|
Nouvelle victoire pour Gwénolé Gahinet (Logways-Watever) ! Le lorientais a coupé la ligne de la première étape de la Transgascogne à 2h 48mn 08s, ce jeudi. Bertrand Delesne (Team Work) le suit à un peu plus de 7 minutes, et Julien Pulvé (Chasseur de primes-AGB), qui a mené une grande partie de ces 240 milles entre Port Bourgenay et Luanco, complète une demi-heure plus tard ce podium des prototypes-solitaires.
De larges sourires sincèrement heureux, des regards encore étonnés d'être devant les autres : les trois premiers de cette étape « aller » de la Transgascogne 6.50 étaient à la fois aussi surpris que satisfaits, chacun pour des raisons différentes, de leurs performances respectives.
Gwénolé Gahinet (Logways-Watever) et Bertrand Delesne (Team Work) avaient opté pour une route légèrement décalée dans le nord, mais pas trop.
Julien Pulvé (Chasseur de primes-AGB) avait lui privilégié un axe médian.
Le jeune rochelais était très vite entré dans sa course et avait, dès la première nuit, pris un léger avantage, pour ne plus le quitter... jusqu'aux toutes dernières heures de course.
Gwénolé et Bertrand, ont en effet profité d'un meilleur angle de vent par rapport à l'arrivée. Et, à quelque dizaine de milles de Luanco, lorsque la brise a sensiblement faibli pour s'orienter au secteur ouest, les virements de bord se sont enchaînés et les deux Lorientais en ont confirmé leur avance sur le Rochelais.
Gwénolé Gahinet (Logways-Watever) vainqueur de la première étape : « je n'ai rien compris ! Je me croyais au moins 7e. Je ne voyais plus personne... Du coup, je m'étais fait un mauvais film dans ma tête. En fait, j'ai dû mal noter les positions des autres, je pensais que Bertrand était loin devant.
On a fait un long bord sous spi bien sympa et puis ça a molli d'un coup. On s'est retrouvés avec Bertrand, au près, on a pris un refus énorme, on s'est dit « c'est mort ! »... et puis non ! J'ai hâte de voir les tracés pour comprendre ce qu'il s'est passé.
Ce grand bord pour traverser le golfe, ça fait vraiment penser à la Mini Transat. J'ai eu le temps d'écouter de la musique, d'observer le ciel... »
Bertrand Delesne (Team Work), 2e de la première étape : « Sur la fin je ne savais pas trop comment aborder la côte. Quand le vent a basculé, j'ai eu un gros doute, je me suis dit qu'une quinzaine de bateaux allait passer par en dessous ! Mon option un peu nord-ouest était justement prévue pour anticiper cette approche de la côte, mais le vent a complètement tourné, c'était bizarre. Mais ce n'est pas grave, je suis bien content de ma place. J'ai pris un bon départ, j'ai une bonne vitesse. J'ai encore trouvé de nouveaux réglages, c'est ça qui compte. Et si, au final, je peux décrocher un résultat, ce sera encore mieux ! Mais il y a un super niveau, tout le monde navigue bien, ça joue serré ! »
Julien Pulvé (Chasseur de primes-AGB), 3e de la première étape : « Ce n'est que ma deuxième course en solitaire ! Je suis super content ! En fait, je revenais tout juste de ma qualification hors course (1000 milles en solitaire, obligatoires pour se qualifier à la Mini Transat, nldr). Sept jours complets en solo, en mer, je n'avais jamais fait ça. J'ai appris plein de choses sur moi, sur le bateau... J'avais tous mes repères, je pense que ça m'a aidé à être tout de suite dans le match de la course.
Ça a joué serré, c'est super intéressant, mais l'arrivée dans la pétole, ce n'était pas évident. Mais je suis surtout content de me bagarrer avec eux ! C'est bon signe ! »
Un podium, trois talents
Même si aucun des solitaires de cette Transgascogne ne démérite, il faut reconnaitre que ce podium est la réunion de trois talents, assez différents, mais bien réels :
- un talent incontestable qui semble presque inné ou intuitif bien que doublé d'un gros travail pour Gwénolé Gahinet qui, à part le Trophée Marie-Agnès Péron (où il termine 2e), a tout gagné cette saison : Demi-clé, Pornichet Select et Mini Fastnet.
- un talent qui se concrétise cette année avec, pour la première fois pour lui, un vrai budget qui lui permet de s'exprimer. Bertrand Delesne ne cesse de monter en puissance depuis le début de la saison.
- un talent bien réel et tout neuf qui ne demande qu'à s'exprimer pour Julien Pulvé, en recherche de budget pour pouvoir participer à sa première Mini Transat qui lui tend les bras...
Ces trois-là sont déjà en train de refaire le match derrière un ordinateur pour découvrir leurs trajectoires respectives, tandis que le reste de la flotte est en approche de l'arrivée.
À 4h, ce jeudi, Jorg Riechers (Mare) était en 4e position des prototypes solitaires, Nicolas Boidevezi (C'est pas la mer à boire) 5e, Louis Segré (Roll my chicken) 6e...
Les premiers bateaux de série sont attendus vers 7h du matin à Luanco. Clément Bouyssou (No War) défend bec et ongle son leadership. Il a pour l'instant réussi à contrer les attaques de Justine Mettraux (Team Work), mais la bataille n'est pas finie, d'autant que Damien Cloarec (Lomig) n'est pas loin...
En bateaux de série double, là aussi, le match est serré entre Maxime Prono et Quentin Vlamynck (Est Group) qui ont pris l'avantage de 0,4 milles devant Jean-Baptiste Lemaire et Jean-Paul Vaur (L'œuvre du marin breton).
Mais le vent est complètement tombé au large des côtes asturiennes et ce final se joue désormais au ralenti...
Premières arrivées en prototype solitaire
Gwénolé Gahinet (Logways-Watever) à 2h 48mn 08s
Bertrand Delesne (Team Work) à 2h 55mn 25s
Julien Pulvé à 3h 21mn 43s...
Suivez la course : http://transgascogne.geovoile.com/2013/
Gwénolé Gahinet (Logways-Watever) et Bertrand Delesne (Team Work) avaient opté pour une route légèrement décalée dans le nord, mais pas trop.
Julien Pulvé (Chasseur de primes-AGB) avait lui privilégié un axe médian.
Le jeune rochelais était très vite entré dans sa course et avait, dès la première nuit, pris un léger avantage, pour ne plus le quitter... jusqu'aux toutes dernières heures de course.
Gwénolé et Bertrand, ont en effet profité d'un meilleur angle de vent par rapport à l'arrivée. Et, à quelque dizaine de milles de Luanco, lorsque la brise a sensiblement faibli pour s'orienter au secteur ouest, les virements de bord se sont enchaînés et les deux Lorientais en ont confirmé leur avance sur le Rochelais.
Gwénolé Gahinet (Logways-Watever) vainqueur de la première étape : « je n'ai rien compris ! Je me croyais au moins 7e. Je ne voyais plus personne... Du coup, je m'étais fait un mauvais film dans ma tête. En fait, j'ai dû mal noter les positions des autres, je pensais que Bertrand était loin devant.
On a fait un long bord sous spi bien sympa et puis ça a molli d'un coup. On s'est retrouvés avec Bertrand, au près, on a pris un refus énorme, on s'est dit « c'est mort ! »... et puis non ! J'ai hâte de voir les tracés pour comprendre ce qu'il s'est passé.
Ce grand bord pour traverser le golfe, ça fait vraiment penser à la Mini Transat. J'ai eu le temps d'écouter de la musique, d'observer le ciel... »
Bertrand Delesne (Team Work), 2e de la première étape : « Sur la fin je ne savais pas trop comment aborder la côte. Quand le vent a basculé, j'ai eu un gros doute, je me suis dit qu'une quinzaine de bateaux allait passer par en dessous ! Mon option un peu nord-ouest était justement prévue pour anticiper cette approche de la côte, mais le vent a complètement tourné, c'était bizarre. Mais ce n'est pas grave, je suis bien content de ma place. J'ai pris un bon départ, j'ai une bonne vitesse. J'ai encore trouvé de nouveaux réglages, c'est ça qui compte. Et si, au final, je peux décrocher un résultat, ce sera encore mieux ! Mais il y a un super niveau, tout le monde navigue bien, ça joue serré ! »
Julien Pulvé (Chasseur de primes-AGB), 3e de la première étape : « Ce n'est que ma deuxième course en solitaire ! Je suis super content ! En fait, je revenais tout juste de ma qualification hors course (1000 milles en solitaire, obligatoires pour se qualifier à la Mini Transat, nldr). Sept jours complets en solo, en mer, je n'avais jamais fait ça. J'ai appris plein de choses sur moi, sur le bateau... J'avais tous mes repères, je pense que ça m'a aidé à être tout de suite dans le match de la course.
Ça a joué serré, c'est super intéressant, mais l'arrivée dans la pétole, ce n'était pas évident. Mais je suis surtout content de me bagarrer avec eux ! C'est bon signe ! »
Un podium, trois talents
Même si aucun des solitaires de cette Transgascogne ne démérite, il faut reconnaitre que ce podium est la réunion de trois talents, assez différents, mais bien réels :
- un talent incontestable qui semble presque inné ou intuitif bien que doublé d'un gros travail pour Gwénolé Gahinet qui, à part le Trophée Marie-Agnès Péron (où il termine 2e), a tout gagné cette saison : Demi-clé, Pornichet Select et Mini Fastnet.
- un talent qui se concrétise cette année avec, pour la première fois pour lui, un vrai budget qui lui permet de s'exprimer. Bertrand Delesne ne cesse de monter en puissance depuis le début de la saison.
- un talent bien réel et tout neuf qui ne demande qu'à s'exprimer pour Julien Pulvé, en recherche de budget pour pouvoir participer à sa première Mini Transat qui lui tend les bras...
Ces trois-là sont déjà en train de refaire le match derrière un ordinateur pour découvrir leurs trajectoires respectives, tandis que le reste de la flotte est en approche de l'arrivée.
À 4h, ce jeudi, Jorg Riechers (Mare) était en 4e position des prototypes solitaires, Nicolas Boidevezi (C'est pas la mer à boire) 5e, Louis Segré (Roll my chicken) 6e...
Les premiers bateaux de série sont attendus vers 7h du matin à Luanco. Clément Bouyssou (No War) défend bec et ongle son leadership. Il a pour l'instant réussi à contrer les attaques de Justine Mettraux (Team Work), mais la bataille n'est pas finie, d'autant que Damien Cloarec (Lomig) n'est pas loin...
En bateaux de série double, là aussi, le match est serré entre Maxime Prono et Quentin Vlamynck (Est Group) qui ont pris l'avantage de 0,4 milles devant Jean-Baptiste Lemaire et Jean-Paul Vaur (L'œuvre du marin breton).
Mais le vent est complètement tombé au large des côtes asturiennes et ce final se joue désormais au ralenti...
Premières arrivées en prototype solitaire
Gwénolé Gahinet (Logways-Watever) à 2h 48mn 08s
Bertrand Delesne (Team Work) à 2h 55mn 25s
Julien Pulvé à 3h 21mn 43s...
Suivez la course : http://transgascogne.geovoile.com/2013/
Mercredi 31 juillet 2013 à Luanco
La flotte de la Transgascogne 6.50 est attendue en soirée à Luanco. Après un ralentissement la nuit dernière, les Mini ont retrouvé de belles vitesses depuis ce matin. Ils filent à 10 nœuds pour les plus rapides, en route directe vers l'arrivée. Julien Pulvé (Chasseur de primes-AGB) mène en prototype et Clément Bouyssou (No War) en bateaux de série, mais de gros écarts latéraux séparent les leaders de chaque catégorie et il est pour l'instant difficile de dire qui sera avantagé à l'heure du regroupement vers Luanco.
Dans l'ensemble, les coureurs ont été fidèles à leurs stratégies de départ. Les partisans d'une route plus directe ont toujours contourné les hautes pressions au plus près. Et ceux qui avaient opté pour un décalage à l'est s'y sont tenus. Au centre, ça a joué la vitesse et ça a souvent payé.
Ainsi, en prototype comme en bateau de série, le terme de « lignes de front » serait plus approprié que l'expression « groupe de tête » pour donner une image de cette flotte en approche de l'Espagne.
À la mi-journée, en prototypes, Julien Pulvé (Chasseur de primes-AGB) sur une route médiane, donc, confirme son leadership, mais, à 12 milles dans son nord et à 10 milles dans son sud, deux extrémistes menacent : Bertrand Delesne (Team Work) et Benoit Marie (benoitmarie.com). Non loin derrière, sensiblement décalés en latéral, eux aussi : Gwénolé Gahinet (Logways-Watever), Jorg Riechers (Mare), Louis Segré (Roll my chicken) et Nicolas Boidevezi (C'est pas la mer à boire).
Les sept premiers se tiennent en sept milles...Tous évoluent pour l'instant à une dizaine de nœuds, dans une brise qui semble être similaire du nord au sud de la flotte.
Les bateaux de série ont dans l'ensemble opté pour une route plus directe que les prototypes. Clément Bouyssou (No War) mène la danse sur une route assez nord, il est talonné par Tanguy Le Turquay (Terreal - Rêve d'enfance) et Renaud Mary (runo.fr). Mais ils devront avoir un œil sur les trajectoires médianes de Justine Mettraux (Team Work) et de Sylvain Leboeuf (Match Box), respectivement 4e te 8e en distance au but, mais qui semblent bien positionnés pour jouer les places d'honneur à Luanco.
Éric Cochet (Aber and Co) et l'italien Alberto Bona (onlinesim.it) sont les plus extrêmes, au sud, mais à 5 milles seulement du premier en distance au but... à suivre aussi, donc, même s'ils semblent bénéficier de moins de vent que leurs concurrents du nord.
En double, en bateaux de série, Jean-Baptiste Lemaire et Jean-Paul Vaur (L'œuvre du marin breton) mènent d'un mille devant Maxime Prono et Quentin Vlamynck (Est Group).
Le seul duo en prototype, Maxime Eveillard et André Lorry (Sea Zaitre), évolue non loin des premiers bateaux de série.
À Luanco, tout est prêt pour accueillir les coureurs en début de soirée. Le vent souffle pour l'instant au large des côtes asturiennes : les concurrents pourraient avoir le plaisir d'arriver rapidement vers l'arrivée, sans passer par l'habituelle case « pétole » tant redoutée des régatiers à l'approche des falaises espagnoles.
Un deuxième abandon est à déplorer, celui de Thomas Guilbaud (Planète urgence), suite à la rupture de son balcon avant et de son outrigger. Tout va bien à bord, il rentre à Lorient par ses propres moyens.
La flotte de la Transgascogne 6.50 est attendue en soirée à Luanco. Après un ralentissement la nuit dernière, les Mini ont retrouvé de belles vitesses depuis ce matin. Ils filent à 10 nœuds pour les plus rapides, en route directe vers l'arrivée. Julien Pulvé (Chasseur de primes-AGB) mène en prototype et Clément Bouyssou (No War) en bateaux de série, mais de gros écarts latéraux séparent les leaders de chaque catégorie et il est pour l'instant difficile de dire qui sera avantagé à l'heure du regroupement vers Luanco.
Dans l'ensemble, les coureurs ont été fidèles à leurs stratégies de départ. Les partisans d'une route plus directe ont toujours contourné les hautes pressions au plus près. Et ceux qui avaient opté pour un décalage à l'est s'y sont tenus. Au centre, ça a joué la vitesse et ça a souvent payé.
Ainsi, en prototype comme en bateau de série, le terme de « lignes de front » serait plus approprié que l'expression « groupe de tête » pour donner une image de cette flotte en approche de l'Espagne.
À la mi-journée, en prototypes, Julien Pulvé (Chasseur de primes-AGB) sur une route médiane, donc, confirme son leadership, mais, à 12 milles dans son nord et à 10 milles dans son sud, deux extrémistes menacent : Bertrand Delesne (Team Work) et Benoit Marie (benoitmarie.com). Non loin derrière, sensiblement décalés en latéral, eux aussi : Gwénolé Gahinet (Logways-Watever), Jorg Riechers (Mare), Louis Segré (Roll my chicken) et Nicolas Boidevezi (C'est pas la mer à boire).
Les sept premiers se tiennent en sept milles...Tous évoluent pour l'instant à une dizaine de nœuds, dans une brise qui semble être similaire du nord au sud de la flotte.
Les bateaux de série ont dans l'ensemble opté pour une route plus directe que les prototypes. Clément Bouyssou (No War) mène la danse sur une route assez nord, il est talonné par Tanguy Le Turquay (Terreal - Rêve d'enfance) et Renaud Mary (runo.fr). Mais ils devront avoir un œil sur les trajectoires médianes de Justine Mettraux (Team Work) et de Sylvain Leboeuf (Match Box), respectivement 4e te 8e en distance au but, mais qui semblent bien positionnés pour jouer les places d'honneur à Luanco.
Éric Cochet (Aber and Co) et l'italien Alberto Bona (onlinesim.it) sont les plus extrêmes, au sud, mais à 5 milles seulement du premier en distance au but... à suivre aussi, donc, même s'ils semblent bénéficier de moins de vent que leurs concurrents du nord.
En double, en bateaux de série, Jean-Baptiste Lemaire et Jean-Paul Vaur (L'œuvre du marin breton) mènent d'un mille devant Maxime Prono et Quentin Vlamynck (Est Group).
Le seul duo en prototype, Maxime Eveillard et André Lorry (Sea Zaitre), évolue non loin des premiers bateaux de série.
À Luanco, tout est prêt pour accueillir les coureurs en début de soirée. Le vent souffle pour l'instant au large des côtes asturiennes : les concurrents pourraient avoir le plaisir d'arriver rapidement vers l'arrivée, sans passer par l'habituelle case « pétole » tant redoutée des régatiers à l'approche des falaises espagnoles.
Un deuxième abandon est à déplorer, celui de Thomas Guilbaud (Planète urgence), suite à la rupture de son balcon avant et de son outrigger. Tout va bien à bord, il rentre à Lorient par ses propres moyens.
Tags :
L'actualité aux Sables d'Olonne
L'information aux Sables d'Olonne
Les Sables d'Olonne
Trandgascogne
Vendée
Voile
Commentaires (0)
Les Sables d'Olonne Info
Dernières notes
Vendée Globe départ ce dimanche
10/11/2024
Confidences du Vendéen Sébastien Simon
28/10/2024
Politique
La Chaine Parlementaire (LCP), Live TNT par LCP
France
-
Émission spéciale sur l'affaire Pelicot : dans les coulisses d’un procès historique
22/11/2024 18:18 - Laure MANENT -
"Le jour où nos couleurs flotteront sur la cathédrale de Strasbourg" ou la promesse tenue de Leclerc
22/11/2024 18:08 - Stéphanie TROUILLARD -
Menace du RN de voter la motion de censure : vers une crise politique et budgétaire ?
21/11/2024 18:30 - Roselyne FEBVRE -
Une coalition féministe présente 140 mesures contre les violences sexuelles
21/11/2024 16:29 - FRANCE 24
Liste de liens
Galerie
Cinéma
|
Expositions
|
Culture et Animations
|
Sports et Nautisme
|
"Les Sables d'Olonne info" est un blog sur l'actualité et l'information de la ville des Sables d'Olonne. Contact : lesablesinfo@aol.fr