|
Pour la seconde fois en un an, la perspective d'une nouvelle taxe sur le vin ébranle le monde viticole. Le Front National ne peut que se scandaliser de la légèreté avec laquelle les ministres socialistes traitent ce secteur aussi important pour notre pays du point de vue de l'économie (second poste à l'exportation) que de la culture et du patrimoine. Envisager une nouvelle offensive à son encontre, c'est à la fois remettre en cause le travail et les investissements réalisés afin de rester une référence mondiale d'excellence, mais aussi oublier aussi que nombre de viticulteurs connaissent des difficultés financières, difficultés encore aggravés cette année du fait de violents épisodes de grêle.
Quant à l'idée de durcir la loi Evin en limitant la présence du vin sur internet, elle est tout à fait absurde. Comme l'a encore dit Marine Le Pen lors des dernières festivités du Beaujolais nouveau, le bon sens voudrait au contraire que cette loi soit abrogée, ou, au minimum, que le vin et les alcools de terroir en soient retirés.
Communiqué de Leif Blanc, délégué national à la ruralité, l'agriculture et l'environnement.
Quant à l'idée de durcir la loi Evin en limitant la présence du vin sur internet, elle est tout à fait absurde. Comme l'a encore dit Marine Le Pen lors des dernières festivités du Beaujolais nouveau, le bon sens voudrait au contraire que cette loi soit abrogée, ou, au minimum, que le vin et les alcools de terroir en soient retirés.
Communiqué de Leif Blanc, délégué national à la ruralité, l'agriculture et l'environnement.
Tags :
Front National
L'actualité aux Sables d'Olonne
L'information aux Sables d'Olonne
Les Sables d'Olonne
Politique
Vendée
Commentaires (0)
Les Sables d'Olonne Info
Dans une grande interview publiée dimanche par Le Parisien, François Bayrou estime que le Centre doit "mettre fin à la guerre de cent ans" afin de "reconstruire le pays".
François Bayrou
"Les obstacles entre les différentes familles centristes ont presque disparu"
Le Parisien - Avec votre rapprochement avec l’UDI de Jean-Louis Borloo, une nouvelle dynamique au centre est-elle vraiment enclenchée ?
François Bayrou - Je le crois. Les obstacles les plus importants entre les différentes familles centristes ont presque disparu : pour ceux qui avaient les yeux fixés sur l’UMP, l’idée d’un parti unique de la droite et du centre s’est dissipée. Sous la pression de l’extrême droite, le climat, de ce côté, est plutôt à l’explosion. Du côté du pouvoir socialiste, c’est la glaciation : on refuse les réformes nécessaires et on oublie les engagements de changement politique. L’attente est forte d’une réponse politique originale et qui donne espoir. C’est pour cela que nous, au Centre, avons décidé de mettre les rivalités personnelles et le bal des egos au second plan.
Le bal des egos pourtant est inhérent aux institutions de la Vème ?
Je ne le crois pas. L’élection présidentielle est un rendez-vous mais elle ne viendra que dans trois ans. Nous avons bien autre chose à construire avant.
Ne craignez-vous pas qu'on vous taxe d'opportunisme? Les noms d'oiseaux n’ont pas manqué...
Peu importe. Vient un moment où il faut savoir finir la guerre de cent ans. Quand on a un pays à reconstruire, il faut faire passer les histoires de personnes et de tendances au second plan.
François Fillon a t il dérapé ?
Je ne crois pas aux dérapages. Devant la question de l’électorat FN, il faut décider si on le légitime en le suivant ou si on résiste en présentant une autre vision. Il y a une inflammation de la société, troublée par la crise, le chômage, par l’immigration mal intégrée, par le surgissement de l’Islam. Une approche nouvelle, courageuse et imaginative, doit permettre d’aborder ces questions sans obsession. Il y a une exaspération à l’égard de la politique. J’ai proposé de répondre par un référendum de moralisation de la vie publique. François Hollande s’y était engagé auprès de moi en cas de blocage du parlement. Il n’en a rien fait. Et même ce qu’il y a de plus choquant demeure inchangé.
Trop de dérogations et de privilèges ?
La moindre des choses serait par exemple que les parlementaires qui votent l’impôt soient soumis aux mêmes règles fiscales que les autres contribuables. Or ils bénéficient d’un régime dérogatoire qui fait qu’une part de leurs indemnités n’est ni imposée ni contrôlée. Le Sénat vient de repousser le non cumul des mandats. C’est la même logique : faites ce que je dis, pas ce que je fais. Voyez le nombre de parlementaires PS, députés et sénateurs, qui se présentent aux élections municipales, contrairement à leurs engagements, dans l’espoir qu’une dérogation viendra encore retarder les choses !
Vous croyez au retour de Nicolas Sarkozy ?
Qu’il veuille revenir ne fait aucun doute : il envoie régulièrement des signaux explicites.
A t il changé ?
Les hommes changent-ils vraiment ? Je n’en suis pas sûr… Mais il ne faut rien exclure. Moi-même parfois… (rires).
Qu’est ce qui fait changer les hommes politiques ?
Les difficultés, les défaites qui obligent à réfléchir. Et l’expérience…
La perte de votre circonscription à Pau en fait partie ?
J’ai perdu une élection, pas ma région, pas mon pays, pas mes amis. Car pour moi le Béarn est d’abord une famille humaine. Pas un territoire politique.
Avez-vous une envie de reconquête à Pau ?
Je parlerai de Pau… à Pau.
Qu’en sera t il de vos alliances avec la gauche aux prochaines municipales ?
Au Mouvement Démocrate, nous croyons que les élections locales traitent de problèmes locaux et peuvent faire naître des majorités locales, pas le décalque perpétuel de la guerre droite contre gauche. Nous sommes fiers de ce principe. C’est d’ailleurs ce qui se passe dans la plupart des villes petites et moyennes. Cela dit, quand je regarde le terrain, ville par ville, nos équipes locales sont d’accord dans la plupart des cas. Et quand ce ne sera pas le cas, nous en parlerons et nous assumerons.
Que reprochez-vous le plus à François Hollande ?
De ne pas affronter l’exigence vitale de réformes sur les grands sujets du pays. La réforme des retraites n’en est pas une. Or, ne rien faire tout en prétendant que l’on fait une réforme, c’est épuiser l’énergie du pays et au bout du compte le désespérer. Car lorsqu’on s’apercevra dans quelques mois qu’il faut encore une réforme, que diront les Français ?
Qu’est-ce qui le contraint selon vous à l’immobilisme ?
Sa majorité. C’est hélas le sujet dont il s’occupe le plus. Il donne l’impression de se déterminer à partir des enjeux intérieurs à la gauche : les courants du PS, les alliés du PS, les satellites du PS, y compris les ultimatums des écologistes ! Tout cela donne une impression d’improvisation et de désordre. Pas de réforme de l’Etat ni de moralisation de la politique, pas de réforme des collectivités locales, pas de vision ou de pensée nouvelle sur la sécurité sociale. Il élude les questions essentielles.
Hollande n’est pas à la hauteur ?
Je ne veux pas employer de mots blessants. Mais plusieurs millions de ceux qui ont voté pour lui, qui n’étaient pas de gauche, attendaient du courage et des décisions. Il avait des atouts pour le faire, par exemple un climat de confiance avec les syndicats. François Hollande élu pouvait tracer un horizon, créer les conditions d’une majorité réformiste. Il a choisi de n’en rien faire.
Vous n’aviez pas négocié votre appel en sa faveur au second tour de la présidentielle ?
Jamais. Le marchandage n’est pas dans ma pratique. La liberté ne se divise pas.
Sous Hollande comme sous Sarkozy on constate une usure rapide des présidents dans l’opinion…
Il y a d’autant plus d’usure lorsqu’ils n’assument pas leur mission. Le rôle du président de la République c’est d’affronter ce que personne n’ose affronter, de montrer le chemin au pays. De créer les conditions des mutations nécessaires. Prenez de Gaulle, ou même Giscard : une partie de l’opinion résistait aux mutations pourtant nécessaires, eh bien ils ont entraîné le pays à passer l’obstacle. C’est cela, président de la République.
Les programmes d’histoire-géo ont été réaménagés. Qu’en pensez-vous ?
Les programmes sont souvent trop lourds. Mais je crois surtout que l’enseignement de l’histoire est trop abstrait, désincarné. Je suis sûr qu’il faudra en revenir à la chronologie, aux dates, et aux grandes figures, femmes et hommes de chair, de sang et de conscience, qui l’ont faite.
Une réélection de la chancelière Angela Merkel serait-elle une chance ou un risque pour la France, et l’Europe ?
Ce serait une chance. Angela Merkel est une femme construite, persévérante, qui peut assumer une majorité plurielle, tournée vers l’Europe et qui peut être le partenaire fiable dont la France a besoin en Europe.
http://mouvementdemocrate.fr/
Ce week-end se tiendra l'Université de rentrée, un temps particulièrement important pour le mouvement. Vous pouvez vous inscrire au lien suivant : http://ur2013.mouvementdemocrate.fr/
Le Parisien - Avec votre rapprochement avec l’UDI de Jean-Louis Borloo, une nouvelle dynamique au centre est-elle vraiment enclenchée ?
François Bayrou - Je le crois. Les obstacles les plus importants entre les différentes familles centristes ont presque disparu : pour ceux qui avaient les yeux fixés sur l’UMP, l’idée d’un parti unique de la droite et du centre s’est dissipée. Sous la pression de l’extrême droite, le climat, de ce côté, est plutôt à l’explosion. Du côté du pouvoir socialiste, c’est la glaciation : on refuse les réformes nécessaires et on oublie les engagements de changement politique. L’attente est forte d’une réponse politique originale et qui donne espoir. C’est pour cela que nous, au Centre, avons décidé de mettre les rivalités personnelles et le bal des egos au second plan.
Le bal des egos pourtant est inhérent aux institutions de la Vème ?
Je ne le crois pas. L’élection présidentielle est un rendez-vous mais elle ne viendra que dans trois ans. Nous avons bien autre chose à construire avant.
Ne craignez-vous pas qu'on vous taxe d'opportunisme? Les noms d'oiseaux n’ont pas manqué...
Peu importe. Vient un moment où il faut savoir finir la guerre de cent ans. Quand on a un pays à reconstruire, il faut faire passer les histoires de personnes et de tendances au second plan.
François Fillon a t il dérapé ?
Je ne crois pas aux dérapages. Devant la question de l’électorat FN, il faut décider si on le légitime en le suivant ou si on résiste en présentant une autre vision. Il y a une inflammation de la société, troublée par la crise, le chômage, par l’immigration mal intégrée, par le surgissement de l’Islam. Une approche nouvelle, courageuse et imaginative, doit permettre d’aborder ces questions sans obsession. Il y a une exaspération à l’égard de la politique. J’ai proposé de répondre par un référendum de moralisation de la vie publique. François Hollande s’y était engagé auprès de moi en cas de blocage du parlement. Il n’en a rien fait. Et même ce qu’il y a de plus choquant demeure inchangé.
Trop de dérogations et de privilèges ?
La moindre des choses serait par exemple que les parlementaires qui votent l’impôt soient soumis aux mêmes règles fiscales que les autres contribuables. Or ils bénéficient d’un régime dérogatoire qui fait qu’une part de leurs indemnités n’est ni imposée ni contrôlée. Le Sénat vient de repousser le non cumul des mandats. C’est la même logique : faites ce que je dis, pas ce que je fais. Voyez le nombre de parlementaires PS, députés et sénateurs, qui se présentent aux élections municipales, contrairement à leurs engagements, dans l’espoir qu’une dérogation viendra encore retarder les choses !
Vous croyez au retour de Nicolas Sarkozy ?
Qu’il veuille revenir ne fait aucun doute : il envoie régulièrement des signaux explicites.
A t il changé ?
Les hommes changent-ils vraiment ? Je n’en suis pas sûr… Mais il ne faut rien exclure. Moi-même parfois… (rires).
Qu’est ce qui fait changer les hommes politiques ?
Les difficultés, les défaites qui obligent à réfléchir. Et l’expérience…
La perte de votre circonscription à Pau en fait partie ?
J’ai perdu une élection, pas ma région, pas mon pays, pas mes amis. Car pour moi le Béarn est d’abord une famille humaine. Pas un territoire politique.
Avez-vous une envie de reconquête à Pau ?
Je parlerai de Pau… à Pau.
Qu’en sera t il de vos alliances avec la gauche aux prochaines municipales ?
Au Mouvement Démocrate, nous croyons que les élections locales traitent de problèmes locaux et peuvent faire naître des majorités locales, pas le décalque perpétuel de la guerre droite contre gauche. Nous sommes fiers de ce principe. C’est d’ailleurs ce qui se passe dans la plupart des villes petites et moyennes. Cela dit, quand je regarde le terrain, ville par ville, nos équipes locales sont d’accord dans la plupart des cas. Et quand ce ne sera pas le cas, nous en parlerons et nous assumerons.
Que reprochez-vous le plus à François Hollande ?
De ne pas affronter l’exigence vitale de réformes sur les grands sujets du pays. La réforme des retraites n’en est pas une. Or, ne rien faire tout en prétendant que l’on fait une réforme, c’est épuiser l’énergie du pays et au bout du compte le désespérer. Car lorsqu’on s’apercevra dans quelques mois qu’il faut encore une réforme, que diront les Français ?
Qu’est-ce qui le contraint selon vous à l’immobilisme ?
Sa majorité. C’est hélas le sujet dont il s’occupe le plus. Il donne l’impression de se déterminer à partir des enjeux intérieurs à la gauche : les courants du PS, les alliés du PS, les satellites du PS, y compris les ultimatums des écologistes ! Tout cela donne une impression d’improvisation et de désordre. Pas de réforme de l’Etat ni de moralisation de la politique, pas de réforme des collectivités locales, pas de vision ou de pensée nouvelle sur la sécurité sociale. Il élude les questions essentielles.
Hollande n’est pas à la hauteur ?
Je ne veux pas employer de mots blessants. Mais plusieurs millions de ceux qui ont voté pour lui, qui n’étaient pas de gauche, attendaient du courage et des décisions. Il avait des atouts pour le faire, par exemple un climat de confiance avec les syndicats. François Hollande élu pouvait tracer un horizon, créer les conditions d’une majorité réformiste. Il a choisi de n’en rien faire.
Vous n’aviez pas négocié votre appel en sa faveur au second tour de la présidentielle ?
Jamais. Le marchandage n’est pas dans ma pratique. La liberté ne se divise pas.
Sous Hollande comme sous Sarkozy on constate une usure rapide des présidents dans l’opinion…
Il y a d’autant plus d’usure lorsqu’ils n’assument pas leur mission. Le rôle du président de la République c’est d’affronter ce que personne n’ose affronter, de montrer le chemin au pays. De créer les conditions des mutations nécessaires. Prenez de Gaulle, ou même Giscard : une partie de l’opinion résistait aux mutations pourtant nécessaires, eh bien ils ont entraîné le pays à passer l’obstacle. C’est cela, président de la République.
Les programmes d’histoire-géo ont été réaménagés. Qu’en pensez-vous ?
Les programmes sont souvent trop lourds. Mais je crois surtout que l’enseignement de l’histoire est trop abstrait, désincarné. Je suis sûr qu’il faudra en revenir à la chronologie, aux dates, et aux grandes figures, femmes et hommes de chair, de sang et de conscience, qui l’ont faite.
Une réélection de la chancelière Angela Merkel serait-elle une chance ou un risque pour la France, et l’Europe ?
Ce serait une chance. Angela Merkel est une femme construite, persévérante, qui peut assumer une majorité plurielle, tournée vers l’Europe et qui peut être le partenaire fiable dont la France a besoin en Europe.
http://mouvementdemocrate.fr/
Ce week-end se tiendra l'Université de rentrée, un temps particulièrement important pour le mouvement. Vous pouvez vous inscrire au lien suivant : http://ur2013.mouvementdemocrate.fr/
Tags :
François Bayrou
L'actualité aux Sables d'Olonne
L'information aux Sables d'Olonne
Les Sables d'Olonne
Politique
Vendée
Commentaires (0)
Les Sables d'Olonne Info
Le président Hollande est de retour jeudi en Moselle sur le site meurtri d’Arcelor-Mittal de Florange-Hayange pour une simple visite de courtoisie et les mains vides. Tout le monde se souvient du fameux discours du candidat Hollande « je ferai tout pour assurer la pérennité des hauts-fourneaux et proposerai une loi pour empêcher la fermeture d'un site industriel rentable ». Depuis sa victoire à la présidentielle, les fameuses promesses aux travailleurs ont malheureusement fondu comme neige au soleil. Les hauts-fourneaux sont toujours à l’arrêt et certainement éteints pour l’éternité. Sa fameuse Loi Florange est devenue insignifiante car elle n’oblige même plus un patron qui fait des profits et qui veut fermer son usine à céder son site.
Le milliardaire Mittal, grand patron du CAC 40, a gagné la partie puisqu’il a réussi à détruire l’outil de travail du site Florange-Hayange afin d’éviter toute concurrence avec ses sites à l’étranger.
Les travailleurs ne doivent pas oublier que les syndicats CGT et CFDT ont appelé à faire gagner le candidat Hollande aux dernières élections, politisant ainsi l’action syndicale et contribuant au malheur de ces mêmes travailleurs.
Depuis 30 ans, l’UMP et le PS ont grandement participé à la mort de la sidérurgie.
Seuls le retour à un protectionnisme national ainsi qu’une politique ferme et courageuse comme le propose Marine Le Pen changeront cette situation catastrophique pour le monde ouvrier.
Communiqué de Fabien Engelmann, conseiller politique de Marine Le Pen au dialogue social.
Le milliardaire Mittal, grand patron du CAC 40, a gagné la partie puisqu’il a réussi à détruire l’outil de travail du site Florange-Hayange afin d’éviter toute concurrence avec ses sites à l’étranger.
Les travailleurs ne doivent pas oublier que les syndicats CGT et CFDT ont appelé à faire gagner le candidat Hollande aux dernières élections, politisant ainsi l’action syndicale et contribuant au malheur de ces mêmes travailleurs.
Depuis 30 ans, l’UMP et le PS ont grandement participé à la mort de la sidérurgie.
Seuls le retour à un protectionnisme national ainsi qu’une politique ferme et courageuse comme le propose Marine Le Pen changeront cette situation catastrophique pour le monde ouvrier.
Communiqué de Fabien Engelmann, conseiller politique de Marine Le Pen au dialogue social.
Tags :
L'actualité aux Sables d'Olonne
L'information aux Sables d'Olonne
Les Sables d'Olonne
Politique
Vendée
Commentaires (0)
Les Sables d'Olonne Info
Marie-Christine Arnautu, tête de liste Nice Bleu Marine, présente ses sincères condoléances aux familles de nos deux compatriotes niçoises, froidement assassinées à Nairobi, victimes du fanatisme islamiste.
Elle souhaite vivement que ce drame terrible, conduise enfin le gouvernement français à réfléchir à sa politique étrangère irresponsable.
Elle souhaite vivement que ce drame terrible, conduise enfin le gouvernement français à réfléchir à sa politique étrangère irresponsable.
Tags :
Condoléances
Front National
Islamistes
Kenya
L'actualité aux Sables d'Olonne
L'information aux Sables d'Olonne
Les Sables d'Olonne
Vendée
Commentaires (0)
Les Sables d'Olonne Info
Joëlle Melin, conseillère politique à la santé
"En annonçant la généralisation du tiers payant, c'est-à-dire la dispense de l’avance de frais, lors des consultations médicales, la ministre Marisol Touraine a signé l’arrêt de mort de la médecine libérale, spécifique de la médecine à la française.
Du côté des patients, cette « fausse gratuité » va entraîner une très nette augmentation des consultations comme cela est déjà le cas pour la CMU et l’AME. Qui plus est, ces demandes médicales ont des motifs parfois inutiles, dans un contexte de totale déresponsabilisation et très souvent, hélas, avec les mêmes exigences déplacées qu’aux urgences des hôpitaux.
Quant aux médecins près un blocage des honoraires- pour certaines spécialités depuis 21 ans !!!-sans reconnaissance ni des diplômes complémentaires ni de l’ancienneté, la généralisation du tiers payant, va les mettre dans la même situation que les pharmaciens, les kinésithérapeutes et les infirmières qui sont à bout de souffle, à la fois financièrement par des retards de règlements, mais aussi par les tâches administratives qui obèrent totalement le rapport au patient. C’est la nationalisation effective de la médecine
Le Front National est plus que jamais soucieux de l’accès de tous aux soins modernes, particulièrement les plus démunis. Mais il est aussi garant de la sauvegarde de notre système de médecine libérale qui, par sa liberté d’initiative, est un exemple de qualité en comparaison des systèmes étatisés allemands ou anglais.
Il propose un mode de règlement immédiat des consultations par les patients, via une carte vitale modernisée qui assurerait, outre l’identité de la personne, un règlement à prélèvement différé, postérieur au remboursement de la sécurité sociale. Les patients seraient responsabilisés et les praticiens honorés à leur juste service à la société."
Communiqué du Docteur Joëlle Melin, Conseillère politique de Marine Le Pen en matière de santé.
Du côté des patients, cette « fausse gratuité » va entraîner une très nette augmentation des consultations comme cela est déjà le cas pour la CMU et l’AME. Qui plus est, ces demandes médicales ont des motifs parfois inutiles, dans un contexte de totale déresponsabilisation et très souvent, hélas, avec les mêmes exigences déplacées qu’aux urgences des hôpitaux.
Quant aux médecins près un blocage des honoraires- pour certaines spécialités depuis 21 ans !!!-sans reconnaissance ni des diplômes complémentaires ni de l’ancienneté, la généralisation du tiers payant, va les mettre dans la même situation que les pharmaciens, les kinésithérapeutes et les infirmières qui sont à bout de souffle, à la fois financièrement par des retards de règlements, mais aussi par les tâches administratives qui obèrent totalement le rapport au patient. C’est la nationalisation effective de la médecine
Le Front National est plus que jamais soucieux de l’accès de tous aux soins modernes, particulièrement les plus démunis. Mais il est aussi garant de la sauvegarde de notre système de médecine libérale qui, par sa liberté d’initiative, est un exemple de qualité en comparaison des systèmes étatisés allemands ou anglais.
Il propose un mode de règlement immédiat des consultations par les patients, via une carte vitale modernisée qui assurerait, outre l’identité de la personne, un règlement à prélèvement différé, postérieur au remboursement de la sécurité sociale. Les patients seraient responsabilisés et les praticiens honorés à leur juste service à la société."
Communiqué du Docteur Joëlle Melin, Conseillère politique de Marine Le Pen en matière de santé.
Tags :
Front National
L'actualité aux Sables d'Olonne
L'information aux Sables d'Olonne
Les Sables d'Olonne
Médecine libérale
Politique
Vendée
Commentaires (0)
Les Sables d'Olonne Info
Louis Aliot, Vice-président du Front National, interviendra aujourd'hui à 12h20 dans l'émission " Les grandes Gueules " sur RMC.
Tags :
L'actualité aux Sables d'Olonne
L'information aux Sables d'Olonne
Les Sables d'Olonne
Louis Aliot
Vendée
Commentaires (0)
Les Sables d'Olonne Info
Le programme de l'Université de rentrée se déroulera à Guidel-plage (Morbihan) du vendredi 27 septembre au dimanche 29 septembre à 12h30. "Tout au long de ces journées, des ateliers de formation et de travaux pratiques seront organisés", explique François Bayrou, président du Mouvement Démocrate. "Interviendront notamment, au cours de ces trois journées, les vice-présidents Marielle de Sarnez, Jean-Luc Bennahmias, Jacqueline Gourault, Jean Lassalle, Robert Rochefort et Jean-Marie Vanlerenberghe. Nous aurons des moments d'échanges sur la situation politique nationale et la perspective de rapprochement des mouvements du Centre politique français. Nous aborderons aussi les grands thèmes de la vie nationale, internationale et européenne avec des personnalités passionnantes."
Les principaux rendez-vous en séance plénière de ces trois journées :
- Vendredi 27 septembre :
15 h. Ouverture par Marc Fesneau, secrétaire général du Mouvement Démocrate.
18 h. Crise au Proche-Orient, grand témoin : Antoine Sfeir, président du Centre d’Études et de réflexion sur le Proche-Orient, directeur des Cahiers de l’Orient.
20 h. Dîner
21 h. Conseil national, intervention des vice-présidents du MoDem.
- Samedi 28 septembre :
10 h. 30 Forum sur l’avenir de l’Europe, organisé avec le concours du Parti Démocrate Européen.
Ouverture : Bernard Guetta, journaliste et éditorialiste
- Sandro Gozi, député italien, vice-président du PDI et du Parti Démocrate Européen
- Guillaume Klossa, fondateur de EuropaNova, thinktank européen transpartisan
- Henri Malosse, président du Comité économique et social européen
- Mario Telo, président de l’Institut d’études européennes de l’Université Libre de Bruxelles
- Carole Ulmer, directrice des études du think tank Confrontations Europe
13 h. Conclusion : Francesco Rutelli, président de l’Alliance pour l’Italie, co-président du Parti Démocrate Européen.
13 h. 30 Déjeuner
15 h. L’état de l’économie française,
Ouverture : Robert Rochefort, économiste et député européen
- Jean-Paul Betbèze, chef économiste du Crédit Agricole (2005-2013), membre du Cercle des Economistes
- Jacques Delplat, économiste, essayiste, auteur de La fin des privilèges, payer pour réformer, et de Pour sauver l’euro.
18 h 30 Débat avec Jean-François Kahn, autour de son livre Comment s’en sortir ?
19 h 45 Dîner
21 h. Rencontre : La France vue par les marcheurs
- Axel Kahn, généticien, directeur de recherche à l’INSERM, écrivain, président de l’Université Paris-Descartes (2007-2011)
- Jean Lassalle, député des Pyrénées-Atlantiques
- Dimanche 29 septembre :
9 h. 30 Débat Justice, libertés, sécurité
- Michel Mercier, ancien ministre de la justice, garde des Sceaux (2009-2012), sénateur du Rhône
- Christophe Regnard, président de l’Union Syndicale des Magistrats
- Me Jean-Luc Forget, avocat au barreau de Toulouse, président de la Conférence nationale des bâtonniers.
- Témoignages de policiers et policières de terrain.
11 h. Clôture de l’Université de rentrée
Interventions :
- Bruno Joncour, maire de Saint-Brieuc, président du Mouvement démocrate de Bretagne,
- Marielle de Sarnez, première vice-présidente du Mouvement démocrate, secrétaire générale du Parti Démocrate Européen,
- François Bayrou, président du Mouvement Démocrate.
Inscriptions : http://ur2013.mouvementdemocrate.fr/
Les principaux rendez-vous en séance plénière de ces trois journées :
- Vendredi 27 septembre :
15 h. Ouverture par Marc Fesneau, secrétaire général du Mouvement Démocrate.
18 h. Crise au Proche-Orient, grand témoin : Antoine Sfeir, président du Centre d’Études et de réflexion sur le Proche-Orient, directeur des Cahiers de l’Orient.
20 h. Dîner
21 h. Conseil national, intervention des vice-présidents du MoDem.
- Samedi 28 septembre :
10 h. 30 Forum sur l’avenir de l’Europe, organisé avec le concours du Parti Démocrate Européen.
Ouverture : Bernard Guetta, journaliste et éditorialiste
- Sandro Gozi, député italien, vice-président du PDI et du Parti Démocrate Européen
- Guillaume Klossa, fondateur de EuropaNova, thinktank européen transpartisan
- Henri Malosse, président du Comité économique et social européen
- Mario Telo, président de l’Institut d’études européennes de l’Université Libre de Bruxelles
- Carole Ulmer, directrice des études du think tank Confrontations Europe
13 h. Conclusion : Francesco Rutelli, président de l’Alliance pour l’Italie, co-président du Parti Démocrate Européen.
13 h. 30 Déjeuner
15 h. L’état de l’économie française,
Ouverture : Robert Rochefort, économiste et député européen
- Jean-Paul Betbèze, chef économiste du Crédit Agricole (2005-2013), membre du Cercle des Economistes
- Jacques Delplat, économiste, essayiste, auteur de La fin des privilèges, payer pour réformer, et de Pour sauver l’euro.
18 h 30 Débat avec Jean-François Kahn, autour de son livre Comment s’en sortir ?
19 h 45 Dîner
21 h. Rencontre : La France vue par les marcheurs
- Axel Kahn, généticien, directeur de recherche à l’INSERM, écrivain, président de l’Université Paris-Descartes (2007-2011)
- Jean Lassalle, député des Pyrénées-Atlantiques
- Dimanche 29 septembre :
9 h. 30 Débat Justice, libertés, sécurité
- Michel Mercier, ancien ministre de la justice, garde des Sceaux (2009-2012), sénateur du Rhône
- Christophe Regnard, président de l’Union Syndicale des Magistrats
- Me Jean-Luc Forget, avocat au barreau de Toulouse, président de la Conférence nationale des bâtonniers.
- Témoignages de policiers et policières de terrain.
11 h. Clôture de l’Université de rentrée
Interventions :
- Bruno Joncour, maire de Saint-Brieuc, président du Mouvement démocrate de Bretagne,
- Marielle de Sarnez, première vice-présidente du Mouvement démocrate, secrétaire générale du Parti Démocrate Européen,
- François Bayrou, président du Mouvement Démocrate.
Inscriptions : http://ur2013.mouvementdemocrate.fr/
Tags :
L'actualité aux Sables d'Olonne
L'information aux Sables d'Olonne
Les Sables d'Olonne
Mouvement Démocrate
Vendée
Commentaires (0)
Les Sables d'Olonne Info
Dernières notes
Vendée Globe départ ce dimanche
10/11/2024
Confidences du Vendéen Sébastien Simon
28/10/2024
Politique
La Chaine Parlementaire (LCP), Live TNT par LCP
France
-
Espaces verts et logement social : le plan "bioclimatique" de Paris pour transformer la ville
24/11/2024 15:24 - Anaelle Jonah -
À Paris, une mobilisation féministe "pour en finir avec l’impunité"
23/11/2024 18:08 - Barbara GABEL -
Le Vatican officialise la visite du pape François en Corse le 15 décembre
23/11/2024 14:10 - FRANCE 24 -
Violences faites aux femmes : des manifestations en France sur fond de procès des viols de Mazan
23/11/2024 12:20 - FRANCE 24
Liste de liens
Galerie
Cinéma
|
Expositions
|
Culture et Animations
|
Sports et Nautisme
|
"Les Sables d'Olonne info" est un blog sur l'actualité et l'information de la ville des Sables d'Olonne. Contact : lesablesinfo@aol.fr