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La barre des 1000 inscrits franchie en ce début d´année ! Le marathon de Nantes poursuit sur sa lancée. Le rythme actuel fait profiler une édition 2012 avec 4.000 marathoniens au départ. Ne tardez pas pour profiter du tarif préférentiel à 37 € avant le 31 janvier 2012.
Ouverture de la Billetterie : le 7 janvier 2012 aux guichets de la Cité, centre des congrès de Nantes, le 8 janvier à 10h sur Internet, le 9 janvier par téléphone (0892 705 205 - 0,34 cts/min).
La Folle Journée 2012 a choisi de consacrer sa 18ème édition à la musique russe. Considérant l’apport décisif des compositeurs du fameux “Groupe des Cinq” (Balakirev, Cui, Rimski-Korsakov, Borodine, Moussorgski), auxquels on doit l’émergence d’une véritable musique nationale russe, et de Tchaïkovski, considéré de son vivant comme le grand musicien national, elle mettra en lumière l’oeuvre de leurs successeurs immédiats - Liadov, Arensky ou Glazounov, protégés du célèbre mécène Belaiev et figures dominantes de la scène musicale russe au début du XXe siècle -, auxquels se rattache aussi Rachmaninov, dernier compositeur majeur dans la grande tradition romantique russe. Elle fera la part belle ensuite à l’œuvre de Scriabine, qui apparaît, au début du XXe siècle, comme un pionnier du langage musical contemporain et dont les recherches - faisant écho à celles de Schoenberg en Europe - seront poursuivies par les avant-gardistes Roslavetz, Lourié ou Mossolov : ardents partisans d’une remise en question du système sonore, ces compositeurs sont à l’initiative du grand courant futuriste et constructiviste, et livrent tout au long du premier quart du siècle des œuvres d’une grande originalité. Stravinsky ensuite, génie éclectique dont l’œuvre reflète, plus que tout autre, les recherches et les paradoxes de son époque, sera lui aussi au cœur de cette Folle Journée russe, de même que Prokofiev, Chostakovitch et Weinberg - grand compositeur russe d’origine juive polonaise -, qui sont les trois grandes figures dominantes de la musique russe du XXe siècle. Des compositeurs tels que Glière, Katchaturian (arménien) ou Kabalewski et, plus près de nous, S. Goubaïdoulina, R. Chtchedrine, A. Schnittke ou A. Pärt (estonien) complèteront ce vaste panorama qui permettra à l’auditeur de retracer toute l’évolution de la musique russe de Glinka jusqu’à nos jours.
Retrouvez le programme complet en cliquant ici
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L'année prochaine, vous allez être appelé(s) aux urnes pour les élections présidentielles les 22 avril et 6 mai puis les les élections législatives les 10 et 17 juin.
Pour pouvoir voter, vous devez, vous devez être inscrit(e) sur la liste électorale de votre commune de résidence.
Si vous n'êtes pas inscrit(e) ou si vous avez déménagé, vous devez vous inscrire dans la commune de votre nouveau domicile.
Les inscriptions se font au plus tard le samedi 31 décembre 2011 soit:directement à la mairie. Attention, toutes les mairies assureront une permanence le 31/12 mais certaines mairies ne seront ouvertes que durant 2 heures ce jour là.Par courrier en transmettant à la mairie le formulaire que vous trouverez sur les sites www.interieur.gouv.fr ou www.service-public.fr en veillant à sa réception le 31/12 au plus tard. Depuis cette année, par internet, si votre commune est raccordée aux démarches en ligne. Pour celà, il suffit de créer votre compte personnel sur www.mon.service-public.fr
Votre demande sera acceptée jusqu'à 23h59, le 31/12/11
En revanche, si vous avez eu 18 ans cette année ou les atteindrez la veille des scrutins, vous n'avez aucune démarche à faire, votre inscription est automatique.
Pour pouvoir voter, vous devez, vous devez être inscrit(e) sur la liste électorale de votre commune de résidence.
Si vous n'êtes pas inscrit(e) ou si vous avez déménagé, vous devez vous inscrire dans la commune de votre nouveau domicile.
Les inscriptions se font au plus tard le samedi 31 décembre 2011 soit:directement à la mairie. Attention, toutes les mairies assureront une permanence le 31/12 mais certaines mairies ne seront ouvertes que durant 2 heures ce jour là.Par courrier en transmettant à la mairie le formulaire que vous trouverez sur les sites www.interieur.gouv.fr ou www.service-public.fr en veillant à sa réception le 31/12 au plus tard. Depuis cette année, par internet, si votre commune est raccordée aux démarches en ligne. Pour celà, il suffit de créer votre compte personnel sur www.mon.service-public.fr
Votre demande sera acceptée jusqu'à 23h59, le 31/12/11
En revanche, si vous avez eu 18 ans cette année ou les atteindrez la veille des scrutins, vous n'avez aucune démarche à faire, votre inscription est automatique.
Suite à la démission de Michelle Meunier, élue sénatrice de Loire Atlantique, Aline Chitelman est devenue nouvelle conseillère municipale de Nantes.
Aline Chitelman : "Je suis membre des Alternatifs depuis leur création. Je suis arrivée à Nantes à l'automne 1986. J'étais déjà militante et je le suis restée. Ca a certainement contribué à mon intégration dans la ville. J'ai d'abord habité dans un HLM à Port Boyer. A l'époque, lorsqu'on remplissait les conditions de ressources, on n'attendait pas aussi longtemps que maintenant pour se voir proposer un logement. J'y suis restée jusqu'à mon emménagement sur Nantes Sud il y a une dizaine d'années.
Je travaille aux Impôts. On dit Finances Publiques aujourd'hui. J'étais agente à mon arrivée à Nantes. Deux concours internes plus tard, je suis devenue contrôleuse principale. Ce qui explique mon départ de Port Boyer. Payer un surloyer fait réfléchir aux priorités d'attribution des logements sociaux.
Je travaille et je milite aussi syndicalement. Travailler pour vivre, militer au syndicat pour résister et changer le travail, militer politiquement pour résister et changer la société, ça m'a toujours semblé couler de source. Bien sûr, ça ne veut pas dire qu'il est simple de militer.
Peu à peu, je suis devenue féministe. Je ne le vis pas comme un investissement associatif ni comme un supplément d'âme. C'est le prisme à travers lequel j'interprète le monde. Je serai à la retraite dans 4 ans, je ne militerai plus dans un syndicat quand ma vie se sera trop éloignée du travail, mais je resterai toujours féministe.
Ce que je déteste le plus ? l'injustice. Ce que j'aime le plus ? la convivialité
Les priorités pour ce mandat municipal:
Aline Chitelman : "Depuis le premier municipe de l'actuelle majorité, les Alternatifs ont participé à leur mesure et dans des domaines qui leur tiennent à ceur à la vie de la cité. Pour ma part, je participais à la Commission Communale des Impôts Directs. Mais c'était la première fois que j'acceptais de m'engager sur une liste électorale municipale. Si je m'engage, je veux être sûre de pouvoir assumer la part de travail qui suivra. Et j'avais des engagements trop prenants par ailleurs. Je suis foncièrement contre le cumul des mandats, il faut avoir de la liberté d'esprit pour être efficace, et ne pas y rester trop longtemps pour continuer à avoir des idées neuves.
Pouvoir traduire concrètement des idées, c'est ce qui m'a fait accepter. Je n'ai pas le sentiment de m'être assagie. Je n'ai pas renoncé à changer le monde. Je découvre juste un nouveau lieu de militance. Aujourd'hui, à la suite de la démission d'une conseillère, je le deviens à mon tour. Je vais m'y consacrer. Au sein de l'intergroupe Alternatifs-UDB mon intégration aux arcanes administratives sera facilitée.
Bien sûr, je regarderai avec attention les questions financières. Mais je veux surtout m'intéresser à tout ce qui touche au vivre ensemble, aux solidarités, à la cohésion sociale. Et ça irrigue bien des champs d'activité propres à une municipalité".
Une délégation au sein de la commission vie associative, la lutte contre l'homophobie et le suivi des associations LGBT, initiales pour lesbiennes, gays, bisexuel-les et transsexuel-les.
Aline Chitelman : "A Nantes, chaque élu-e de la majorité municipale a une délégation. La mienne sera, au sein de la commission vie associative, la lutte contre l'homophobie et le suivi des associations LGBT, initiales pour lesbiennes, gays, bisexuel-les et transsexuel-les. Cette délégation n'existait pas auparavant. Les implications de cette lutte étaient éclatées entre santé, culture, discriminations, vie des associations. L'idée, c'est que les associations et en premier lieu le Centre Gay et Lesbien de Nantes aient une référente unique auprès de la municipalité. Il est trop tôt encore pour avancer des idées concrètes. Je vais dabord rencontrer les associations qui le souhaitent et me familiariser avec leurs besoins, mais aussi avec ce que la mairie a pris comme engagements à leur égard.
S'il est besoin de rassurer, la lutte contre les discriminations homosexuelles a déjà fait partie de ma vie. A Dijon, dans les années 70, je participais au CUARH, (comité d'urgence anti-répression homosexuelle). Et ma première bataille a été en faveur de 2 lesbiennes qui travaillaient à l'hôpital, sanctionnées du fait de leur orientation sexuelle. A lépoque, les syndicats ne se sentaient pas concernés par cette discrimination. Mais les choses ont heureusement changé depuis, avec la création d'associations syndicales au sein même des administrations.
Ce qui prouve que le besoin existe, au travail comme dans la vie de tous les jours. Et les dégradations commises contre le centre gay et lesbien nantais doivent nous motiver à faire changer les mentalités".
Je travaille aux Impôts. On dit Finances Publiques aujourd'hui. J'étais agente à mon arrivée à Nantes. Deux concours internes plus tard, je suis devenue contrôleuse principale. Ce qui explique mon départ de Port Boyer. Payer un surloyer fait réfléchir aux priorités d'attribution des logements sociaux.
Je travaille et je milite aussi syndicalement. Travailler pour vivre, militer au syndicat pour résister et changer le travail, militer politiquement pour résister et changer la société, ça m'a toujours semblé couler de source. Bien sûr, ça ne veut pas dire qu'il est simple de militer.
Peu à peu, je suis devenue féministe. Je ne le vis pas comme un investissement associatif ni comme un supplément d'âme. C'est le prisme à travers lequel j'interprète le monde. Je serai à la retraite dans 4 ans, je ne militerai plus dans un syndicat quand ma vie se sera trop éloignée du travail, mais je resterai toujours féministe.
Ce que je déteste le plus ? l'injustice. Ce que j'aime le plus ? la convivialité
Les priorités pour ce mandat municipal:
Aline Chitelman : "Depuis le premier municipe de l'actuelle majorité, les Alternatifs ont participé à leur mesure et dans des domaines qui leur tiennent à ceur à la vie de la cité. Pour ma part, je participais à la Commission Communale des Impôts Directs. Mais c'était la première fois que j'acceptais de m'engager sur une liste électorale municipale. Si je m'engage, je veux être sûre de pouvoir assumer la part de travail qui suivra. Et j'avais des engagements trop prenants par ailleurs. Je suis foncièrement contre le cumul des mandats, il faut avoir de la liberté d'esprit pour être efficace, et ne pas y rester trop longtemps pour continuer à avoir des idées neuves.
Pouvoir traduire concrètement des idées, c'est ce qui m'a fait accepter. Je n'ai pas le sentiment de m'être assagie. Je n'ai pas renoncé à changer le monde. Je découvre juste un nouveau lieu de militance. Aujourd'hui, à la suite de la démission d'une conseillère, je le deviens à mon tour. Je vais m'y consacrer. Au sein de l'intergroupe Alternatifs-UDB mon intégration aux arcanes administratives sera facilitée.
Bien sûr, je regarderai avec attention les questions financières. Mais je veux surtout m'intéresser à tout ce qui touche au vivre ensemble, aux solidarités, à la cohésion sociale. Et ça irrigue bien des champs d'activité propres à une municipalité".
Une délégation au sein de la commission vie associative, la lutte contre l'homophobie et le suivi des associations LGBT, initiales pour lesbiennes, gays, bisexuel-les et transsexuel-les.
Aline Chitelman : "A Nantes, chaque élu-e de la majorité municipale a une délégation. La mienne sera, au sein de la commission vie associative, la lutte contre l'homophobie et le suivi des associations LGBT, initiales pour lesbiennes, gays, bisexuel-les et transsexuel-les. Cette délégation n'existait pas auparavant. Les implications de cette lutte étaient éclatées entre santé, culture, discriminations, vie des associations. L'idée, c'est que les associations et en premier lieu le Centre Gay et Lesbien de Nantes aient une référente unique auprès de la municipalité. Il est trop tôt encore pour avancer des idées concrètes. Je vais dabord rencontrer les associations qui le souhaitent et me familiariser avec leurs besoins, mais aussi avec ce que la mairie a pris comme engagements à leur égard.
S'il est besoin de rassurer, la lutte contre les discriminations homosexuelles a déjà fait partie de ma vie. A Dijon, dans les années 70, je participais au CUARH, (comité d'urgence anti-répression homosexuelle). Et ma première bataille a été en faveur de 2 lesbiennes qui travaillaient à l'hôpital, sanctionnées du fait de leur orientation sexuelle. A lépoque, les syndicats ne se sentaient pas concernés par cette discrimination. Mais les choses ont heureusement changé depuis, avec la création d'associations syndicales au sein même des administrations.
Ce qui prouve que le besoin existe, au travail comme dans la vie de tous les jours. Et les dégradations commises contre le centre gay et lesbien nantais doivent nous motiver à faire changer les mentalités".
Une réunion-débat est organisée le jeudi 8 décembre sur le thème "Démocratie et domination des marchés... Institutions et citoyenneté... " avec la participation de :
Thomas COUTROT, économiste atterré, co-président d'ATTAC - Association pour la taxation des transactions financières et pour l'action citoyenne ;Jean-Michel VIENNE, ancien professeur de philosophie à l’Université de Nantes, Université Populaire de Nantes - association Philosophia ;Jean-Pierre DUBOIS, professeur de droit public, président d'honneur de la LDH - Ligue des droits de l'Homme.La planète menace d'exploser pour cause de toxicité financière. La démocratie est privée d'oxygène… Il s’agit de comprendre et agir…Contre les règles d'or de la finance souveraine, nous choisissons l'espoir ; face aux défis posés par les crises financières, économiques, sociales et écologiques, nous misons sur la démocratie.
● La charge de la dette publique est-elle légitime ? Quelle Europe sociale et fiscale voulons-nous ?
● La démocratie suppose, à l’échelle d’un pays comme à l’échelle planétaire, la transparence sur l’économie, la transparence sur les marchés financiers…
● La démocratie suppose la séparation des pouvoirs et le contrôle citoyen des gouvernants…
Au niveau national, 51 organisations associatives et syndicales proposent un Pacte pour les droits et la citoyenneté - Propositions pour un nouveau vivre ensemble. "En tant qu'organisations associatives et syndicales, nous n'avons vocation ni à exercer le pouvoir ni à construire des programmes politiques. Il nous revient en revanche, en toute indépendance, de faire entendre la voix de la société civile ; d'interpeller ceux qui sollicitent les suffrages des citoyens. Car le débat public doit se développer pour construire des réponses claires, nouvelles, en phase avec les attentes et les revendications dont nous sommes porteurs, en phase avec l'intérêt général" (Pacte pour les droits et la citoyenneté : www.pactecitoyen.org).
Au niveau local, pour bâtir ce Pacte, après la réunion-débat du 10 février sur les droits sociaux et les solidarités et celle du 25 mai sur les libertés, une nouvelle réunion-débat est organisée le jeudi 8 décembre sur le thème "Démocratie et domination des marchés... Institutions et citoyenneté... " :
Jeudi 8 décembre - 20h - Amphithéâtre - rue Gaston Veil - Faculté de médecine - Nantes - Tram Commerce ou Hôtel Dieu. Entrée libre et gratuite.
Thomas COUTROT, économiste atterré, co-président d'ATTAC - Association pour la taxation des transactions financières et pour l'action citoyenne ;Jean-Michel VIENNE, ancien professeur de philosophie à l’Université de Nantes, Université Populaire de Nantes - association Philosophia ;Jean-Pierre DUBOIS, professeur de droit public, président d'honneur de la LDH - Ligue des droits de l'Homme.La planète menace d'exploser pour cause de toxicité financière. La démocratie est privée d'oxygène… Il s’agit de comprendre et agir…Contre les règles d'or de la finance souveraine, nous choisissons l'espoir ; face aux défis posés par les crises financières, économiques, sociales et écologiques, nous misons sur la démocratie.
● La charge de la dette publique est-elle légitime ? Quelle Europe sociale et fiscale voulons-nous ?
● La démocratie suppose, à l’échelle d’un pays comme à l’échelle planétaire, la transparence sur l’économie, la transparence sur les marchés financiers…
● La démocratie suppose la séparation des pouvoirs et le contrôle citoyen des gouvernants…
Au niveau national, 51 organisations associatives et syndicales proposent un Pacte pour les droits et la citoyenneté - Propositions pour un nouveau vivre ensemble. "En tant qu'organisations associatives et syndicales, nous n'avons vocation ni à exercer le pouvoir ni à construire des programmes politiques. Il nous revient en revanche, en toute indépendance, de faire entendre la voix de la société civile ; d'interpeller ceux qui sollicitent les suffrages des citoyens. Car le débat public doit se développer pour construire des réponses claires, nouvelles, en phase avec les attentes et les revendications dont nous sommes porteurs, en phase avec l'intérêt général" (Pacte pour les droits et la citoyenneté : www.pactecitoyen.org).
Au niveau local, pour bâtir ce Pacte, après la réunion-débat du 10 février sur les droits sociaux et les solidarités et celle du 25 mai sur les libertés, une nouvelle réunion-débat est organisée le jeudi 8 décembre sur le thème "Démocratie et domination des marchés... Institutions et citoyenneté... " :
Jeudi 8 décembre - 20h - Amphithéâtre - rue Gaston Veil - Faculté de médecine - Nantes - Tram Commerce ou Hôtel Dieu. Entrée libre et gratuite.
Depuis plus de 20 ans, les entreprises agroalimentaires de la région des Pays de la Loire peuvent bénéficier pour le développement de leurs activités à l’international, de l’appui du service Promotion-Qualité agroalimentaire (SPPL) de la Chambre régionale d’agriculture des Pays de la Loire. Des entreprises de toute taille ont choisi de se faire accompagner dans le monde entier, par ce service. Très impliqué auprès de l’ensemble des acteurs du secteur agroalimentaire régional, le SPPL élabore et propose chaque année, aux entreprises et collectivités, un programme d’une vingtaine de salons agroalimentaires professionnels à l’export. En sélectionnant les opérations qui répondent à leurs enjeux commerciaux, les entreprises bénéficient de l’organisation clé-en-main et de l’impact des pavillons France mis en oeuvre par SOPEXA. C’est pour renforcer leurs moyens d’accompagnement et offrir aux entreprises des Pays de la Loire une offre de services élargie, que SOPEXA – Groupe marketing international alimentaire, vins et art de vivre, qui fête cette année ses 50 ans d’existence – et la Chambre régionale d’agriculture des Pays de la Loire, ont signé, vendredi 25 novembre dernier, une convention de partenariat. SOPEXA reconnaît ainsi la Chambre régionale d’agriculture comme son partenaire référent en Pays de la Loire, pour la mise en oeuvre de solutions de promotion ou de communication afin d’accompagner les entreprises ou les collectifs du secteur dans leur développement en France ou à l’international. Au-delà des salons et des mini-expositions sur lesquels les deux organisations travaillent déjà ensemble depuis de nombreuses années, ce partenariat prévoit une collaboration plus étroite et plus large sur des projets de promotion ou de communication régionaux, initiés ou gérés par le service Promotion-Qualité de la Chambre régionale d’agriculture des
Contact: nantesinfo@gmx.com ou par téléphone au 06 86 76 52 32
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