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Politique et association ne font pas bon ménage
Les élus de l'opposition municipale, ayant rejoint l'équipe de Didier Gallot, ont démissionné de l'association DEMAIN LES SABLES.

Il s'agit là d'un souci de transparence démocratique.

La prise en otage du secteur associatif par certains présidents d'associations qui se lancent en politique les surprend.

Elle met en évidence le sacrifice de l’intérêt général à des ambitions personnelles, ce qui n'est pas le cas de Didier Gallot et de son équipe dont le seul souci est de se consacrer au bien commun des sablais et des chaumois.
Rédigé par Les Sables d'Olonne Info le Lundi 28 Octobre 2013 à 22:55 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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Florian Philippot
Florian Philippot
Le nouveau record atteint par la monnaie unique à bientôt 1,40 dollar pour 1 euro est une catastrophe pour notre économie en général et notre industrie en particulier, déjà laminée depuis maintenant près de dix ans par cette même monnaie.
Alors que 95% des pays du globe disposent de leur propre monnaie, la zone Euro (et par extension l’Union européenne) est une anomalie mondiale qui se coupe de la croissance et se prive de toute possibilité de reprise. Les industriels français n’ont aujourd’hui plus d’autres choix que de quitter la France, soit pour l’Allemagne (seul pays réellement bénéficiaire d’une monnaie taillée pour elle) soit pour le reste du monde devant l’absolue passivité de nos gouvernants, à l’image de la ministre du commerce extérieur, Nicole Bricq, constatant ce matin, sans même le déplorer, qu’Airbus s’apprête à ouvrir une chaîne d’assemblage dans l’Alabama pour contrer les effets d’un euro trop cher. Dans ces conditions il ne fait d’ailleurs plus aucun doute que l’accord sur le grand marché transatlantique actuellement en négociation sera cataclysmique pour notre économie, et que l’on assistera, impuissants, à une nouvelle vague de délocalisations massives.

Le refus obstiné de l'Allemagne et de la BCE de faire baisser le niveau de la monnaie unique nous condamne à l'asphyxie économique.
Il est vital de retrouver les marges de manœuvre d'une politique monétaire conforme aux intérêts de la France. L'euro est un fiasco auquel nous devons mettre fin.
L’euro tue notre économie et assèche nos finances publiques avec des plans de renflouement à répétition.
Retrouver progressivement une monnaie nationale adaptée, une politique monétaire souveraine, c’est au contraire retrouver l’une des armes qui avec un protectionnisme intelligent permettra à la France de rebâtir son économie et de restaurer son modèle social.
Faute de changement radical dans notre politique économique, nous continuerons à nous enfoncer dans le cercle vicieux de l'austérité, de l’hyper-fiscalité et de la dette, tout en supportant les effets désastreux d’un chômage de masse chaque jour plus important.

Communiqué de Florian Philippot, vice-président du Front National.
Rédigé par Les Sables d'Olonne Info le Lundi 28 Octobre 2013 à 21:40 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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Leif Blanc
Leif Blanc
Dénoncée à juste titre par les éleveurs bovins et porcins, la signature de l’accord de libre-échange entre l’Union Européenne et le Canada menace gravement notre agriculture et notre industrie agroalimentaire.

En pleine crise d’une filière porcine française taillée en pièces par la concurrence allemande et espagnole, cet accord est un coup de poignard supplémentaire. Les porcs canadiens coûtent 25% moins chers que leurs équivalents français et les frais de transport ne comblent pas cet écart.

Pour l’élevage bovin, la nouvelle est toute aussi grave. Outre les distorsions de concurrence, deux graves questions restent en suspend : l’utilisation d’hormones de croissance et le nettoyages des carcasses à l’acide lactique, deux pratiques proscrites dans l’Union Européenne. Un flou inquiétant règne sur ces questions, les modalités techniques de l’accord n’étant pas encore connues.

Le traité de libre-échange avec le Canada, négocié à l’abri des regards, n’a pas lieu d’être, pas plus que le grand marché transatlantique en cours de négociation avec les Etats-Unis. Ces accords aggraveront le dumping social et environnemental déjà à l’œuvre au sein de l’Union Européenne, précipitant la ruine des éleveurs français. Ils piétinent également la volonté d’une immense majorité de Français soucieux d’une meilleurs traçabilité de leur alimentation.

Pour le Front National, il faut rompre avec les dogmes libre-échangistes en suspendant au plus vite les négociations des accords avec le Canada et les Etats-Unis. Il est possible de sauver nos éleveurs et notre industrie agroalimentaire, tout en protégeant les consommateurs : il faut mettre en place un protectionnisme raisonnable pour contrer les effets pervers de la concurrence déloyale, ainsi qu’une politique agricole nationale à même de réguler les prix au bénéfice de l’ensemble des Français.

Communiqué de Leif Blanc, délégué national à la ruralité, l'agriculture et l'environnement.
Rédigé par Les Sables d'Olonne Info le Samedi 26 Octobre 2013 à 23:07 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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Le 24 octobre 2013, Marine Le Pen s'adresse par courrier au journal Le Canard Enchainé suite à l’article publié le 23 octobre 2013.


"Monsieur le Directeur de la publication,

Dans votre numéro du 23 octobre 2013, vous avez publié en page 3 un article intitulé "Quand Marine faisait la bombe avec l'argent de la campagne présidentielle" où je suis mise en cause. Je désire répondre.

Dans ces conditions, je vous prie et au besoin vous requiers de bien vouloir faire paraître en même place et dans les mêmes caractères que l’article incriminé, et ce en vertu de l’article 13 de la loi du 29 juillet 1881, le droit de réponse suivant :

« Vous indiquez tout d’abord que c’est le Conseil constitutionnel qui a refusé de rembourser des factures incluses dans mon compte de campagne de l’élection présidentielle de 2012. Ceci est inexact, c’est la commission de contrôle des comptes de campagne elle-même, le Conseil constitutionnel n’a pas eu à statuer.

Vous indiquez ensuite que j'aurais "tenté de faire figurer dans (mon) bilan pour un bon demi-million de dépenses qui n'avaient pas grand-chose à y faire". La réalité est tout autre et la seule chose que l'on puisse me reprocher est un excès de transparence et de prudence. En effet le péché mortel en matière de compte de campagne est la dissimulation à la commission d'une dépense électorale. J'ai donc fait le choix, lorsqu'un doute existait sur la qualification électorale ou non d'une dépense, de la faire figurer à mon compte. A charge pour la commission de l'intégrer ou de la refuser.

Ainsi et par exemple, l’université d’été de Nice était entièrement axée sur la campagne présidentielle, nous avons considéré que nous devions intégrer au compte de campagne les dépenses afférentes. Nous avons donc laissé le soin à la commission de trancher. En effet si la commission avait considéré qu'il s'agissait d'une dépense de campagne et que nous ne l'avions pas déclarée, mon compte de campagne aurait été rejeté pour dissimulation de dépenses.
Vous indiquez encore : "l'objectif inavoué de ces tentatives d'embrouilles comptables : obtenir aux frais du contribuable un remboursement supplémentaire". Cette imputation n'a aucun fondement puisque j'ai déposé pour 9 millions d’euros de dépenses, or le plafond des dépenses remboursables est pour tous les candidats de 8 millions d'euros, donc présenter plus de dépenses n'entraîne pas plus de remboursements. La commission m'a d'ailleurs accordé le remboursement maximum prévu par la loi.

Concernant la facture de l’hôtel Méridien, vous saurez qu’en réalité, outre la chambre, il y avait un salon qui a été mon bureau pendant trois jours.

En ce qui concerne le bal de la marine, vous écrivez vous-même que le but de cet événement festif était de constituer un comité de soutien et de récolter de l’argent. Nous avons donc, à nouveau, décidé d’intégrer au compte de campagne le coût de cet événement. En l’espèce, la commission a considéré que ce n’était pas une dépense électorale.

Quelques lignes encore pour indiquer à vos lecteurs que ma sœur Yann Maréchal a commencé à travailler au Front National en 1987 et qu'elle est responsable des grandes manifestations depuis 15 ans y faisant preuve d'un talent reconnu unanimement par les observateurs politiques et que, contrairement à vos affirmations, Louis Aliot n'était pas salarié de la campagne présidentielle pour laquelle il fut un porte-parole bénévole.

Enfin vous apprendrez avec intérêt que la "République bonne fille" n'accorde de protection policière aux différents candidats que durant trois mois et que victime régulièrement de manifestations violentes de la part d'extrémistes politiques, le FN est contraint de s'assurer de la sécurité de ses candidats. »

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Directeur de la publication, l’expression de ma considération distinguée.

Marine LE PEN.

Rédigé par Les Sables d'Olonne Info le Samedi 26 Octobre 2013 à 10:02 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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"A la suite des propos d'Anne-Sophie Leclere dans l'émission « Envoyé Spécial », sa candidature aux municipales est suspendue. Par ailleurs, Madame Anne-Sophie Leclere est convoquée devant les instances disciplinaires du Front National."

Steeve Briois, secretaire Général du Front National.


Les journalistes de France 2 étaient allés voir Anne-Sophie Leclere, candidate à Rethel dans les Ardennes. Ils l’ont interrogé sur un photomontage posté sur sa page Facebook. La candidate du FN de 33 ans avait déclaré, la comparant aussi à "une sauvage" et parlant de son "sourire du diable" :

"Je préfère la voir dans un arbre après les branches que la voir au gouvernement comme ça."

"Non, ce n’est pas du racisme", a-t-elle assuré, estimant qu’« un singe c’est un animal, un noir ça reste un être humain."

La candidate FN, qui avait fait 17% aux dernières législatives, a retiré ce montage de sa page Facebook.
Rédigé par Les Sables d'Olonne Info le Vendredi 18 Octobre 2013 à 10:14 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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"La crise qui traumatise la Bretagne, et plus largement l’élevage et l’agroalimentaire français, est-elle une catastrophe naturelle qui se serait abattue sur nous pas surprise, défiant tous les pronostics ? Non, loin de là ! Gad est une illustration cruelle de l’impéritie et du cynisme de ceux qui prétendent nous gouverner. La crise dans l’élevage porcin ? Les professionnels l’évoquaient déjà lors de la campagne présidentielle de 2012. Les menaces pesant sur l’emploi ? Lors du dernier salon de l’agriculture, tous les responsables professionnels chiffraient déjà à 1000 les emplois menacés chez Gad."

"Déplacement de terrain, conférence de presse, émission de télévision, je n’ai cessé d’évoquer durant toute l’année dernière la menace que faisait peser la crise de l’élevage et de l’agroalimentaire sur l’emploi dans nos départements ruraux et plus particulièrement dans le Grand Ouest. Quand l’industrie lourde et les mines ont fermé dans le nord et l’est, tous les responsables politiques promettaient de mirobolants plans de reclassement aux salariés privés d’emploi. On sait depuis ce qu’il est advenu de ces promesses… La même hypocrisie, le même cynisme sont aujourd’hui à l’œuvre en Bretagne. Et c’est au final la même catastrophe qui a commencé. Qui remplacera les emplois perdus dans le Finistère ? Comme en Lorraine, comme dans le Nord, la réponse est la même : personne !"

"La menace était connue de longue date, bien avant la pseudo réunion d’urgence de M. Ayrault. Les raisons de la crise depuis plus longtemps encore. Parmi celles-ci, il en est une qui est particulièrement odieuse, et c’est la plus grave. Profitant d’une directive européenne (…), des patrons allemands ont profité de l’entrée en 2007 de la Roumanie et de la Bulgarie dans l’Union européenne pour déclencher une véritable guerre du porc. Leur arme : l’absence de salaire minimum qui permet, dans leurs porcheries comme dans leurs abattoirs, de payer la main d’œuvre environ trois euros de l’heure, soit près de quatre fois moins cher qu’en France."

"Quand les élus UMP et PS osent évoquer le sujet, ils parlent de « distorsion de concurrence ». Quelle sorte de politique faut-il être pour avoir recours à un tel euphémisme quand l’honnêteté commande d’utiliser les mots de dumping, de vol, d’abus et même d’esclavage ! Oui, il ne faut pas avoir peur des mots : payer sa main d’œuvre à un tarif aussi dérisoire dans un pays riche, l’entasser par dizaines dans des gourbis sordides, utiliser des marchands d’hommes, ce sont pratiques d’esclavagistes, pas de patrons responsables !"

"Relancer notre élevage et notre industrie agroalimentaire de transformation est encore possible. Pour cela, il faut, d’un côté, mettre en place une politique agricole nationale apte à assurer des prix décents aux éleveurs, et, de l’autre, un protectionnisme raisonnable qui permette de lutter de manière très réactive contre la concurrence déloyale des pays qui pratiquent le dumping."
Rédigé par Les Sables d'Olonne Info le Mercredi 16 Octobre 2013 à 20:57 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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La Cour des comptes épingle la gestion des collectivités locales : La conséquence logique des pratiques socialistes
Le rapport de la Cour des comptes sur les finances publiques démontre tout à fait clairement les dérives socialistes dans leur gestion des collectivités locales.

Dépenses de fonctionnement hallucinantes par rapport aux investissements, dépenses de personnels qui s’apparentent à l’évidence à du clientélisme, répartition des compétences extrêmement floue : voici les éléments de la mauvaise gestion des collectivités, comme nous le dénonçons depuis toujours.

Le mille-feuille administratif français est également dénoncé, avec une critique des intercommunalités, présentées comme un moyen de décharger les budgets des communes et qui se révèlent être au final un gouffre sans nom.

L’explosion de la fiscalité ces dernières années n’est qu’une faible rustine, payée par nos compatriotes, qui ne peut colmater la brèche ouverte par ce phénomène. Les municipales seront l’occasion pour les Français de briser le monopole des socialistes à la tête des collectivités locales et d’y placer, enfin, des élus responsables qui rompront avec ces méthodes, permises par l'impunité et la faiblesse de l'opposition UMP.

Communiqué de Steeve Briois, Secrétaire Général du Front National.
Rédigé par Les Sables d'Olonne Info le Mardi 15 Octobre 2013 à 14:20 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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