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Quatre dessinateurs professionnels, Million, Biz, Guézou et Vic, n'ont pas hésité à caricaturer les seize skippers du Vendée Globe. Vous pourrez découvrir ces dessins au point info course, parvis de la mairie, durant les journées d'information sur le quotidien des marins les jeudi 27, vendredi 28 et samedi 29 décembre. Ces portraits illustres un calendrier exceptionnel pour l'année 2013.
Conçu par Catherine Violot, ce calendrier est mis à la vente.
Conçu par Catherine Violot, ce calendrier est mis à la vente.
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Les Sables d'Olonne Info
Le 26 décembre vers 11h au matin, 23h heure locale, le skipper de SynerCiel a passé l’antiméridien. Cette ligne qui correspond au 180° marque la limite entre l’Est et l’Ouest et également la limite de date. Jean Le Cam va faire un bon de 24 heures dans le temps pour revenir au 25 décembre 23h heure locale. Pendant que la pendule perd le Nord, le skipper du monocoque aux couleurs de l’éco-rénovation inspecte dans le détail son monocoque avant la traversée du Pacifique.
« Pour moi, le passage important du tour du monde c’est quand tu passes ce fameux antiméridien. Jusque-là, ta position augmentait dans l’Est et là, arrivé à 180°, le décompte s’inverse, un peu comme un compte à rebours. Tu as fait la moitié de la terre et plus ça va plus tu te rapproches de la latitude de l’Europe. Les Sables d’Olonne sont à 2°Ouest et le Cap Horn est à 67°Ouest. Il ne me reste plus que 113° pour le Horn et ça fait plaisir. Ce n’est plus beaucoup en comparaison de tout ce que l’on a fait. »
Nettoyage de printemps à bord de SynerCiel
« J’ai eu une journée de rêve comme je n’en avais pas eu depuis longtemps : soleil, ciel bleu, 22 nœuds de vents… J’ai inspecté le bateau de A à Z, de l’arrière à l’avant, j’ai vérifié les pilotes, les connexions. J’ai fait du ménage et asséché la soute à voile et les compartiments arrière. Même s’il n’y avait pas beaucoup d’eau (un demi-seau), c’est toujours cela de gagner pour la performance ! »
SynerCiel progresse actuellement à 23 / 25 nœuds (43 km/h) avec des pointes à 27 nœuds dans le Sud de la Nouvelle-Zélande, à 73 milles (135 km) de la porte du même nom.
Classement du 26 décembre à 12h
1er : Banque Populaire – Armel Le Cleac’h à 9 265,1 milles de l'arrivée
2e : Macif - François Gabart à 11,2 milles du leader
3e : Virbac Paprec 3 – Jean-Pierre Dick à 663,9 milles du premier
5e : SynerCiel - Jean Le Cam à 1958,2 milles du premier
Pour suivre l’actualité du projet
www.jeanlecam.fr
« Pour moi, le passage important du tour du monde c’est quand tu passes ce fameux antiméridien. Jusque-là, ta position augmentait dans l’Est et là, arrivé à 180°, le décompte s’inverse, un peu comme un compte à rebours. Tu as fait la moitié de la terre et plus ça va plus tu te rapproches de la latitude de l’Europe. Les Sables d’Olonne sont à 2°Ouest et le Cap Horn est à 67°Ouest. Il ne me reste plus que 113° pour le Horn et ça fait plaisir. Ce n’est plus beaucoup en comparaison de tout ce que l’on a fait. »
Nettoyage de printemps à bord de SynerCiel
« J’ai eu une journée de rêve comme je n’en avais pas eu depuis longtemps : soleil, ciel bleu, 22 nœuds de vents… J’ai inspecté le bateau de A à Z, de l’arrière à l’avant, j’ai vérifié les pilotes, les connexions. J’ai fait du ménage et asséché la soute à voile et les compartiments arrière. Même s’il n’y avait pas beaucoup d’eau (un demi-seau), c’est toujours cela de gagner pour la performance ! »
SynerCiel progresse actuellement à 23 / 25 nœuds (43 km/h) avec des pointes à 27 nœuds dans le Sud de la Nouvelle-Zélande, à 73 milles (135 km) de la porte du même nom.
Classement du 26 décembre à 12h
1er : Banque Populaire – Armel Le Cleac’h à 9 265,1 milles de l'arrivée
2e : Macif - François Gabart à 11,2 milles du leader
3e : Virbac Paprec 3 – Jean-Pierre Dick à 663,9 milles du premier
5e : SynerCiel - Jean Le Cam à 1958,2 milles du premier
Pour suivre l’actualité du projet
www.jeanlecam.fr
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Les Sables d'Olonne Info
Après le passage de l'Océan Indien au Pacifique, Mike Golding a retrouvé de la vitesse et s’approche désormais de la longitude de Wellington, Nouvelle- Zélande, lieu de construction de Gamesa, pour la première fois. Il se trouve de bien meilleure humeur et ses pensées vont à son concurrent suisse, Bernard Stamm, qui est actuellement au mouillage aux Iles d'Auckland afin d'essayer de réparer ses hydro-générateurs.
"On a évolué lentement et au près avec des virements de bord, mais c'est bon maintenant nous sommes sur la bonne trajectoire. Je lâche un peu les écoutes et on passe progressivement au reaching, c'est une sensation très agréable. Je ne sais pas si on est libéré de cette dorsale ou si Jean Le Cam va en sentir encore les effets, espérons simplement que je sois en train de revenir sur lui.
Je me suis changé aujourd'hui, passé de mes Musto mid-layer, couches intermédiaires, à mon ciré MPX. Le froid commençait vraiment à se faire sentir avec le vent venant du Sud, donc j'ai désormais mes couches intermédiaires et mon ciré, je me sens un peu plus à mon aise.
C'est vraiment bien d'être désormais dans le Pacifique, ça sent le chemin de la maison. Nous ne sommes jamais allés aussi loin avec le bateau et franchement il se comporte super bien. Tout fonctionne parfaitement bien, et à mi course autour du monde c'est vraiment super. Bien sûr, il y a plein de petites choses à entretenir et bricoler, mais je fais beaucoup de maintenance, pas de pures réparations. C'est un boulot en continue, on a toujours un petit quelque chose à faire.
Je regrette de ne pas avoir affalé la Grand Voile quand je le pouvais pour réparer la tension de latte en haut de la voile. Ce n'est vraiment pas idéal comme ça et çà me dérange.
J'espère vraiment que Bernard va pouvoir réparer et continuer la course. C'est une réparation difficile qui l'attend. Il faut vraiment qu'il termine ce Vendée Globe, parce qu'il n'en a jamais la chance et il le mérite."
"On a évolué lentement et au près avec des virements de bord, mais c'est bon maintenant nous sommes sur la bonne trajectoire. Je lâche un peu les écoutes et on passe progressivement au reaching, c'est une sensation très agréable. Je ne sais pas si on est libéré de cette dorsale ou si Jean Le Cam va en sentir encore les effets, espérons simplement que je sois en train de revenir sur lui.
Je me suis changé aujourd'hui, passé de mes Musto mid-layer, couches intermédiaires, à mon ciré MPX. Le froid commençait vraiment à se faire sentir avec le vent venant du Sud, donc j'ai désormais mes couches intermédiaires et mon ciré, je me sens un peu plus à mon aise.
C'est vraiment bien d'être désormais dans le Pacifique, ça sent le chemin de la maison. Nous ne sommes jamais allés aussi loin avec le bateau et franchement il se comporte super bien. Tout fonctionne parfaitement bien, et à mi course autour du monde c'est vraiment super. Bien sûr, il y a plein de petites choses à entretenir et bricoler, mais je fais beaucoup de maintenance, pas de pures réparations. C'est un boulot en continue, on a toujours un petit quelque chose à faire.
Je regrette de ne pas avoir affalé la Grand Voile quand je le pouvais pour réparer la tension de latte en haut de la voile. Ce n'est vraiment pas idéal comme ça et çà me dérange.
J'espère vraiment que Bernard va pouvoir réparer et continuer la course. C'est une réparation difficile qui l'attend. Il faut vraiment qu'il termine ce Vendée Globe, parce qu'il n'en a jamais la chance et il le mérite."
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Les Sables Info
Inséparables depuis leur entrée dans le Pacifique, Armel Le Cléac'h (Banque Populaire) et François Gabart (MACIF) risquent de se voir prochainement confronter à une zone de calmes qui va les obliger à prendre des options de route plus tranchées. Va-t-on vers une séparation des trajectoires ? Derrière, Jean-Pierre Dick (Virbac Paprec 3) et Alex Thomson (Hugo Boss) ont été freiné dans la nuit alors que Jean Le Cam (SynerCiel) devrait encore accélérer aujourd'hui.
Au matin de ce 26 décembre, c'est Armel Le Cléac'h (Banque Populaire) qui mène toujours la danse dans la valse des positions qu'il échange avec François Gabart (MACIF) depuis le début du mois de décembre. Si les deux jeunes marins ont affiché de très belles moyennes tout au long de la nuit, avec des vitesses rarement inférieures à 19 nœuds, c'est le skipper de Banque Populaire qui s'est montré le plus rapide avec 445 milles parcourus ces dernières 24 h. Flashé à plus de 20 nœuds sur la dernière heure avant le classement de 5 h, il distance François Gabart d'un peu moins de 10 milles. Décalé de 25 milles dans son nord, le skipper de MACIF a peut-être commencé à incurver sa route en prévision d'une zone de vents plus faibles annoncée par les fichiers météorologiques la nuit prochaine. Installés dans un flux de sud-ouest de 20/25 nœuds, les deux marins devraient être confrontés à l'incursion d'une petite bulle anticyclonique arrivant par le sud, sur la route qui les emmène directement vers la porte Pacifique Est. Il faudra alors faire le choix de contourner la difficulté par le nord pour garder du vent frais ou de tailler tout droit au plus court au risque de se voir fortement freiné...Armel a déjà montré sa préférence pour les trajectoires plus tendues mais plus risquées pendant que François Gabart semble privilégier la vitesse, quitte à rallonger la route...Bref, nous pourrions assister ici à une petite divergence d'options qui séparerait sensiblement les deux leaders...affaire à suivre !
Fort ralentissement pour Dick
Très rapide hier, Jean-Pierre Dick (Virbac Paprec 3) était bien remonté sur la tête de flotte. Il vient cependant de reperdre 100 milles dans la nuit. Il avance péniblement dans un vent d'ouest de 10 nœuds qui va basculer progressivement au nord-ouest et monter jusqu'à 20 nœuds, lui permettant de faire route directe à bonne vitesse vers la porte Pacifique Est, distante de 130 milles ce matin. Moins ralenti pendant la même période, Alex Thomson (Hugo Boss) est malgré tout repassé au-dessus de la barre des 1000 milles (1059) de retard sur les leaders, à 600 milles de la porte Pacifique Est. Un empannage cette nuit à une heure du matin lui permet de faire maintenant route directe vers ce prochain point de passage obligé, dans un flux d'ouest d'une quinzaine de nœuds qui va basculer au nord-ouest et monter à 30 nœuds, poussant la magnifique étrave chromée dans une mer forte, mais relativement ordonnée.
Accélération prévue pour Le Cam
A 150 milles ce matin de la porte de Nouvelle-Zélande, Jean Le Cam (SynerCiel) fait cap au sud-est pour aller récupérer la dépression qui arrive dans son sud. Au programme de cette zone de basse pression, 35 nœuds d'ouest et 6 mètres de creux ! De quoi dévaler les pentes du Pacifique à grande vitesse pour celui qui à pas mal souffert d'une mer hachée et vicieuse la nuit dernière. Ancré depuis 2 heures ce matin dans une petite baie au nord de l'entrée du port de Dunedin, au sud de l'île du sud de la Nouvelle-Zélande, Bernard Stamm (Chemninées Poujoulat), toujours attelé à la réparation des fixations de ses hydrogénérateurs était toujours 6ième ce matin mais en passe de se faire doubler par Mike Golding (Gamesa) et Dominique Wavre (Mirabaud), actuellement au niveau des îles Auckland. Tous les deux sont revenus un peu sur Jean Le Cam dans la nuit, même s'ils restent un peu plus de 400 milles de son tableau arrière. Ils devraient cependant voir leur progression prochainement ralentie. Actuellement poussés par un bon nord-ouest de 25 nœuds et une houle de près de 5 mètres, ils vont voir le vent tourner à l'ouest et faiblir à 15 nœuds, pendant que le skipper de SynerCiel accrochera une nouvelle dépression...200 milles dans leur sillage mais également 100 milles plus au sud, Javier Sanso (Acciona 100 % EcoPowered) cherche également à accrocher une zone de basses pressions dans son nord-ouest, qui pourrait lui permettre de combler une partie de son retard sur le groupe, grâce à un mouvement de cuillère par le sud.
Ca file toujours derrière
A 80 milles de son entrée dans le Pacifique, Arnaud Boissières (Akena Vérandas) avance bien dans un flux de 25 nœuds de nord-ouest qui génère pour l'instant peu de houle. Il va se faire rattraper par un vent de nord-ouest de 30 nœuds qui va encore le faire accélérer. Il aura tout intérêt à mettre un maximum de charbon pour rester le plus longtemps possible dans ce front. Même bonnes conditions pour Bertrand De Broc (Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets) à 140 milles de la porte Ouest Australie. Le vent de nord-ouest de 20 nœuds qui le pousse dans une mer très maniable va tenir toute la journée. Belle progression à venir également pour Tanguy de Lamotte (Initiatives-cœur), qui a empanné hier aux alentours de 23 h dans une bascule du vent de nord-ouest au sud-est. Ce flux de 25/30 nœuds va le pousser au moins 24 h. 15 milles au-dessous de la porte Ouest Australie, Alessandro Di Benedetto (Team Plastique) n'a pas fini de surfer...le vent d'ouest de 20 nœuds qui le pousse actuellement va basculer au nord-ouest et monter à 30/35 nœuds !
Au matin de ce 26 décembre, c'est Armel Le Cléac'h (Banque Populaire) qui mène toujours la danse dans la valse des positions qu'il échange avec François Gabart (MACIF) depuis le début du mois de décembre. Si les deux jeunes marins ont affiché de très belles moyennes tout au long de la nuit, avec des vitesses rarement inférieures à 19 nœuds, c'est le skipper de Banque Populaire qui s'est montré le plus rapide avec 445 milles parcourus ces dernières 24 h. Flashé à plus de 20 nœuds sur la dernière heure avant le classement de 5 h, il distance François Gabart d'un peu moins de 10 milles. Décalé de 25 milles dans son nord, le skipper de MACIF a peut-être commencé à incurver sa route en prévision d'une zone de vents plus faibles annoncée par les fichiers météorologiques la nuit prochaine. Installés dans un flux de sud-ouest de 20/25 nœuds, les deux marins devraient être confrontés à l'incursion d'une petite bulle anticyclonique arrivant par le sud, sur la route qui les emmène directement vers la porte Pacifique Est. Il faudra alors faire le choix de contourner la difficulté par le nord pour garder du vent frais ou de tailler tout droit au plus court au risque de se voir fortement freiné...Armel a déjà montré sa préférence pour les trajectoires plus tendues mais plus risquées pendant que François Gabart semble privilégier la vitesse, quitte à rallonger la route...Bref, nous pourrions assister ici à une petite divergence d'options qui séparerait sensiblement les deux leaders...affaire à suivre !
Fort ralentissement pour Dick
Très rapide hier, Jean-Pierre Dick (Virbac Paprec 3) était bien remonté sur la tête de flotte. Il vient cependant de reperdre 100 milles dans la nuit. Il avance péniblement dans un vent d'ouest de 10 nœuds qui va basculer progressivement au nord-ouest et monter jusqu'à 20 nœuds, lui permettant de faire route directe à bonne vitesse vers la porte Pacifique Est, distante de 130 milles ce matin. Moins ralenti pendant la même période, Alex Thomson (Hugo Boss) est malgré tout repassé au-dessus de la barre des 1000 milles (1059) de retard sur les leaders, à 600 milles de la porte Pacifique Est. Un empannage cette nuit à une heure du matin lui permet de faire maintenant route directe vers ce prochain point de passage obligé, dans un flux d'ouest d'une quinzaine de nœuds qui va basculer au nord-ouest et monter à 30 nœuds, poussant la magnifique étrave chromée dans une mer forte, mais relativement ordonnée.
Accélération prévue pour Le Cam
A 150 milles ce matin de la porte de Nouvelle-Zélande, Jean Le Cam (SynerCiel) fait cap au sud-est pour aller récupérer la dépression qui arrive dans son sud. Au programme de cette zone de basse pression, 35 nœuds d'ouest et 6 mètres de creux ! De quoi dévaler les pentes du Pacifique à grande vitesse pour celui qui à pas mal souffert d'une mer hachée et vicieuse la nuit dernière. Ancré depuis 2 heures ce matin dans une petite baie au nord de l'entrée du port de Dunedin, au sud de l'île du sud de la Nouvelle-Zélande, Bernard Stamm (Chemninées Poujoulat), toujours attelé à la réparation des fixations de ses hydrogénérateurs était toujours 6ième ce matin mais en passe de se faire doubler par Mike Golding (Gamesa) et Dominique Wavre (Mirabaud), actuellement au niveau des îles Auckland. Tous les deux sont revenus un peu sur Jean Le Cam dans la nuit, même s'ils restent un peu plus de 400 milles de son tableau arrière. Ils devraient cependant voir leur progression prochainement ralentie. Actuellement poussés par un bon nord-ouest de 25 nœuds et une houle de près de 5 mètres, ils vont voir le vent tourner à l'ouest et faiblir à 15 nœuds, pendant que le skipper de SynerCiel accrochera une nouvelle dépression...200 milles dans leur sillage mais également 100 milles plus au sud, Javier Sanso (Acciona 100 % EcoPowered) cherche également à accrocher une zone de basses pressions dans son nord-ouest, qui pourrait lui permettre de combler une partie de son retard sur le groupe, grâce à un mouvement de cuillère par le sud.
Ca file toujours derrière
A 80 milles de son entrée dans le Pacifique, Arnaud Boissières (Akena Vérandas) avance bien dans un flux de 25 nœuds de nord-ouest qui génère pour l'instant peu de houle. Il va se faire rattraper par un vent de nord-ouest de 30 nœuds qui va encore le faire accélérer. Il aura tout intérêt à mettre un maximum de charbon pour rester le plus longtemps possible dans ce front. Même bonnes conditions pour Bertrand De Broc (Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets) à 140 milles de la porte Ouest Australie. Le vent de nord-ouest de 20 nœuds qui le pousse dans une mer très maniable va tenir toute la journée. Belle progression à venir également pour Tanguy de Lamotte (Initiatives-cœur), qui a empanné hier aux alentours de 23 h dans une bascule du vent de nord-ouest au sud-est. Ce flux de 25/30 nœuds va le pousser au moins 24 h. 15 milles au-dessous de la porte Ouest Australie, Alessandro Di Benedetto (Team Plastique) n'a pas fini de surfer...le vent d'ouest de 20 nœuds qui le pousse actuellement va basculer au nord-ouest et monter à 30/35 nœuds !
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Les Sables Info
2,5 milles d'avance sur François Gabart ! Voilà le Noël d'Armel Le Cléac'h en cette matinée du 25 décembre. Un cadeau provisoire sans doute tant les deux hommes s'échangent la place de leader depuis le début de la course. Hormis Bernard Stamm en route vers la Nouvelle-Zélande, l'ensemble de la flotte va passer la journée dans des conditions ventées et maniables, propices à la vitesse !
Même si l'heure n'est sûrement pas à la célébration de Noël à bord de Banque Populaire, Armel Le Cléac'h a trouvé un beau cadeau dans ses bottes de marin ce matin. Une nouvelle place de leader, acquise à la faveur d'une nuit sensiblement plus rapide que son inséparable partenaire de jeu planétaire François Gabart (MACIF). Avec près de deux nœuds de différence entre les deux derniers classements (20 h hier soir et 5 h ce matin), le skipper de Banque Populaire a parcouru 155 milles dans la nuit, à 17,3 nœuds de moyenne contre 15,6 pour François Gabart. Il est actuellement en train de franchir l'extrémité ouest de la porte Ouest Pacifique, à 2860 milles du cap Horn. Bien calés dans un flux de 25 nœuds de sud-ouest stable, ils vont passer les prochaines 36 h à chercher la vitesse sur le même bord. A noter que l'écart latéral entre les deux jeunes hommes, de 20 milles hier, s'est réduit comme peau de chagrin à 4 milles ce matin...
Retour de Dick
Derrière, ça déboule pour Jean-Pierre Dick (Virbac Paprec 3) qui affiche une fois encore la plus belle progression des dernières 24 h avec 423 milles. Au pied de son sapin, plus de 50 milles gagnés cette nuit sur les premiers et une journée de bons surfs à venir dans une houle de 5 à 6 mètres. Le vent de sud-ouest de 25 nœuds qui pousse Virbac Paprec 3 devrait se maintenir toute la journée et l'emmener rapidement vers la porte Ouest Pacifique, distante de 466 milles au classement de 5 h, soit une grosse journée de retard sur les leaders seulement... Même progression rapide pour Alex Thomson (Hugo Boss), installé dans un bon flux d'ouest de 25 nœuds. A minuit pile, il s'est vu offrir le passage de la porte de Nouvelle-Zélande et va profiter toute la journée d'un angle idéal pour continuer sa course exemplaire à vive allure, désormais libéré de la pression de Bernard Stamm (Cheminées Poujoulat).
Stamm vers la Nouvelle-Zélande
Le père Noël n'a semble-t-il pas croisé sur sa route le skipper helvétique, qui doit impérativement réparer ses fixations d'hydrogénérateurs avant d'attaquer la longue traversée du Pacifique. Obligé de quitter son abri de Sandy Bay au nord-est des îles Auckland, insuffisamment protégé dans les conditions météorologiques exécrables rencontrées, Bernard Stamm se dirige actuellement vers le port de Dunedine, dans le sud de la Nouvelle-Zélande. Progressant à 12 nœuds au près dans un vent de nord-ouest de 30 nœuds et une houle de 3 mètres, il devrait rejoindre sa nouvelle destination, distante de 170 milles, dans une quinzaine d'heures.
Le Cam bientôt cinquième
Cette fortune de mer fait les affaires de Jean Le Cam (SynerCiel) qui va gagner une place ce matin. A 35 milles seulement de la longitude de Bernard Stamm au classement de 5 h, il navigue depuis hier dans un bon flux de 30 nœuds de nord-ouest. Le passage du vent à l'ouest va bientôt l'obliger à empanner. Si l'échappée au sortir de l'Indien a permis à Jean Le Cam de bien faire le break, les écarts avec le groupe des tontons chasseurs se sont stabilisés. 464 milles de retard pour Mike Golding (Gamesa), 491 pour Dominique Wavre (Mirabaud)...le duo anglo-helvète s'accroche bien dans la traîne de la dépression qui pousse Jean Le Cam, avec une mention spéciale pour le skipper de Mirabaud qui est bien revenu sur Mike Golding depuis hier. Ils bénéficient actuellement d'un bon 25 nœuds de sud-ouest qui va tourner à l'ouest-sud-ouest et se maintenir en force toute la journée. Belle progression à venir également pour Javier Sanso (Acciona 100 % EcoPowered) qui, à 220 milles de Dominique Wavre va bénéficier d'un vent de sud-ouest de 25 nœuds toute la journée.
Vents consistants à l'arrière
A près de 3000 milles des leaders, Arnaud Boissières (Akena Vérandas) a passé la porte est Australie dans la nuit (3 h 05). A près de 15 nœuds de moyenne ces dernières 24 h, il se prépare à empanner en soirée avec l'arrivée de la dépression qui a déjà rattrapé Bertrand de Broc (Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets), 490 milles dans son sillage et également auteur d'une belle progression dans la nuit (159 milles parcourues depuis le classement de 20 h à 17,4 nœuds de moyenne). A 3827 milles des leaders, Tanguy de Lamotte (Initiatives-cœur) passe actuellement le cap Leeuwin dans un bon 25 nœuds de nord-ouest qui va progressivement forcir en basculant au sud-ouest, l'obligeant à empanner prochainement. A 300 milles de la porte Ouest Australie, Alessandro Di Benedetto (Team Plastique) n'en finit pas de prendre du plaisir à surfer dans un flux de nord-ouest de 35 nœuds et une houle avoisinant les 6 mètres !
Même si l'heure n'est sûrement pas à la célébration de Noël à bord de Banque Populaire, Armel Le Cléac'h a trouvé un beau cadeau dans ses bottes de marin ce matin. Une nouvelle place de leader, acquise à la faveur d'une nuit sensiblement plus rapide que son inséparable partenaire de jeu planétaire François Gabart (MACIF). Avec près de deux nœuds de différence entre les deux derniers classements (20 h hier soir et 5 h ce matin), le skipper de Banque Populaire a parcouru 155 milles dans la nuit, à 17,3 nœuds de moyenne contre 15,6 pour François Gabart. Il est actuellement en train de franchir l'extrémité ouest de la porte Ouest Pacifique, à 2860 milles du cap Horn. Bien calés dans un flux de 25 nœuds de sud-ouest stable, ils vont passer les prochaines 36 h à chercher la vitesse sur le même bord. A noter que l'écart latéral entre les deux jeunes hommes, de 20 milles hier, s'est réduit comme peau de chagrin à 4 milles ce matin...
Retour de Dick
Derrière, ça déboule pour Jean-Pierre Dick (Virbac Paprec 3) qui affiche une fois encore la plus belle progression des dernières 24 h avec 423 milles. Au pied de son sapin, plus de 50 milles gagnés cette nuit sur les premiers et une journée de bons surfs à venir dans une houle de 5 à 6 mètres. Le vent de sud-ouest de 25 nœuds qui pousse Virbac Paprec 3 devrait se maintenir toute la journée et l'emmener rapidement vers la porte Ouest Pacifique, distante de 466 milles au classement de 5 h, soit une grosse journée de retard sur les leaders seulement... Même progression rapide pour Alex Thomson (Hugo Boss), installé dans un bon flux d'ouest de 25 nœuds. A minuit pile, il s'est vu offrir le passage de la porte de Nouvelle-Zélande et va profiter toute la journée d'un angle idéal pour continuer sa course exemplaire à vive allure, désormais libéré de la pression de Bernard Stamm (Cheminées Poujoulat).
Stamm vers la Nouvelle-Zélande
Le père Noël n'a semble-t-il pas croisé sur sa route le skipper helvétique, qui doit impérativement réparer ses fixations d'hydrogénérateurs avant d'attaquer la longue traversée du Pacifique. Obligé de quitter son abri de Sandy Bay au nord-est des îles Auckland, insuffisamment protégé dans les conditions météorologiques exécrables rencontrées, Bernard Stamm se dirige actuellement vers le port de Dunedine, dans le sud de la Nouvelle-Zélande. Progressant à 12 nœuds au près dans un vent de nord-ouest de 30 nœuds et une houle de 3 mètres, il devrait rejoindre sa nouvelle destination, distante de 170 milles, dans une quinzaine d'heures.
Le Cam bientôt cinquième
Cette fortune de mer fait les affaires de Jean Le Cam (SynerCiel) qui va gagner une place ce matin. A 35 milles seulement de la longitude de Bernard Stamm au classement de 5 h, il navigue depuis hier dans un bon flux de 30 nœuds de nord-ouest. Le passage du vent à l'ouest va bientôt l'obliger à empanner. Si l'échappée au sortir de l'Indien a permis à Jean Le Cam de bien faire le break, les écarts avec le groupe des tontons chasseurs se sont stabilisés. 464 milles de retard pour Mike Golding (Gamesa), 491 pour Dominique Wavre (Mirabaud)...le duo anglo-helvète s'accroche bien dans la traîne de la dépression qui pousse Jean Le Cam, avec une mention spéciale pour le skipper de Mirabaud qui est bien revenu sur Mike Golding depuis hier. Ils bénéficient actuellement d'un bon 25 nœuds de sud-ouest qui va tourner à l'ouest-sud-ouest et se maintenir en force toute la journée. Belle progression à venir également pour Javier Sanso (Acciona 100 % EcoPowered) qui, à 220 milles de Dominique Wavre va bénéficier d'un vent de sud-ouest de 25 nœuds toute la journée.
Vents consistants à l'arrière
A près de 3000 milles des leaders, Arnaud Boissières (Akena Vérandas) a passé la porte est Australie dans la nuit (3 h 05). A près de 15 nœuds de moyenne ces dernières 24 h, il se prépare à empanner en soirée avec l'arrivée de la dépression qui a déjà rattrapé Bertrand de Broc (Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets), 490 milles dans son sillage et également auteur d'une belle progression dans la nuit (159 milles parcourues depuis le classement de 20 h à 17,4 nœuds de moyenne). A 3827 milles des leaders, Tanguy de Lamotte (Initiatives-cœur) passe actuellement le cap Leeuwin dans un bon 25 nœuds de nord-ouest qui va progressivement forcir en basculant au sud-ouest, l'obligeant à empanner prochainement. A 300 milles de la porte Ouest Australie, Alessandro Di Benedetto (Team Plastique) n'en finit pas de prendre du plaisir à surfer dans un flux de nord-ouest de 35 nœuds et une houle avoisinant les 6 mètres !
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Les Sables Info
Pas de trêve des confiseurs pour les concurrents du Vendée Globe. Tous s’apprêtent à vivre une nuit du 24 décembre particulièrement musclée. La vigilance est de mise, au point que, pour certains, les agapes de Noël ont été décalées dans le temps. La mer reste le seul maître du temps.
Pour Bernard Stamm (Cheminées Poujoulat), ce Noël 2012 risque d’avoir une saveur amère. Le navigateur suisse cumule les déconvenues. Arrivé au mouillage de Sandy Bay, il n’a pas pu profiter de l’abri relatif de l’anse pour finir les réparations engagées sur ses supports d’hydrogénérateurs. D’une part, la pluie incessante n’a pas permis de terminer les travaux de stratification et de l’autre, son mouillage n’a pas tenu. L’anse de Sandy Bay est tapissée d’algues laminaires qui empêche la bonne tenue des ancres ; la même mésaventure était arrivée en 2008 à Marc Guillemot, mais sa réparation n’avait pas demandé autant de temps et les conditions météorologiques étaient plus favorables que pour Bernard. Après s’être amarré le long d’un bateau océanographique russe au mouillage au large, Bernard Stamm s’est résolu à faire route sur le port de Dunedin, sur la côte est de Nouvelle-Zélande. Dunedin, deuxième ville de l’île du Sud offre toutes les infrastructures portuaires pour offrir un abri convenable, permettant au navigateur suisse de terminer son travail. Il reste que le tour du monde de Bernard est en train de changer d’âme. Alors qu’il bataillait encore pour un podium, le détour par la Nouvelle-Zélande va lui coûter la cinquième place, voire peut-être plus…
Noël aux tisons
Pour les autres navigateurs encore en course, cette journée de Noël risque d’être compliquée. Les deux leaders François Gabart (MACIF) et Armel Le Cléac’h (Banque Populaire), tout à leur match dans des conditions ventées, ont choisi de mettre entre parenthèse le rituel de Noël. Pour Armel, le réveillon se résumera à un ordinaire très légèrement amélioré, quand François envisage carrément de faire l’impasse… la marche du bateau avant tout. Mêmes préoccupations pour Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec 3) et Alex Thomson (Hugo Boss), tenaillés entre l’espoir de raccrocher la tête de flotte et l’envie d’assurer leur place. D’autres ont choisi d’anticiper Noël, à l’instar de Jean Le Cam (SynerCiel) ou Bertrand de Broc (Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets) qui ont fêté le 24 décembre avant l’heure, compte tenu des conditions météorologiques attendues sur zone. Il faut dire que la dégustation de foie gras et le déballage des cadeaux par 40 nœuds de vent y prendraient vite un caractère surréaliste. D’autres attendront l’heure dite, tel Arnaud Boissières (Akena Vérandas) : « C’est une tradition familiale d’ouvrir les cadeaux le 25 à midi… » Pas question donc de déroger à la règle, c’est une des garanties de la qualité du lien qui l’unit à ses proches. Mike Golding (Gamesa), Dominique Wavre (Mirabaud) et Javier Sanso (Acciona 100% EcoPowered) fouillerait bien dans la hotte du Père Noël pour dénicher un peu de vent stable au portant ainsi qu’une mer mieux rangée. A l’arrière, Tanguy de Lamotte (Initiatives-cœur) s’est réjoui de savoir qu’un cinquième enfant allait pouvoir être opéré grâce au suivi de son projet par les Internautes. Enfin, pour Alessandro Di Benedetto (Team Plastique), c’est tous les jours Noël, tellement l’homme semble prendre du plaisir à être en mer.
Noël aux tisons
Pour les autres navigateurs encore en course, cette journée de Noël risque d’être compliquée. Les deux leaders François Gabart (MACIF) et Armel Le Cléac’h (Banque Populaire), tout à leur match dans des conditions ventées, ont choisi de mettre entre parenthèse le rituel de Noël. Pour Armel, le réveillon se résumera à un ordinaire très légèrement amélioré, quand François envisage carrément de faire l’impasse… la marche du bateau avant tout. Mêmes préoccupations pour Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec 3) et Alex Thomson (Hugo Boss), tenaillés entre l’espoir de raccrocher la tête de flotte et l’envie d’assurer leur place. D’autres ont choisi d’anticiper Noël, à l’instar de Jean Le Cam (SynerCiel) ou Bertrand de Broc (Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets) qui ont fêté le 24 décembre avant l’heure, compte tenu des conditions météorologiques attendues sur zone. Il faut dire que la dégustation de foie gras et le déballage des cadeaux par 40 nœuds de vent y prendraient vite un caractère surréaliste. D’autres attendront l’heure dite, tel Arnaud Boissières (Akena Vérandas) : « C’est une tradition familiale d’ouvrir les cadeaux le 25 à midi… » Pas question donc de déroger à la règle, c’est une des garanties de la qualité du lien qui l’unit à ses proches. Mike Golding (Gamesa), Dominique Wavre (Mirabaud) et Javier Sanso (Acciona 100% EcoPowered) fouillerait bien dans la hotte du Père Noël pour dénicher un peu de vent stable au portant ainsi qu’une mer mieux rangée. A l’arrière, Tanguy de Lamotte (Initiatives-cœur) s’est réjoui de savoir qu’un cinquième enfant allait pouvoir être opéré grâce au suivi de son projet par les Internautes. Enfin, pour Alessandro Di Benedetto (Team Plastique), c’est tous les jours Noël, tellement l’homme semble prendre du plaisir à être en mer.
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A bord de Virbac-Paprec 3, Jean-Pierre Dick vient de célébrer Noël quelques heures avant le réveillon en France. Il nous fait partager son 5ème réveillon de Noël en mer*. Un endroit particulier pour célébrer une fête familiale seul au beau milieu de l'Océan Pacifique.
Jean-Pierre : « J'ai installé toute mes décorations de Noël. Mon équipe avait caché un sapin de Noël en bois, un bonnet de père Noël, des lunettes de soleil rouge Oakley, je me suis déguisé en « Père Noël des mers ».
Pas le temps de passer Noël aux fourneaux, pour mon 5ème Noël en mer, j'avais fait le choix d'un repas amélioré en conservant une base de lyophilisés agrémentés des ingrédients traditionnels d'un diner de Noël : Champagne Mumm, foie gras, biscuits St Michel et chocolats de Ploemeur.
Cela fait chaud au cœur de découvrir toutes ces attentions. Je vais appeler mes proches pour partager ce moment avec eux. C'est tout de même difficile de fêter ça loin des siens. Seul au beau milieu du Pacifique, ce n'est pas le meilleur endroit pour faire la fête !
Avec la problématique de poids à bord, mes proches m'ont offert des cadeaux légers : une petite poule en peluche Saint Michel, des photos marrantes de ma femme, de mon fils et de mon équipe avec un bonnet de Père Noel ! Les enfants de Roquesteron m'ont offert des olives en chocolat et des dessins. »
*convoyage après la transat Jacques Vabre 2003, Vendée Globe 2004, Barcelona World Race 2007 et Vendée Globe 2008.
Jean-Pierre : « J'ai installé toute mes décorations de Noël. Mon équipe avait caché un sapin de Noël en bois, un bonnet de père Noël, des lunettes de soleil rouge Oakley, je me suis déguisé en « Père Noël des mers ».
Pas le temps de passer Noël aux fourneaux, pour mon 5ème Noël en mer, j'avais fait le choix d'un repas amélioré en conservant une base de lyophilisés agrémentés des ingrédients traditionnels d'un diner de Noël : Champagne Mumm, foie gras, biscuits St Michel et chocolats de Ploemeur.
Cela fait chaud au cœur de découvrir toutes ces attentions. Je vais appeler mes proches pour partager ce moment avec eux. C'est tout de même difficile de fêter ça loin des siens. Seul au beau milieu du Pacifique, ce n'est pas le meilleur endroit pour faire la fête !
Avec la problématique de poids à bord, mes proches m'ont offert des cadeaux légers : une petite poule en peluche Saint Michel, des photos marrantes de ma femme, de mon fils et de mon équipe avec un bonnet de Père Noel ! Les enfants de Roquesteron m'ont offert des olives en chocolat et des dessins. »
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