique qui devrait permettre de disposer d’une puissance installée de 6 GW en énergies marines et de participer ainsi à l’ambition de la France d’atteindre 23% d’énergies renouvelables à l’horizon 2020. Elles constituent également un vivier d’emplois : 150 000 emplois directs et indirects estimés à l’horizon 2020 en Europe.
L’objectif de France Énergies Marines est de contribuer à la mise sur le marché par les industriels français d’une palette de technologies EMR répondant aux besoins d’un secteur en forte croissance sur la décennie. Réunissant un potentiel pluridisciplinaire de R&D et une capacité complète de moyens d’essais et de démonstration pré-industriels, France Énergies Marines est un accélérateur de la mise en place et du développement d’une filière porteuse d’innovations et créatrice d’emplois.
Avec 54 acteurs associés, le projet, porté par l’Ifremer, est labellisé par les pôles de compétitivité Mer (Bretagne et PACA). Il se structure autour d’un large consortium d’entreprises (grands groupes et PME), d’organismes de recherche et d’enseignement supérieur français, et de collectivités territoriales.
France Énergies Marines, localisé sur 3 sites principaux (Nantes, Brest, Toulon), s’inscrit dans une dynamique nationale confortée en décembre dernier avec l’annonce du soutien aux projets de démonstrateurs en énergies marines renouvelables (SABELLA, WINFLO, VERTIWIND, et ORCA et S3 en partenariat avec Centrale Nantes) et faite par le Premier ministre, puis le choix de 3 projets EMR pour concourir au programme européen NER300 (éolien flottant, hydrolien, énergie thermique des mers - ETM).
Centrale Nantes est membre du Labex MER qui regroupe Brest et Nantes, les principaux acteurs de la recherche du domaine. L’École Centrale de Nantes est membre du Groupe des Écoles Centrales et forme des ingénieurs généralistes pour l’entreprise. Créée en 1919, l’École Centrale Nantes compte aujourd’hui 1800 étudiants dont 1100 élèves-ingénieurs, 320 élèves-ingénieurs en formation continue et par apprentissage (ITII), 200 doctorants et 180 Masters. Situées sur un campus de 16ha et avec 40 000 m² de locaux, les études à Centrale Nantes intègrent la dimension humaine du métier d’ingénieur au travers d’une formation ouverte sur le management et la gestion, la communication et les relations sociales, le droit et l’éthique. Pour plus d’informations : www.ec-nantes.fr
Il devrait ainsi bénéficier de 43 M€ de soutien pour un budget total de 142 M€ sur 10 ans.
Ce nouveau centre contribuera à la création d’une filière industrielle française dans le domaine des énergies marines renouvelables : énergie éolienne en mer, énergie des courants, énergie des vagues, énergie thermique des mers.
Porteur du projet à l’Ecole Centrale de Nantes, Bertrand Alessandrini peut si vous le souhaitez vous donnez des informations complémentaires par téléphone.
Le projet France Énergies Marines fait partie des lauréats de l’appel à projets au titre des investissements d’avenir pour la constitution d’un Institut d’Excellence des Énergies Décarbonées (IEED) à vocation internationale. Il devrait ainsi bénéficier de 43 M€ de soutien pour un budget total de 142 M€ sur 10 ans.
Les énergies marines renouvelables (EMR) représentent des enjeux considérables : un vaste potentiel énergétique qui devrait permettre de disposer d’une puissance installée de 6 GW en énergies marines et de participer ainsi à l’ambition de la France d’atteindre 23% d’énergies renouvelables à l’horizon 2020. Elles constituent également un vivier d’emplois : 150 000 emplois directs et indirects estimés à l’horizon 2020 en Europe.
L’objectif de France Énergies Marines est de contribuer à la mise sur le marché par les industriels français d’une palette de technologies EMR répondant aux besoins d’un secteur en forte croissance sur la décennie. Réunissant un potentiel pluridisciplinaire de R&D et une capacité complète de moyens d’essais et de démonstration pré-industriels, France Énergies Marines est un accélérateur de la mise en place et du développement d’une filière porteuse d’innovations et créatrice d’emplois.
Avec 54 acteurs associés, le projet, porté par l’Ifremer, est labellisé par les pôles de compétitivité Mer (Bretagne et PACA). Il se structure autour d’un large consortium d’entreprises (grands groupes et PME), d’organismes de recherche et d’enseignement supérieur français, et de collectivités territoriales.
France Énergies Marines, localisé sur 3 sites principaux (Nantes, Brest, Toulon), s’inscrit dans une dynamique nationale confortée en décembre dernier avec l’annonce du soutien aux projets de démonstrateurs en énergies marines renouvelables (SABELLA, WINFLO, VERTIWIND, et ORCA et S3 en partenariat avec Centrale Nantes) et faite par le Premier ministre, puis le choix de 3 projets EMR pour concourir au programme européen NER300 (éolien flottant, hydrolien, énergie thermique des mers - ETM).
Centrale Nantes est membre du Labex MER qui regroupe Brest et Nantes, les principaux acteurs de la recherche du domaine. L’École Centrale de Nantes est membre du Groupe des Écoles Centrales et forme des ingénieurs généralistes pour l’entreprise. Créée en 1919, l’École Centrale Nantes compte aujourd’hui 1800 étudiants dont 1100 élèves-ingénieurs, 320 élèves-ingénieurs en formation continue et par apprentissage (ITII), 200 doctorants et 180 Masters. Situées sur un campus de 16ha et avec 40 000 m² de locaux, les études à Centrale Nantes intègrent la dimension humaine du métier d’ingénieur au travers d’une formation ouverte sur le management et la gestion, la communication et les relations sociales, le droit et l’éthique. Pour plus d’informations : www.ec-nantes.fr
Le rapport concernant le délocage de fonds pour le syndicat mixte de Notre-Dame-des-Landes n'a pas été voté, cette nuit, par le Conseil régional.
Ce coup de théâtre est dû aux élus écologistes. Dès hier matin, ce groupe affichait son "opposition résolue à l’ensemble du bloc transport [qui devait être voté] au motif que le projet de nouvel aéroport de Notre Dame des Landes y était toujours présenté comme une infrastructure incontournable pour le développement du Grand Ouest", explique un communiqué.
Il faut croire qu'ils ont eu de bons arguments. Car, poursuit le communiqué, "après discussions et constat que le syndicat mixte de Notre Dame des Landes n’avait pas besoin du déblocage de fonds envisagé par la Région, les groupes communiste, socialiste et Ecologie Solidarité ont convenu qu’un retrait du rapport était possible".
Le dossier 18 concernant les infrastructures aéroportuaires, et plus précisément l’adhésion de 100 000€ du Conseil Régional au syndicat mixte, a donc été retiré.
Le groupe UMP fait une conférence de presse, ce matin, pour évoquer les "incidents de séance qui ont émaillé la nuit du 28 janvier".
Ce coup de théâtre est dû aux élus écologistes. Dès hier matin, ce groupe affichait son "opposition résolue à l’ensemble du bloc transport [qui devait être voté] au motif que le projet de nouvel aéroport de Notre Dame des Landes y était toujours présenté comme une infrastructure incontournable pour le développement du Grand Ouest", explique un communiqué.
Il faut croire qu'ils ont eu de bons arguments. Car, poursuit le communiqué, "après discussions et constat que le syndicat mixte de Notre Dame des Landes n’avait pas besoin du déblocage de fonds envisagé par la Région, les groupes communiste, socialiste et Ecologie Solidarité ont convenu qu’un retrait du rapport était possible".
Le dossier 18 concernant les infrastructures aéroportuaires, et plus précisément l’adhésion de 100 000€ du Conseil Régional au syndicat mixte, a donc été retiré.
Le groupe UMP fait une conférence de presse, ce matin, pour évoquer les "incidents de séance qui ont émaillé la nuit du 28 janvier".
Le combat contre l'aéroport de NDDL se poursuit et l'enquête publique sur l'aménagement foncier donne lieu à de nouvelles manifestations dont la dernière, ce samedi 27 novembre, a encore rassemblé plus de 500 personnes à Notre-Dame-des-Landes. Deux nouvelles journées d'action sont prévues les vendredi 3 et 10 décembre (le matin).
Vous trouverez les denières informations sur le site de l'Acipa: de nombreux articles ont été publiés dans la presse nationale et régionale (Le Point, le Figaro, Les Echos, Presse-Océan, Ouest-France, etc...) ces derniers jours, suite à la manif de samedi.
Face à l'entêtement et à l'aveuglement des politiques, à l'affront démocratique et à l'illégitimité d'un projet rejeté par près de 80% des Français, il est probable que la contestation se radicalise et prenne la forme d'une résistance acharnée, voire violente.
Tout a déjà été dit ici sur ce projet, sur cette aberration totale,sur ce déni de démocratie et ce refus de voir la réalité en face: tous les arguments économiques, sociaux, politiques, écologiques, et démocratiques convergent dans le même sens d'un refus inconditionnel, et d'un arrêt immédiat de tous les frais engagés dans sa réalisation. Ce groupe compte à ce jour 2352 membres, c'est encore près d'une centaine de plus que lors de mon dernier message (le 20 octobre dernier).
Par conséquent, j'appelle les promoteurs et partisans de ce projet, industriels ou hommes politiques, à la raison et à la responsabilté. Ils doivent reconnaître que la partie est terminée, que ce projet ne pourra de toute façon plus voir le jour étant donné les nouvelles formes de contestation qui prennent forme, la mobilisation grandissante, y compris dans l'opinion (le site de l'acipa a maintenant dépassé les 170 000 visiteurs uniques...), le ressentiment toujours plus fort d'une partie de la population, consciente du caractère abject d'un projet dont les habitants auront à payer le prix fort pendant des décennies (à travers les impôts locaux) alors même que leurs politiciens leur ont promis lors des dernières régionales que les collectivités locales ne participeraient pas à son financement...
Un projet qui n'a doné lieu à aucune consultation démocratique digne de ce nom. Pourtant un référendum régional dans les cinq départements bretons (qui auront à en supporter le prix) aurait suffit pour trancher définitivement pour ou contre sa réalisation. Je tiens d'ailleurs à préciser suite à mon dernier message que les partis 'régionalistes', que ce soit l'UDB, Breizhistance ou le Parti Breton, sont également très largement opposés à sa construction.
Voilà donc ce que j'avais à dire pour aujourd'hui sur ce groupe, je n'ai pas le temps ce mois-ci de faire mon commentaire habituel de l'actualité. Cependant je rappelle que vous pouvez aussi me retrouver sur deux autres groupes où je suis très actif: Pour la liberté en Europe et Pour la Re-Nationalisation de France Télécom.
A bientôt donc,
Hasta la victoria siempre !
Stéphane Masson
echo-citoyen@hotmail.fr
Vous trouverez les denières informations sur le site de l'Acipa: de nombreux articles ont été publiés dans la presse nationale et régionale (Le Point, le Figaro, Les Echos, Presse-Océan, Ouest-France, etc...) ces derniers jours, suite à la manif de samedi.
Face à l'entêtement et à l'aveuglement des politiques, à l'affront démocratique et à l'illégitimité d'un projet rejeté par près de 80% des Français, il est probable que la contestation se radicalise et prenne la forme d'une résistance acharnée, voire violente.
Tout a déjà été dit ici sur ce projet, sur cette aberration totale,sur ce déni de démocratie et ce refus de voir la réalité en face: tous les arguments économiques, sociaux, politiques, écologiques, et démocratiques convergent dans le même sens d'un refus inconditionnel, et d'un arrêt immédiat de tous les frais engagés dans sa réalisation. Ce groupe compte à ce jour 2352 membres, c'est encore près d'une centaine de plus que lors de mon dernier message (le 20 octobre dernier).
Par conséquent, j'appelle les promoteurs et partisans de ce projet, industriels ou hommes politiques, à la raison et à la responsabilté. Ils doivent reconnaître que la partie est terminée, que ce projet ne pourra de toute façon plus voir le jour étant donné les nouvelles formes de contestation qui prennent forme, la mobilisation grandissante, y compris dans l'opinion (le site de l'acipa a maintenant dépassé les 170 000 visiteurs uniques...), le ressentiment toujours plus fort d'une partie de la population, consciente du caractère abject d'un projet dont les habitants auront à payer le prix fort pendant des décennies (à travers les impôts locaux) alors même que leurs politiciens leur ont promis lors des dernières régionales que les collectivités locales ne participeraient pas à son financement...
Un projet qui n'a doné lieu à aucune consultation démocratique digne de ce nom. Pourtant un référendum régional dans les cinq départements bretons (qui auront à en supporter le prix) aurait suffit pour trancher définitivement pour ou contre sa réalisation. Je tiens d'ailleurs à préciser suite à mon dernier message que les partis 'régionalistes', que ce soit l'UDB, Breizhistance ou le Parti Breton, sont également très largement opposés à sa construction.
Voilà donc ce que j'avais à dire pour aujourd'hui sur ce groupe, je n'ai pas le temps ce mois-ci de faire mon commentaire habituel de l'actualité. Cependant je rappelle que vous pouvez aussi me retrouver sur deux autres groupes où je suis très actif: Pour la liberté en Europe et Pour la Re-Nationalisation de France Télécom.
A bientôt donc,
Hasta la victoria siempre !
Stéphane Masson
echo-citoyen@hotmail.fr
Contact: nantesinfo@gmx.com ou par téléphone au 06 86 76 52 32
Environnement
| Commentaires (0)