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17/12/2018
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Philippe Grosvalet adresse une lettre à Emmanuel Macron dans laquelle le président du conseil départemental de Loire-Atlantique demande au Président de la République d'organiser un référendum à l'échelle les deux régions Pays de la Loire et Bretagne.
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L'actualité à Nantes
Juste après le départ de François Hollande pour le sommet UE-Afrique de Bruxelles, Pierre-René Lemas, le secrétaire général de l’Elysée, a annoncé ce mercredi matin la liste des ministres du gouvernement que va diriger Manuel Valls.
Dans l’ordre protocolaire :
ministre des Affaires étrangères et du Développement international : Laurent Fabius. Le meilleur élève du gouvernement précédent ;
ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie : Ségolène Royal. Le grand retour, l’une des deux nouveautés du casting, avec François Rebsamen. Elle retrouve le portefeuille de l’Ecologie 22 ans après y avoir goûté sous Mitterrand. Valls l’a pratiquée sous le gouvernement Jospin ;
ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche : Benoît Hamon. Apparatchik socialiste précoce, il remplace le prof Peillon qui a beaucoup déçu (et qui se consolera au Parlement européen). Hamon a pour lui d’incarner la gauche du PS. C’est surtout un des rares complices de Manuel Valls dans l’ancienne équipe gouvernementale ;
garde des Sceaux, ministre de la Justice : Christiane Taubira. Malgré l’hostilité de Valls à son projet de réforme judiciaire, le nouveau totem de la gauche qui résiste aux « réacs » sauve sa peau ;
ministre des Finances et des Comptes publics : Michel Sapin. Il sera le gardien du dogme économique face à Montebourg. Et le maître d’œuvre du pacte de responsabilité. Il a déjà occupé Bercy en période de crise financière. Valls l’a également pratiqué sous Jospin. Il se débarrasse de la corvée d’annoncer, mois après mois, les chiffres du chômage. Ami proche de Hollande, ce dernier ne l’aurait jamais sacrifié ;
ministre de l’Economie, du Redressement productif et du Numérique : Arnaud Montebourg. Il a donné suffisamment de gages de Vallso-compatibilité. Avec Hamon, il était l’autre bon camarade du nouveau Premier ministre sous Ayrault. Il récupère le numérique, ce qui va lui permettre de ne plus tenter de redresser que de vieilles usines ;
ministre des Affaires sociales : Marisol Touraine. Contre toute attente, elle sauve sa peau. Elle a pour elle d’être une femme et une strauss-kahnienne historique ;
ministre du Travail, de l’Emploi et du Dialogue social : François Rebsamen. Il rate la ministère de l’Intérieur pour la deuxième fois. Pour le coup, ce n’est pas un ami de Valls. Sa nomination a fait l’objet d’un bras de fer avec Hollande. Le voilà ministre des Lots de consolation ;
ministre de la Défense : Jean-Yves Le Drian. Autre bon élève avec Fabius, autre ami cher de Hollande. Il a refusé l’Intérieur ; il aime les militaires ;
ministre de l’Intérieur : Bernard Cazeneuve. Fin, sérieux, indispensable pendant la campagne présidentielle, il a remplacé Cahuzac au pied levé. Il est le nom sur lequel Hollande et Valls ont pu se mettre d’accord pour le poste-clé de la place Beauveau ;
ministre des Droits des femmes, de la Ville, de la Jeunesse et des Sports : Najat Vallaud-Belkacem. Jolie promotion (même si elle perd le porte-parolat), elle devient la ministre des sujets « concernants » ;
ministre de la Décentralisation, de la Réforme de l’Etat et de la Fonction publique : Marylise Lebranchu. Malgré les difficultés (c’est peu de le dire) rencontrées par sa réforme des collectivités territoriales, l’amie de Martine Aubry a pour elle de jouer collectif et d’avoir fait ses preuves à la Justice sous Jospin ;
ministre de la Culture et de la Communication : Aurélie Filippetti. On ne peut pas dire qu’elle a brillé, mais après le fiasco des municipales, impossible de jeter une des rares à avoir reçu l’onction du suffrage universel (elle a été élue dimanche dernier à Metz) ;
ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, porte-parole du gouvernement : Stéphane Le Foll. Le factotum de Hollande passera plu souvent à la télé ;
ministre du Logement et de l’Egalité des territoires : Sylvia Pinel. La promo du siècle pour l’invisible ex-ministre déléguée à l’Artisanat. Fallait pas fâcher Jean-Michel Baylet, le patron des radicaux (et de leurs 22 parlementaires) : à l’Assemblée et au Sénat, les majorités risquent d’être difficiles à trouver pour Manuel Valls ;
ministre des Outre-mers : George-Pau Langevin. La ministre des quotas ?
ministre des Affaires étrangères et du Développement international : Laurent Fabius. Le meilleur élève du gouvernement précédent ;
ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie : Ségolène Royal. Le grand retour, l’une des deux nouveautés du casting, avec François Rebsamen. Elle retrouve le portefeuille de l’Ecologie 22 ans après y avoir goûté sous Mitterrand. Valls l’a pratiquée sous le gouvernement Jospin ;
ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche : Benoît Hamon. Apparatchik socialiste précoce, il remplace le prof Peillon qui a beaucoup déçu (et qui se consolera au Parlement européen). Hamon a pour lui d’incarner la gauche du PS. C’est surtout un des rares complices de Manuel Valls dans l’ancienne équipe gouvernementale ;
garde des Sceaux, ministre de la Justice : Christiane Taubira. Malgré l’hostilité de Valls à son projet de réforme judiciaire, le nouveau totem de la gauche qui résiste aux « réacs » sauve sa peau ;
ministre des Finances et des Comptes publics : Michel Sapin. Il sera le gardien du dogme économique face à Montebourg. Et le maître d’œuvre du pacte de responsabilité. Il a déjà occupé Bercy en période de crise financière. Valls l’a également pratiqué sous Jospin. Il se débarrasse de la corvée d’annoncer, mois après mois, les chiffres du chômage. Ami proche de Hollande, ce dernier ne l’aurait jamais sacrifié ;
ministre de l’Economie, du Redressement productif et du Numérique : Arnaud Montebourg. Il a donné suffisamment de gages de Vallso-compatibilité. Avec Hamon, il était l’autre bon camarade du nouveau Premier ministre sous Ayrault. Il récupère le numérique, ce qui va lui permettre de ne plus tenter de redresser que de vieilles usines ;
ministre des Affaires sociales : Marisol Touraine. Contre toute attente, elle sauve sa peau. Elle a pour elle d’être une femme et une strauss-kahnienne historique ;
ministre du Travail, de l’Emploi et du Dialogue social : François Rebsamen. Il rate la ministère de l’Intérieur pour la deuxième fois. Pour le coup, ce n’est pas un ami de Valls. Sa nomination a fait l’objet d’un bras de fer avec Hollande. Le voilà ministre des Lots de consolation ;
ministre de la Défense : Jean-Yves Le Drian. Autre bon élève avec Fabius, autre ami cher de Hollande. Il a refusé l’Intérieur ; il aime les militaires ;
ministre de l’Intérieur : Bernard Cazeneuve. Fin, sérieux, indispensable pendant la campagne présidentielle, il a remplacé Cahuzac au pied levé. Il est le nom sur lequel Hollande et Valls ont pu se mettre d’accord pour le poste-clé de la place Beauveau ;
ministre des Droits des femmes, de la Ville, de la Jeunesse et des Sports : Najat Vallaud-Belkacem. Jolie promotion (même si elle perd le porte-parolat), elle devient la ministre des sujets « concernants » ;
ministre de la Décentralisation, de la Réforme de l’Etat et de la Fonction publique : Marylise Lebranchu. Malgré les difficultés (c’est peu de le dire) rencontrées par sa réforme des collectivités territoriales, l’amie de Martine Aubry a pour elle de jouer collectif et d’avoir fait ses preuves à la Justice sous Jospin ;
ministre de la Culture et de la Communication : Aurélie Filippetti. On ne peut pas dire qu’elle a brillé, mais après le fiasco des municipales, impossible de jeter une des rares à avoir reçu l’onction du suffrage universel (elle a été élue dimanche dernier à Metz) ;
ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, porte-parole du gouvernement : Stéphane Le Foll. Le factotum de Hollande passera plu souvent à la télé ;
ministre du Logement et de l’Egalité des territoires : Sylvia Pinel. La promo du siècle pour l’invisible ex-ministre déléguée à l’Artisanat. Fallait pas fâcher Jean-Michel Baylet, le patron des radicaux (et de leurs 22 parlementaires) : à l’Assemblée et au Sénat, les majorités risquent d’être difficiles à trouver pour Manuel Valls ;
ministre des Outre-mers : George-Pau Langevin. La ministre des quotas ?
Jean-Luc Mélenchon le candidat du Front de Gauche est au Zénith ce soir à 18h00, aux côtés du député européen PCF Patrick Le Hyaric, par ailleurs directeur du journal L'Humanité, et de la députée. Le Front de Gauche, qui rassemble le PCF, le Parti de Gauche, mais aussi les Alternatifs ou encore Gauche Unitaire (ex du NPA), attend 4000 participants pour ce qui est le premier meeting national de Jean-Luc Mélenchon. Ca commence dès 14h00 avec des ateliers citoyens au Zénith sur le vote utile, l'euro, la dette, le programme du PS, le cas Bayrou, le programme du Front de gauche... Une pièce de théâtre, "D'un retournement l'autre" de l'économiste Frédéric Lordon, est au programme à 17h00
Suite à la démission de Michelle Meunier, élue sénatrice de Loire Atlantique, Aline Chitelman est devenue nouvelle conseillère municipale de Nantes.
Aline Chitelman : "Je suis membre des Alternatifs depuis leur création. Je suis arrivée à Nantes à l'automne 1986. J'étais déjà militante et je le suis restée. Ca a certainement contribué à mon intégration dans la ville. J'ai d'abord habité dans un HLM à Port Boyer. A l'époque, lorsqu'on remplissait les conditions de ressources, on n'attendait pas aussi longtemps que maintenant pour se voir proposer un logement. J'y suis restée jusqu'à mon emménagement sur Nantes Sud il y a une dizaine d'années.
Je travaille aux Impôts. On dit Finances Publiques aujourd'hui. J'étais agente à mon arrivée à Nantes. Deux concours internes plus tard, je suis devenue contrôleuse principale. Ce qui explique mon départ de Port Boyer. Payer un surloyer fait réfléchir aux priorités d'attribution des logements sociaux.
Je travaille et je milite aussi syndicalement. Travailler pour vivre, militer au syndicat pour résister et changer le travail, militer politiquement pour résister et changer la société, ça m'a toujours semblé couler de source. Bien sûr, ça ne veut pas dire qu'il est simple de militer.
Peu à peu, je suis devenue féministe. Je ne le vis pas comme un investissement associatif ni comme un supplément d'âme. C'est le prisme à travers lequel j'interprète le monde. Je serai à la retraite dans 4 ans, je ne militerai plus dans un syndicat quand ma vie se sera trop éloignée du travail, mais je resterai toujours féministe.
Ce que je déteste le plus ? l'injustice. Ce que j'aime le plus ? la convivialité
Les priorités pour ce mandat municipal:
Aline Chitelman : "Depuis le premier municipe de l'actuelle majorité, les Alternatifs ont participé à leur mesure et dans des domaines qui leur tiennent à ceur à la vie de la cité. Pour ma part, je participais à la Commission Communale des Impôts Directs. Mais c'était la première fois que j'acceptais de m'engager sur une liste électorale municipale. Si je m'engage, je veux être sûre de pouvoir assumer la part de travail qui suivra. Et j'avais des engagements trop prenants par ailleurs. Je suis foncièrement contre le cumul des mandats, il faut avoir de la liberté d'esprit pour être efficace, et ne pas y rester trop longtemps pour continuer à avoir des idées neuves.
Pouvoir traduire concrètement des idées, c'est ce qui m'a fait accepter. Je n'ai pas le sentiment de m'être assagie. Je n'ai pas renoncé à changer le monde. Je découvre juste un nouveau lieu de militance. Aujourd'hui, à la suite de la démission d'une conseillère, je le deviens à mon tour. Je vais m'y consacrer. Au sein de l'intergroupe Alternatifs-UDB mon intégration aux arcanes administratives sera facilitée.
Bien sûr, je regarderai avec attention les questions financières. Mais je veux surtout m'intéresser à tout ce qui touche au vivre ensemble, aux solidarités, à la cohésion sociale. Et ça irrigue bien des champs d'activité propres à une municipalité".
Une délégation au sein de la commission vie associative, la lutte contre l'homophobie et le suivi des associations LGBT, initiales pour lesbiennes, gays, bisexuel-les et transsexuel-les.
Aline Chitelman : "A Nantes, chaque élu-e de la majorité municipale a une délégation. La mienne sera, au sein de la commission vie associative, la lutte contre l'homophobie et le suivi des associations LGBT, initiales pour lesbiennes, gays, bisexuel-les et transsexuel-les. Cette délégation n'existait pas auparavant. Les implications de cette lutte étaient éclatées entre santé, culture, discriminations, vie des associations. L'idée, c'est que les associations et en premier lieu le Centre Gay et Lesbien de Nantes aient une référente unique auprès de la municipalité. Il est trop tôt encore pour avancer des idées concrètes. Je vais dabord rencontrer les associations qui le souhaitent et me familiariser avec leurs besoins, mais aussi avec ce que la mairie a pris comme engagements à leur égard.
S'il est besoin de rassurer, la lutte contre les discriminations homosexuelles a déjà fait partie de ma vie. A Dijon, dans les années 70, je participais au CUARH, (comité d'urgence anti-répression homosexuelle). Et ma première bataille a été en faveur de 2 lesbiennes qui travaillaient à l'hôpital, sanctionnées du fait de leur orientation sexuelle. A lépoque, les syndicats ne se sentaient pas concernés par cette discrimination. Mais les choses ont heureusement changé depuis, avec la création d'associations syndicales au sein même des administrations.
Ce qui prouve que le besoin existe, au travail comme dans la vie de tous les jours. Et les dégradations commises contre le centre gay et lesbien nantais doivent nous motiver à faire changer les mentalités".
Je travaille aux Impôts. On dit Finances Publiques aujourd'hui. J'étais agente à mon arrivée à Nantes. Deux concours internes plus tard, je suis devenue contrôleuse principale. Ce qui explique mon départ de Port Boyer. Payer un surloyer fait réfléchir aux priorités d'attribution des logements sociaux.
Je travaille et je milite aussi syndicalement. Travailler pour vivre, militer au syndicat pour résister et changer le travail, militer politiquement pour résister et changer la société, ça m'a toujours semblé couler de source. Bien sûr, ça ne veut pas dire qu'il est simple de militer.
Peu à peu, je suis devenue féministe. Je ne le vis pas comme un investissement associatif ni comme un supplément d'âme. C'est le prisme à travers lequel j'interprète le monde. Je serai à la retraite dans 4 ans, je ne militerai plus dans un syndicat quand ma vie se sera trop éloignée du travail, mais je resterai toujours féministe.
Ce que je déteste le plus ? l'injustice. Ce que j'aime le plus ? la convivialité
Les priorités pour ce mandat municipal:
Aline Chitelman : "Depuis le premier municipe de l'actuelle majorité, les Alternatifs ont participé à leur mesure et dans des domaines qui leur tiennent à ceur à la vie de la cité. Pour ma part, je participais à la Commission Communale des Impôts Directs. Mais c'était la première fois que j'acceptais de m'engager sur une liste électorale municipale. Si je m'engage, je veux être sûre de pouvoir assumer la part de travail qui suivra. Et j'avais des engagements trop prenants par ailleurs. Je suis foncièrement contre le cumul des mandats, il faut avoir de la liberté d'esprit pour être efficace, et ne pas y rester trop longtemps pour continuer à avoir des idées neuves.
Pouvoir traduire concrètement des idées, c'est ce qui m'a fait accepter. Je n'ai pas le sentiment de m'être assagie. Je n'ai pas renoncé à changer le monde. Je découvre juste un nouveau lieu de militance. Aujourd'hui, à la suite de la démission d'une conseillère, je le deviens à mon tour. Je vais m'y consacrer. Au sein de l'intergroupe Alternatifs-UDB mon intégration aux arcanes administratives sera facilitée.
Bien sûr, je regarderai avec attention les questions financières. Mais je veux surtout m'intéresser à tout ce qui touche au vivre ensemble, aux solidarités, à la cohésion sociale. Et ça irrigue bien des champs d'activité propres à une municipalité".
Une délégation au sein de la commission vie associative, la lutte contre l'homophobie et le suivi des associations LGBT, initiales pour lesbiennes, gays, bisexuel-les et transsexuel-les.
Aline Chitelman : "A Nantes, chaque élu-e de la majorité municipale a une délégation. La mienne sera, au sein de la commission vie associative, la lutte contre l'homophobie et le suivi des associations LGBT, initiales pour lesbiennes, gays, bisexuel-les et transsexuel-les. Cette délégation n'existait pas auparavant. Les implications de cette lutte étaient éclatées entre santé, culture, discriminations, vie des associations. L'idée, c'est que les associations et en premier lieu le Centre Gay et Lesbien de Nantes aient une référente unique auprès de la municipalité. Il est trop tôt encore pour avancer des idées concrètes. Je vais dabord rencontrer les associations qui le souhaitent et me familiariser avec leurs besoins, mais aussi avec ce que la mairie a pris comme engagements à leur égard.
S'il est besoin de rassurer, la lutte contre les discriminations homosexuelles a déjà fait partie de ma vie. A Dijon, dans les années 70, je participais au CUARH, (comité d'urgence anti-répression homosexuelle). Et ma première bataille a été en faveur de 2 lesbiennes qui travaillaient à l'hôpital, sanctionnées du fait de leur orientation sexuelle. A lépoque, les syndicats ne se sentaient pas concernés par cette discrimination. Mais les choses ont heureusement changé depuis, avec la création d'associations syndicales au sein même des administrations.
Ce qui prouve que le besoin existe, au travail comme dans la vie de tous les jours. Et les dégradations commises contre le centre gay et lesbien nantais doivent nous motiver à faire changer les mentalités".
Une réunion-débat est organisée le jeudi 8 décembre sur le thème "Démocratie et domination des marchés... Institutions et citoyenneté... " avec la participation de :
Thomas COUTROT, économiste atterré, co-président d'ATTAC - Association pour la taxation des transactions financières et pour l'action citoyenne ;Jean-Michel VIENNE, ancien professeur de philosophie à l’Université de Nantes, Université Populaire de Nantes - association Philosophia ;Jean-Pierre DUBOIS, professeur de droit public, président d'honneur de la LDH - Ligue des droits de l'Homme.La planète menace d'exploser pour cause de toxicité financière. La démocratie est privée d'oxygène… Il s’agit de comprendre et agir…Contre les règles d'or de la finance souveraine, nous choisissons l'espoir ; face aux défis posés par les crises financières, économiques, sociales et écologiques, nous misons sur la démocratie.
● La charge de la dette publique est-elle légitime ? Quelle Europe sociale et fiscale voulons-nous ?
● La démocratie suppose, à l’échelle d’un pays comme à l’échelle planétaire, la transparence sur l’économie, la transparence sur les marchés financiers…
● La démocratie suppose la séparation des pouvoirs et le contrôle citoyen des gouvernants…
Au niveau national, 51 organisations associatives et syndicales proposent un Pacte pour les droits et la citoyenneté - Propositions pour un nouveau vivre ensemble. "En tant qu'organisations associatives et syndicales, nous n'avons vocation ni à exercer le pouvoir ni à construire des programmes politiques. Il nous revient en revanche, en toute indépendance, de faire entendre la voix de la société civile ; d'interpeller ceux qui sollicitent les suffrages des citoyens. Car le débat public doit se développer pour construire des réponses claires, nouvelles, en phase avec les attentes et les revendications dont nous sommes porteurs, en phase avec l'intérêt général" (Pacte pour les droits et la citoyenneté : www.pactecitoyen.org).
Au niveau local, pour bâtir ce Pacte, après la réunion-débat du 10 février sur les droits sociaux et les solidarités et celle du 25 mai sur les libertés, une nouvelle réunion-débat est organisée le jeudi 8 décembre sur le thème "Démocratie et domination des marchés... Institutions et citoyenneté... " :
Jeudi 8 décembre - 20h - Amphithéâtre - rue Gaston Veil - Faculté de médecine - Nantes - Tram Commerce ou Hôtel Dieu. Entrée libre et gratuite.
Thomas COUTROT, économiste atterré, co-président d'ATTAC - Association pour la taxation des transactions financières et pour l'action citoyenne ;Jean-Michel VIENNE, ancien professeur de philosophie à l’Université de Nantes, Université Populaire de Nantes - association Philosophia ;Jean-Pierre DUBOIS, professeur de droit public, président d'honneur de la LDH - Ligue des droits de l'Homme.La planète menace d'exploser pour cause de toxicité financière. La démocratie est privée d'oxygène… Il s’agit de comprendre et agir…Contre les règles d'or de la finance souveraine, nous choisissons l'espoir ; face aux défis posés par les crises financières, économiques, sociales et écologiques, nous misons sur la démocratie.
● La charge de la dette publique est-elle légitime ? Quelle Europe sociale et fiscale voulons-nous ?
● La démocratie suppose, à l’échelle d’un pays comme à l’échelle planétaire, la transparence sur l’économie, la transparence sur les marchés financiers…
● La démocratie suppose la séparation des pouvoirs et le contrôle citoyen des gouvernants…
Au niveau national, 51 organisations associatives et syndicales proposent un Pacte pour les droits et la citoyenneté - Propositions pour un nouveau vivre ensemble. "En tant qu'organisations associatives et syndicales, nous n'avons vocation ni à exercer le pouvoir ni à construire des programmes politiques. Il nous revient en revanche, en toute indépendance, de faire entendre la voix de la société civile ; d'interpeller ceux qui sollicitent les suffrages des citoyens. Car le débat public doit se développer pour construire des réponses claires, nouvelles, en phase avec les attentes et les revendications dont nous sommes porteurs, en phase avec l'intérêt général" (Pacte pour les droits et la citoyenneté : www.pactecitoyen.org).
Au niveau local, pour bâtir ce Pacte, après la réunion-débat du 10 février sur les droits sociaux et les solidarités et celle du 25 mai sur les libertés, une nouvelle réunion-débat est organisée le jeudi 8 décembre sur le thème "Démocratie et domination des marchés... Institutions et citoyenneté... " :
Jeudi 8 décembre - 20h - Amphithéâtre - rue Gaston Veil - Faculté de médecine - Nantes - Tram Commerce ou Hôtel Dieu. Entrée libre et gratuite.
Aujourd’hui sénateur du territoire de Belfort, l’ancien ministre et candidat à la présidentielle de 2002 tiendra une conférence à l’IEMN-IAE, sur le campus de l’Université. L’homme politique vient notamment de publier un livre au titre évocateur ''la France est-elle finie ?'', primé Livre Politique de l’année. Jean Pierre Chevènement remonte le fil de l’histoire française pour la faire dévier et évoquer l’avenir. A l'heure où les commissaires français à la réindustrialisation exposent les mesures de l'Etat face à la crise , la France se pose des questions.
Conférence: lundi 11 avril à 17 heures, IEMN-IAE, Batiment Erdre - Amphithéâtre Bonamy, Chemin de la Censive du Tertre, Nantes. Entrée libre.
Conférence: lundi 11 avril à 17 heures, IEMN-IAE, Batiment Erdre - Amphithéâtre Bonamy, Chemin de la Censive du Tertre, Nantes. Entrée libre.
Contact: nantesinfo@gmx.com ou par téléphone au 06 86 76 52 32
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