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Suite à l’annulation pour soucis de santé de la venue du groupe Granville ce vendredi 15 novembre, c’est le groupe Aquitain PENDENTIF qui présentera vendredi leur premier album Mafia Douce à l'Auditorium Saint-Michel à 20h30.
Découverte du Printemps de Bourges 2011 et lauréat de la sélection Fair 2013, le groupe Aquitain PENDENTIF est composé de Cindy Callède au chant et tambourin, de Benoît Lambin au chant et à la guitare, de Mathieu Vincent à la basse et aux chœurs, d’Ariel Tintar aux claviers, guitare et chœurs et Jonathan Lamarque à la batterie et aux chœurs. Réunis autour d’influences communes mais disparates, les cinq membres du groupe présenteront vendredi leur premier album Mafia Douce qui comprend son single printanier « Embrasse-moi ». Porté par une mélodie dansante et des paroles qui font muche « Ente les kiss et les claques, tu provoques l’avalanche », ce titre tout en optimisme redonne, comme tout l’album des couleurs à la pop hexagonale !
Tarifs :18€ billet à l’unité, 15€ en tarif abonnement.
Découverte du Printemps de Bourges 2011 et lauréat de la sélection Fair 2013, le groupe Aquitain PENDENTIF est composé de Cindy Callède au chant et tambourin, de Benoît Lambin au chant et à la guitare, de Mathieu Vincent à la basse et aux chœurs, d’Ariel Tintar aux claviers, guitare et chœurs et Jonathan Lamarque à la batterie et aux chœurs. Réunis autour d’influences communes mais disparates, les cinq membres du groupe présenteront vendredi leur premier album Mafia Douce qui comprend son single printanier « Embrasse-moi ». Porté par une mélodie dansante et des paroles qui font muche « Ente les kiss et les claques, tu provoques l’avalanche », ce titre tout en optimisme redonne, comme tout l’album des couleurs à la pop hexagonale !
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Les aléas météo et logistiques de ce début de Transat Jacques Vabre sont dans le sillage du Cass40 Groupe Picoty. Un peu plus de 24h après leur (deuxième) départ de Roscoff, la régate océanique bat son plein au cœur du golfe de Gascogne. Jean-Christophe et Aymeric sont 10e, en route directe vers le cap Finisterre, à 9 - 10 nœuds, ils bataillent avec un groupe de trois à quatre bateaux.
Après un départ de Roscoff, de nuit, en catimini, dans une atmosphère un peu étrange qui ne ressemblait en rien à un lancement habituel de transat, les Class40 ont aussitôt replongé dans leur course.
Les conditions ont été plutôt musclées à la pointe Bretagne : des grains violents associés à l'habituel fort courant de cette zone de navigation ont sensiblement corsé la donne.
Ça bulle devant
Depuis hier soir, ça file en route directe dans le golfe de Gascogne à la faveur d'une brise d'Ouest d'une bonne quinzaine de nœuds, de quoi avaler des milles... Cela ne va cependant pas durer.
Dans la journée de ce lundi, le vent va faiblir et s'orienter au sud : l'anticyclone des Açores, tant attendu la semaine dernière au Havre, s'invite enfin à la fête de cette Transat Jacques Vabre !
Pendant 24h au moins, Jean-Christophe et Aymeric vont devoir composer avec de petits airs, exploitant au mieux le moindre souffle. Cette période de transition sera surtout stratégique : il leur faudra bien se positionner pour traverser cette zone sans vent au plus court et être parmi les premiers à toucher un flux de secteur nord attendu mardi, en cours de journée.
La flotte sera alors au niveau du cap Finisterre et, à la faveur de ce flux portant, les marins pourront s'envoler vers le sud...
Contactés ce matin par téléphone, le duo du Groupe Picoty était déçu d'avoir perdu un peu de terrain sur la tête de flotte, mais ils s'apprêtaient à « remettre du charbon » : « Le passage de la pointe Bretagne a été un peu rock n'roll. Nous avons dû beaucoup manœuvrer, il fallait gérer le courant... c'était chaud. Là, ça commence à se calmer, il y avait 20 nœuds de vent en début de nuit, on a plus que 10 à 15 nœuds. Nous commençons à prendre le rythme « large » avec des quarts de deux heures toute la nuit. Aujourd'hui, nous allons pouvoir nous concentrer sur la stratégie pour anticiper le passage du cap Finisterre et la négociation de l'anticyclone : nous devrions y être demain matin... ça ne va pas être simple, nous allons essayer de passer au plus court mais sans s'approcher trop près de la côte, nous allons affiner cela cet après-midi. »
Après un départ de Roscoff, de nuit, en catimini, dans une atmosphère un peu étrange qui ne ressemblait en rien à un lancement habituel de transat, les Class40 ont aussitôt replongé dans leur course.
Les conditions ont été plutôt musclées à la pointe Bretagne : des grains violents associés à l'habituel fort courant de cette zone de navigation ont sensiblement corsé la donne.
Ça bulle devant
Depuis hier soir, ça file en route directe dans le golfe de Gascogne à la faveur d'une brise d'Ouest d'une bonne quinzaine de nœuds, de quoi avaler des milles... Cela ne va cependant pas durer.
Dans la journée de ce lundi, le vent va faiblir et s'orienter au sud : l'anticyclone des Açores, tant attendu la semaine dernière au Havre, s'invite enfin à la fête de cette Transat Jacques Vabre !
Pendant 24h au moins, Jean-Christophe et Aymeric vont devoir composer avec de petits airs, exploitant au mieux le moindre souffle. Cette période de transition sera surtout stratégique : il leur faudra bien se positionner pour traverser cette zone sans vent au plus court et être parmi les premiers à toucher un flux de secteur nord attendu mardi, en cours de journée.
La flotte sera alors au niveau du cap Finisterre et, à la faveur de ce flux portant, les marins pourront s'envoler vers le sud...
Contactés ce matin par téléphone, le duo du Groupe Picoty était déçu d'avoir perdu un peu de terrain sur la tête de flotte, mais ils s'apprêtaient à « remettre du charbon » : « Le passage de la pointe Bretagne a été un peu rock n'roll. Nous avons dû beaucoup manœuvrer, il fallait gérer le courant... c'était chaud. Là, ça commence à se calmer, il y avait 20 nœuds de vent en début de nuit, on a plus que 10 à 15 nœuds. Nous commençons à prendre le rythme « large » avec des quarts de deux heures toute la nuit. Aujourd'hui, nous allons pouvoir nous concentrer sur la stratégie pour anticiper le passage du cap Finisterre et la négociation de l'anticyclone : nous devrions y être demain matin... ça ne va pas être simple, nous allons essayer de passer au plus court mais sans s'approcher trop près de la côte, nous allons affiner cela cet après-midi. »
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Le monocoque de Norbert Sedlacek, a été mis à l'honneur ce vendredi 8 novembre 2013. A j -2 du départ, ce voilier de 16 pieds a été baptisé sur le ponton du Vendée Globe aux Sables d'Olonne par Sophie Livory. Elle représentait la société Lorima, qui a construit le mât de l(Open16 FIPOFIX.
Amis, familles, passionnés de la voile et du sport de l'extrême étaient au rendez-vous. Emotion et humour planaient sur le ponton du Vendée Globe.
Ce marin hors du commun s'est lancé dans un nouveau défi : réaliser une traversée de l'Atlantique Nord entre les Sables-d’Olonne et New York (aller-retour). Le navigateur autrichien va tenter 2 records sur un parcours total de 8 000 miles nautiques d'une durée de 80 jours, sans escale.
Venez encourager Norbert Sedlacek sur le départ du ponton du Vendée Globe aux Sables d'Olonne à partir de 13h00 ce dimanche 10 novembre 2013.
Amis, familles, passionnés de la voile et du sport de l'extrême étaient au rendez-vous. Emotion et humour planaient sur le ponton du Vendée Globe.
Ce marin hors du commun s'est lancé dans un nouveau défi : réaliser une traversée de l'Atlantique Nord entre les Sables-d’Olonne et New York (aller-retour). Le navigateur autrichien va tenter 2 records sur un parcours total de 8 000 miles nautiques d'une durée de 80 jours, sans escale.
Venez encourager Norbert Sedlacek sur le départ du ponton du Vendée Globe aux Sables d'Olonne à partir de 13h00 ce dimanche 10 novembre 2013.
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Comme prévu, le passage du « golfe de Gascogne » a été tonique mais le résultat est positif puisque Marc et Pascal sont dans le lot de tête après trois jours de course. C’était un objectif clairement affiché avant le départ.
Marc et Pascal n’ont pas chômé depuis le départ de la Transat jeudi dernier. Après les virements de bord pour s’extraire de la Manche, il a fallu réduire la voilure, jusqu’à deux ris dans la GV et l’ORC* lors du passage du front dans la nuit de vendredi à samedi, puis renvoyer progressivement de la toile dans des conditions musclées. Joint par le PC Course ce midi, Marc Guillemot ne cachait pas que le début de course n’avait pas été de tout repos. « Nous avons connu quelques petits soucis techniques qui nous ont fait perdre du temps dans la Manche mais rien de dramatique pour la suite ».
Jouer avec la bordure de l’anticyclone
Ce dimanche, c’est toutes voiles dehors – GV haute et grand spi – pour Safran qui se glisse le long des côtes du Portugal, poussé par un flux de nord / nord-ouest. « Nous sommes au vent arrière, il y a donc toujours quelques coups à jouer en termes de trajectoire mais l’enjeu est aussi de recharger les batteries, de se reposer au maximum pour avoir les idées claires et d’établir la meilleure stratégie pour la suite ». La météo fait bien les choses. Dès ce soir, ils franchiront la latitude de Lisbonne et passeront dans le sud de l’anticyclone. Le flux va alors s’orienter au nord / nord-est pour 20 à 25 nœuds. Le rythme, déjà très soutenu, va encore s’accélérer. Marc et Pascal enchaîneront les heures de barre pour profiter au mieux de ces conditions idéales. Elles devraient perdurer au delà du Cap-Vert (distant encore de 1 500 milles) d’après les prévisions météo.
* plus petite voile d’avant
Position au pointage de 14h00 le 10 novembre 2013 : Safran 4ème à 23 milles du leader Macif, par 40°21 Nord et 10°28 Ouest. Vitesse moyenne 11,1 nœuds. A 4 628 milles de l'arrivée à Itajaí
Jouer avec la bordure de l’anticyclone
Ce dimanche, c’est toutes voiles dehors – GV haute et grand spi – pour Safran qui se glisse le long des côtes du Portugal, poussé par un flux de nord / nord-ouest. « Nous sommes au vent arrière, il y a donc toujours quelques coups à jouer en termes de trajectoire mais l’enjeu est aussi de recharger les batteries, de se reposer au maximum pour avoir les idées claires et d’établir la meilleure stratégie pour la suite ». La météo fait bien les choses. Dès ce soir, ils franchiront la latitude de Lisbonne et passeront dans le sud de l’anticyclone. Le flux va alors s’orienter au nord / nord-est pour 20 à 25 nœuds. Le rythme, déjà très soutenu, va encore s’accélérer. Marc et Pascal enchaîneront les heures de barre pour profiter au mieux de ces conditions idéales. Elles devraient perdurer au delà du Cap-Vert (distant encore de 1 500 milles) d’après les prévisions météo.
* plus petite voile d’avant
Position au pointage de 14h00 le 10 novembre 2013 : Safran 4ème à 23 milles du leader Macif, par 40°21 Nord et 10°28 Ouest. Vitesse moyenne 11,1 nœuds. A 4 628 milles de l'arrivée à Itajaí
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Le duo Maître Jacques est arrivé sain et sauf ce matin à La Corogne en Espagne après une quinzaine d'heures de convoyage depuis leur avarie. Ils étaient en tête de la catégorie des Multi 50 de la Transat Jacques Vabre lorsque l'avant de leur flotteur tribord s'est arraché, ruinant d'un coup tout espoir de continuer la course.
En seulement 48h de mer, les deux régatiers ont cependant eu le temps de prouver qu'ils étaient en mesure de décrocher au moins un podium : une équipe à suivre l'année prochaine sur la Route du Rhum.
Soulagés d'avoir pu ramener leur bateau à bon port (La Corogne en Espagne), les deux Loïc reviennent sur les circonstances de l'avarie. De premières hypothèses se dessinent...
Quel est le tout premier bilan que tu peux tirer de cet abandon ?
Loïc Féquet, skipper Maître Jacques : « Il y a 24h nous n'étions pas sûrs de pouvoir ramener le bateau à terre. C'est déjà un premier point très positif. Cela aurait vraiment été une grosse perte d'être contraints de l'abandonner.
Le deuxième point positif de l'histoire c'est que nous avions comme objectif sur cette transat de montrer que nous pouvions être dans le coup sportivement. En 48h, et malgré un début de course difficile, nous avions réussi à rejoindre la tête de la flotte et cela sans prendre de risques et sans tirer sur le bateau, mais en navigant à notre façon. Nous étions même juste passés devant Actual au moment de l'avarie.
Nous sommes bien sûr extrêmement déçus, il y avait une belle bagarre en perspective et nous avions très envie de partager tout cela avec nos partenaires. »
As-tu déjà une idée des raisons de cette casse ?
Loïc Féquet : « Nous avons pas mal échangé à ce sujet avec notre équipe et l'architecte du bateau. C'est encore difficile à dire, mais il semble que l'âge du bateau*, mis à l'eau en 2005, soit une cause assez plausible.
Lorsque le flotteur a cassé, nous n'avions pas des conditions dantesques et nous naviguions de façon à préserver le bateau justement. Nous étions à 100° du vent, avec deux ris et la trinquette, il y avait 20 à 25 nœuds, et la mer était maniable. Cela n'avait rien à voir avec les conditions vraiment musclées rencontrées il y a deux ans sur cette même Transat Jacques Vabre.
Une cause possible serait aussi qu'il y ait eu un point d'impact un jour, lors d'une manœuvre ou à cause d'une grosse vague et que cela ait créé un point de faiblesse... »
* En 9 saisons, ce trimaran a accroché à son palmarès pas moins de 3 Transat Jacques Vabre, 2 Route du Rhum, 1 Québec Saint-Malo, 1 Vendée-St Petersboug, des dizaines de Grand Prix et convoyages... soit quelques 30 000 milles (plus de 55 000 km). De quoi fatiguer un brin...
Peux-tu revenir justement sur les conditions rencontrées lors de l'avarie ?
Loïc Féquet : « Nous avions eu une nuit difficile, mais le vent et la mer ont été beaucoup moins forts que ce qui avait été annoncé. Nous avions d'ailleurs fait un contre bord à l'ouest à l'entrée du golfe de Gascogne (sur les conseils de notre routeur), non seulement pour éviter la mer plus formée dans le sud du golfe, mais aussi en prévision de la redescente sur le cap Finisterre. Le vent était même tombé à 10 nœuds samedi matin, et nous attendions d'être sûrs qu'il ne se renforce pas trop pour renvoyer de la toile. Les deux vagues qui ont provoqué la casse du flotteur n'étaient pas plus grosses que les autres, et nous n'attaquions pas du tout. D'où l'hypothèse de l'usure... »
Quel est le programme des jours à venir ?
Loïc Féquet : « Il n'y a pas de fenêtre météo dans la semaine qui vient pour convoyer le bateau en Bretagne dans de bonnes conditions. Nous allons donc rentrer en France en attendant une opportunité de le faire. »
Dès leur arrivée à terre ce matin, les deux Loïc ont reçu des messages de soutien de leur partenaire Maître Jacques et des dirigeants du groupe Agrial.
M. Laumaillé, PDG de Maître Jacques : « Nous sommes bien évidemment très déçus. C'est assez frustrant de voir une course, que tous nos collaborateurs attendaient depuis des mois, s'arrêter au bout de deux jours. Mais l'important est avant tout qu'ils aient réussi à revenir à terre tous les deux, en bonne santé. Nous sommes plus que jamais avec eux. Et nous allons très vite nous tourner vers 2014 ! »
En seulement 48h de mer, les deux régatiers ont cependant eu le temps de prouver qu'ils étaient en mesure de décrocher au moins un podium : une équipe à suivre l'année prochaine sur la Route du Rhum.
Soulagés d'avoir pu ramener leur bateau à bon port (La Corogne en Espagne), les deux Loïc reviennent sur les circonstances de l'avarie. De premières hypothèses se dessinent...
Quel est le tout premier bilan que tu peux tirer de cet abandon ?
Loïc Féquet, skipper Maître Jacques : « Il y a 24h nous n'étions pas sûrs de pouvoir ramener le bateau à terre. C'est déjà un premier point très positif. Cela aurait vraiment été une grosse perte d'être contraints de l'abandonner.
Le deuxième point positif de l'histoire c'est que nous avions comme objectif sur cette transat de montrer que nous pouvions être dans le coup sportivement. En 48h, et malgré un début de course difficile, nous avions réussi à rejoindre la tête de la flotte et cela sans prendre de risques et sans tirer sur le bateau, mais en navigant à notre façon. Nous étions même juste passés devant Actual au moment de l'avarie.
Nous sommes bien sûr extrêmement déçus, il y avait une belle bagarre en perspective et nous avions très envie de partager tout cela avec nos partenaires. »
As-tu déjà une idée des raisons de cette casse ?
Loïc Féquet : « Nous avons pas mal échangé à ce sujet avec notre équipe et l'architecte du bateau. C'est encore difficile à dire, mais il semble que l'âge du bateau*, mis à l'eau en 2005, soit une cause assez plausible.
Lorsque le flotteur a cassé, nous n'avions pas des conditions dantesques et nous naviguions de façon à préserver le bateau justement. Nous étions à 100° du vent, avec deux ris et la trinquette, il y avait 20 à 25 nœuds, et la mer était maniable. Cela n'avait rien à voir avec les conditions vraiment musclées rencontrées il y a deux ans sur cette même Transat Jacques Vabre.
Une cause possible serait aussi qu'il y ait eu un point d'impact un jour, lors d'une manœuvre ou à cause d'une grosse vague et que cela ait créé un point de faiblesse... »
* En 9 saisons, ce trimaran a accroché à son palmarès pas moins de 3 Transat Jacques Vabre, 2 Route du Rhum, 1 Québec Saint-Malo, 1 Vendée-St Petersboug, des dizaines de Grand Prix et convoyages... soit quelques 30 000 milles (plus de 55 000 km). De quoi fatiguer un brin...
Peux-tu revenir justement sur les conditions rencontrées lors de l'avarie ?
Loïc Féquet : « Nous avions eu une nuit difficile, mais le vent et la mer ont été beaucoup moins forts que ce qui avait été annoncé. Nous avions d'ailleurs fait un contre bord à l'ouest à l'entrée du golfe de Gascogne (sur les conseils de notre routeur), non seulement pour éviter la mer plus formée dans le sud du golfe, mais aussi en prévision de la redescente sur le cap Finisterre. Le vent était même tombé à 10 nœuds samedi matin, et nous attendions d'être sûrs qu'il ne se renforce pas trop pour renvoyer de la toile. Les deux vagues qui ont provoqué la casse du flotteur n'étaient pas plus grosses que les autres, et nous n'attaquions pas du tout. D'où l'hypothèse de l'usure... »
Quel est le programme des jours à venir ?
Loïc Féquet : « Il n'y a pas de fenêtre météo dans la semaine qui vient pour convoyer le bateau en Bretagne dans de bonnes conditions. Nous allons donc rentrer en France en attendant une opportunité de le faire. »
Dès leur arrivée à terre ce matin, les deux Loïc ont reçu des messages de soutien de leur partenaire Maître Jacques et des dirigeants du groupe Agrial.
M. Laumaillé, PDG de Maître Jacques : « Nous sommes bien évidemment très déçus. C'est assez frustrant de voir une course, que tous nos collaborateurs attendaient depuis des mois, s'arrêter au bout de deux jours. Mais l'important est avant tout qu'ils aient réussi à revenir à terre tous les deux, en bonne santé. Nous sommes plus que jamais avec eux. Et nous allons très vite nous tourner vers 2014 ! »
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Du lundi 4 au samedi 9 novembre 2013, la 6ème édition du Festival de théâtre amateur s'est déroulé au Pôle Culturel Les Floralies à la Tranche-sur-Mer. Durant une semaine, les troupes se sont succédé sur les planches avec des textes qui interpellent ou divertissent. 14 pièces ont été magnifiquement jouées. Les artistes venus de Brest, de Rennes, de Nantes, de Poitiers et de Paris... ont montré leur talent devant un public et un jury conquis. La remise des prix, animée par Didier Beau, a clôturé le festival des « Tréteaux de l’Automne » 2013, en fanfare, avec le Big Band « Dig Bazar ».
Les prix de la meilleure comédienne, le meilleur comédien, les meilleurs costumes et celui de la meilleure mise en scène ont été distribués.
Le grand prix de la tulipe d'or du 6ème festival de théâtre amateur à la Tranche-sur-Mer a été décerné à la "Guerre des têtes" par la compagnie d'Aigrefeuille.
Les prix de la meilleure comédienne, le meilleur comédien, les meilleurs costumes et celui de la meilleure mise en scène ont été distribués.
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