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A événement exceptionnel, déploiement exceptionnel ! Les services de Voirie de la ville des Sables d'Olonne ont travaillé d'arrache-pied pour mettre en place la circulation et les emplacements de parking pour le jour du départ de la septième édition du Vendée Globe 2012.
Circulation et parkings le samedi 10 novembre 2012 :
La ville des Sables d'Olonne ferme l'accès au port à partir de 5 heures du matin, et un service de navettes gratuites pour emmener le public à proximité du site de l'événement sera mis en place.
Le remblai sera fermé à partir de la Promenade du Maréchal Joffre jusqu'à la Place de Strasbourg. Dans la continuité, les quais du port de pêche de Dingler à Franqueville seront fermés, ainsi que la rue Octove Voyer et les rues Nicot et Haxo. Le Boulevard de l'Ile Vertime, le Quai Amiral de la Gravière le Boulevard du Souvenir Français, le Quai Albert Prouteau, la rue Bernicot, le Quai A Gerbaud, le Quai Rousseau Méchin, le Quai Georges V, le Quai des Boucaniers, le Quai du Brise-Lames et la rue Joseph Bénatier (du rond-point Estienne d'Orves à la Mairie Annexe) seront fermés.
La portion du Boulevard du Vendée Globe entre le rond-point Charcot et le rond-point d'Actilonne (rue Georges Clémenceau, Olonne-sur-Mer) sera fermée dans le sens entrée de ville, mais ouvert en voie réduite dans le sens sortie de ville. Le Boulevard du Vendée Globe entre la Vannerie et Actilonne est réduit à 2x1 voie. Il est fortement conseillé de stationner au sud, soit sur les parkings d'Intermarché, de Géant et du Puits d'enfer.
Pour accéder à la ville, des navettes gratuites seront mises en place dès 7 heures du matin et ce jusqu'à 19h00 avec des rotations de 10 minutes.
Les points relais de ces navettes sont :
- Parking du supermarché Géant Casino au Château d'Olonne : 600 places,
- Parking du supermarché Intermarché La Boussole au Château d'Olonne : 600 places,
- Parking du Puits d'Enfer : 2 000 places,
- Parking de l'hôpital : 300 places réservées.
Vue la haute fréquentation des parkings pour camping-cars, les services municipaux ont déjà rouvert le parking du camping du lac ainsi que le parking du puits d'Enfer.
La ville des Sables d'Olonne ferme l'accès au port à partir de 5 heures du matin, et un service de navettes gratuites pour emmener le public à proximité du site de l'événement sera mis en place.
Le remblai sera fermé à partir de la Promenade du Maréchal Joffre jusqu'à la Place de Strasbourg. Dans la continuité, les quais du port de pêche de Dingler à Franqueville seront fermés, ainsi que la rue Octove Voyer et les rues Nicot et Haxo. Le Boulevard de l'Ile Vertime, le Quai Amiral de la Gravière le Boulevard du Souvenir Français, le Quai Albert Prouteau, la rue Bernicot, le Quai A Gerbaud, le Quai Rousseau Méchin, le Quai Georges V, le Quai des Boucaniers, le Quai du Brise-Lames et la rue Joseph Bénatier (du rond-point Estienne d'Orves à la Mairie Annexe) seront fermés.
La portion du Boulevard du Vendée Globe entre le rond-point Charcot et le rond-point d'Actilonne (rue Georges Clémenceau, Olonne-sur-Mer) sera fermée dans le sens entrée de ville, mais ouvert en voie réduite dans le sens sortie de ville. Le Boulevard du Vendée Globe entre la Vannerie et Actilonne est réduit à 2x1 voie. Il est fortement conseillé de stationner au sud, soit sur les parkings d'Intermarché, de Géant et du Puits d'enfer.
Pour accéder à la ville, des navettes gratuites seront mises en place dès 7 heures du matin et ce jusqu'à 19h00 avec des rotations de 10 minutes.
Les points relais de ces navettes sont :
- Parking du supermarché Géant Casino au Château d'Olonne : 600 places,
- Parking du supermarché Intermarché La Boussole au Château d'Olonne : 600 places,
- Parking du Puits d'Enfer : 2 000 places,
- Parking de l'hôpital : 300 places réservées.
Vue la haute fréquentation des parkings pour camping-cars, les services municipaux ont déjà rouvert le parking du camping du lac ainsi que le parking du puits d'Enfer.
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Les Sables Info
C’est devant plus de 200 journalistes, que Bruno Retailleau, Président du conseil général de Vendée, accompagné de Louis Guédon, maire des Sables d’Olonne, de Patricia Brochard, co-présidente de Sodebo et de Denis Horeau, directeur de course, a présenté mercredi les vingt skippers au complet à trois jours du départ de l’épreuve.
Après avoir rappelé à quel point le Vendée Globe, tout en restant fidèle à ses valeurs, avait pris cette année une dimension supérieure, Bruno Retailleau a tenu à préciser combien, dans le contexte économique actuel, obtenir la présence de vingt concurrents sur la ligne de départ était un résultat inespéré.
Denis Horeau précisait, quant à lui, la qualité du plateau, le niveau de préparation élevé des concurrents, le professionnalisme des équipes engagées sur cette édition 2012.
Louis Guédon, maire des Sables d’Olonne, évoquant l’histoire de la course, faisait mesurer à la salle le chemin parcouru depuis la première édition, quand Patricia Brochard exaltait l’esprit d’entreprise montré en exemple par tous ces navigateurs.
Venait ensuite la présentation de chacun dans une ambiance bon enfant, où l’on pouvait apprécier le plaisir que tous avaient de se retrouver encore une dernière fois, avant de se confronter sur l’eau dès samedi à 13h02.
"Le Vendée Globe a pris cette année une dimension populaire supérieure. Dans le Village, ce qui m’a beaucoup impressionné, c’est cette sorte de capacité de recueillement du public. On n’a pas affaire à une file d’attente, mais à une sorte de procession. Les gens patientent tranquillement, discutent, regardent les bateaux, on les sent rêver. On les sent en osmose, il y a une forme de communion entre eux et cet événement. Il y a quelque chose de très fort qui se noue entre le public et les skippers. Les gens veulent les voir, car pour eux, ce sont des héros. Le concept de la course est très simple, tout le monde peut le comprendre. Pas besoin d’être un spécialiste pour pouvoir y accéder. Je pense surtout que c’est une très belle histoire, une légende. C’est plus qu’une compétition, plus qu’une course. C’est l’histoire d’un face à face entre l’homme et la nature. L’homme, dans ce qu’il a de fragile, mais aussi en terme d’esprit, de volonté, face à une nature très belle, immense mais terriblement dangereuse. Or, que l’on soit Français, Brésilien, Japonais, on doit pouvoir se projeter et faire cette course par procuration… D’autant plus qu’on a démultiplié, grâce au numérique, la faculté d’ubiquité des spectateurs. Grâce au site internet et aux réseaux sociaux, aux images que nous allons envoyer partout, tout autour de la planète, tout le monde pourra y accéder. De même, la course prend de plus en plus une dimension internationale. Sur les 15 chaînes qui vont passer des directs, 4 ou 5 sont des directs de chaînes étrangères. C’est une course autour du monde et c’est normal qu’elle ait une dimension planétaire." Bruno Retailleau, Président de la SAEM Vendée, organisateur du Vendée Globe
Infos pratiques
Ouverture du village jusqu’au 11 novembre 2012 de 10h à 20h (Entrée gratuite)
Nocturnes (fermeture à 22h) : le 9 novembre 2012.
Le village ouvrira exceptionnellement le 10 novembre de 8h à 20h et le 11 novembre de 10h à 18h.
Le ponton sera ouvert de 10h à 20h tous les jours, jusqu’au 8 novembre inclus.
Après avoir rappelé à quel point le Vendée Globe, tout en restant fidèle à ses valeurs, avait pris cette année une dimension supérieure, Bruno Retailleau a tenu à préciser combien, dans le contexte économique actuel, obtenir la présence de vingt concurrents sur la ligne de départ était un résultat inespéré.
Denis Horeau précisait, quant à lui, la qualité du plateau, le niveau de préparation élevé des concurrents, le professionnalisme des équipes engagées sur cette édition 2012.
Louis Guédon, maire des Sables d’Olonne, évoquant l’histoire de la course, faisait mesurer à la salle le chemin parcouru depuis la première édition, quand Patricia Brochard exaltait l’esprit d’entreprise montré en exemple par tous ces navigateurs.
Venait ensuite la présentation de chacun dans une ambiance bon enfant, où l’on pouvait apprécier le plaisir que tous avaient de se retrouver encore une dernière fois, avant de se confronter sur l’eau dès samedi à 13h02.
"Le Vendée Globe a pris cette année une dimension populaire supérieure. Dans le Village, ce qui m’a beaucoup impressionné, c’est cette sorte de capacité de recueillement du public. On n’a pas affaire à une file d’attente, mais à une sorte de procession. Les gens patientent tranquillement, discutent, regardent les bateaux, on les sent rêver. On les sent en osmose, il y a une forme de communion entre eux et cet événement. Il y a quelque chose de très fort qui se noue entre le public et les skippers. Les gens veulent les voir, car pour eux, ce sont des héros. Le concept de la course est très simple, tout le monde peut le comprendre. Pas besoin d’être un spécialiste pour pouvoir y accéder. Je pense surtout que c’est une très belle histoire, une légende. C’est plus qu’une compétition, plus qu’une course. C’est l’histoire d’un face à face entre l’homme et la nature. L’homme, dans ce qu’il a de fragile, mais aussi en terme d’esprit, de volonté, face à une nature très belle, immense mais terriblement dangereuse. Or, que l’on soit Français, Brésilien, Japonais, on doit pouvoir se projeter et faire cette course par procuration… D’autant plus qu’on a démultiplié, grâce au numérique, la faculté d’ubiquité des spectateurs. Grâce au site internet et aux réseaux sociaux, aux images que nous allons envoyer partout, tout autour de la planète, tout le monde pourra y accéder. De même, la course prend de plus en plus une dimension internationale. Sur les 15 chaînes qui vont passer des directs, 4 ou 5 sont des directs de chaînes étrangères. C’est une course autour du monde et c’est normal qu’elle ait une dimension planétaire." Bruno Retailleau, Président de la SAEM Vendée, organisateur du Vendée Globe
Infos pratiques
Ouverture du village jusqu’au 11 novembre 2012 de 10h à 20h (Entrée gratuite)
Nocturnes (fermeture à 22h) : le 9 novembre 2012.
Le village ouvrira exceptionnellement le 10 novembre de 8h à 20h et le 11 novembre de 10h à 18h.
Le ponton sera ouvert de 10h à 20h tous les jours, jusqu’au 8 novembre inclus.
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Les Sables d'Olonne Info
Mis à part l’édition 2000-2001, jamais, proportionnellement, le nombre de concurrents étrangers n’a été aussi fort au départ du Vendée Globe. Cette année, ils sont huit, représentant cinq nations différentes, à vouloir mettre à mal la suprématie française sur la course. Avec quelques bonnes raisons d’espérer.
Trois Britanniques, deux Suisses, un Espagnol, un Italien et un Polonais, le contingent des navigateurs étrangers a fière allure dans cette édition 2012. Certains peuvent même nourrir quelques ambitions.
Revanche sur le sort
Parmi eux, certains marins ont une revanche à prendre. Bernard Stamm (Cheminées Poujoulat) et Alex Thomson (Hugo Boss) doivent se débarrasser de la poisse qui leur colle à la quille depuis plusieurs éditions. Aucun des deux n’a réussi jusque là, malgré un talent certain, à aller au bout du parcours. Pour Alex, ce fut une escale forcée à Cape Town, suite à un trou dans le pont de son bateau en 2004, puis une coque qui partait en lambeaux en 2008 et l’obligeait à renoncer dès le golfe de Gascogne. Bernard Stamm, qui se présente pour la troisième fois au départ, en est pourtant à sa quatrième tentative. En 2004, alors qu’il se préparait pour le Vendée Globe, le marin suisse avait, au mois de juin, perdu sa quille dans la Transat Plymouth - Newport et n’avait pas pu prendre le départ du tour du monde. Pour Dominique Wavre (Mirabaud), cette nouvelle campagne sera l’occasion de revenir aux avant-postes comme en 2004-2005 (4e) et 2000-2001 (5e). Son dernier Vendée Globe fut moins chanceux, puisque Dominique avait dû abandonner aux îles Kerguelen, sur avarie de quille.
Confirmer ou convaincre
Sam Davies (Savéol) a, quant à elle, un sacré challenge à relever. La navigatrice britannique a changé de statut. Celle qui fut la divine surprise en menant son bateau à la quatrième place du Vendée Globe 2008, sait combien il sera difficile de rééditer sa performance face à une concurrence de plus en plus affûtée. Pour y parer, elle a appliqué les mêmes principes qui lui avaient réussi : du travail, encore du travail, toujours du travail.
Mike Golding (Gamesa) aimerait bien, quant à lui, grimper d’une ou deux marches sur un podium qu’il a déjà atteint en 2005. On n’oublie pas qu’il était en tête du dernier Vendée Globe quand il a démâté, laissant la place à Michel Desjoyeaux.
Javier Sanso (ACCIONA 100% EcoPowered) témoigne de l’intérêt grandissant des Espagnols pour la course au large. Il n’est pas le premier à représenter la péninsule ibérique mais, malgré un manque de navigation en amont, il dispose d’un bateau neuf et surtout veut prouver que l’on peut être compétitif tout en étant novateur sur un bateau énergétiquement autonome à 100%.
Naviguer propre avant tout
Pour Zbigniew « Gutek » Gutkowski (Energa) et Alessandro Di Benedetto (Team Plastique), boucler le tour du monde après une navigation propre suffirait à leur bonheur. Alessandro sait que son bateau n’est pas en mesure de rivaliser avec le haut du plateau. Mais il a démontré lors de son tour du monde sur un voilier de 6,50m son opiniâtreté face à l’adversité. Zbigniew a déjà un tour du monde en solitaire avec escale à son actif. Il part cette fois-ci sur un bateau qu’il aura eu à peine le temps de découvrir. Mais être le premier Polonais à boucler un tour du monde en solitaire sans escale suffirait déjà à son bonheur.
Infos pratiques
Ouverture du village jusqu’au 11 novembre 2012 de 10h à 20h (Entrée gratuite).
Nocturnes (fermeture à 22h) : le 9 novembre 2012.
Le village ouvrira exceptionnellement le 10 novembre de 8h à 20h et le 11 novembre à 10h à 18h.
Le ponton sera ouvert de 10h à 20h tous les jours, jusqu’au 8 novembre inclus.
PRB, MACIF, Banque Populaire, Virbac-Paprec 3, je ne vois pas la majorité de ces bateaux boucler leur tour. Je pense que l’on risque de voir à nouveau un déchet de près de 50%. Alex Thomson, Hugo Boss.
Je n’ai jamais vu Mike Golding aussi décontracté que cette année. Alex Thomson a fait la meilleure préparation que je ne lui ai jamais vue et je pense qu’il a toutes chances. Mais, ma préférence va pour Sam, la seule fille de la course. Dee Caffari, 6ème du Vendée Globe 2008-2009.
Je pense qu’on aura de plus en plus de concurrents étrangers à l’avenir quand l’économie repartira. On aimerait bien voir aussi des concurrents allemands, américains ou australiens. Brian Thompson, 5ème du Vendée Globe 2008-2009.
Si un des teams étrangers faisait un bon résultat, cela pourrait avoir un effet très bénéfique en dehors de la France. Alex comme moi-même, nous avons le potentiel pour gagner. Nous avons le niveau pour briguer un podium, ce qui veut dire qu’on peut gagner. Mike Golding, Gamesa.
Revanche sur le sort
Parmi eux, certains marins ont une revanche à prendre. Bernard Stamm (Cheminées Poujoulat) et Alex Thomson (Hugo Boss) doivent se débarrasser de la poisse qui leur colle à la quille depuis plusieurs éditions. Aucun des deux n’a réussi jusque là, malgré un talent certain, à aller au bout du parcours. Pour Alex, ce fut une escale forcée à Cape Town, suite à un trou dans le pont de son bateau en 2004, puis une coque qui partait en lambeaux en 2008 et l’obligeait à renoncer dès le golfe de Gascogne. Bernard Stamm, qui se présente pour la troisième fois au départ, en est pourtant à sa quatrième tentative. En 2004, alors qu’il se préparait pour le Vendée Globe, le marin suisse avait, au mois de juin, perdu sa quille dans la Transat Plymouth - Newport et n’avait pas pu prendre le départ du tour du monde. Pour Dominique Wavre (Mirabaud), cette nouvelle campagne sera l’occasion de revenir aux avant-postes comme en 2004-2005 (4e) et 2000-2001 (5e). Son dernier Vendée Globe fut moins chanceux, puisque Dominique avait dû abandonner aux îles Kerguelen, sur avarie de quille.
Confirmer ou convaincre
Sam Davies (Savéol) a, quant à elle, un sacré challenge à relever. La navigatrice britannique a changé de statut. Celle qui fut la divine surprise en menant son bateau à la quatrième place du Vendée Globe 2008, sait combien il sera difficile de rééditer sa performance face à une concurrence de plus en plus affûtée. Pour y parer, elle a appliqué les mêmes principes qui lui avaient réussi : du travail, encore du travail, toujours du travail.
Mike Golding (Gamesa) aimerait bien, quant à lui, grimper d’une ou deux marches sur un podium qu’il a déjà atteint en 2005. On n’oublie pas qu’il était en tête du dernier Vendée Globe quand il a démâté, laissant la place à Michel Desjoyeaux.
Javier Sanso (ACCIONA 100% EcoPowered) témoigne de l’intérêt grandissant des Espagnols pour la course au large. Il n’est pas le premier à représenter la péninsule ibérique mais, malgré un manque de navigation en amont, il dispose d’un bateau neuf et surtout veut prouver que l’on peut être compétitif tout en étant novateur sur un bateau énergétiquement autonome à 100%.
Naviguer propre avant tout
Pour Zbigniew « Gutek » Gutkowski (Energa) et Alessandro Di Benedetto (Team Plastique), boucler le tour du monde après une navigation propre suffirait à leur bonheur. Alessandro sait que son bateau n’est pas en mesure de rivaliser avec le haut du plateau. Mais il a démontré lors de son tour du monde sur un voilier de 6,50m son opiniâtreté face à l’adversité. Zbigniew a déjà un tour du monde en solitaire avec escale à son actif. Il part cette fois-ci sur un bateau qu’il aura eu à peine le temps de découvrir. Mais être le premier Polonais à boucler un tour du monde en solitaire sans escale suffirait déjà à son bonheur.
Infos pratiques
Ouverture du village jusqu’au 11 novembre 2012 de 10h à 20h (Entrée gratuite).
Nocturnes (fermeture à 22h) : le 9 novembre 2012.
Le village ouvrira exceptionnellement le 10 novembre de 8h à 20h et le 11 novembre à 10h à 18h.
Le ponton sera ouvert de 10h à 20h tous les jours, jusqu’au 8 novembre inclus.
PRB, MACIF, Banque Populaire, Virbac-Paprec 3, je ne vois pas la majorité de ces bateaux boucler leur tour. Je pense que l’on risque de voir à nouveau un déchet de près de 50%. Alex Thomson, Hugo Boss.
Je n’ai jamais vu Mike Golding aussi décontracté que cette année. Alex Thomson a fait la meilleure préparation que je ne lui ai jamais vue et je pense qu’il a toutes chances. Mais, ma préférence va pour Sam, la seule fille de la course. Dee Caffari, 6ème du Vendée Globe 2008-2009.
Je pense qu’on aura de plus en plus de concurrents étrangers à l’avenir quand l’économie repartira. On aimerait bien voir aussi des concurrents allemands, américains ou australiens. Brian Thompson, 5ème du Vendée Globe 2008-2009.
Si un des teams étrangers faisait un bon résultat, cela pourrait avoir un effet très bénéfique en dehors de la France. Alex comme moi-même, nous avons le potentiel pour gagner. Nous avons le niveau pour briguer un podium, ce qui veut dire qu’on peut gagner. Mike Golding, Gamesa.
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Les Sables Info
J-3. La pression commence à monter progressivement pour l’ensemble des solitaires engagés dans le Vendée Globe 2012. Si pour certains cette montée en puissance est synonyme de tension grandissante, pour d’autres elle agit comme un euphorisant. Bertrand de Broc fait partie de ce groupe.
A quelques jours du départ, Bertrand de Broc a l’œil pétillant. Qu’il s’agisse de répondre aux sollicitations des médias ou de participer à une séance de signature dans un des centres commerciaux des Sables d’Olonne, le skipper de Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets ne manque pas une occasion de faire montre de son sens de l’humour et de son plaisir de partir.
« On a un premier motif de satisfaction : c’est le nombre de personnes qui souscrivent à nos côtés. Le suivi médiatique a amplifié de manière phénoménale le nombre de demandes. Le stand a été littéralement submergé par les demandes dans la soirée de dimanche. Deuxième motif de contentement, le bateau est prêt à partir. Les derniers réglages ont été effectués lors de notre sortie en mer, ce mercredi. »
Finir… et plus si affinités
Pour cette édition 2012-2013, l’objectif de Bertrand de Broc n’a pas changé. Avant toute chose, il s’agit de boucler ce tour du monde qui, par deux fois, s’est refusé à lui. Le navigateur cornouaillais sait qu’il dispose d’un bateau éprouvé qui a démontré lors du dernier Vendée Globe qu’il pouvait conquérir le podium. Bien sûr, Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets n’a pas le potentiel de vitesse des derniers-nés conçus pour cette édition 2012-2013. Mais comme se plait à le rappeler Bertrand de Broc, un Vendée Globe se construit dans la durée. Savoir tenir un rythme élevé tout en ménageant suffisamment sa monture est une des meilleures garanties pour une place d’honneur voire même un podium.
Quand, en janvier 2012, Bertrand de Broc a décidé de relancer l’aventure du projet Votre Nom autour du Monde, ils n’étaient pas si nombreux à croire qu’il pourrait aboutir. Aujourd’hui, Bertrand démontre que l’envie d’aller au bout de ses rêves peut repousser bien des limites.
Les vidéos réalisées par YOL Production, Christophe Castagne et par AMP Interactive et les photos de Thierry Martinez (Sea & Co) sont disponibles sur le serveur. Il sera complété régulièrement jusqu’au départ du Vendée Globe.
« On a un premier motif de satisfaction : c’est le nombre de personnes qui souscrivent à nos côtés. Le suivi médiatique a amplifié de manière phénoménale le nombre de demandes. Le stand a été littéralement submergé par les demandes dans la soirée de dimanche. Deuxième motif de contentement, le bateau est prêt à partir. Les derniers réglages ont été effectués lors de notre sortie en mer, ce mercredi. »
Finir… et plus si affinités
Pour cette édition 2012-2013, l’objectif de Bertrand de Broc n’a pas changé. Avant toute chose, il s’agit de boucler ce tour du monde qui, par deux fois, s’est refusé à lui. Le navigateur cornouaillais sait qu’il dispose d’un bateau éprouvé qui a démontré lors du dernier Vendée Globe qu’il pouvait conquérir le podium. Bien sûr, Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets n’a pas le potentiel de vitesse des derniers-nés conçus pour cette édition 2012-2013. Mais comme se plait à le rappeler Bertrand de Broc, un Vendée Globe se construit dans la durée. Savoir tenir un rythme élevé tout en ménageant suffisamment sa monture est une des meilleures garanties pour une place d’honneur voire même un podium.
Quand, en janvier 2012, Bertrand de Broc a décidé de relancer l’aventure du projet Votre Nom autour du Monde, ils n’étaient pas si nombreux à croire qu’il pourrait aboutir. Aujourd’hui, Bertrand démontre que l’envie d’aller au bout de ses rêves peut repousser bien des limites.
Les vidéos réalisées par YOL Production, Christophe Castagne et par AMP Interactive et les photos de Thierry Martinez (Sea & Co) sont disponibles sur le serveur. Il sera complété régulièrement jusqu’au départ du Vendée Globe.
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Les Sables Info
Impatient de larguer les amarres à bord de son Virbac-Paprec 3, Jean-Pierre Dick nous explique ce que représente ce tour du monde en solitaire. Pour cette course, il a décidé de changer de vie il y a 10 ans. A 3 jours du départ du Vendée Globe, le skipper niçois nous parle de son Vendée Globe.
Quels souvenirs marquants gardes-tu des éditions précédentes ?
JP Dick : « Lors de la première édition, je me souviens des premières semaines, car elles ont été très dures. Il a fallu s'habituer à la vie en mer, trouver mon rythme... De plus, la casse, les pannes, les problèmes techniques à bord se sont multipliés tout au long de la course. Moi qui n'étais pas du tout réputé pour mes talents de bricoleur, j'ai dû me résigner à vivre avec ma caisse à outils. Je réparais comme je pouvais, puisque l'issue de la course en dépendait. Bôme, safrans, vit de mulet, lattes... Et puis ces pannes de moteur...
Je pense être le skipper à avoir parcouru le plus de milles avec comme seule source d'énergie mes panneaux solaires. Ce premier Vendée Globe m'a beaucoup apporté, car j'ai gagné en confiance.
Au cours de mon second Vendée Globe, le meilleur moment était bien sûr quand j'étais en tête et que je creusais l'écart avec mes concurrents, juste avant de casser. C'est une sensation exceptionnelle. Etre en tête devant de tels concurrents, dans une course aussi fabuleuse, c'est une consécration. »
Cette course est-elle chargée pour toi d'émotions particulières ?
« Le départ est un moment très fort. Tout le monde peut comprendre que laisser ses proches sur le ponton pour une si longue durée est un moment très délicat à gérer. Cette année, j'imagine que cela va être particulier pour moi, puisque je vais laisser mon fils âgé de deux ans et ma compagne derrière moi. Je m'y prépare, mais cela va être un moment fort en émotions de toutes sortes. Et en même temps, une fois confronté à l'événement, j'ai hâte de retrouver toutes les sensations de la navigation en solitaire autour du monde : l'Atlantique-Sud, les couchers de soleil dans les mers calmes, mais aussi l'arrivée dans l'océan austral et le passage du Horn, qui sont toujours des moments magiques dont on ne se lasse pas. »
Impatient de prendre le large ?
« Je suis impatient de retrouver mes animaux. Quand je parle de mes animaux, j'évoque les baleines, les dauphins et bien sûr les albatros. D'abord les géants des mers, les baleines majestueuses, impressionnantes, et puis les dauphins qui virevoltent autour du bateau pour nous faire la fête, enfin les albatros qui par leur nonchalance évoquent à mes yeux la puissance. Pendant trois mois, je cohabite avec ces animaux, je m'immisce dans leur environnement, et ce sont toujours des moments très forts. »
Le plateau : quels sont les favoris du Vendée Globe selon toi ?
« Aujourd'hui, je ne pense pas trop à mes concurrents. Mon objectif est de me préparer à faire une bonne course, à être bien sur mon bateau, à faire le moins d'erreurs possibles... A l'heure actuelle, je prépare cette course plus comme un défi personnel que comme une compétition contre des adversaires bien identifiés. »
JP Dick : « Lors de la première édition, je me souviens des premières semaines, car elles ont été très dures. Il a fallu s'habituer à la vie en mer, trouver mon rythme... De plus, la casse, les pannes, les problèmes techniques à bord se sont multipliés tout au long de la course. Moi qui n'étais pas du tout réputé pour mes talents de bricoleur, j'ai dû me résigner à vivre avec ma caisse à outils. Je réparais comme je pouvais, puisque l'issue de la course en dépendait. Bôme, safrans, vit de mulet, lattes... Et puis ces pannes de moteur...
Je pense être le skipper à avoir parcouru le plus de milles avec comme seule source d'énergie mes panneaux solaires. Ce premier Vendée Globe m'a beaucoup apporté, car j'ai gagné en confiance.
Au cours de mon second Vendée Globe, le meilleur moment était bien sûr quand j'étais en tête et que je creusais l'écart avec mes concurrents, juste avant de casser. C'est une sensation exceptionnelle. Etre en tête devant de tels concurrents, dans une course aussi fabuleuse, c'est une consécration. »
Cette course est-elle chargée pour toi d'émotions particulières ?
« Le départ est un moment très fort. Tout le monde peut comprendre que laisser ses proches sur le ponton pour une si longue durée est un moment très délicat à gérer. Cette année, j'imagine que cela va être particulier pour moi, puisque je vais laisser mon fils âgé de deux ans et ma compagne derrière moi. Je m'y prépare, mais cela va être un moment fort en émotions de toutes sortes. Et en même temps, une fois confronté à l'événement, j'ai hâte de retrouver toutes les sensations de la navigation en solitaire autour du monde : l'Atlantique-Sud, les couchers de soleil dans les mers calmes, mais aussi l'arrivée dans l'océan austral et le passage du Horn, qui sont toujours des moments magiques dont on ne se lasse pas. »
Impatient de prendre le large ?
« Je suis impatient de retrouver mes animaux. Quand je parle de mes animaux, j'évoque les baleines, les dauphins et bien sûr les albatros. D'abord les géants des mers, les baleines majestueuses, impressionnantes, et puis les dauphins qui virevoltent autour du bateau pour nous faire la fête, enfin les albatros qui par leur nonchalance évoquent à mes yeux la puissance. Pendant trois mois, je cohabite avec ces animaux, je m'immisce dans leur environnement, et ce sont toujours des moments très forts. »
Le plateau : quels sont les favoris du Vendée Globe selon toi ?
« Aujourd'hui, je ne pense pas trop à mes concurrents. Mon objectif est de me préparer à faire une bonne course, à être bien sur mon bateau, à faire le moins d'erreurs possibles... A l'heure actuelle, je prépare cette course plus comme un défi personnel que comme une compétition contre des adversaires bien identifiés. »
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Les Sables Info
Pour faire suite au dernier état des lieux effectué par les services de la ville ce jour, le parking des circuits du Puits d'Enfer situé Boulevard De Lattre De Tassigny sera ouvert dès ce soir pour répondre à la demande des camping-cars.
Mis gracieusement à disposition par ASA Vendée, ils ouvriront 1000 places à partir de 20 heures.
Mis gracieusement à disposition par ASA Vendée, ils ouvriront 1000 places à partir de 20 heures.
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Les Sables Info
Le Vendée Globe n'est pas seulement une régate planétaire et une aventure en milieu hostile. C’est aussi une expérience inédite : vivre au moins 80 jours parfaitement seul, loin de tout. Que mettriez-vous dans votre valise pour autant de solitude ? Marc Guillemot a choisi : romans et musique. Beaucoup de musique.
Marc Guillemot n'est pas superstitieux. Il ne faut donc pas compter sur le skipper de Safran pour embarquer un quelconque objet fétiche, gris-gris, mojo, talisman ou autre amulette. Il n’embarquera pas non plus de photos personnelles. Pas davantage de films ou jeux vidéo. A bord du 60 pieds qui s'élance samedi des Sables d'Olonne, les distractions seront rares donc précieuses. Elles se résument à deux choses : lecture et musique.
Marc emporte deux baladeurs iPods et un iPad qui contiennent des centaines de morceaux. Le style ? Très éclectique. « J'ai vraiment de tout, du classique à la chanson française en passant par le rock. » Pour les sélectionner, Marc a bénéficié des "playlists" de deux mélomanes avertis : sa compagne Christine Vannier et son ami Bernard Lenoir, ex-animateur de l'émission musicale culte de France Inter C'est Lenoir. Celui-ci assure : « Marc est curieux de tout, très ouvert. Il n'a pas d'a priori en matière de musique. C'est une qualité rare ».
Des Beatles à Vivaldi
Marc assume cet éclectisme : « Par moments, j’ai envie d’écouter les Doors, les Beatles ou John Lennon, mais à d’autres c’est plutôt Archive, Asa, PJ Harvey, Yann Tiersen voire Charles Aznavour… et surtout beaucoup de musique classique. Avec une préférence pour les formations légères de virtuoses, comme celle du violoniste serbe Nemanja Radulovic. « Il est exceptionnel : il a revisité les quatre saisons de Vivaldi… en y ajoutant une cinquième ! » Un autre grand interprète qu'affectionne particulièrement Marc est le pianiste David Bismuth : « J'ai eu l'occasion de le rencontrer et on a sympathisé. Il joue merveilleusement Mozart. »
A quels moments Marc écoutera-t-il ces musiques pour « s'aérer la tête », comme il dit ? « Il n'y a pas de règle, cela pourra être aussi bien dans des instants de calme que dans le Grand Sud. Je marche au ressenti, à l'envie. Pendant le dernier Vendée Globe, deux jours avant de perdre la quille, j’ai eu droit à un moment magique : la météo était bonne, j'étais bien placé, tout allait bien… alors j'ai mis à fond un morceau du pianiste canadien Glenn Gould et c’était fabuleux. J'étais euphorique. »
Des romans de terriens
A la différence de la musique qu'on ne peut pas écouter dans la tempête (le bateau fait alors trop de bruit) la littérature est compatible avec le gros temps. « Je me souviens avoir lu John Fante dans 40 nœuds de vent » raconte le skipper de Safran. « Comme pour la musique, j’ai des goûts très variés.
Dans la "bibliothèque" de Marc, on trouve entre autres La Survivance de Claudie Hunzinger, Journal d'un corps de Daniel Pennac, Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson, ou encore Que nos vies aient l'air d'un film parfait de Carole Fives et Les derniers jours de Smokey Nelson de Catherine Mavrikakis. Aucune histoire de mer. Inutile puisqu'elle est partout : dessous, dehors, autour. Pour trois mois de solitude.
Marc emporte deux baladeurs iPods et un iPad qui contiennent des centaines de morceaux. Le style ? Très éclectique. « J'ai vraiment de tout, du classique à la chanson française en passant par le rock. » Pour les sélectionner, Marc a bénéficié des "playlists" de deux mélomanes avertis : sa compagne Christine Vannier et son ami Bernard Lenoir, ex-animateur de l'émission musicale culte de France Inter C'est Lenoir. Celui-ci assure : « Marc est curieux de tout, très ouvert. Il n'a pas d'a priori en matière de musique. C'est une qualité rare ».
Des Beatles à Vivaldi
Marc assume cet éclectisme : « Par moments, j’ai envie d’écouter les Doors, les Beatles ou John Lennon, mais à d’autres c’est plutôt Archive, Asa, PJ Harvey, Yann Tiersen voire Charles Aznavour… et surtout beaucoup de musique classique. Avec une préférence pour les formations légères de virtuoses, comme celle du violoniste serbe Nemanja Radulovic. « Il est exceptionnel : il a revisité les quatre saisons de Vivaldi… en y ajoutant une cinquième ! » Un autre grand interprète qu'affectionne particulièrement Marc est le pianiste David Bismuth : « J'ai eu l'occasion de le rencontrer et on a sympathisé. Il joue merveilleusement Mozart. »
A quels moments Marc écoutera-t-il ces musiques pour « s'aérer la tête », comme il dit ? « Il n'y a pas de règle, cela pourra être aussi bien dans des instants de calme que dans le Grand Sud. Je marche au ressenti, à l'envie. Pendant le dernier Vendée Globe, deux jours avant de perdre la quille, j’ai eu droit à un moment magique : la météo était bonne, j'étais bien placé, tout allait bien… alors j'ai mis à fond un morceau du pianiste canadien Glenn Gould et c’était fabuleux. J'étais euphorique. »
Des romans de terriens
A la différence de la musique qu'on ne peut pas écouter dans la tempête (le bateau fait alors trop de bruit) la littérature est compatible avec le gros temps. « Je me souviens avoir lu John Fante dans 40 nœuds de vent » raconte le skipper de Safran. « Comme pour la musique, j’ai des goûts très variés.
Dans la "bibliothèque" de Marc, on trouve entre autres La Survivance de Claudie Hunzinger, Journal d'un corps de Daniel Pennac, Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson, ou encore Que nos vies aient l'air d'un film parfait de Carole Fives et Les derniers jours de Smokey Nelson de Catherine Mavrikakis. Aucune histoire de mer. Inutile puisqu'elle est partout : dessous, dehors, autour. Pour trois mois de solitude.
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