|
Les prévisions météorologiques fournies par Météo-France indiquant des rafales de vent inférieures à celles observées aujourd’hui, et au regard des mesures préventives prises par l’organisation en faveur de la sécurité du public, le village du Vendée Globe aux Sables d’Olonne et l’accès au ponton seront de nouveau ouverts ce vendredi 2 novembre à partir de 10h.
La soirée de la Solidarité se déroulera le vendredi 23 novembre 2012 à la salle Audubon aux Sables d'Olonne à partir de 18h30.
L'histoire
Cette manifestation avait été instaurée au niveau national il y a plus de 20 ans. Lorsque l'initiative nationale s'est arrêtée, le CCAS des Sables d'Olonne a souhaité pérenniser cet événement sur le Pays des Olonnes.
Elle a ensuite bénéficié d'un sérieux coup de pouce avec l'engagement financier substantiel de la CCO et une implication budgétaire et logistique plus importante du CCAS lui permettant de devenir un moment privilégié et très attendu par les bénéficiaires et les intervenants sociaux.
La soirée de la Solidarité : qu'est-ce que c'est ?
> Une soirée d'échange, de détente, de fête offerte aux personnes et familles les plus démunies.
> Un repas copieux et gratuit.
> Un orchestre qui donne le «la». Cette année, « Accord Danse » pour une soirée festive.
> De nombreuses autres animations : une tombola gratuite, un lâcher de ballons.
Cette soirée est devenue une réelle tradition et la mixité s'y installe.
Quel financement ? Quelle organisation ?
Cette fête est possible grâce au financement de la Communauté de Commune des Olonnes (majoritaire) et du CCAS des Sables d'Olonne.
La Ville des Sables d'Olonne apporte également son concours par la mise à disposition de la salle Audubon et la confection et l'impression des affiches, flyers et invitations.
Le CCAS des Sables d'Olonne se charge de toute l'organisation matérielle et fédère les moyens offerts par les villes partenaires (Château d'Olonne et Olonne sur Mer) et les bénévoles des associations concernées.
Comment y aller ?
L'accès de la soirée est totalement libre sans réservation. Aucun document ne vous sera demandé à l'entrée.
Cette manifestation avait été instaurée au niveau national il y a plus de 20 ans. Lorsque l'initiative nationale s'est arrêtée, le CCAS des Sables d'Olonne a souhaité pérenniser cet événement sur le Pays des Olonnes.
Elle a ensuite bénéficié d'un sérieux coup de pouce avec l'engagement financier substantiel de la CCO et une implication budgétaire et logistique plus importante du CCAS lui permettant de devenir un moment privilégié et très attendu par les bénéficiaires et les intervenants sociaux.
La soirée de la Solidarité : qu'est-ce que c'est ?
> Une soirée d'échange, de détente, de fête offerte aux personnes et familles les plus démunies.
> Un repas copieux et gratuit.
> Un orchestre qui donne le «la». Cette année, « Accord Danse » pour une soirée festive.
> De nombreuses autres animations : une tombola gratuite, un lâcher de ballons.
Cette soirée est devenue une réelle tradition et la mixité s'y installe.
Quel financement ? Quelle organisation ?
Cette fête est possible grâce au financement de la Communauté de Commune des Olonnes (majoritaire) et du CCAS des Sables d'Olonne.
La Ville des Sables d'Olonne apporte également son concours par la mise à disposition de la salle Audubon et la confection et l'impression des affiches, flyers et invitations.
Le CCAS des Sables d'Olonne se charge de toute l'organisation matérielle et fédère les moyens offerts par les villes partenaires (Château d'Olonne et Olonne sur Mer) et les bénévoles des associations concernées.
Comment y aller ?
L'accès de la soirée est totalement libre sans réservation. Aucun document ne vous sera demandé à l'entrée.
Commentaires (0)
Les Sables Info
Dans un an, une petite centaine de marins solitaires s'élancera sur ce qui sera, pour nombre d'entre eux, l'aventure de leur vie. Dans un an tout juste, la 19e édition de la Mini Transat partira de Douarnenez, direction les Antilles, via Lanzarote.
Et, pour la première fois depuis 10 ans, il est possible de se qualifier en prototype à cette course aussi unique que magique en un an seulement... La « Mini » et l'aventure, ça commence maintenant !
Depuis 2006, la Classe Mini a mis en place un système de quotas de bateaux de séries et de prototypes de façon à équilibrer les flottes des grandes épreuves et notamment celles de la Mini Transat. Grâce à ce système de quota, il est possible de se qualifier à la transat 2013, en prototypes, en un an seulement au lieu de deux habituellement.
Le proto : plus qu'un bateau, une ouverture vers le grand large
Funs, performants, évolutifs, ces petites carènes uniques sont bien plus que des bateaux, le prototype est une formidable école de course au large.
Monter et développer un projet « proto » est formateur et permet d'appréhender toutes les dimensions sportives et technologiques d'un projet. Et puis, récompense ultime, les premiers à passer la ligne d'arrivée sont les prototypes, suscitant de fait l'intérêt des médias.
Petits prix, maxi plaisir
Aujourd'hui, de nombreux prototypes sont disponibles sur le marché de l'occasion. Ces carènes parfaitement fiabilisées et toujours performantes sont moins onéreuses que les bateaux de séries les plus récents.
Enfin, sur le nouveau parcours de la Mini Transat à destination des Antilles, la puissance pure du bateau ne sera pas l'atout principal. Ainsi, de nombreux prototypes des générations précédentes, actuellement disponibles à des prix très intéressants, retrouvent toute leur compétitivité dans la perspective des transats à venir.
A un an du départ de la prochaine Mini Transat, la Classe Mini dispose d'un vivier de prototypes prêts à naviguer à haut niveau avec lesquels il est encore possible de se qualifier pour décrocher son ticket-solo vers Les Antilles en 2013.
Cinq bonnes raisons de se lancer en prototype
1. En moins d'un an, préparez-vous et qualifiez-vous pour la prochaine Mini-Transat !
2. Premiers sur la ligne d'arrivée, premiers médiatisés.
3. Un marché de l'occasion qui propose des prototypes deuxième génération moins chers et plus performants que les bateaux de série les plus récents.
4. La filière d'apprentissage technique et sportive de la course aux larges qui a vu passer Loïck Peyron, Michel Desjoyeaux, et plus récemment, Yannick Bestaven, Yves Le Blévec, Thomas Ruyant...
5. Le nouveau parcours de la Mini Transat 2013 réduit le différentiel de performance entre les prototypes dernière génération et leurs prédécesseurs : les performances au portant l'emportent sur la puissance au reaching.
Le proto : plus qu'un bateau, une ouverture vers le grand large
Funs, performants, évolutifs, ces petites carènes uniques sont bien plus que des bateaux, le prototype est une formidable école de course au large.
Monter et développer un projet « proto » est formateur et permet d'appréhender toutes les dimensions sportives et technologiques d'un projet. Et puis, récompense ultime, les premiers à passer la ligne d'arrivée sont les prototypes, suscitant de fait l'intérêt des médias.
Petits prix, maxi plaisir
Aujourd'hui, de nombreux prototypes sont disponibles sur le marché de l'occasion. Ces carènes parfaitement fiabilisées et toujours performantes sont moins onéreuses que les bateaux de séries les plus récents.
Enfin, sur le nouveau parcours de la Mini Transat à destination des Antilles, la puissance pure du bateau ne sera pas l'atout principal. Ainsi, de nombreux prototypes des générations précédentes, actuellement disponibles à des prix très intéressants, retrouvent toute leur compétitivité dans la perspective des transats à venir.
A un an du départ de la prochaine Mini Transat, la Classe Mini dispose d'un vivier de prototypes prêts à naviguer à haut niveau avec lesquels il est encore possible de se qualifier pour décrocher son ticket-solo vers Les Antilles en 2013.
Cinq bonnes raisons de se lancer en prototype
1. En moins d'un an, préparez-vous et qualifiez-vous pour la prochaine Mini-Transat !
2. Premiers sur la ligne d'arrivée, premiers médiatisés.
3. Un marché de l'occasion qui propose des prototypes deuxième génération moins chers et plus performants que les bateaux de série les plus récents.
4. La filière d'apprentissage technique et sportive de la course aux larges qui a vu passer Loïck Peyron, Michel Desjoyeaux, et plus récemment, Yannick Bestaven, Yves Le Blévec, Thomas Ruyant...
5. Le nouveau parcours de la Mini Transat 2013 réduit le différentiel de performance entre les prototypes dernière génération et leurs prédécesseurs : les performances au portant l'emportent sur la puissance au reaching.
Commentaires (0)
Les Sables Info
Il n’est pas le doyen de la flotte, loin s’en faut, mais Bertrand de Broc est le seul des vingt candidats au départ à avoir vécu les Vendée Globe de 1992 et 1996, quand la course en était encore à construire ses marques de fabrique. En seize ans, l’engouement est resté le même, mais la vie des navigateurs n’a plus grand chose à voir avec celle du temps des pionniers.
Samedi dernier, alors que du vent soutenu était annoncé, l’équipe de Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets est sortie au large, à une trentaine de milles des Sables d’Olonne, pour valider les dernières modifications techniques et alimenter la banque image photos et vidéos dans la brise. Avec, au final plus de quarante noeuds de vent établi, tout le monde a été servi au delà des espérances. Entretien avec Bertrand de Broc à douze jours du départ.
Technique : quelques détails à peaufiner
« Pour nous, cette sortie s’est révélée pile dans le bon timing. On a pu vérifier que le boulot qu’on avait programmé répondait à nos attentes. Le bateau s’est parfaitement comporté, nos petites modifications fonctionnent. Il va peut-être juste falloir qu’on essaye d’allonger la casquette amovible, parce qu’on prend quand même beaucoup de flotte dans la figure. On a, par ailleurs, travaillé sur la quille en limitant la course des vérins et en prévoyant un système d’ancrage en position centrale, si besoin. On a installé deux hydrogénérateurs qui fonctionnent parfaitement. Enfin, on a testé une nouvelle voile d’avant pour le gros temps qui devrait être bien utile. Il va nous rester pas mal de bricole entre rangements des sacs de matériel, matelotage d’entretien et chasse au poids. Mais globalement, on est dans les clous, c’est satisfaisant. »
Le mythe toujours vivant
« C’est toujours impressionnant de voir l’engouement du public par rapport au Vendée Globe. Pour eux, nous sommes des porteurs de rêve. Les gens veulent voir les skippers à bord, mais ils restent très respectueux. Bien sûr, le village a changé : tout est plus gros, plus organisé. Au fur et à mesure des éditions, les infrastructures gagnent en qualité, le village progresse. Mais le public reste toujours aussi captivé. Ça me fascine de voir que des gens peuvent faire la queue
pendant une heure ou deux pour descendre sur le ponton. »
A bord : une autre vie
« Quand je compare les machines d’aujourd’hui avec les bateaux des premières éditions, c’est un monde. Maintenant, ce sont de véritables usines à gaz. Et paradoxalement avec le développement des nouvelles technologies, les tâches se sont démultipliées. Sur les premiers Vendée Globe, on allait chercher la météo une fois par jour, c’était bien suffisant. On barrait sûrement plus, mais on passait moins de temps sur les réglages. Le reste du temps, on bouquinait, on dormait, on se faisait à manger. Aujourd’hui, il va falloir aussi faire de la vidéo, des photos, envoyer des mails, faire vivre la course au jour le jour. Je me dis parfois qu’à ce rythme, on ne va même pas se rendre compte du temps qui passe. »
Les objectifs de résultat
« Déjà, j’ai confiance dans le bateau. C’est une plate-forme qui est saine. On a essayé de l’optimiser tout en restant raisonnable. Mon objectif premier c’est de terminer pour tous les gens qui ont cru au projet. Il ne s’agit pas d’être le meilleur au cap de Bonne-Espérance, c’est aux Sables d’Olonne qu’il faudra être placé. J’en sais quelque chose, puisque par deux fois, je n’ai pas pu aller au bout. Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire. »
Technique : quelques détails à peaufiner
« Pour nous, cette sortie s’est révélée pile dans le bon timing. On a pu vérifier que le boulot qu’on avait programmé répondait à nos attentes. Le bateau s’est parfaitement comporté, nos petites modifications fonctionnent. Il va peut-être juste falloir qu’on essaye d’allonger la casquette amovible, parce qu’on prend quand même beaucoup de flotte dans la figure. On a, par ailleurs, travaillé sur la quille en limitant la course des vérins et en prévoyant un système d’ancrage en position centrale, si besoin. On a installé deux hydrogénérateurs qui fonctionnent parfaitement. Enfin, on a testé une nouvelle voile d’avant pour le gros temps qui devrait être bien utile. Il va nous rester pas mal de bricole entre rangements des sacs de matériel, matelotage d’entretien et chasse au poids. Mais globalement, on est dans les clous, c’est satisfaisant. »
Le mythe toujours vivant
« C’est toujours impressionnant de voir l’engouement du public par rapport au Vendée Globe. Pour eux, nous sommes des porteurs de rêve. Les gens veulent voir les skippers à bord, mais ils restent très respectueux. Bien sûr, le village a changé : tout est plus gros, plus organisé. Au fur et à mesure des éditions, les infrastructures gagnent en qualité, le village progresse. Mais le public reste toujours aussi captivé. Ça me fascine de voir que des gens peuvent faire la queue
pendant une heure ou deux pour descendre sur le ponton. »
A bord : une autre vie
« Quand je compare les machines d’aujourd’hui avec les bateaux des premières éditions, c’est un monde. Maintenant, ce sont de véritables usines à gaz. Et paradoxalement avec le développement des nouvelles technologies, les tâches se sont démultipliées. Sur les premiers Vendée Globe, on allait chercher la météo une fois par jour, c’était bien suffisant. On barrait sûrement plus, mais on passait moins de temps sur les réglages. Le reste du temps, on bouquinait, on dormait, on se faisait à manger. Aujourd’hui, il va falloir aussi faire de la vidéo, des photos, envoyer des mails, faire vivre la course au jour le jour. Je me dis parfois qu’à ce rythme, on ne va même pas se rendre compte du temps qui passe. »
Les objectifs de résultat
« Déjà, j’ai confiance dans le bateau. C’est une plate-forme qui est saine. On a essayé de l’optimiser tout en restant raisonnable. Mon objectif premier c’est de terminer pour tous les gens qui ont cru au projet. Il ne s’agit pas d’être le meilleur au cap de Bonne-Espérance, c’est aux Sables d’Olonne qu’il faudra être placé. J’en sais quelque chose, puisque par deux fois, je n’ai pas pu aller au bout. Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire. »
Commentaires (0)
Les Sables Info
Venez nombreux le jeudi 8 novembre de 11h30 à 15h30 participer au tournage du film "En Solitaire" en assistant à l'arrivée du voilier DCNS skippé par François Cluzet !
Le jeudi 8 novembre, l'équipe du film "EN SOLITAIRE" reconstitue l'arrivée du Vendée Globe avec ses comédiens : François Cluzet, Guillaume Canet et Virginie Efira;
Vous serez les spectateurs d'une séquence importante du film en assistant à l'arrivée du voilier de François Cluzet dans le chenal du port des Sables.
Venez nombreux en famille, avec vos amis, pour participer à ce tournage et reconstituer une ambiance réaliste de l'arrivée du Vendée Globe !
L'ensemble de la foule sera filmée depuis le bateau de tournage et depuis les quais.
Points de rendez-vous :
Côté Les Sables : petite jetée – entrée à la base de mer.
Côté La Chaume : grande jetée – entrée au début de la passerelle.
Le jeudi 8 novembre, l'équipe du film "EN SOLITAIRE" reconstitue l'arrivée du Vendée Globe avec ses comédiens : François Cluzet, Guillaume Canet et Virginie Efira;
Vous serez les spectateurs d'une séquence importante du film en assistant à l'arrivée du voilier de François Cluzet dans le chenal du port des Sables.
Venez nombreux en famille, avec vos amis, pour participer à ce tournage et reconstituer une ambiance réaliste de l'arrivée du Vendée Globe !
L'ensemble de la foule sera filmée depuis le bateau de tournage et depuis les quais.
Points de rendez-vous :
Côté Les Sables : petite jetée – entrée à la base de mer.
Côté La Chaume : grande jetée – entrée au début de la passerelle.
Commentaires (0)
Les Sables Info
Troisième du dernier Vendée Globe après un périple hors normes, Marc Guillemot se présentera dans 10 jours sur la ligne de départ de l’édition 2012-2013. Pour son deuxième tour du monde en solitaire sans escale et sans assistance, le skipper de Safran nous fait part de ses attentes, ses envies et ses objectifs.
Entretien :
Marc, pourquoi repartir pour un deuxième Vendée Globe ?
« Tout simplement parce que j'ai encore envie de me battre sur l'eau. Depuis que nous avons commencé le projet, le Vendée Globe est un de nos objectifs prioritaires avec Safran. Dès l'arrivée de la dernière édition en 2009, je savais que je repartirai parce que j'avais envie de refaire ce tour du monde autrement, en essayant de gommer au maximum les erreurs du précédent. Je veux vivre un Vendée Globe différent. »
Comment imagines-tu ce Vendée Globe ?
« Comme beaucoup de concurrents, j'ai découvert cette course il y a quatre ans. A l’époque, j’avais légèrement sous-estimé « l’aventure Vendée Globe » Nous partons évidemment pour régater et faire la meilleure performance possible, mais je sais maintenant, par expérience, que l’aventure fait partie du jeu, qu’elle est inévitable. Le Vendée Globe, c’est une multitude d’inconnues et de péripéties inattendues qu’il faut gérer au quotidien. La dernière fois, j’ai trouvé tout ce que je n’étais pas venu chercher… Là, je sais, avant de partir, qu’il faudra composer avec l’imprévu. »
« Arriver en bon état »
As-tu les mêmes appréhensions que lors de ton premier départ ou est-ce différent, avec l'expérience ?
« Je n’avais pas d’appréhension il y a quatre ans, donc je ne vois pas pourquoi je devrais en avoir aujourd'hui. J'aborde cette dernière ligne droite avec beaucoup de sérénité : nous avons tous bien travaillé sur Safran, bien progressé et l'ensemble des actions qui ont été menées l'ont été dans le bon sens. Nous avons aujourd’hui un bateau performant, compétitif et fiable : c'est ce qui apporte une vraie sérénité et évite d’avoir des états d’âme. »
Et tes objectifs sur ce Vendée Globe. Quels sont-ils ?
« Nous ne partons pas sur une course avec un autre objectif que celui de gagner ! Mais en réalité, l'objectif des objectifs, celui qui conditionne tous les autres, c'est d'arriver aux Sables d'Olonne en bon état après avoir fait le tour du monde. Si c'est le cas, le résultat sera forcément là. Etre au départ est une chose, mais être à l'arrivée en est une autre. »
Suivez @SAFRAN sur Twitter
Marc, pourquoi repartir pour un deuxième Vendée Globe ?
« Tout simplement parce que j'ai encore envie de me battre sur l'eau. Depuis que nous avons commencé le projet, le Vendée Globe est un de nos objectifs prioritaires avec Safran. Dès l'arrivée de la dernière édition en 2009, je savais que je repartirai parce que j'avais envie de refaire ce tour du monde autrement, en essayant de gommer au maximum les erreurs du précédent. Je veux vivre un Vendée Globe différent. »
Comment imagines-tu ce Vendée Globe ?
« Comme beaucoup de concurrents, j'ai découvert cette course il y a quatre ans. A l’époque, j’avais légèrement sous-estimé « l’aventure Vendée Globe » Nous partons évidemment pour régater et faire la meilleure performance possible, mais je sais maintenant, par expérience, que l’aventure fait partie du jeu, qu’elle est inévitable. Le Vendée Globe, c’est une multitude d’inconnues et de péripéties inattendues qu’il faut gérer au quotidien. La dernière fois, j’ai trouvé tout ce que je n’étais pas venu chercher… Là, je sais, avant de partir, qu’il faudra composer avec l’imprévu. »
« Arriver en bon état »
As-tu les mêmes appréhensions que lors de ton premier départ ou est-ce différent, avec l'expérience ?
« Je n’avais pas d’appréhension il y a quatre ans, donc je ne vois pas pourquoi je devrais en avoir aujourd'hui. J'aborde cette dernière ligne droite avec beaucoup de sérénité : nous avons tous bien travaillé sur Safran, bien progressé et l'ensemble des actions qui ont été menées l'ont été dans le bon sens. Nous avons aujourd’hui un bateau performant, compétitif et fiable : c'est ce qui apporte une vraie sérénité et évite d’avoir des états d’âme. »
Et tes objectifs sur ce Vendée Globe. Quels sont-ils ?
« Nous ne partons pas sur une course avec un autre objectif que celui de gagner ! Mais en réalité, l'objectif des objectifs, celui qui conditionne tous les autres, c'est d'arriver aux Sables d'Olonne en bon état après avoir fait le tour du monde. Si c'est le cas, le résultat sera forcément là. Etre au départ est une chose, mais être à l'arrivée en est une autre. »
Suivez @SAFRAN sur Twitter
Commentaires (0)
Les Sables Info
Jusqu'au 23 novembre entre Saint-Gilles-Croix-de Vie et les Sables-d'Olonne, la réalisatrice Solveig Anspach tourne le film "Lulu femme nue" d’Etienne Davodeau avec l’actrice Karin Viard pour le premier rôle.
L'histoire :
A la suite d’un entretien d’embauche qui se passe mal, Lulu rate le train qui doit la ramener au domicile familial auprès de son mari et de ses trois enfants. Ce qui ne devait être qu’une seule nuit loin de chez elle, va se transformer en aventure de quelques semaines. Ce n’est pas une fugue, encore moins une fuite en avant, juste une parenthèse qui va prendre jour après jour des allures de remise en question radicale. Lulu va retrouver simplement le goût de la vie, et renouer avec une connaissance perdue de vue depuis longtemps : elle-même.
Le tournage a commencé depuis le lundi 15 octobre. Le film est entièrement tourné en Pays de la Loire. Il est soutenu financièrement par la Région à hauteur de 130 000 €, dans le cadre des aides à la production cinématographique.
L ’équipe du film a bénéficié d’un accompagnement du Bureau d’Accueil des Tournages pour la recherche de décors, l’organisation de castings sur le recrutement des figurants et les seconds rôles du film.
Une quinzaine de comédiens régionaux ont été recrutés pour des seconds rôles et une grande partie de l’équipe technique est locale.
A la suite d’un entretien d’embauche qui se passe mal, Lulu rate le train qui doit la ramener au domicile familial auprès de son mari et de ses trois enfants. Ce qui ne devait être qu’une seule nuit loin de chez elle, va se transformer en aventure de quelques semaines. Ce n’est pas une fugue, encore moins une fuite en avant, juste une parenthèse qui va prendre jour après jour des allures de remise en question radicale. Lulu va retrouver simplement le goût de la vie, et renouer avec une connaissance perdue de vue depuis longtemps : elle-même.
Le tournage a commencé depuis le lundi 15 octobre. Le film est entièrement tourné en Pays de la Loire. Il est soutenu financièrement par la Région à hauteur de 130 000 €, dans le cadre des aides à la production cinématographique.
L ’équipe du film a bénéficié d’un accompagnement du Bureau d’Accueil des Tournages pour la recherche de décors, l’organisation de castings sur le recrutement des figurants et les seconds rôles du film.
Une quinzaine de comédiens régionaux ont été recrutés pour des seconds rôles et une grande partie de l’équipe technique est locale.
Commentaires (0)
Les Sables Info
Dernières notes
Vendée Globe départ ce dimanche
10/11/2024
Confidences du Vendéen Sébastien Simon
28/10/2024
Politique
La Chaine Parlementaire (LCP), Live TNT par LCP
France
-
Procès des viols de Mazan : Béatrice Zavarro, la discrète avocate de Dominique Pelicot
27/11/2024 07:04 - Louis CHAHUNEAU -
Traité avec le Mercosur : "non" des députés français, la Pologne y est aussi désormais opposée
26/11/2024 22:34 - FRANCE 24 -
Algérie : Boualem Sansal entendu par le parquet antiterroriste et placé sous mandat de dépôt
26/11/2024 17:21 - FRANCE 24 -
La justice confirme les poursuites contre Alexis Kohler, secrétaire général de l'Élysée
26/11/2024 15:41 - FRANCE 24
Liste de liens
Galerie
Cinéma
|
Expositions
|
Culture et Animations
|
Sports et Nautisme
|
"Les Sables d'Olonne info" est un blog sur l'actualité et l'information de la ville des Sables d'Olonne. Contact : lesablesinfo@aol.fr