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Vingt minutes avant le lancement de la procédure de départ, le skipper de Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets a annoncé à la Direction de Course qu'il rentrait au port pour réparer un trou dans l'étrave.
C'est une collision avec un semi-rigide de son team qui a occasionné le dommage. A 14h00, le bateau était déjà à quai aux Sables d'Olonne et l'équipe technique commençait à procéder aux réparations. Bertrand de Broc espère pouvoir repartir à la marée de ce soir ou demain matin.
« J’ai fait appel à un semi-rigide ; c’est peut-être moi qui suis quelque part un peu fautif. On était bout au vent, on a demandé à un semi-rigide de nous faire tourner, juste l’étrave. Il s’est fait prendre par une vague, il est parti au surf et boum ! C’était à 25 minutes du départ. Ça va être réparé dans quelques heures à mon avis. Si on peut, on va repartir à la marée de cette nuit (à 3h du matin) ou alors dans 24 heures. Dès que c’est sec on repart. Ce n’est pas très, très grave mais ça nous fait perdre 24 heures. Y’a un concurrent qui m’a envoyé un SMS, Marc Guillemot. Il m’a dit : ‘‘ Une journée sur 90 jours, ce n’est pas très grave. Ne te décourage pas. ’’ C’était vraiment sympa de sa part. »
A noter que le seul arrêt technique autorisé pour les skippers du Vendée Globe est un retour au port de départ. Lors de l'édition 2008, ils étaient quatre à être rentrés au stand et à être repartis, dont Michel Desjoyeaux, le futur vainqueur....
« J’ai fait appel à un semi-rigide ; c’est peut-être moi qui suis quelque part un peu fautif. On était bout au vent, on a demandé à un semi-rigide de nous faire tourner, juste l’étrave. Il s’est fait prendre par une vague, il est parti au surf et boum ! C’était à 25 minutes du départ. Ça va être réparé dans quelques heures à mon avis. Si on peut, on va repartir à la marée de cette nuit (à 3h du matin) ou alors dans 24 heures. Dès que c’est sec on repart. Ce n’est pas très, très grave mais ça nous fait perdre 24 heures. Y’a un concurrent qui m’a envoyé un SMS, Marc Guillemot. Il m’a dit : ‘‘ Une journée sur 90 jours, ce n’est pas très grave. Ne te décourage pas. ’’ C’était vraiment sympa de sa part. »
A noter que le seul arrêt technique autorisé pour les skippers du Vendée Globe est un retour au port de départ. Lors de l'édition 2008, ils étaient quatre à être rentrés au stand et à être repartis, dont Michel Desjoyeaux, le futur vainqueur....
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Les Sables Info
Des dizaines de milliers de personnes sont amassées le long du chenal des Sables-d'Olonne pour assister au départ des concurrents de la course en solitaire la plus difficile du monde. Des dizaines de milliers de personnes sont amassées le long du chenal des Sables-d'Olonne pour assister au départ des concurrents de la course en solitaire la plus difficile du monde.
Ils sont 20 skippers (12 Français, 3 Anglais, 2 Suisses, 1 Italien, 1 Polonais, 1 Espagnol) parmi lesquels une seule femme (la Britannique Samantha Davies) à s'élancer ce samedi à 13 h 02 depuis Les Sables d'Olonne (Vendée) pour un tour du monde de 24 000 milles (44 450 km). Les plus rapides de la flotte mettront environ trois mois, les autres s'embarquent dans une aventure forcément épique pleine d'incertitudes. Sur leur monstre des mers -les navires mesurent tous 18 m de long et pèsent entre 8 et 11 tonnes- le tour du monde risque d'être long, épique et forcément riche en rebondissements. Jamais la course n'a échappé aux navigateurs français depuis sa création en 1989. Si d'aventure un «étranger» venait à l'emporter ce serait historique.
Faire un pronostic sur une course aussi longue et pleine d'imprévus est un exercice à hauts risques, mais la plupart des favoris de cette 7e édition, Riou (PRB), Armel Le Cléac'h (Banque Populaire) ou Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec 3), sont encore une fois des tricolores.
Le record à battre établi par le dernier vainqueur Michel Desjoyeaux en 2009 : 84 jours 03 heures et 09 minutes. Selon Richard Silvani, de Météo France, les conditions devraient être bonnes pour le départ : vent de 15 noeuds (30 km/heure) de secteur (venant de, ndlr) ouest/nord-ouest, et faibles pluies.
De 9h/11h30 : assistez à la sortie des bateaux de Port Olona. Et à 13h02, le coup de canon du départ.
Ils sont 20 skippers (12 Français, 3 Anglais, 2 Suisses, 1 Italien, 1 Polonais, 1 Espagnol) parmi lesquels une seule femme (la Britannique Samantha Davies) à s'élancer ce samedi à 13 h 02 depuis Les Sables d'Olonne (Vendée) pour un tour du monde de 24 000 milles (44 450 km). Les plus rapides de la flotte mettront environ trois mois, les autres s'embarquent dans une aventure forcément épique pleine d'incertitudes. Sur leur monstre des mers -les navires mesurent tous 18 m de long et pèsent entre 8 et 11 tonnes- le tour du monde risque d'être long, épique et forcément riche en rebondissements. Jamais la course n'a échappé aux navigateurs français depuis sa création en 1989. Si d'aventure un «étranger» venait à l'emporter ce serait historique.
Faire un pronostic sur une course aussi longue et pleine d'imprévus est un exercice à hauts risques, mais la plupart des favoris de cette 7e édition, Riou (PRB), Armel Le Cléac'h (Banque Populaire) ou Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec 3), sont encore une fois des tricolores.
Le record à battre établi par le dernier vainqueur Michel Desjoyeaux en 2009 : 84 jours 03 heures et 09 minutes. Selon Richard Silvani, de Météo France, les conditions devraient être bonnes pour le départ : vent de 15 noeuds (30 km/heure) de secteur (venant de, ndlr) ouest/nord-ouest, et faibles pluies.
De 9h/11h30 : assistez à la sortie des bateaux de Port Olona. Et à 13h02, le coup de canon du départ.
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Vendée Globe 2012
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Les Sables d'Olonne Info
"Mon idée était clairement de mettre la barre haute pour la concurrence. Du coup, je n’ai pas fait beaucoup de concessions sur ce bateau : il est optimisé du bout de la quille jusqu’en haut du mât."
Vincent Riou
Portrait
En 1993, pour le départ de la première Transat Jacques Vabre, en solitaire, les Parlier, Peyron et Gautier sont de la partie. Parmi eux, Vincent Riou, 21 ans. Un jeunot, la mèche sur le côté, qui s’attaque à sa première traversée de l’Atlantique à bord de Maitre CoQ et la boucle malgré une importante voie d’eau. Ses
concurrents saluent ce jeune marin à la ténacité hors norme qui vient de goûter au large, sans se douter qu’il fera exploser tout son talent en s’emparant du Vendée Globe quelques années plus tard.
« Vincent, le Terrible », seul ancien vainqueur au départ
A 40 ans, Vincent Riou est une des figures les plus emblématiques du Vendée Globe. L’histoire qui le lie à cette course débute en 2000 lorsqu’il fait son premier tour du monde… en restant à terre. Préparateur du PRB de Desjoyeaux, il joue un rôle crucial dans la victoire du bateau vendéen. Le sponsor choisit alors de confier à ce jeune homme discret et efficace la barre de son monocoque pour l’édition 2004. Pour sa première participation, le Bigouden s’impose au terme d’un duel épique avec Le Cam qui lui offre un surnom digne d’un sous-marin nucléaire : « Vincent, le Terrible ». Il entame alors la construction d’un nouveau monocoque pour l’édition 2008-2009. Après 57 jours de course, sa route croise à nouveau celle de Le Cam lorsque celui-ci se retourne au large du Cap
Horn. Vincent parvient à le récupérer in extremis mais abîme son gréement pendant le sauvetage. Le mât tient plusieurs heures avant de s’effondrer à quelques milles de la Terre de Feu. Contraint à l’abandon, Vincent sera classé troisième exæquo par le jury. Pour l’édition 2012-2013, il est le seul ancien vainqueur au départ.
Palmarès
2012
• Vainqueur Europa Warm’Up
2011
• Vainqueur Rolex Fastnet Race
• Vainqueur Artemis Challenge
• 3eme Transat B to B
2010
• 2eme Tour d'Espagne
• 5eme Route du Rhum
2009
• 7eme Transat Jacques Vabre (A.Boissières)
• 3eme Vendée Globe
2007
• Vainqueur Rolex Fastnet Race
• Vainqueur Calais Round Britain Race
2005
• Marin de l'année 2004
• Vainqueur Vendée Globe
2003
• Vainqueur Calais Round Britain Race
• 2eme Rolex Fastnet Race
• 4eme Transat Jacques Vabre (J.Beyou).
Caractéristiques du bateau
• Architecte : VPLP - Verdier
• Chantier : CDK
• Date de lancement : 11 mars 2010
• Longueur : 18,28 m
• Largeur : 5,5 m
• Tirant d´eau : 4,50 m
• Déplacement (poids) : Non communiqué
• Nombre de dérives : Non communiqué
• Hauteur mat : 27,4 m
• Voile quille : Acier mécano soudé
• Surface de voiles au près : 300 m²
• Surface de voiles au portant : 600 m².
Depuis 2010, le nouveau PRB a remporté l’Europa Warm’Up 2012, le Trophée Azimut, la Rolex Fastnet Race et l’Artemis Challenge 2011. Vincent maîtrisait déjà les mâts à ailes, et la combinaison avec des outriggers est plus facile à utiliser en solo. Tout a été optimisé pour que le bateau soit maîtrisable, rapide et typé « solitaire » et « tour du monde ».
En 1993, pour le départ de la première Transat Jacques Vabre, en solitaire, les Parlier, Peyron et Gautier sont de la partie. Parmi eux, Vincent Riou, 21 ans. Un jeunot, la mèche sur le côté, qui s’attaque à sa première traversée de l’Atlantique à bord de Maitre CoQ et la boucle malgré une importante voie d’eau. Ses
concurrents saluent ce jeune marin à la ténacité hors norme qui vient de goûter au large, sans se douter qu’il fera exploser tout son talent en s’emparant du Vendée Globe quelques années plus tard.
« Vincent, le Terrible », seul ancien vainqueur au départ
A 40 ans, Vincent Riou est une des figures les plus emblématiques du Vendée Globe. L’histoire qui le lie à cette course débute en 2000 lorsqu’il fait son premier tour du monde… en restant à terre. Préparateur du PRB de Desjoyeaux, il joue un rôle crucial dans la victoire du bateau vendéen. Le sponsor choisit alors de confier à ce jeune homme discret et efficace la barre de son monocoque pour l’édition 2004. Pour sa première participation, le Bigouden s’impose au terme d’un duel épique avec Le Cam qui lui offre un surnom digne d’un sous-marin nucléaire : « Vincent, le Terrible ». Il entame alors la construction d’un nouveau monocoque pour l’édition 2008-2009. Après 57 jours de course, sa route croise à nouveau celle de Le Cam lorsque celui-ci se retourne au large du Cap
Horn. Vincent parvient à le récupérer in extremis mais abîme son gréement pendant le sauvetage. Le mât tient plusieurs heures avant de s’effondrer à quelques milles de la Terre de Feu. Contraint à l’abandon, Vincent sera classé troisième exæquo par le jury. Pour l’édition 2012-2013, il est le seul ancien vainqueur au départ.
Palmarès
2012
• Vainqueur Europa Warm’Up
2011
• Vainqueur Rolex Fastnet Race
• Vainqueur Artemis Challenge
• 3eme Transat B to B
2010
• 2eme Tour d'Espagne
• 5eme Route du Rhum
2009
• 7eme Transat Jacques Vabre (A.Boissières)
• 3eme Vendée Globe
2007
• Vainqueur Rolex Fastnet Race
• Vainqueur Calais Round Britain Race
2005
• Marin de l'année 2004
• Vainqueur Vendée Globe
2003
• Vainqueur Calais Round Britain Race
• 2eme Rolex Fastnet Race
• 4eme Transat Jacques Vabre (J.Beyou).
Caractéristiques du bateau
• Architecte : VPLP - Verdier
• Chantier : CDK
• Date de lancement : 11 mars 2010
• Longueur : 18,28 m
• Largeur : 5,5 m
• Tirant d´eau : 4,50 m
• Déplacement (poids) : Non communiqué
• Nombre de dérives : Non communiqué
• Hauteur mat : 27,4 m
• Voile quille : Acier mécano soudé
• Surface de voiles au près : 300 m²
• Surface de voiles au portant : 600 m².
Depuis 2010, le nouveau PRB a remporté l’Europa Warm’Up 2012, le Trophée Azimut, la Rolex Fastnet Race et l’Artemis Challenge 2011. Vincent maîtrisait déjà les mâts à ailes, et la combinaison avec des outriggers est plus facile à utiliser en solo. Tout a été optimisé pour que le bateau soit maîtrisable, rapide et typé « solitaire » et « tour du monde ».
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Les Sables Info
À 48 heures du départ du Vendée Globe 2012, Stéphane Sallé, Directeur général de Maître CoQ, a annoncé la reconduction de son partenariat avec le skipper Jérémie Beyou, pour quatre ans : objectif Vendée Globe 2016 ! Cet engagement dans la voile, initié en janvier dernier et à 100% intégré à la stratégie de communication de la marque vendéenne, s’inscrit désormais sur du long terme…
À l’heure où nombre d’entreprises doutent de l’avenir et hésitent à communiquer, la marque Maître CoQ, fidèle à sa stratégie basée sur l’innovation et l’audace, se démarque une fois encore en s’engageant sur du long terme en course au large auprès du skipper Jérémie Beyou.
Jérémie Beyou et Stephane Sallé, DG de Maître CoQ:Jérémie Beyou et Stephane Sallé, DG de Maître CoQ © Yvan Zedda Stéphane Sallé, Directeur général de Maître CoQ : « Nous allons poursuivre notre engagement dans la voile aux côtés de Jérémie Beyou jusqu’au prochain Vendée Globe 2016-2017.
La première raison à cela est une raison de cœur. Ces premiers mois de collaboration avec Jérémie et son équipe se sont extrêmement bien passés. Nous ne pouvions pas espérer une équipe plus sympathique et disponible ! Aujourd’hui, nous sommes certains d’avoir fait le bon choix.
Notre engagement dans la voile est par ailleurs un véritable projet d’entreprise qui engage notre stratégie globale, mais aussi nos salariés. Or, un projet d’entreprise doit s’inscrire dans le temps.
Et si nous pouvons annoncer aujourd’hui que nous poursuivons notre engagement aux côtés de Jérémie et de son équipe, c’est parce qu’ils nous ont donné les moyens de le faire. En effet, au démarrage de notre partenariat, ils ont consacré beaucoup de temps aux visites des salariés à bord du bateau Maître CoQ (5000 visiteurs). Certains, vainqueurs d’un jeu organisé en interne, ont même eu la chance de naviguer à bord de Maître CoQ. Jérémie, de son côté, a visité tous les sites d’élevage et de production de la marque. Ces premières rencontres constituent le socle de notre partenariat. Ces liens entre nos salariés et Jérémie sont un véritable ciment qui va nous permettre de construire la suite.
L’autre objectif de ce partenariat voile est la poursuite de notre recherche de gain de notoriété de la marque . Nous étions à 60% en janvier 2012, les premières mesures sont encourageantes avec une notoriété de 69% mesurée en octobre. Notre but est de parvenir à 75% fin 2013.
2012 a été une année médiatique exceptionnelle pour nous avec des spots TV et radio, des partenariats d’émissions sur TF1… Mais la voile nous apporte aussi les dimensions d’expertise et d’innovation : des caractéristiques majeures de notre marque qui nous différencient de la concurrence.
Ce partenariat voile va donc continuer de prendre corps , sur la base de points communs très forts :
- l’implication individuelle et le travail de toute une équipe pour la réussite d’un projet commun.
- la compétition permanente : nous aussi, nous avons le potentiel pour gagner, comme Jérémie, nous prétendons à la victoire.
Ainsi, dans deux jours, avec le coup d’envoi de ce Vendée Globe 2012, la première page d’une longue histoire commune avec Jérémie va commencer à s’écrire, parce que la voile, ce n’est pas que de la compétition, c’est aussi une aventure humaine, tout comme la vie d’une entreprise. »
Jérémie Beyou, skipper Maître CoQ : « Je suis très heureux de la confiance que nous accordent Maître CoQ et tous ses copartenaires, à toute l’équipe et à moi-même. Cette belle nouvelle va me permettre de partir encore plus serein.
Quand on refait le film de ces premiers mois de partenariat on se rend compte que nous n’avons vraiment pas chômé : nous avons décidé de faire le Vendée Globe, acheté un bateau, travaillé dessus, il a été baptisé, nous avons fait des opérations de communication interne et, cet été, nous avons beaucoup navigué tout en réussissant à discuter de l’avenir !
C’est un très beau projet. Je remercie Stéphane Sallé et Patrick Bouron, Président de la Ciab qui représente les éleveurs vendéens partenaires de Maître CoQ de leur accueil et de leur écoute : cela donne une dynamique extraordinaire !
Donc voilà, on est déjà reparti avant même d’avoir commencé ce premier Vendée Globe ensemble. C’est exceptionnel et je suis bien placé pour mesurer le privilège qui m’est accordé aujourd’hui. Cette perspective m’apporte beaucoup de sérénité et permet aussi de faire des choix techniques sur du moyen terme.
Le programme du Team Maître CoQ correspond à celui de la Classe Imoca avec essentiellement des courses en solitaire et en équipage réduit. Et, en vue du Vendée Globe 2016, nous avons également programmé deux "Solitaire du Figaro" en 2014 et 2015, je ne peux pas m’en empêcher !… Et il n’y a pas mieux comme entraînement en solo.
Le choix du prochain 60 pieds Imoca Maître CoQ n’est pas encore arrêté. Nous sommes, Maître CoQ et moi, très attachés à la classe Imoca. C’est la plus intéressante qui soit techniquement mais, quelles que soient les décisions qui seront prises en terme de jauge (Open, monotypie, jauge restreinte), nous nous inscrirons dans une logique de maîtrise des coûts. Nous n’avons pas prévu de lancer la construction d’un prototype neuf par exemple. »
La Ciab (avec les Volailles fermières de Vendée, les Volailles fermières de Challans), Bellavol (nouveau copartenaire de Maître CoQ et filiale du Groupe LDC), le groupe LDC, le Syndicat des Volailles Fermières d’Auvergne et les Recycleurs Bretons (impliqués au moins jusqu’à la Transat Jacques Vabre 2013) : les actuels copartenaires de Maître CoQ poursuivent eux aussi leur engagement dans la course au large auprès de Jérémie Beyou et de son équipe.
Le programme du Team Maître CoQ
2012 : Vendée Globe
2013 : Transat Jacques Vabre
2014 : La Solitaire du Figaro et la Route du Rhum
2015 : La Solitaire du Figaro et la Transat Jacques Vabre
2016 : Vendée Globe.
Pour suivre Jérémie Beyou sur le Vendée Globe
Maître CoQ Vendée Globe : www.maitrecoq.fr/vendee-globe
Facebook : www.facebook.com/TeamMaitreCoq
Twitter : https://twitter.com/JeremieBeyou
Maître CoQ : www.maitrecoq.fr
Vendée Globe : www.vendeeglobe.org/fr
Jérémie Beyou et Stephane Sallé, DG de Maître CoQ:Jérémie Beyou et Stephane Sallé, DG de Maître CoQ © Yvan Zedda Stéphane Sallé, Directeur général de Maître CoQ : « Nous allons poursuivre notre engagement dans la voile aux côtés de Jérémie Beyou jusqu’au prochain Vendée Globe 2016-2017.
La première raison à cela est une raison de cœur. Ces premiers mois de collaboration avec Jérémie et son équipe se sont extrêmement bien passés. Nous ne pouvions pas espérer une équipe plus sympathique et disponible ! Aujourd’hui, nous sommes certains d’avoir fait le bon choix.
Notre engagement dans la voile est par ailleurs un véritable projet d’entreprise qui engage notre stratégie globale, mais aussi nos salariés. Or, un projet d’entreprise doit s’inscrire dans le temps.
Et si nous pouvons annoncer aujourd’hui que nous poursuivons notre engagement aux côtés de Jérémie et de son équipe, c’est parce qu’ils nous ont donné les moyens de le faire. En effet, au démarrage de notre partenariat, ils ont consacré beaucoup de temps aux visites des salariés à bord du bateau Maître CoQ (5000 visiteurs). Certains, vainqueurs d’un jeu organisé en interne, ont même eu la chance de naviguer à bord de Maître CoQ. Jérémie, de son côté, a visité tous les sites d’élevage et de production de la marque. Ces premières rencontres constituent le socle de notre partenariat. Ces liens entre nos salariés et Jérémie sont un véritable ciment qui va nous permettre de construire la suite.
L’autre objectif de ce partenariat voile est la poursuite de notre recherche de gain de notoriété de la marque . Nous étions à 60% en janvier 2012, les premières mesures sont encourageantes avec une notoriété de 69% mesurée en octobre. Notre but est de parvenir à 75% fin 2013.
2012 a été une année médiatique exceptionnelle pour nous avec des spots TV et radio, des partenariats d’émissions sur TF1… Mais la voile nous apporte aussi les dimensions d’expertise et d’innovation : des caractéristiques majeures de notre marque qui nous différencient de la concurrence.
Ce partenariat voile va donc continuer de prendre corps , sur la base de points communs très forts :
- l’implication individuelle et le travail de toute une équipe pour la réussite d’un projet commun.
- la compétition permanente : nous aussi, nous avons le potentiel pour gagner, comme Jérémie, nous prétendons à la victoire.
Ainsi, dans deux jours, avec le coup d’envoi de ce Vendée Globe 2012, la première page d’une longue histoire commune avec Jérémie va commencer à s’écrire, parce que la voile, ce n’est pas que de la compétition, c’est aussi une aventure humaine, tout comme la vie d’une entreprise. »
Jérémie Beyou, skipper Maître CoQ : « Je suis très heureux de la confiance que nous accordent Maître CoQ et tous ses copartenaires, à toute l’équipe et à moi-même. Cette belle nouvelle va me permettre de partir encore plus serein.
Quand on refait le film de ces premiers mois de partenariat on se rend compte que nous n’avons vraiment pas chômé : nous avons décidé de faire le Vendée Globe, acheté un bateau, travaillé dessus, il a été baptisé, nous avons fait des opérations de communication interne et, cet été, nous avons beaucoup navigué tout en réussissant à discuter de l’avenir !
C’est un très beau projet. Je remercie Stéphane Sallé et Patrick Bouron, Président de la Ciab qui représente les éleveurs vendéens partenaires de Maître CoQ de leur accueil et de leur écoute : cela donne une dynamique extraordinaire !
Donc voilà, on est déjà reparti avant même d’avoir commencé ce premier Vendée Globe ensemble. C’est exceptionnel et je suis bien placé pour mesurer le privilège qui m’est accordé aujourd’hui. Cette perspective m’apporte beaucoup de sérénité et permet aussi de faire des choix techniques sur du moyen terme.
Le programme du Team Maître CoQ correspond à celui de la Classe Imoca avec essentiellement des courses en solitaire et en équipage réduit. Et, en vue du Vendée Globe 2016, nous avons également programmé deux "Solitaire du Figaro" en 2014 et 2015, je ne peux pas m’en empêcher !… Et il n’y a pas mieux comme entraînement en solo.
Le choix du prochain 60 pieds Imoca Maître CoQ n’est pas encore arrêté. Nous sommes, Maître CoQ et moi, très attachés à la classe Imoca. C’est la plus intéressante qui soit techniquement mais, quelles que soient les décisions qui seront prises en terme de jauge (Open, monotypie, jauge restreinte), nous nous inscrirons dans une logique de maîtrise des coûts. Nous n’avons pas prévu de lancer la construction d’un prototype neuf par exemple. »
La Ciab (avec les Volailles fermières de Vendée, les Volailles fermières de Challans), Bellavol (nouveau copartenaire de Maître CoQ et filiale du Groupe LDC), le groupe LDC, le Syndicat des Volailles Fermières d’Auvergne et les Recycleurs Bretons (impliqués au moins jusqu’à la Transat Jacques Vabre 2013) : les actuels copartenaires de Maître CoQ poursuivent eux aussi leur engagement dans la course au large auprès de Jérémie Beyou et de son équipe.
Le programme du Team Maître CoQ
2012 : Vendée Globe
2013 : Transat Jacques Vabre
2014 : La Solitaire du Figaro et la Route du Rhum
2015 : La Solitaire du Figaro et la Transat Jacques Vabre
2016 : Vendée Globe.
Pour suivre Jérémie Beyou sur le Vendée Globe
Maître CoQ Vendée Globe : www.maitrecoq.fr/vendee-globe
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A la veille du départ du Vendée Globe, le skipper du voilier Mirabaud s’estime mieux préparé que jamais. Heureux de prendre la mer, et de prendre le départ de son dixième tour du monde en course, il partage ses dernières impressions avant de larguer les amarres.
Vendredi 9 novembre 2012 – Alors que près d’un million de personnes ont visité le village et foulé le ponton du Vendée Globe en trois semaines, les skippers ont peu à peu pris leurs distances, ils sont « entrés dans leur bulle », selon l’expression chère à Dominique Wavre.
Resté calme et détendu durant ce séjour aux Sables d’Olonne, et malgré les nombreuses sollicitations auxquelles il a dû faire face, le skipper du voilier Mirabaud est désormais entièrement concentré sur sa course, sur l’analyse des fichiers météo et la planification du départ.
« Il y a une transition très claire », précise-t-il. « Jusqu’à il y a quelques jours, je me sentais détaché de la course, et plutôt concentré sur les aspects techniques de ma préparation. Alors que maintenant, il n’y a plus qu’une chose qui compte : la régate. Le voilier est parfaitement prêt, toute mon équipe technique a fait un travail formidable. Grâce à eux, je peux désormais sereinement me préparer en vue du départ. Je me réjouis énormément ; le Vendée Globe est une épreuve unique, et extraordinaire. C’est clairement l’aboutissement d’une carrière de marin. »
A priori, le vent devrait souffler du nord-ouest samedi, à environ 15-20 nœuds (force 4-5 Beaufort), ce qui devrait garantir un spectacle exceptionnel. Les voiliers partiront donc au près (face au vent) à destination de la Corogne, où une première dépression les attend. « Ce ne sera pas un début de course facile », précise Wavre. « Nous savons désormais que nous ne serons pas immédiatement cueillis par un coup de tabac dans le Golfe de Gascogne, mais le vent va néanmoins rapidement se renforcer. Il y aura par ailleurs des choix tactiques importants à faire. »
Antonio Palma, associé et CEO de Mirabaud, est présent aux Sables d’Olonne afin de soutenir Dominique Wavre et d’assister au départ. « J’ai énormément d’admiration pour ces marins qui s’apprêtent à faire le tour du monde sans escales, propulsés uniquement par le vent », déclare-t-il. « Au-delà de la course, ils portent un message symbolique de courage et de détermination autour du monde, et nous serons des millions à les accompagner par la pensée dans leur périple. Je souhaite de tout cœur bon vent à Dominique et à tous ses concurrents. »
Le départ de la course sera donné samedi à 13h02. Il sera retransmis en direct sur la Télévision Léman Bleu ainsi que sur France 3.
Resté calme et détendu durant ce séjour aux Sables d’Olonne, et malgré les nombreuses sollicitations auxquelles il a dû faire face, le skipper du voilier Mirabaud est désormais entièrement concentré sur sa course, sur l’analyse des fichiers météo et la planification du départ.
« Il y a une transition très claire », précise-t-il. « Jusqu’à il y a quelques jours, je me sentais détaché de la course, et plutôt concentré sur les aspects techniques de ma préparation. Alors que maintenant, il n’y a plus qu’une chose qui compte : la régate. Le voilier est parfaitement prêt, toute mon équipe technique a fait un travail formidable. Grâce à eux, je peux désormais sereinement me préparer en vue du départ. Je me réjouis énormément ; le Vendée Globe est une épreuve unique, et extraordinaire. C’est clairement l’aboutissement d’une carrière de marin. »
A priori, le vent devrait souffler du nord-ouest samedi, à environ 15-20 nœuds (force 4-5 Beaufort), ce qui devrait garantir un spectacle exceptionnel. Les voiliers partiront donc au près (face au vent) à destination de la Corogne, où une première dépression les attend. « Ce ne sera pas un début de course facile », précise Wavre. « Nous savons désormais que nous ne serons pas immédiatement cueillis par un coup de tabac dans le Golfe de Gascogne, mais le vent va néanmoins rapidement se renforcer. Il y aura par ailleurs des choix tactiques importants à faire. »
Antonio Palma, associé et CEO de Mirabaud, est présent aux Sables d’Olonne afin de soutenir Dominique Wavre et d’assister au départ. « J’ai énormément d’admiration pour ces marins qui s’apprêtent à faire le tour du monde sans escales, propulsés uniquement par le vent », déclare-t-il. « Au-delà de la course, ils portent un message symbolique de courage et de détermination autour du monde, et nous serons des millions à les accompagner par la pensée dans leur périple. Je souhaite de tout cœur bon vent à Dominique et à tous ses concurrents. »
Le départ de la course sera donné samedi à 13h02. Il sera retransmis en direct sur la Télévision Léman Bleu ainsi que sur France 3.
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Les Sables Info
A 24 heures du départ, l’appel du large se lit sur le visage de Jean-Pierre Dick. Cette dernière journée est consacrée à la météo et à la convivialité. Famille, amis et sponsors viennent saluer le skipper azuréen. Demain, c’est le jour J, le début de l’aventure avec un A, que JP attend depuis 4 ans.
Dans quel état d’esprit te trouves-tu ?
« Les choses se passent bien, il y a une ambiance extraordinaire aux Sables d’Olonne. Maintenant, il faut se concentrer sur ce début de course qui ne va pas être facile vu l’émotion que tout cela procure. J’ai mis toute mon énergie dans ma préparation du Vendée Globe. C’est une compétition de très haut niveau, mon objectif est de terminer sur le podium, le gagner serait un rêve ultime.»
Quelle est la météo prévue pour le départ ?
« Les conditions météo vont être assez musclées, il va falloir faire attention les premières heures. Nous devrions naviguer dans environ 20-25 nœuds au près. Aujourd’hui, je me concentre sur la navigation qui devient ma préoccupation majeure. Je vais faire tourner les routages cet après midi et élaborer ma stratégie. C’est un des aspects de la course qui me passionne. »
Un mot sur ce tour du monde ?
« Le Vendée Globe est une course magique. Je l’aborde avec une passion intacte. Lors de mon premier tour du monde, je vivais un rêve de gamin ; en 2008 je démontrais que je pouvais être dans le match. Aujourd’hui j’ai une maturité et une confiance supplémentaire liée à mon expérience. Je n’ai qu’une envie : partir et retrouver le bonheur d’être en mer ! »
« Les choses se passent bien, il y a une ambiance extraordinaire aux Sables d’Olonne. Maintenant, il faut se concentrer sur ce début de course qui ne va pas être facile vu l’émotion que tout cela procure. J’ai mis toute mon énergie dans ma préparation du Vendée Globe. C’est une compétition de très haut niveau, mon objectif est de terminer sur le podium, le gagner serait un rêve ultime.»
Quelle est la météo prévue pour le départ ?
« Les conditions météo vont être assez musclées, il va falloir faire attention les premières heures. Nous devrions naviguer dans environ 20-25 nœuds au près. Aujourd’hui, je me concentre sur la navigation qui devient ma préoccupation majeure. Je vais faire tourner les routages cet après midi et élaborer ma stratégie. C’est un des aspects de la course qui me passionne. »
Un mot sur ce tour du monde ?
« Le Vendée Globe est une course magique. Je l’aborde avec une passion intacte. Lors de mon premier tour du monde, je vivais un rêve de gamin ; en 2008 je démontrais que je pouvais être dans le match. Aujourd’hui j’ai une maturité et une confiance supplémentaire liée à mon expérience. Je n’ai qu’une envie : partir et retrouver le bonheur d’être en mer ! »
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Les Sables Info
Suite à la vague de naufrages qui avait sévi lors de l’édition de 1996 (et qui avait entraîné la disparition du Canadien Gerry Rouf), de nouvelles mesures de sécurité furent mises en place. Parmi elles, l’obligation pour tous les concurrents d’effectuer différents stages avant de prendre le départ de leur tour du monde.
Docteur Chauve est le médecin des 7 dernières éditions du Vendée Globe : " Cette année j'ai la chance d'avoir un partenaire qui est AG2R La Mondiale. C'est pour moi une aventure qui continue. Elle a beaucoup évolué depuis 1989."
Le Vendée Globe reste une épreuve vraiment à part. Hommes et femmes courent dans la même catégorie. L'âge n'est pas une limite : " Cette année, la moyenne d'âge des compétiteurs est de 43 ans. On est en compétition jour et nuit pendant 3 mois. Il faut savoir intégrer sa récupération à sa performance. La gestion du sommeil est fondamentale pour le skipper. Des problèmes de vigilances peuvent conduire à des baisses de performance, voir pire" explique le docteur. "Les skippers sont entraînés à différents types de sommeil : la phase d'1h30, celle de vingt minutes quand les conditions sont très difficiles et parfois celle de quelques secondes appelée sommeil flash. Globalement avec environ 5h30 de repos, ils ne sont pas en dette de sommeil. Pour dormir dans de meilleures conditions, on a travaillé sur des casques antibruit. " La nutrition reste aussi un élément important : " Avoir un repas un peu plus élaboré que du lyophilisé, c'est important pour le moral et ça permet de tenir le coup. Certains skippers font un repas du dimanche."
Seuls à bord, les skippers doivent se gérer en totale autonomie ; ils doivent savoir tout faire : " C'est ce qui fait l'originalité de la course. Ils sont météorologues, mécaniciens, électriciens-électroniciens, informaticiens. Sur un plan médical, c'est à eux de gérer leur cycle de sommeil. Le Vendée Globe est la seule course où il y a une telle curiosité du milieu médical pour ces sportifs. " Aujourd'hui on leur attribue d'autres compétences : " Ils sont scénaristes, metteurs en scène, caméramen et acteurs. Je ne connais pas de sport qui demande une telle mixité de compétences à une même personne. "
Ce qui inquiète le docteur : " Vu l'évolution actuelle sur le poids des bateaux, j'ai peur des problèmes de chute car il n'y a plus rien pour se tenir à l'intérieur. Comment vont se déplacer les skippers ? Il va falloir être vigilant là-dessus sinon on court droit aux chocs et aux contusions."
Le Vendée Globe reste une épreuve vraiment à part. Hommes et femmes courent dans la même catégorie. L'âge n'est pas une limite : " Cette année, la moyenne d'âge des compétiteurs est de 43 ans. On est en compétition jour et nuit pendant 3 mois. Il faut savoir intégrer sa récupération à sa performance. La gestion du sommeil est fondamentale pour le skipper. Des problèmes de vigilances peuvent conduire à des baisses de performance, voir pire" explique le docteur. "Les skippers sont entraînés à différents types de sommeil : la phase d'1h30, celle de vingt minutes quand les conditions sont très difficiles et parfois celle de quelques secondes appelée sommeil flash. Globalement avec environ 5h30 de repos, ils ne sont pas en dette de sommeil. Pour dormir dans de meilleures conditions, on a travaillé sur des casques antibruit. " La nutrition reste aussi un élément important : " Avoir un repas un peu plus élaboré que du lyophilisé, c'est important pour le moral et ça permet de tenir le coup. Certains skippers font un repas du dimanche."
Seuls à bord, les skippers doivent se gérer en totale autonomie ; ils doivent savoir tout faire : " C'est ce qui fait l'originalité de la course. Ils sont météorologues, mécaniciens, électriciens-électroniciens, informaticiens. Sur un plan médical, c'est à eux de gérer leur cycle de sommeil. Le Vendée Globe est la seule course où il y a une telle curiosité du milieu médical pour ces sportifs. " Aujourd'hui on leur attribue d'autres compétences : " Ils sont scénaristes, metteurs en scène, caméramen et acteurs. Je ne connais pas de sport qui demande une telle mixité de compétences à une même personne. "
Ce qui inquiète le docteur : " Vu l'évolution actuelle sur le poids des bateaux, j'ai peur des problèmes de chute car il n'y a plus rien pour se tenir à l'intérieur. Comment vont se déplacer les skippers ? Il va falloir être vigilant là-dessus sinon on court droit aux chocs et aux contusions."
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