|
Les Fiefs vendéens, terroir de 480 ha, avaient décroché l'appellation d'origine contrôlée en 2011, après vingt années de labeur.
Lors de l'assemblée générale des Fiefs Vendéens, Hubert Macquigneau, président du syndicat des Fiefs Vendéens, a présenté le bilan de l'année écoulée avec la première cuvée AOC. Les viticulteurs de Fiefs vendéens s'étaient réunis, début décembre, à Brem-sur-Mer.
Dans ce lieu d'information et d'échange, le président a expliqué aux adhérents la mise en place et la complexité de la mise en place de ce plan d'inspection sur la nouvelle appellation d’origine contrôlée obtenue depuis plus d'un an.
Il a annoncé que depuis l'obtention de l'appellation AOC, le bilan de l'année écoulée est positif : "on a remarqué que les ventes des AOC se sont bien comportés malgré un climat très défavorable jusqu'en milieu d'année et aussi les difficultés rencontrées au niveau des entrées, des volumes et des sorties" explique Hubert Macquigneau sur Agri.fr.
Les vendanges 2012 sont terminées et selon le président le vin va donner un magnifique cru, de très bonne qualité mais d'une grande rareté.
En conclusion, pour les repas des fêtes de fin d'année, le viticulteur de Rosnay vous conseille de goûter à tous les vins qu'il soit blanc, rouge ou rosé chacun s'accordera avec les mets qui l'accompagnent.
Dans ce lieu d'information et d'échange, le président a expliqué aux adhérents la mise en place et la complexité de la mise en place de ce plan d'inspection sur la nouvelle appellation d’origine contrôlée obtenue depuis plus d'un an.
Il a annoncé que depuis l'obtention de l'appellation AOC, le bilan de l'année écoulée est positif : "on a remarqué que les ventes des AOC se sont bien comportés malgré un climat très défavorable jusqu'en milieu d'année et aussi les difficultés rencontrées au niveau des entrées, des volumes et des sorties" explique Hubert Macquigneau sur Agri.fr.
Les vendanges 2012 sont terminées et selon le président le vin va donner un magnifique cru, de très bonne qualité mais d'une grande rareté.
En conclusion, pour les repas des fêtes de fin d'année, le viticulteur de Rosnay vous conseille de goûter à tous les vins qu'il soit blanc, rouge ou rosé chacun s'accordera avec les mets qui l'accompagnent.
Commentaires (0)
Les Sables Info
Le groupe des veillées chaumoises.vous propose un spectacle joyeux et animé, dans la pure tradition de Noël. Des chansons rythmées et des animations diverses égayeront le coeur du public. Vous célébrerez Noël en musique avant le 25 décembre.
- Samedi 15 décembre 2012 à partir de 20 h 45,
- Dimanche 16 décembre 2012 à partir de 16 h 00.
Salle des fêtes de la Chaume (entrée rue du Lieutenant Anger) Les Sables d'Olonne.
Au programme des chants traditionnels de Noël et animations diverses :
Les solistes :
. Yves : il nous faut regarder,
. Marcel : Minuit chrétien,
. Danièle : on croit toujours un peu au Père Noël,
. Gérard : pot pourri des noëls antillais.
Et le groupe :
. Mes Frères
. Les Draveurs du Québec
. L’enfant au tambour
. Souliko
. Minuit sonne
. Chantez enfants du monde
. Tourne la chance
. Noël en Mer
. La marche des Rois
. Je reviens chez nous
. Quand les hommes vivront d’amour
Etc……etc
Un programme de Noël varié et coloré, (animations diverses) dans la pure tradition du groupe des « Veillées ».
Réservation par téléphone au 06.04.46.96.76.
Et à la salle des fêtes de la Chaume les vendredi 14 de 9 h à 12 h et samedi 15 décembre 2012 de 9 h à 12 h.
Tarif : 8 €, gratuité pour les enfants de moins de 12 ans.
- Samedi 15 décembre 2012 à partir de 20 h 45,
- Dimanche 16 décembre 2012 à partir de 16 h 00.
Salle des fêtes de la Chaume (entrée rue du Lieutenant Anger) Les Sables d'Olonne.
Au programme des chants traditionnels de Noël et animations diverses :
Les solistes :
. Yves : il nous faut regarder,
. Marcel : Minuit chrétien,
. Danièle : on croit toujours un peu au Père Noël,
. Gérard : pot pourri des noëls antillais.
Et le groupe :
. Mes Frères
. Les Draveurs du Québec
. L’enfant au tambour
. Souliko
. Minuit sonne
. Chantez enfants du monde
. Tourne la chance
. Noël en Mer
. La marche des Rois
. Je reviens chez nous
. Quand les hommes vivront d’amour
Etc……etc
Un programme de Noël varié et coloré, (animations diverses) dans la pure tradition du groupe des « Veillées ».
Réservation par téléphone au 06.04.46.96.76.
Et à la salle des fêtes de la Chaume les vendredi 14 de 9 h à 12 h et samedi 15 décembre 2012 de 9 h à 12 h.
Tarif : 8 €, gratuité pour les enfants de moins de 12 ans.
Commentaires (0)
Les Sables Info
Projet lancé en septembre 2011, les Archives municipales des Sables-d'Olonne mettent à disposition aujourd'hui en version numérique le journal La Plage, publié de 1876 à 1924 (sauf interruption de 1915 à 1922). Avec possibilité de recherches en plein texte grâce à la barre outil, les 4205 pages sont accessibles sur le site internet de la ville : http://www.lessablesdolonne.fr/patrimoine/archives-municipales/
Cette démarche s'est inscrite dans un projet national de numérisation et de mise en ligne de la presse écrite française sous l'égide du Ministère de la Culture et du DREST. La numérisation du journal La Plage – Liste officielle des Étrangers a pu être réalisée grâce à une subvention de la DRAC des Pays de la Loire.
Ce projet a été également rendu possible grâce à un très bel exemple de partenariat entre les Archives municipales des Sables-d’Olonne, la Médiathèque Benjamin Rabier de la Roche-sur-Yon Agglomération, la direction du Journal des Sables et la société d’histoire locale OLONA, ceci afin de proposer la collection la plus complète possible aux lecteurs.
Le journal de la plage
Entre 1848 et 1944, à l'image du reste de la France, la presse vendéenne connaît un véritable âge d'or puisque l'on recense 95 journaux dans le département durant cette période. Preuve de cet incroyable essor, la presse sablaise ne compte alors pas moins de 14 titres.
La plage des Sables-d'Olonne est alors un journal incontournable de cette époque florissante de la presse écrite, par son ancienneté (fondation en 1876) et par son exceptionnelle longévité (1 110 numéros pendant 41 années !), très rare pour une parution exclusivement estivale.
Ce journal, créé par Édouard Mayeux (1846-1917), est dirigé par ce dernier jusqu’en août 1914. Éditeur, libraire et publicitaire sablais installé au 6 rue Bisson, on lui doit notamment de très nombreux guides touristiques mais surtout les magnifiques affiches des chemins de fer qui ont fait la renommée des Sables.
Après une large interruption du fait de la Première Guerre mondiale et du décès d'Édouard Mayeux, le journal est repris en 1923 par Tranquille Doré, le directeur du Journal des Sables, avant de s'interrompre définitivement l'année suivante.
La plage des Sables-d'Olonne est un bi-hebdomadaire ou tri-hebdomadaire de 4 pages qui parait exclusivement de juillet à mi-septembre, soit en moyenne 25 à 30 numéros chaque été.
Le 1er numéro date du samedi 1er juillet 1876, jour emblématique de l'inauguration du Grand Casino des Sables, construit sous la direction de Gustave Eiffel. Dès cet instant, le journal se fait chaque été le chantre de la station balnéaire sablaise. La ligne éditoriale est des plus simples, d'ailleurs voici comment le journal se décrit lui même : "À tous, Étrangers et Sablais, présents et à venir Salut! Je suis la Plage, fille de la plage que caresse avec amour les flots bleus du vieil Océan. Programme de vos fêtes, compte rendu de vos plaisirs et de vos travaux, écho de vos joies ou de vos tristesses, interprête de vos désirs, de vos souhaits, je reviens, fidèle au rendez-vous annuel, vous distraire, vous être utile.
Indépendante, ne servant aucune coterie ou aucun intérêt personnel, je laisse à d'autres les discussions de la politique, les longs articles, toutes les digressions ennuyeuses ou inopportunes, la prétention et l'ambition. C'est la Trève des Baigneurs".
Cette presse originale comporte en outre sa fameuse « Liste des Étrangers », qui est le recensement exhaustif des personnes venant alors en villégiature aux Sables-d’Olonne. C’est en sorte le "Who’s Who sablais" de la Belle Époque. Parmi les personnalités célèbres, on peut noter la venue du compositeur Saint-Saëns en 1911, mais également celles de Jules Renard ou de Gaston Leroux. Ces listes permettent également de constater le succès croissant de la station balnéaire des Sables-d’Olonne, comme en témoigne la comptabilité de la fréquentation touristique : 4 500 personnes en 1887 contre 15 300 en 1924 !
Le journal fait aussi la part belle aux publicités et réclames des commerçants sablais, qui financent ainsi en grande partie le journal.
Cette démarche s'est inscrite dans un projet national de numérisation et de mise en ligne de la presse écrite française sous l'égide du Ministère de la Culture et du DREST. La numérisation du journal La Plage – Liste officielle des Étrangers a pu être réalisée grâce à une subvention de la DRAC des Pays de la Loire.
Ce projet a été également rendu possible grâce à un très bel exemple de partenariat entre les Archives municipales des Sables-d’Olonne, la Médiathèque Benjamin Rabier de la Roche-sur-Yon Agglomération, la direction du Journal des Sables et la société d’histoire locale OLONA, ceci afin de proposer la collection la plus complète possible aux lecteurs.
Le journal de la plage
Entre 1848 et 1944, à l'image du reste de la France, la presse vendéenne connaît un véritable âge d'or puisque l'on recense 95 journaux dans le département durant cette période. Preuve de cet incroyable essor, la presse sablaise ne compte alors pas moins de 14 titres.
La plage des Sables-d'Olonne est alors un journal incontournable de cette époque florissante de la presse écrite, par son ancienneté (fondation en 1876) et par son exceptionnelle longévité (1 110 numéros pendant 41 années !), très rare pour une parution exclusivement estivale.
Ce journal, créé par Édouard Mayeux (1846-1917), est dirigé par ce dernier jusqu’en août 1914. Éditeur, libraire et publicitaire sablais installé au 6 rue Bisson, on lui doit notamment de très nombreux guides touristiques mais surtout les magnifiques affiches des chemins de fer qui ont fait la renommée des Sables.
Après une large interruption du fait de la Première Guerre mondiale et du décès d'Édouard Mayeux, le journal est repris en 1923 par Tranquille Doré, le directeur du Journal des Sables, avant de s'interrompre définitivement l'année suivante.
La plage des Sables-d'Olonne est un bi-hebdomadaire ou tri-hebdomadaire de 4 pages qui parait exclusivement de juillet à mi-septembre, soit en moyenne 25 à 30 numéros chaque été.
Le 1er numéro date du samedi 1er juillet 1876, jour emblématique de l'inauguration du Grand Casino des Sables, construit sous la direction de Gustave Eiffel. Dès cet instant, le journal se fait chaque été le chantre de la station balnéaire sablaise. La ligne éditoriale est des plus simples, d'ailleurs voici comment le journal se décrit lui même : "À tous, Étrangers et Sablais, présents et à venir Salut! Je suis la Plage, fille de la plage que caresse avec amour les flots bleus du vieil Océan. Programme de vos fêtes, compte rendu de vos plaisirs et de vos travaux, écho de vos joies ou de vos tristesses, interprête de vos désirs, de vos souhaits, je reviens, fidèle au rendez-vous annuel, vous distraire, vous être utile.
Indépendante, ne servant aucune coterie ou aucun intérêt personnel, je laisse à d'autres les discussions de la politique, les longs articles, toutes les digressions ennuyeuses ou inopportunes, la prétention et l'ambition. C'est la Trève des Baigneurs".
Cette presse originale comporte en outre sa fameuse « Liste des Étrangers », qui est le recensement exhaustif des personnes venant alors en villégiature aux Sables-d’Olonne. C’est en sorte le "Who’s Who sablais" de la Belle Époque. Parmi les personnalités célèbres, on peut noter la venue du compositeur Saint-Saëns en 1911, mais également celles de Jules Renard ou de Gaston Leroux. Ces listes permettent également de constater le succès croissant de la station balnéaire des Sables-d’Olonne, comme en témoigne la comptabilité de la fréquentation touristique : 4 500 personnes en 1887 contre 15 300 en 1924 !
Le journal fait aussi la part belle aux publicités et réclames des commerçants sablais, qui financent ainsi en grande partie le journal.
Commentaires (0)
Les Sables Info
Philippe de Villiers a commencé un oral en rassurant son public sur son état de santé. C'est un Philippe en pleine forme qui a présenté son livre intitulé "Le roman de Charette". Plus d'une centaine de personnes sont venues l'écouter au Centre Leclerc d'Olonne-sur-Mer. Il a su attirer l'attention de toute la salle sur l'histoire de Charette.
L'auteur décrit : "En oubliant de dire ce qui s'est passé avant, on donne de ce Charette et de la Vendée, une image arriérée. Des gens derrière leur buisson, manipulés par des curés qui en fait, n'ont rien vu du monde extérieur. Des hirsutes qui mangent des glands dans la forêt de Grasla. J'ai déjà brisé cette image avec le Puy du Fou. Je n'ai jamais accepté l'injustice faite aux Vendéens qui est un peuple génocidé comme les Indiens par les Américains. C'est une vie, c'est ma vie. Quand j'avais six ans j'ai dit à mon père : je consacrerai ma vie à la réhabilitation de la Vendée...
Les intellectuels et les historiens me disent : Pourquoi connaît-on La Fayette et pas Charette ? Peut-être que certains trouvaient avantage à faire commencer Charette sous son lit. Mais Charette ce n'est pas du tout ça. Il fait partie de la Marine savante c'est-à-dire des gens qui ont fait avancer le progrès. Il a participé à l'émergence du monde Américain, aux convoitises des Russes en Méditerranée... Il voit le déroulement de la révolution de chez lui. C'est quelqu'un qui intellectuellement est extrêmement brillant. Ces lettres en témoignent ; il a une vision du monde. Il sait ce qu'est la guerre.
Quand il dit à sa soeur : un marin qui tombe à l'eau, il dure trois minutes. On me demande trois minutes, je les donne. C'est comme ça qu'il part au combat...
Ce que j'ai souhaité faire avec ce livre, c'est montrer que les Vendéens ne sont pas des arriérés. La porte d'entrée dans la Vendée historique doit changer. La Vendée, c'est l'honneur de la France. C'est sur la carte métaphysique des points précieux de la planète, un haut lieu spirituel.
Charette a été un grand combattant. C'est un homme de panache. Il avait le panache sur lui. Quand il est interrogé par le tribunal révolutionnaire dans la prison du Bouffay, le président du tribunal, le général Duthil lui dit : Mais pourquoi cette plume que vous exposez inutilement à vos adversaires ? Il répond : Une vieille tradition de la Marine Royale. Un officier de marine n'abdique jamais l'honneur d'être une cible. C'est le premier sur qui on tire depuis le bateau ennemi...
Il porte le panache dans son coeur. N'oublions pas que quelques heures avant de mourir, il explique à sa soeur : regarde-moi tomber. Un officier français ne s'effondre pas. Et il va tomber au ralenti. Il étudie jusqu'à la manière de fléchir son corps alors qu'il n'a que 33 ans.
Le luxe des luxes de l'officier qui sait la justesse de sa cause, c'est d'appeler le général Travot, qu'il respecte, et de lui demander une dernière faveur : de commander lui-même le peloton d'exécution. Qu'il meurt d'une manière magnifique."
Philippe de Villiers termine : "Je vais vous faire une confidence : j'ai une grand-mère qui s'appelle Elizabeth B. de M. qui habitait La Bralière à Boulogne, qui a fait un hopital blanc et qui était amazone de Charette et donc j'ai des documents de famille que vous retrouverez dans le livre. J'avais une petite avance par rapport aux historiens sur la question. J'ai une lettre dans laquelle Charette écrit, un mois avant sa mort, sans trembler : je verserais pour la cause jusqu'à la dernière goutte de mon sang. Alors je ne demande qu'une seule chose à tous ceux qui veulent porter sur la Vendée un regard objectif. C'est de regarder la grandeur. La grandeur d'un homme qui a trente-trois ans. Il ose écrire cela et le fait.
Napoléon dit de Charette : c'était un grand caractère, il laissait percer du génie.
Ca vaut quand même le coup que les Français connaissent ce personnage. Et à travers ce personnage, c'est la grandeur de la Vendée. La Vendée d'hier et la Vendée d'aujourd'hui, celle qu'on aime et qui est un point précieux dans le coeur de tous les Français."
L'auteur décrit : "En oubliant de dire ce qui s'est passé avant, on donne de ce Charette et de la Vendée, une image arriérée. Des gens derrière leur buisson, manipulés par des curés qui en fait, n'ont rien vu du monde extérieur. Des hirsutes qui mangent des glands dans la forêt de Grasla. J'ai déjà brisé cette image avec le Puy du Fou. Je n'ai jamais accepté l'injustice faite aux Vendéens qui est un peuple génocidé comme les Indiens par les Américains. C'est une vie, c'est ma vie. Quand j'avais six ans j'ai dit à mon père : je consacrerai ma vie à la réhabilitation de la Vendée...
Les intellectuels et les historiens me disent : Pourquoi connaît-on La Fayette et pas Charette ? Peut-être que certains trouvaient avantage à faire commencer Charette sous son lit. Mais Charette ce n'est pas du tout ça. Il fait partie de la Marine savante c'est-à-dire des gens qui ont fait avancer le progrès. Il a participé à l'émergence du monde Américain, aux convoitises des Russes en Méditerranée... Il voit le déroulement de la révolution de chez lui. C'est quelqu'un qui intellectuellement est extrêmement brillant. Ces lettres en témoignent ; il a une vision du monde. Il sait ce qu'est la guerre.
Quand il dit à sa soeur : un marin qui tombe à l'eau, il dure trois minutes. On me demande trois minutes, je les donne. C'est comme ça qu'il part au combat...
Ce que j'ai souhaité faire avec ce livre, c'est montrer que les Vendéens ne sont pas des arriérés. La porte d'entrée dans la Vendée historique doit changer. La Vendée, c'est l'honneur de la France. C'est sur la carte métaphysique des points précieux de la planète, un haut lieu spirituel.
Charette a été un grand combattant. C'est un homme de panache. Il avait le panache sur lui. Quand il est interrogé par le tribunal révolutionnaire dans la prison du Bouffay, le président du tribunal, le général Duthil lui dit : Mais pourquoi cette plume que vous exposez inutilement à vos adversaires ? Il répond : Une vieille tradition de la Marine Royale. Un officier de marine n'abdique jamais l'honneur d'être une cible. C'est le premier sur qui on tire depuis le bateau ennemi...
Il porte le panache dans son coeur. N'oublions pas que quelques heures avant de mourir, il explique à sa soeur : regarde-moi tomber. Un officier français ne s'effondre pas. Et il va tomber au ralenti. Il étudie jusqu'à la manière de fléchir son corps alors qu'il n'a que 33 ans.
Le luxe des luxes de l'officier qui sait la justesse de sa cause, c'est d'appeler le général Travot, qu'il respecte, et de lui demander une dernière faveur : de commander lui-même le peloton d'exécution. Qu'il meurt d'une manière magnifique."
Philippe de Villiers termine : "Je vais vous faire une confidence : j'ai une grand-mère qui s'appelle Elizabeth B. de M. qui habitait La Bralière à Boulogne, qui a fait un hopital blanc et qui était amazone de Charette et donc j'ai des documents de famille que vous retrouverez dans le livre. J'avais une petite avance par rapport aux historiens sur la question. J'ai une lettre dans laquelle Charette écrit, un mois avant sa mort, sans trembler : je verserais pour la cause jusqu'à la dernière goutte de mon sang. Alors je ne demande qu'une seule chose à tous ceux qui veulent porter sur la Vendée un regard objectif. C'est de regarder la grandeur. La grandeur d'un homme qui a trente-trois ans. Il ose écrire cela et le fait.
Napoléon dit de Charette : c'était un grand caractère, il laissait percer du génie.
Ca vaut quand même le coup que les Français connaissent ce personnage. Et à travers ce personnage, c'est la grandeur de la Vendée. La Vendée d'hier et la Vendée d'aujourd'hui, celle qu'on aime et qui est un point précieux dans le coeur de tous les Français."
Commentaires (0)
Les Sables Info
Plus de 450 produits sont référencés au Palais du Vin.
C'est demain, jeudi 15 novembre au Palais du vin à Aubigny que vous découvrirez le Beaujolais Nouveau 2012.
A déguster et partager entre amis les jeudi 15 , vendredi 16 et samedi 17 novembre toute la journée.
Agréable et fruité, avec un poulet rôti, avec un lapin à la moutarde, avec une côte de porc, avec un poisson grillé ou en papillote, avec un gratin de légume, avec une tartiflette... C'est toujours agréable entre amis.
Les vins blancs, rosés, rouges, effervescents, liquoreux ; ils constituent la majorité de la gamme des vins fins vendus en bouteille à la cave à Aubigny et sur le marché des Halles de La Roche-sur-Yon. Le Palais du vin : "Toujours pour mieux vous servir".
Contact : Sophie Goulpeau, Monte à peine 85430 Aubigny
Courriel : lepalaisduvin@gmail.com
Téléphone : 02 51 06 22 38
Portable : 06 76 05 44 07.
A déguster et partager entre amis les jeudi 15 , vendredi 16 et samedi 17 novembre toute la journée.
Agréable et fruité, avec un poulet rôti, avec un lapin à la moutarde, avec une côte de porc, avec un poisson grillé ou en papillote, avec un gratin de légume, avec une tartiflette... C'est toujours agréable entre amis.
Les vins blancs, rosés, rouges, effervescents, liquoreux ; ils constituent la majorité de la gamme des vins fins vendus en bouteille à la cave à Aubigny et sur le marché des Halles de La Roche-sur-Yon. Le Palais du vin : "Toujours pour mieux vous servir".
Contact : Sophie Goulpeau, Monte à peine 85430 Aubigny
Courriel : lepalaisduvin@gmail.com
Téléphone : 02 51 06 22 38
Portable : 06 76 05 44 07.
Commentaires (0)
Les Sables Info
Thierry PIEL vous propose une conférence sur le thème « Autour des sept merveilles du monde : mythe et réalité de l'art antique ».
Thierry Piel, historien et Maître de conférence à l’Université de Nantes
Maître de conférences en histoire ancienne à l'Université de Nantes, il animera la deuxième conférence de l'Université Permanente le Mercredi 21 novembre prochain à 15 heures dans la Salle des Conférences de l'Abbaye Sainte-Croix.
"La liste des sept merveilles du monde la plus communément admise – grandes pyramides, artemision d'Ephèse, phare d'Alexandrie, jardins suspendus de Babylone, colosse de Rhodes, statue de Zeus à Olympie et mausolée d'Halicarnasse – n'est en fait qu'une liste parmi de nombreuses autres élaborées durant l'Antiquité. Elles ressortent à un lieu commun, celui des mirabilia c'est-à-dire des réalisations exceptionnelles du genre humain qui ont suscité l'étonnement des Anciens. Après avoir abordé les conditions historiques qui ont abouti à l'établissement de ces listes de merveilles, nous étudierons les sept réalisations ci-dessus mentionnées. Nous nous attacherons à en présenter la genèse artistique et technique, la fonction et le destin historique ainsi que les nombreux avatars qu'elles générèrent depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours."
"La liste des sept merveilles du monde la plus communément admise – grandes pyramides, artemision d'Ephèse, phare d'Alexandrie, jardins suspendus de Babylone, colosse de Rhodes, statue de Zeus à Olympie et mausolée d'Halicarnasse – n'est en fait qu'une liste parmi de nombreuses autres élaborées durant l'Antiquité. Elles ressortent à un lieu commun, celui des mirabilia c'est-à-dire des réalisations exceptionnelles du genre humain qui ont suscité l'étonnement des Anciens. Après avoir abordé les conditions historiques qui ont abouti à l'établissement de ces listes de merveilles, nous étudierons les sept réalisations ci-dessus mentionnées. Nous nous attacherons à en présenter la genèse artistique et technique, la fonction et le destin historique ainsi que les nombreux avatars qu'elles générèrent depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours."
Commentaires (0)
Les Sables Info
La section départementale des propriétaires ruraux de la FDSEA organise le vendredi 23 novembre prochain au Poiré-sur-Vie, une journée d'information sur la propriété rurale. Ouvert à tous, ce « carrefour du patrimoine rural » permettra de s'informer, au travers des exposés de différents intervenants, sur les modes de transmission de la propriété rurale, les différents contrats de location existants ou bien encore l'intérêt patrimonial que peut représenter l'investissement dans le foncier agricole.
Au programme :
. Matin :
- 9h15 - 9h45 : Emargement - Café brioche par l'AFDI,
- 9h45 : Ouverture par Michel MICHELON, Président de la Section des Propriétaires Ruraux de la FDSEA de Vendée,
- 10h00 : « Propriété Rurale et Mariage », Maître Fabienne SICARO, notaire à St Denis la Chevasse,
- 11h00 : Échange avec la salle,
- 11h15 : SAFER, gestionnaire immobilier en agriculture, Aline MAUGER, Directrice Départementale SAFER de la Poitou Charentes,
- 12h15 : Échange avec la salle,
- 12h30 : Repas assis sur place.
. L'après-midi :
- 14h00 : « Les locations de biens ruraux », Marie Charrier Ennaert, juriste à la FDSEA / Animatrice de la Section des Propriétaires,
- 15h00 : Échange avec la salle,
- 15h15 : « Le foncier agricole, est-ce toujours l'investissement intéressant ? », Sophie Bruneau, Responsable Agricole au Crédit Agricole,
- 16h00 : Echanges,
- 16h30 : Clôture de la journée par Joel Limouzin, Président de la FDSEA et verre de l'amitié.
Le coût de la journée est fixé à 12 euros par personne, le repas est compris.
La date limite d'inscription est au 15 novembre prochain, auprès du service juridique de la FDSEA Vendée, au 02.51.36.82.05. ou par mail [ngabard(a)fdsea85.fr]mail:ngabard(a)fdsea85.fr ou à l'aide du bulletin d'inscription à télécharger ici.
Au programme :
. Matin :
- 9h15 - 9h45 : Emargement - Café brioche par l'AFDI,
- 9h45 : Ouverture par Michel MICHELON, Président de la Section des Propriétaires Ruraux de la FDSEA de Vendée,
- 10h00 : « Propriété Rurale et Mariage », Maître Fabienne SICARO, notaire à St Denis la Chevasse,
- 11h00 : Échange avec la salle,
- 11h15 : SAFER, gestionnaire immobilier en agriculture, Aline MAUGER, Directrice Départementale SAFER de la Poitou Charentes,
- 12h15 : Échange avec la salle,
- 12h30 : Repas assis sur place.
. L'après-midi :
- 14h00 : « Les locations de biens ruraux », Marie Charrier Ennaert, juriste à la FDSEA / Animatrice de la Section des Propriétaires,
- 15h00 : Échange avec la salle,
- 15h15 : « Le foncier agricole, est-ce toujours l'investissement intéressant ? », Sophie Bruneau, Responsable Agricole au Crédit Agricole,
- 16h00 : Echanges,
- 16h30 : Clôture de la journée par Joel Limouzin, Président de la FDSEA et verre de l'amitié.
Le coût de la journée est fixé à 12 euros par personne, le repas est compris.
La date limite d'inscription est au 15 novembre prochain, auprès du service juridique de la FDSEA Vendée, au 02.51.36.82.05. ou par mail [ngabard(a)fdsea85.fr]mail:ngabard(a)fdsea85.fr ou à l'aide du bulletin d'inscription à télécharger ici.
Tags :
Carrefour du patrimoine rural "Mariage et Propriété rurale"
fdsea
Patrimoine
Poiré-sur-Vie
Vendée
Commentaires (0)
Les Sables Info
Dernières notes
Vendée Globe départ ce dimanche
10/11/2024
Confidences du Vendéen Sébastien Simon
28/10/2024
Politique
La Chaine Parlementaire (LCP), Live TNT par LCP
France
-
Menace du RN de voter la motion de censure : vers une crise politique et budgétaire ?
21/11/2024 18:30 - Roselyne FEBVRE -
Une coalition féministe présente 140 mesures contre les violences sexuelles
21/11/2024 16:29 - FRANCE 24 -
Neige, froid et vent : la France entre dans son premier épisode hivernal de la saison
21/11/2024 04:15 - FRANCE 24 -
Près de 45 tonnes de cocaïne déjà saisies en France en 2024, le double de 2023
20/11/2024 19:05 - FRANCE 24
Liste de liens
Galerie
Cinéma
|
Expositions
|
Culture et Animations
|
Sports et Nautisme
|
"Les Sables d'Olonne info" est un blog sur l'actualité et l'information de la ville des Sables d'Olonne. Contact : lesablesinfo@aol.fr