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Le Collège de la Sir Woodart Academy de Lancing, ville située près de Worthing jumelée avec Les Sables d’Olonne, accueille des élèves de 12 à 18 ans. Il comporte une section où des enseignements artistiques de haut niveau sont développés. Il permet aux élèves dès leur plus jeune âge, d’exercer leurs talents dans le domaine du chant, du théâtre, de la musique instrumentale classique, du jazz et de la danse.
Chaque année, ils réalisent une tournée en Europe. Cette année, ils viennent se produire au Pays des Olonnes, du 4 au 9 juillet, en divers lieux des Sables d’Olonne, d’Olonne sur Mer et du Château d’Olonne :
- Vendredi 5 juillet : Chorale et musique en l’église Sainte-Marie d’Olonne, à 20h30
- Samedi 6 juillet : Musique, chant et danse, marching Band en avant-première du Concert du spectacle de début de Saison Culturelle au Parc de la Jarrie à Olonne, de 20h à 21h.
- Jeudi 4 juillet : Concert en accompagnement du départ de la course à la voile Les Sables-Horta-Les Sables (Les Açores), Place Maraud aux Sables d’Olonne à 17h.
- Samedi 6 juillet : Les samedis de la Mairie de 15h à 17h, Parvis de la Mairie aux Sables d’Olonne.
- Lundi 8 juillet : Spectacle complet sur l’Esplanade du Fort Saint-Nicolas aux Sables d’Olonne, de 14h à 16h30.
- Dimanche 7 juillet : Marching Band au Marché de La Pironnière au Château d’Olonne.
Concerts gratuits à voir absolument !
- Vendredi 5 juillet : Chorale et musique en l’église Sainte-Marie d’Olonne, à 20h30
- Samedi 6 juillet : Musique, chant et danse, marching Band en avant-première du Concert du spectacle de début de Saison Culturelle au Parc de la Jarrie à Olonne, de 20h à 21h.
- Jeudi 4 juillet : Concert en accompagnement du départ de la course à la voile Les Sables-Horta-Les Sables (Les Açores), Place Maraud aux Sables d’Olonne à 17h.
- Samedi 6 juillet : Les samedis de la Mairie de 15h à 17h, Parvis de la Mairie aux Sables d’Olonne.
- Lundi 8 juillet : Spectacle complet sur l’Esplanade du Fort Saint-Nicolas aux Sables d’Olonne, de 14h à 16h30.
- Dimanche 7 juillet : Marching Band au Marché de La Pironnière au Château d’Olonne.
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Le Collège de la Sir Woodart Academy de Lancing
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L’échéance du départ tend à rendre toutes les procédures un peu plus urgentes. Pour les quelques équipages qui ne sont pas encore totalement à jour, les dernières heures correspondent à une montée en pression légitime quand il s’agit de traverser plus d’un tiers de l’océan Atlantique d’une seule traite jusqu’aux Açores. L’occasion aussi de se retourner sur le parcours de chacun des concurrents.
Derniers contrôles sur les pontons. Les bénévoles affectés aux vérifications de la conformité des Class40 formulent leurs dernières observations, avant de délivrer le blanc-seing qui permettra aux concurrents de prendre la mer. Dans l’ensemble, les bateaux sont prêts car plusieurs d’entre eux ont déjà participé à d’autres courses d’avant-saison. Cet après-midi, les skippers seront invités à assister au briefing de la flottille 24F où Pierre-André Saladay détaillera les consignes à observer dans le cas d’une demande d’assistance et d’un survol d’un avion ou d’un hélicoptère. Pour certains, ces consignes sont déjà largement connues, mais une bonne piqure de rappel ne fait jamais de mal. La preuve en est : à chaque intervention des avions de la flottille, les pilotes ne peuvent que constater que nombre de procédures ont été oubliées dans l’urgence de la situation.
Variété des origines
C’est aussi une des spécificités de la Class40 que d’accueillir des concurrents aux origines très diverses. Simples amateurs venus pour goûter l’attrait de la haute mer, anciens de la Mini-Transat souhaitant franchir un palier, ou oiseaux du grand large voulant se ressourcer sur des bateaux et des parcours plus modestes, la palette est large.
Du Mini au 40 pieds
Pour nombre de Ministes, le passage au Class40 est pour ainsi dire une évidence. Même attirance pour le grand large, même mélange des genres entre amateurs éclairés et compétiteurs acharnés, seule la taille des bateaux change, de même que les ambitions. Pour un coureur de 6,50, le graal s’appelle la Mini-Transat, en Class40, c’est la Route du Rhum.
L’exemple le plus significatif est celui de Sébastien Rogues (GDF-SUEZ). Après plusieurs saisons sur le circuit Mini, il débarque avec le même partenaire dans la classe supérieure. D’autres l’ont précédé sur ce même chemin, comme Stéphane Le Diraison (Mr Bricolage), Louis Duc (Phoenix Europe Carat) ou Rémi Beauvais (Groupe Picoty-retour), Lionel Régnier (Deltacalor), Emma Creighton et Dan Dytch (Momentum Ocean Racing). Autre habitué, l’Allemand Jörg Riechers (Mare) qui oscille en permanence entre les deux circuits, enchaînant, en ces mois de juin et juillet, le Mini-Fastnet puis Les Sables - Horta avant de retourner en 6,50m sur la Transgascogne. Gaetano Mura et Sam Manuard (BET118) sont aussi des habitués du circuit Mini à plus d’un titre, puisque Samuel est aussi l’architecte de quelques uns des prototypes pouvant prétendre à la victoire finale.
Parcours olympique
Certains sont des purs produits de la voile olympique comme le tandem Victorien Erussard- Thibault Vauchel-Camus (Solidaires en peloton), qui écume le circuit des Formule 18, ces petits catamarans de sport survitaminés. Victorien Erussard a fait aussi une incursion remarquée dans la classe des Multi50. Le large lui est donc familier. C’est aussi le cas d’Aymeric Chappellier qui, avant de briller sur le circuit Mini (il est le dernier vainqueur des Sables – Les Açores – Les Sables), a suivi une préparation olympique, bien utile pour affiner son sens tactique.
Les oiseaux du large
Ils ont bourlingué sur toutes les mers du monde, navigué en multicoque à la poursuite du trophée Jules Verne, enchaîné sur des saisons en monocoques IMOCA, avant de revenir sur un circuit plus accessible financièrement. C’est le cas notamment de Halvard Mabire et Miranda Merron (Campagne de France) qui cumulent à eux deux un nombre impressionnant de milles autour de la planète. Sébastien Audigane (Mare) passe lui aussi avec un égal bonheur du monocoque IMOCA aux côtés de Kito de Pavant, au statut d’équipier de luxe sur Maserati pour le record New York – San Francisco. Jean-Christophe Caso (Groupe Picoty) ne compte plus les unités sur lesquelles il a posé son sac. Autres habitués du large, les Figaristes Armel Tripon et Fabien Delahaye qui viendront épauler Sébastien Rogues à bord de GDF-SUEZ.
Atypiques
Fort heureusement, la Class40 valorise parfois quelques parcours peu classiques, à tout le moins. Ainsi Stéphanie Alran (Phoenix Europe Carac), ancienne championne de saut à la perche, s’est découvert une passion pour la course au large en suivant la Mini-Transat sur un bateau accompagnateur. En 2011, elle s’engageait pour la première fois en Class40 et surprenait bien des concurrents plus expérimentés par sa combativité et sa vitesse de progression. D’autres encore viennent sur la course réaliser un rêve d’enfance comme Dominique Rivard (Marie-Galante), Guadeloupéen d’origine qui a décidé de s’essayer au circuit des Class40 avec comme objectif de participer en novembre 2014 à La Route du Rhum et revenir dans son île par la grande porte… Si chaque parcours est unique, une chose est commune à tous ces marins, la passion du large.
Variété des origines
C’est aussi une des spécificités de la Class40 que d’accueillir des concurrents aux origines très diverses. Simples amateurs venus pour goûter l’attrait de la haute mer, anciens de la Mini-Transat souhaitant franchir un palier, ou oiseaux du grand large voulant se ressourcer sur des bateaux et des parcours plus modestes, la palette est large.
Du Mini au 40 pieds
Pour nombre de Ministes, le passage au Class40 est pour ainsi dire une évidence. Même attirance pour le grand large, même mélange des genres entre amateurs éclairés et compétiteurs acharnés, seule la taille des bateaux change, de même que les ambitions. Pour un coureur de 6,50, le graal s’appelle la Mini-Transat, en Class40, c’est la Route du Rhum.
L’exemple le plus significatif est celui de Sébastien Rogues (GDF-SUEZ). Après plusieurs saisons sur le circuit Mini, il débarque avec le même partenaire dans la classe supérieure. D’autres l’ont précédé sur ce même chemin, comme Stéphane Le Diraison (Mr Bricolage), Louis Duc (Phoenix Europe Carat) ou Rémi Beauvais (Groupe Picoty-retour), Lionel Régnier (Deltacalor), Emma Creighton et Dan Dytch (Momentum Ocean Racing). Autre habitué, l’Allemand Jörg Riechers (Mare) qui oscille en permanence entre les deux circuits, enchaînant, en ces mois de juin et juillet, le Mini-Fastnet puis Les Sables - Horta avant de retourner en 6,50m sur la Transgascogne. Gaetano Mura et Sam Manuard (BET118) sont aussi des habitués du circuit Mini à plus d’un titre, puisque Samuel est aussi l’architecte de quelques uns des prototypes pouvant prétendre à la victoire finale.
Parcours olympique
Certains sont des purs produits de la voile olympique comme le tandem Victorien Erussard- Thibault Vauchel-Camus (Solidaires en peloton), qui écume le circuit des Formule 18, ces petits catamarans de sport survitaminés. Victorien Erussard a fait aussi une incursion remarquée dans la classe des Multi50. Le large lui est donc familier. C’est aussi le cas d’Aymeric Chappellier qui, avant de briller sur le circuit Mini (il est le dernier vainqueur des Sables – Les Açores – Les Sables), a suivi une préparation olympique, bien utile pour affiner son sens tactique.
Les oiseaux du large
Ils ont bourlingué sur toutes les mers du monde, navigué en multicoque à la poursuite du trophée Jules Verne, enchaîné sur des saisons en monocoques IMOCA, avant de revenir sur un circuit plus accessible financièrement. C’est le cas notamment de Halvard Mabire et Miranda Merron (Campagne de France) qui cumulent à eux deux un nombre impressionnant de milles autour de la planète. Sébastien Audigane (Mare) passe lui aussi avec un égal bonheur du monocoque IMOCA aux côtés de Kito de Pavant, au statut d’équipier de luxe sur Maserati pour le record New York – San Francisco. Jean-Christophe Caso (Groupe Picoty) ne compte plus les unités sur lesquelles il a posé son sac. Autres habitués du large, les Figaristes Armel Tripon et Fabien Delahaye qui viendront épauler Sébastien Rogues à bord de GDF-SUEZ.
Atypiques
Fort heureusement, la Class40 valorise parfois quelques parcours peu classiques, à tout le moins. Ainsi Stéphanie Alran (Phoenix Europe Carac), ancienne championne de saut à la perche, s’est découvert une passion pour la course au large en suivant la Mini-Transat sur un bateau accompagnateur. En 2011, elle s’engageait pour la première fois en Class40 et surprenait bien des concurrents plus expérimentés par sa combativité et sa vitesse de progression. D’autres encore viennent sur la course réaliser un rêve d’enfance comme Dominique Rivard (Marie-Galante), Guadeloupéen d’origine qui a décidé de s’essayer au circuit des Class40 avec comme objectif de participer en novembre 2014 à La Route du Rhum et revenir dans son île par la grande porte… Si chaque parcours est unique, une chose est commune à tous ces marins, la passion du large.
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La célèbre course Les Sables – Horta – Les Sables quittera les pontons de Port Olona le 4 juillet prochain. En attendant, le groupe Elmer Food Beat s'était installé sur le ponton du Vendée Globe à la rencontre des skippers Eric Darni et Erwan Rivallain.
Le groupe Elmer Food Beat était présent sur le ponton du Vendée Globe à Port Olona ce lundi 1er juillet 2013. Il avait rejoint l’équipage du Class40 N°10 Ecoelec d'Eric Darni et du co-équipier Erwan Rivallain et le club de basket de Sainte-Foy. Au programme : Ambiance décontractée et humour assuré.
Pourquoi la présence de ce groupe ?
Le skipper sablais Eric Darni explique : "On a des sponsors en commun avec le club de basket de Sainte-Foy : Fantronic et Soléane. Ce sont des entreprises de la région. La société Fantronic est spécialisée dans la distribution de composants électroniques et Soléane fait des salades. On s'est dit pourquoi pas faire la promotion des deux."
Le club de basket de Sainte-Foy était également présent sur le ponton. "Nous organisons le concert d'Elmer Food Beat, sur le nouveau site du centre équestre à Sainte-Foy le samedi 3 août. Le club est assez actif au niveau organisation et nous voulions redonner un nouveau souffle au club."
A propos de la course Les Sables – Horta – Les Sables
Eric Darni participe pour la 1ère fois à la course Les Sables – Horta – Les Sables. "Mon 1er objectif est de me qualifier pour participer à la Transat Jacques Vabre au mois de novembre. Comme j'ai un vieux bateau qui date de 2006, mon second objectif est d'essayer de me battre avec les derniers et finir bien placé dans ce lot. Il y aura peut-être une opportunité de faire un peu mieux... on verra. Je sais que l'on est sous un gros anticyclone. Pour moi, moins il y aura de vent, plus ce sera difficile. Je me fais facilement distancer quand c'est le calme plat", confie le skipper. "Je suis optimiste, nous avons fait le record SNSM et rien n'a cassé. Le bateau appartenait à Lionel Régnier et ne courait plus depuis trois ans. On l'a récupéré dans un état d'abandon. Nous avons effectué un gros chantier qui a duré 3 mois. On l'a remis en bateau de course."
Jean-Jacques Beteau, directeur de la société Fantronic : "notre entreprise est installée à la Mothe-Achard. On est spécialisé dans l'électronique. La mer c'est quelque chose qui m'est cher. Il y a très longtemps, on a déjà sponsorisé Arnaud Boissières. On a gardé de très bons contacts. La voile est un excellent vecteur de communication. Il y a beaucoup de valeurs communes entre la voile et le monde de l'entreprise : l'esprit d'équipe, la solidarité, le dépassement de soi, l'humilité... On est très heureux d'accompagner Eric et Erwan dans cette aventure."
Arnaud Boissières est arrivé en fin de matinée et à rejoint ce beau monde.
Pourquoi la présence de ce groupe ?
Le skipper sablais Eric Darni explique : "On a des sponsors en commun avec le club de basket de Sainte-Foy : Fantronic et Soléane. Ce sont des entreprises de la région. La société Fantronic est spécialisée dans la distribution de composants électroniques et Soléane fait des salades. On s'est dit pourquoi pas faire la promotion des deux."
Le club de basket de Sainte-Foy était également présent sur le ponton. "Nous organisons le concert d'Elmer Food Beat, sur le nouveau site du centre équestre à Sainte-Foy le samedi 3 août. Le club est assez actif au niveau organisation et nous voulions redonner un nouveau souffle au club."
A propos de la course Les Sables – Horta – Les Sables
Eric Darni participe pour la 1ère fois à la course Les Sables – Horta – Les Sables. "Mon 1er objectif est de me qualifier pour participer à la Transat Jacques Vabre au mois de novembre. Comme j'ai un vieux bateau qui date de 2006, mon second objectif est d'essayer de me battre avec les derniers et finir bien placé dans ce lot. Il y aura peut-être une opportunité de faire un peu mieux... on verra. Je sais que l'on est sous un gros anticyclone. Pour moi, moins il y aura de vent, plus ce sera difficile. Je me fais facilement distancer quand c'est le calme plat", confie le skipper. "Je suis optimiste, nous avons fait le record SNSM et rien n'a cassé. Le bateau appartenait à Lionel Régnier et ne courait plus depuis trois ans. On l'a récupéré dans un état d'abandon. Nous avons effectué un gros chantier qui a duré 3 mois. On l'a remis en bateau de course."
Jean-Jacques Beteau, directeur de la société Fantronic : "notre entreprise est installée à la Mothe-Achard. On est spécialisé dans l'électronique. La mer c'est quelque chose qui m'est cher. Il y a très longtemps, on a déjà sponsorisé Arnaud Boissières. On a gardé de très bons contacts. La voile est un excellent vecteur de communication. Il y a beaucoup de valeurs communes entre la voile et le monde de l'entreprise : l'esprit d'équipe, la solidarité, le dépassement de soi, l'humilité... On est très heureux d'accompagner Eric et Erwan dans cette aventure."
Arnaud Boissières est arrivé en fin de matinée et à rejoint ce beau monde.
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Danièle Arnaud-Aubin, nommée la «Dame aux coquillages» a réalisé sur les façades de l'Île Penotte, situé derrière le Remblai, des fresques avec des coquillages. Un véritable chef-d'oeuvre, du génie humain !
Samedi 29 juin 2013, Louis Guédon, maire des Sables d'Olonne, en présence de certains adjoints et amis, a remis à Danièle Arnaud-Aubin la médaille de la ville en reconnaissance à la réalisation et à la création artistique du quartier de l'Île Penotte.
Le côté officiel de la cérémonie était doublé d'un côté amical, voire familial, détendu et bon enfant. Louis Guédon, maire des Sables avait pris la parole : "Danièle est une pure sablaise. C'est une demoiselle Arnaud, d'une famille de bâtisseurs aux Sables d'Olonne. Où elle est née, où elle a été élevée, où elle a gardé son accent, son caractère, son tempérament... Un beau jour, Danièle s'est installée dans l'Île Penotte. Rien ne prédisposait "notre Dan" à devenir une artiste si ce n'est que son talent naturel. Un talent naturel enfouit au fond d'elle-même. Tout d'un coup, Dan a eu une révélation... Et c'est ainsi qu'on a vu naître les uns après les autres les oeuvres situées sur les façades de l'Île Penotte. La première fresque était un Dieu, appelé Neptune. On a vu naître les unes après les autres les oeuvres, pleines d'humour : les chats, les coquillages, des arbres exotiques, des animaux exotiques... C'est devenu un lieu d'expression artistique évident, une expression talentueuse reconnue par des hommes de l'art. C'est devenu, pour nous, un lieu de fraternel, de convivialité. C'est devenu un haut lieu touristique. Les médias s'en sont emparés, le nombre de visiteur est important. Tout ceci mérite d'être reconnu. C'est également la volonté de mettre en exergue toutes celles et ceux qui aux Sables d'Olonne, avec leur générosité, ont fait beaucoup pour la culture et le patrimoine. On a ici dans cette ville, spontanément, des germes qui prennent racine, qui s'élèvent et qui donnent toutes les fleurs que l'on connaît..."
Danièle, émue, raconte la création de l'Île Penotte : "Mes parents habitaient dans le quartier nommé aujourd'hui l'Île Penotte. Après leur décès, j'ai hérité de la maison. Le mur était triste. A l'époque ce n'était pas bien éclairé. En février 1997, je suis venue m'installer dans ce quartier. Jacques Ruchaud avait annoncé : tu nous fais une fête et on colle les coquillages sur le mur. Un soir, Jacques Ruchaud et Francky Laurent sont venus dîner chez moi. Je leur avais dit : vous qui aimez faire la fête, ce serait bien de faire quelque chose. Francky Laurent revenait de Tunisie et il avait des idées... Je vais faire Neptune ; le Dieu de la Mer viendra garder le quartier. On a pris les coquilles Saint-Jacques et on s'est amusé. Neptune est né et va avoir 16 ans le 1er octobre..."
Le côté officiel de la cérémonie était doublé d'un côté amical, voire familial, détendu et bon enfant. Louis Guédon, maire des Sables avait pris la parole : "Danièle est une pure sablaise. C'est une demoiselle Arnaud, d'une famille de bâtisseurs aux Sables d'Olonne. Où elle est née, où elle a été élevée, où elle a gardé son accent, son caractère, son tempérament... Un beau jour, Danièle s'est installée dans l'Île Penotte. Rien ne prédisposait "notre Dan" à devenir une artiste si ce n'est que son talent naturel. Un talent naturel enfouit au fond d'elle-même. Tout d'un coup, Dan a eu une révélation... Et c'est ainsi qu'on a vu naître les uns après les autres les oeuvres situées sur les façades de l'Île Penotte. La première fresque était un Dieu, appelé Neptune. On a vu naître les unes après les autres les oeuvres, pleines d'humour : les chats, les coquillages, des arbres exotiques, des animaux exotiques... C'est devenu un lieu d'expression artistique évident, une expression talentueuse reconnue par des hommes de l'art. C'est devenu, pour nous, un lieu de fraternel, de convivialité. C'est devenu un haut lieu touristique. Les médias s'en sont emparés, le nombre de visiteur est important. Tout ceci mérite d'être reconnu. C'est également la volonté de mettre en exergue toutes celles et ceux qui aux Sables d'Olonne, avec leur générosité, ont fait beaucoup pour la culture et le patrimoine. On a ici dans cette ville, spontanément, des germes qui prennent racine, qui s'élèvent et qui donnent toutes les fleurs que l'on connaît..."
Danièle, émue, raconte la création de l'Île Penotte : "Mes parents habitaient dans le quartier nommé aujourd'hui l'Île Penotte. Après leur décès, j'ai hérité de la maison. Le mur était triste. A l'époque ce n'était pas bien éclairé. En février 1997, je suis venue m'installer dans ce quartier. Jacques Ruchaud avait annoncé : tu nous fais une fête et on colle les coquillages sur le mur. Un soir, Jacques Ruchaud et Francky Laurent sont venus dîner chez moi. Je leur avais dit : vous qui aimez faire la fête, ce serait bien de faire quelque chose. Francky Laurent revenait de Tunisie et il avait des idées... Je vais faire Neptune ; le Dieu de la Mer viendra garder le quartier. On a pris les coquilles Saint-Jacques et on s'est amusé. Neptune est né et va avoir 16 ans le 1er octobre..."
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Tous solidaire, élus, policiers, commerçants et habitants ont manifesté hier, lundi 1er juillet 2013, devant la sous-préfecture des Sables d'Olonne. Louis Guédon, maire des Sables d'Olonne, Yannick Moreau, député de la Vendée littoral et maire d'Olonne sur Mer accompagné de son homologue Jean-Yves Burnaud, maire du Château d'Olonne avaient appelé à manifester pacifiquement contre cet état de fait : plus de renforts CRS cet été au Pays des Olonnes.
La foule s'était rendue devant la sous-préfecture, à la Chaume, afin de solliciter le sous-préfet.
Face aux questions posées des élus, l'Etat fait la sourde oreille. "Nous n'avons eu aucune réponse du ministre, ce qui est incorrect", indique Louis Guédon, maire des Sables d'Olonne. "Nous avons fait part de notre incompréhension et de notre insatisfaction. Restez mobilisé car rien n'est gagné et tout reste à faire".
Dans cette zone littorale, la population augmente de 50 000 à 250 000 habitants en été. "Qui dit augmentation de la population, dit aussi augmentation de la délinquance." Les policiers vont devoir travailler à flux tendu : deux véhicules en patrouille pour 250 000 habitants. C'est à dire une mission absolument impossible.
Les élus ont assuré que le "combat" allait se poursuivre...
La foule s'était rendue devant la sous-préfecture, à la Chaume, afin de solliciter le sous-préfet.
Face aux questions posées des élus, l'Etat fait la sourde oreille. "Nous n'avons eu aucune réponse du ministre, ce qui est incorrect", indique Louis Guédon, maire des Sables d'Olonne. "Nous avons fait part de notre incompréhension et de notre insatisfaction. Restez mobilisé car rien n'est gagné et tout reste à faire".
Dans cette zone littorale, la population augmente de 50 000 à 250 000 habitants en été. "Qui dit augmentation de la population, dit aussi augmentation de la délinquance." Les policiers vont devoir travailler à flux tendu : deux véhicules en patrouille pour 250 000 habitants. C'est à dire une mission absolument impossible.
Les élus ont assuré que le "combat" allait se poursuivre...
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Manifestation des élus du Pays des Olonnes
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À l’initiative de l’association Noirmoutier véhicules anciens, un bombardier américain a survolé la plage de la Cantine. En hommage à un événement historique de la Seconde Guerre mondiale. Le 4 juillet 1943, la Air Force bombarde l’aérodrome de Château-Bougon, près de Nantes, et une usine d’aviation. L’appareil B17 piloté par le lieutenant John Campbell est touché. Pris en chasse par deux chasseurs allemands, il se dirige vers l’île de Noirmoutier et se pose en catastrophe sur la plage à marée basse, finissant sa course dans un mètre d’eau. L’équipage réussit à quitter l’avion indemne mais est immédiatement arrêté par l’armée d’occupation.
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Les 29 et 30 juin 2013, s'est déroulé l'événement "Wings of Freedom" à l'Île de Noirmoutier. Divers événements ont eu lieu pour marquer cette journée du 4 juillet 1943 : visite du village historique et du camp militaire, spectacle historique, cérémonie oecuménique, inauguration d'une stèle commémorative... La Forteresse volante « Sally B », unique B17 en état de vol en Europe, a décollé d’Angleterre pour survoler une grande partie de l’Estuaire de la Loire, du Nord Vendée, et a effectué une démonstration en vol face à la plage de la Cantine, suivie d’autres avions de légendes. P51 Mustang, Mosquito, Piper.
"A 11h40 soixante deux bombardiers B17 de la 8ème Air Force, bombardent l'aérodrome de Château-Bougon près de Nantes et l'usine d'aviation SNCASO (AIRBUS aujourd'hui), où sont produits des dérives et des gouvernails de bombardiers Heinkel. Un gardien de l'usine est tué, l'établissement est détruit à 80 %, ainsi que deux bombardiers Heinkel 177.
Juste avant le bombardement de l'objectif, le B17 N°42-5053 est touché par la flack, huit des dix membres d'équipage parviennent à sauter en parachute, l'appareil s'écrase sur la commune de St-Colomban. Ensuite les chasseurs Focke-Wulf 190 de l'escadrille 2/10 Richtoffen attaquent la formation. Le B17 42-29641 "Black Swan" se crashe au large de Belle-Ile-en-Mer (aucun survivant). L'appareil 42-29967 du 92ème Bomb Group, piloté par le lieutenant John Campbell est touché par la flack sur l'objectif, perdant de l'altitude, il est obligé de quitter la formation.
Trois Focke-Wulf le poursuivent pour l'achever. Seul, l'appareil n'a plus aucune chance contre ses assaillants qui le mitraillent, il se dirige vers l'Île de Noirmoutier. L'avion est trop bas pour permettre à l'équipage de sauter en parachute, la seule solution est l'amerrissage. La mer est basse et le pilote distingue la plage de la Guérinière, il n'y a pas d'obstacle, par sécurité il sort le train. L'avion se pose sans "casse", c'est un miracle, car personne n'est blessé, les Américains enfilent leur gilet de sauvetage et gagnent le rivage à la nage. Un pilote allemand sans scrupule, continue de les mitrailler, deux hommes sont blessés.
Arrivés sur la plage, les aviateurs sont aussitôt capturés. Les prisonniers sont conduits à Nantes, puis à Fresnes, ils termineront la guerre dans un camp de prisonniers en Allemagne. Des techniciens de la Luftwaffe profiteront de cette aubaine pour inspecter un B17 intact et récupérer du matériel pour l'étudier."
https://www.facebook.com/pages/WINGS-of-Freedom-Noirmoutier/263301757134916
http://www.nva-no.com/wingsoffreedom.html
Juste avant le bombardement de l'objectif, le B17 N°42-5053 est touché par la flack, huit des dix membres d'équipage parviennent à sauter en parachute, l'appareil s'écrase sur la commune de St-Colomban. Ensuite les chasseurs Focke-Wulf 190 de l'escadrille 2/10 Richtoffen attaquent la formation. Le B17 42-29641 "Black Swan" se crashe au large de Belle-Ile-en-Mer (aucun survivant). L'appareil 42-29967 du 92ème Bomb Group, piloté par le lieutenant John Campbell est touché par la flack sur l'objectif, perdant de l'altitude, il est obligé de quitter la formation.
Trois Focke-Wulf le poursuivent pour l'achever. Seul, l'appareil n'a plus aucune chance contre ses assaillants qui le mitraillent, il se dirige vers l'Île de Noirmoutier. L'avion est trop bas pour permettre à l'équipage de sauter en parachute, la seule solution est l'amerrissage. La mer est basse et le pilote distingue la plage de la Guérinière, il n'y a pas d'obstacle, par sécurité il sort le train. L'avion se pose sans "casse", c'est un miracle, car personne n'est blessé, les Américains enfilent leur gilet de sauvetage et gagnent le rivage à la nage. Un pilote allemand sans scrupule, continue de les mitrailler, deux hommes sont blessés.
Arrivés sur la plage, les aviateurs sont aussitôt capturés. Les prisonniers sont conduits à Nantes, puis à Fresnes, ils termineront la guerre dans un camp de prisonniers en Allemagne. Des techniciens de la Luftwaffe profiteront de cette aubaine pour inspecter un B17 intact et récupérer du matériel pour l'étudier."
https://www.facebook.com/pages/WINGS-of-Freedom-Noirmoutier/263301757134916
http://www.nva-no.com/wingsoffreedom.html
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Dimanche 4 juillet 1943
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