Rubriques
Rubriques
Dernières notes
France
International
Archives
Cinéma à Nantes
Galerie
Après une tournée triomphale de plus de 100 dates (dont la Cigale, l'Elysée Montmartre, l'Olympia, le Zénith et Bercy), une Victoire de la Musique, un premier album vendu à plus d'un million d'exemplaires, et une tournée acoustique dans toute la France en passant par 5 fois au Palais des Sports de Paris, Christophe Maé revient avec un tout nouveau spectacle. Son nouvel album à paraître en mars lancera cette tournée qui s’annonce comme l’un des évènements majeurs de l’année 2010.Contacts : O Spectacles 12 , rue Emile Pehant 44000 Nantes. Tel : 02 40 48 97 30. Fax : 02 40 47 46 08. e-mail : contact@ospectacles.fr. ZENITH NANTES METROPOLE Zac d'Ar Mor - 44800 ST HERBLAIN
DISPONIBLE:Cat 1 - 59 €, Cat 2 - 49 €, Cat 3 - 39 €
Cat.1 : Places assises numérotées Cat.2 : Places assises numérotées Cat.3 : Debout placement libre
ZAJAC Julien
DISPONIBLE:Cat 1 - 59 €, Cat 2 - 49 €, Cat 3 - 39 €
Cat.1 : Places assises numérotées Cat.2 : Places assises numérotées Cat.3 : Debout placement libre
ZAJAC Julien
Le combat contre l'aéroport de NDDL se poursuit et l'enquête publique sur l'aménagement foncier donne lieu à de nouvelles manifestations dont la dernière, ce samedi 27 novembre, a encore rassemblé plus de 500 personnes à Notre-Dame-des-Landes. Deux nouvelles journées d'action sont prévues les vendredi 3 et 10 décembre (le matin).
Vous trouverez les denières informations sur le site de l'Acipa: de nombreux articles ont été publiés dans la presse nationale et régionale (Le Point, le Figaro, Les Echos, Presse-Océan, Ouest-France, etc...) ces derniers jours, suite à la manif de samedi.
Face à l'entêtement et à l'aveuglement des politiques, à l'affront démocratique et à l'illégitimité d'un projet rejeté par près de 80% des Français, il est probable que la contestation se radicalise et prenne la forme d'une résistance acharnée, voire violente.
Tout a déjà été dit ici sur ce projet, sur cette aberration totale,sur ce déni de démocratie et ce refus de voir la réalité en face: tous les arguments économiques, sociaux, politiques, écologiques, et démocratiques convergent dans le même sens d'un refus inconditionnel, et d'un arrêt immédiat de tous les frais engagés dans sa réalisation. Ce groupe compte à ce jour 2352 membres, c'est encore près d'une centaine de plus que lors de mon dernier message (le 20 octobre dernier).
Par conséquent, j'appelle les promoteurs et partisans de ce projet, industriels ou hommes politiques, à la raison et à la responsabilté. Ils doivent reconnaître que la partie est terminée, que ce projet ne pourra de toute façon plus voir le jour étant donné les nouvelles formes de contestation qui prennent forme, la mobilisation grandissante, y compris dans l'opinion (le site de l'acipa a maintenant dépassé les 170 000 visiteurs uniques...), le ressentiment toujours plus fort d'une partie de la population, consciente du caractère abject d'un projet dont les habitants auront à payer le prix fort pendant des décennies (à travers les impôts locaux) alors même que leurs politiciens leur ont promis lors des dernières régionales que les collectivités locales ne participeraient pas à son financement...
Un projet qui n'a doné lieu à aucune consultation démocratique digne de ce nom. Pourtant un référendum régional dans les cinq départements bretons (qui auront à en supporter le prix) aurait suffit pour trancher définitivement pour ou contre sa réalisation. Je tiens d'ailleurs à préciser suite à mon dernier message que les partis 'régionalistes', que ce soit l'UDB, Breizhistance ou le Parti Breton, sont également très largement opposés à sa construction.
Voilà donc ce que j'avais à dire pour aujourd'hui sur ce groupe, je n'ai pas le temps ce mois-ci de faire mon commentaire habituel de l'actualité. Cependant je rappelle que vous pouvez aussi me retrouver sur deux autres groupes où je suis très actif: Pour la liberté en Europe et Pour la Re-Nationalisation de France Télécom.
A bientôt donc,
Hasta la victoria siempre !
Stéphane Masson
echo-citoyen@hotmail.fr
Vous trouverez les denières informations sur le site de l'Acipa: de nombreux articles ont été publiés dans la presse nationale et régionale (Le Point, le Figaro, Les Echos, Presse-Océan, Ouest-France, etc...) ces derniers jours, suite à la manif de samedi.
Face à l'entêtement et à l'aveuglement des politiques, à l'affront démocratique et à l'illégitimité d'un projet rejeté par près de 80% des Français, il est probable que la contestation se radicalise et prenne la forme d'une résistance acharnée, voire violente.
Tout a déjà été dit ici sur ce projet, sur cette aberration totale,sur ce déni de démocratie et ce refus de voir la réalité en face: tous les arguments économiques, sociaux, politiques, écologiques, et démocratiques convergent dans le même sens d'un refus inconditionnel, et d'un arrêt immédiat de tous les frais engagés dans sa réalisation. Ce groupe compte à ce jour 2352 membres, c'est encore près d'une centaine de plus que lors de mon dernier message (le 20 octobre dernier).
Par conséquent, j'appelle les promoteurs et partisans de ce projet, industriels ou hommes politiques, à la raison et à la responsabilté. Ils doivent reconnaître que la partie est terminée, que ce projet ne pourra de toute façon plus voir le jour étant donné les nouvelles formes de contestation qui prennent forme, la mobilisation grandissante, y compris dans l'opinion (le site de l'acipa a maintenant dépassé les 170 000 visiteurs uniques...), le ressentiment toujours plus fort d'une partie de la population, consciente du caractère abject d'un projet dont les habitants auront à payer le prix fort pendant des décennies (à travers les impôts locaux) alors même que leurs politiciens leur ont promis lors des dernières régionales que les collectivités locales ne participeraient pas à son financement...
Un projet qui n'a doné lieu à aucune consultation démocratique digne de ce nom. Pourtant un référendum régional dans les cinq départements bretons (qui auront à en supporter le prix) aurait suffit pour trancher définitivement pour ou contre sa réalisation. Je tiens d'ailleurs à préciser suite à mon dernier message que les partis 'régionalistes', que ce soit l'UDB, Breizhistance ou le Parti Breton, sont également très largement opposés à sa construction.
Voilà donc ce que j'avais à dire pour aujourd'hui sur ce groupe, je n'ai pas le temps ce mois-ci de faire mon commentaire habituel de l'actualité. Cependant je rappelle que vous pouvez aussi me retrouver sur deux autres groupes où je suis très actif: Pour la liberté en Europe et Pour la Re-Nationalisation de France Télécom.
A bientôt donc,
Hasta la victoria siempre !
Stéphane Masson
echo-citoyen@hotmail.fr
La musique post-romantique en Allemagne
Consacrée à la musique germanique post-romantique, la Folle Journée 2011 présentera près de cent ans de musique, de 1850 à 1950, soit de Brahms à Richard Strauss et aux compositeurs de l’Ecole de Vienne.
Héritier de la grande tradition allemande et dernier grand musicien romantique, Brahms a exercé une influence considérable sur nombre de compositeurs de la seconde moitié du XIXe siècle : Max Bruch, Max Reger notamment, jusqu’à Arnold Schönberg au début du XXe siècle.
Dans le même temps se développe, dans le sillage du dernier Liszt et sous l’impulsion de Wagner, chantre de la “musique de l’avenir”, un puissant courant artistique visant à renouveler en profondeur le langage musical, auquel se rattachent les autrichiens Bruckner (farouche opposant de Brahms), Mahler, Hugo Wolf et Zemlinsky, et l’allemand Richard Strauss (dont la longue carrière s’étend de la fin de l’Empire austro-hongrois aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale).
Synthèse de ces deux courants antagonistes, l’Ecole de Vienne, fondée par Arnold Schönberg au début du XXe siècle et à laquelle appartiennent ses disciples Berg et Webern, apparaît influencée à la fois par Brahms et par Wagner, Mahler et R. Strauss, tout en développant sa propre esthétique qui influencera à son tour les compositeurs allemands Paul Hindemith, Carl Orff et Hanns Eisler.
Programmation disponible à partir de mi-décembre 2010 sur le site de la Folle Journée
Ouverture de la billetterie aux guichets de la Cité-Nantes le samedi 8 janvier 2011, sur Internet le dimanche 9 janvier 2011 à partir de 10h.
Héritier de la grande tradition allemande et dernier grand musicien romantique, Brahms a exercé une influence considérable sur nombre de compositeurs de la seconde moitié du XIXe siècle : Max Bruch, Max Reger notamment, jusqu’à Arnold Schönberg au début du XXe siècle.
Dans le même temps se développe, dans le sillage du dernier Liszt et sous l’impulsion de Wagner, chantre de la “musique de l’avenir”, un puissant courant artistique visant à renouveler en profondeur le langage musical, auquel se rattachent les autrichiens Bruckner (farouche opposant de Brahms), Mahler, Hugo Wolf et Zemlinsky, et l’allemand Richard Strauss (dont la longue carrière s’étend de la fin de l’Empire austro-hongrois aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale).
Synthèse de ces deux courants antagonistes, l’Ecole de Vienne, fondée par Arnold Schönberg au début du XXe siècle et à laquelle appartiennent ses disciples Berg et Webern, apparaît influencée à la fois par Brahms et par Wagner, Mahler et R. Strauss, tout en développant sa propre esthétique qui influencera à son tour les compositeurs allemands Paul Hindemith, Carl Orff et Hanns Eisler.
Programmation disponible à partir de mi-décembre 2010 sur le site de la Folle Journée
Ouverture de la billetterie aux guichets de la Cité-Nantes le samedi 8 janvier 2011, sur Internet le dimanche 9 janvier 2011 à partir de 10h.
Contact: nantesinfo@gmx.com ou par téléphone au 06 86 76 52 32
Loisirs
| Commentaires (0)