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Une lettre qui tombe à point
17/12/2018
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A l’issue de la confrontation qui s’est tenue lundi matin en Préfecture, les élus du CéDpa et les pilotes opposés au transfert de l’aéroport ont noté qu’à partir d’un travail fondé sur les mêmes repères (6 millions de passagers vers 2030), les hypothèses de la DGAC aboutissent à des plans d’exposition au bruit prévisionnels très différents de ceux calculés par le cabinet indépendant ADECS Airinfra commandité par le CéDpa (rapport sur le site).
Le calcul d’un Plan d’Exposition au Bruit prend en compte un certain nombre d’éléments qui influent plus ou moins sur le périmètre du PEB, et en particulier dans sa partie nord qui peut concerner Nantes. Les opposants au transfert ont eu la désagréable impression que la DGAC a travaillé « à charge » pour justifier le transfert de l’aéroport. Seuls deux types d’avions bénéficieraient d’améliorations techniques, la proportion des survols de Nantes serait nettement augmentée, la réduction du bruit des moteurs serait minimisée, les trajectoires d’approche par le nord corrigées pour survoler plus d’habitants.
La DGAC a systématiquement choisi les options les plus pénalisantes.
Devant les questionnements du CéDpa ou des pilotes, la DGAC a soit reconnu le bien fondé de notre position (utilisation d’une approche désaxée par le Nord impactant moins d’habitants), soit donné des explications qui ne nous apparaissent pas suffisantes à ce stade et que nous devons donc confronter plus précisément.
A la suite de la présentation de notre étude, la DGAC a, quant à elle, critiqué certaines de nos hypothèses, passant sous silence l’essentiel de notre travail. Nous allons bien sûr affiner les quelques points qui nous sont demandés, mais nous voulons voir dans le silence sur tous les autres, le bien fondé et la qualité du travail du bureau d’études Adecs Airinfra.
Les deux parties ont convenu de se retrouver le 27 novembre pour apporter des réponses plus précises aux interrogations respectives.
Le calcul d’un Plan d’Exposition au Bruit prend en compte un certain nombre d’éléments qui influent plus ou moins sur le périmètre du PEB, et en particulier dans sa partie nord qui peut concerner Nantes. Les opposants au transfert ont eu la désagréable impression que la DGAC a travaillé « à charge » pour justifier le transfert de l’aéroport. Seuls deux types d’avions bénéficieraient d’améliorations techniques, la proportion des survols de Nantes serait nettement augmentée, la réduction du bruit des moteurs serait minimisée, les trajectoires d’approche par le nord corrigées pour survoler plus d’habitants.
La DGAC a systématiquement choisi les options les plus pénalisantes.
Devant les questionnements du CéDpa ou des pilotes, la DGAC a soit reconnu le bien fondé de notre position (utilisation d’une approche désaxée par le Nord impactant moins d’habitants), soit donné des explications qui ne nous apparaissent pas suffisantes à ce stade et que nous devons donc confronter plus précisément.
A la suite de la présentation de notre étude, la DGAC a, quant à elle, critiqué certaines de nos hypothèses, passant sous silence l’essentiel de notre travail. Nous allons bien sûr affiner les quelques points qui nous sont demandés, mais nous voulons voir dans le silence sur tous les autres, le bien fondé et la qualité du travail du bureau d’études Adecs Airinfra.
Les deux parties ont convenu de se retrouver le 27 novembre pour apporter des réponses plus précises aux interrogations respectives.
Notre Dame des Landes
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