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Une lettre qui tombe à point
17/12/2018
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Jean-Marc Ayrault, député-maire de Nantes et président du groupe
socialiste à l'Assemblée, a été condamné en correctionnelle à six mois de prison avec sursis et 30 000 F d'amende pour octroi d'avantage injustifié, terme juridique du délit de favoritisme.
A l'audience, le procureur n'avait requis que trois mois avec sursis et pas d'amende.
Le directeur de la communication municipale est condamné à deux mois avec sursis. Le maire de Nantes est ainsi reconnu coupable d'avoir, via une association 1901 aujourd'hui dissoute, accordé sans mise en concurrence ni appel d'offres les marchés d'impression du journal municipal nantais.
Le bénéficiaire de ces marchés, Daniel Nedzela, homme d'affaires proche du PS, écope d'une peine de six mois avec sursis et 30 000€ d'amende, pour recel d'octroi d'avantage injustifié. Avocat de Jean-Marc Ayrault, Yvon Chotard a déclaré qu'il n'était pas question de faire appel: «Le tribunal a considéré que les faits étaient constitués sur le plan juridique, mais qu'au-delà de cette faute technique, au plan moral, rien n'était contraire à l'honneur.
Nous avions trouvé modérées les réquisitions faites à l'audience. La peine est inattendue, parce qu'elle les double, mais six mois avec sursis, c'est presque d'ordre symbolique.»
socialiste à l'Assemblée, a été condamné en correctionnelle à six mois de prison avec sursis et 30 000 F d'amende pour octroi d'avantage injustifié, terme juridique du délit de favoritisme.
A l'audience, le procureur n'avait requis que trois mois avec sursis et pas d'amende.
Le directeur de la communication municipale est condamné à deux mois avec sursis. Le maire de Nantes est ainsi reconnu coupable d'avoir, via une association 1901 aujourd'hui dissoute, accordé sans mise en concurrence ni appel d'offres les marchés d'impression du journal municipal nantais.
Le bénéficiaire de ces marchés, Daniel Nedzela, homme d'affaires proche du PS, écope d'une peine de six mois avec sursis et 30 000€ d'amende, pour recel d'octroi d'avantage injustifié. Avocat de Jean-Marc Ayrault, Yvon Chotard a déclaré qu'il n'était pas question de faire appel: «Le tribunal a considéré que les faits étaient constitués sur le plan juridique, mais qu'au-delà de cette faute technique, au plan moral, rien n'était contraire à l'honneur.
Nous avions trouvé modérées les réquisitions faites à l'audience. La peine est inattendue, parce qu'elle les double, mais six mois avec sursis, c'est presque d'ordre symbolique.»
La voiture du père a été retrouvée à Roquebrune-sur-Argens sur le parking d'un hôtel.La trace d'une carte bancaire appartenant à la famille nantaise a été également enregistrée à Roquebrune.Hier soir, un cinquième corps, celui de Benoît, âgé de 13 ans, a été retrouvé en début de soirée sous la terrasse de la maison familiale.
Les corps d'Agnès, la mère, d'Arthur, le fils aîné de 21 ans, de Thomas, 19 ans et Anne, 16 ans, ont été précédemment retrouvés dans une fosse sous la terrasse. La fosse ne contiendrait pas d'autre corps. Le père apparaîtrait désormais comme étant le principal suspect dans cette affaire. Les autopsies du corps auront lieu demain.
19h52 : Les fouilles menées ont permis de retrouver un quatrième corps. Ils ont été exhumés de dessous la terrasse du logement de la famille DUPONT de LIGEONNES. Ils auraient été tués par armes à feu.
A 18 h 30, trois corps ont été exhumés de dessous la terrasse du logement de la famille Dupont de Ligonnès, et ont été conduits au CHU.
Il s'agit selon les premières constations probablement des corps de Mme Agnes Dupont de Ligonnès, de Arthur le fils ainé, et de Thomas . Leur identification et la détermination des causes de leur décès vraisemblablement par arme à feu ne pourront être formelles qu'à l'issue des autopsies qui se dérouleront demain.
Les recherches d'autres corps se poursuivent, deux autres formes enterrées dans la même fosse ayant été aperçus par les enquêteurs et le magistrat du parquet de Nantes présent sur les lieux
19h52 : Les fouilles menées ont permis de retrouver un quatrième corps. Ils ont été exhumés de dessous la terrasse du logement de la famille DUPONT de LIGEONNES. Ils auraient été tués par armes à feu.
A 18 h 30, trois corps ont été exhumés de dessous la terrasse du logement de la famille Dupont de Ligonnès, et ont été conduits au CHU.
Il s'agit selon les premières constations probablement des corps de Mme Agnes Dupont de Ligonnès, de Arthur le fils ainé, et de Thomas . Leur identification et la détermination des causes de leur décès vraisemblablement par arme à feu ne pourront être formelles qu'à l'issue des autopsies qui se dérouleront demain.
Les recherches d'autres corps se poursuivent, deux autres formes enterrées dans la même fosse ayant été aperçus par les enquêteurs et le magistrat du parquet de Nantes présent sur les lieux
Il pourrait s’agir de la dépouille de Rémy Calmejane, un jeune étudiant qui n’a pas donné signe de vie depuis le 3 décembre dernier. Un autre étudiant, disparu un jour après à la sortie de la même boîte de nuit, est toujours recherché.
La découverte d’un corps dans la Loire pourrait éclaircir un mystère qui dure depuis bientôt trois mois. Dimanche, un homme qui naviguait sur le fleuve a trouvé un cadavre, qui pourrait être celui de l’un des deux étudiants disparus dans des circonstances étranges à Nantes début décembre. Le premier, Rémy Calmejane, 19 ans, a été vu pour la dernière fois vers 4 heures du matin le 3 décembre 2010 à la sortie de la discothèque «Le Calysto», à Nantes. Le second, Grégoire Rigault, 24 ans, a disparu à proximité du même établissement le lendemain, à la même heure.
Faits divers
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