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Ce Vendée Globe est en train de consacrer les maîtres de la planification, les ingénieurs de la performance sportive. Fluidité des trajectoires, maîtrise du matériel, entrainement sportif rigoureux sont quelques unes des clés de la réussite des leaders.
Décidément, la bonne fortune semble devoir accompagner les leaders de ce Vendée Globe 2012-2013. Alors que, de Jean Le Cam (SynerCiel) à Javier Sanso (Acciona 100% EcoPowered), le peloton devrait subir un nouveau coup d’arrêt en traversant une petite dorsale, Armel Le Cléac’h (Banque Populaire) et François Gabart (MACIF) vont pouvoir s’envoler à nouveau, poussés par des vents forts générés par une petite dépression qui s’est formée en mer de Tasmanie. Un autre centre de basses pressions accompagne déjà Tanguy de Lamotte (Initiatives-cœur), Bertrand de Broc (Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets) ainsi qu’Arnaud Boissières (Akena Vérandas). Il devrait rattraper le reste du peloton et provoquer un resserrement relatif des positions. Dominique Wavre (Mirabaud) ainsi que Mike Golding (Gamesa) devraient donc, tout à la fois, se réjouir de revenir en partie sur Jean Le Cam et déplorer de voir leurs poursuivants réduire l’écart.
Entre les deux leaders, la lutte ne baisse toujours pas d’intensité : trajectoires au cordeau, optimisation du plan de voilure, les deux adversaires se rendent coup pour coup. Même leur communication reste sous contrôle, quand ils avouent du bout des lèvres avoir, eux aussi, leur comptant de plantés de vagues. On ne dévoile pas ses faiblesses à la concurrence
Coques en vrac
Pour autant devant, les choses ne seront pas forcément simples. Pour Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec 3), Alex Thomson (Hugo Boss) et Bernard Stamm (Cheminées Poujoulat), la course poursuite risque de comporter encore quelques figures de styles. Retrouver le bateau en vrac suite à un planté magistral dans une vague, peut révéler des caractères fort contrastés, du méthodique qui prendra patiemment le temps de tout remettre en état dans l’ordre, à l’énervé qui, à la manière du capitaine Haddock, s’en prendra à la mer entière et traitera les éléments de « coloquinte, courge » ou autre cucurbitacée.
Tous les concurrents, de plus ou moins bon gré, finissent par l’avouer. Le départ au tas est une des composantes de la navigation dans les mers du sud. Aujourd‘hui les bateaux sont menés à près de 100% de leur potentiel et chaque arrêt buffet est aussi une contrainte supplémentaire infligée au matériel. Jusqu’en 2008-2009, on abordait encore les mers du sud avec la volonté affichée d’en garder sous le pied, partant du principe que le matériel a de la mémoire. Depuis la victoire de Michel Desjoyeaux, les hommes de tête considèrent maintenant qu’un bateau doit pouvoir être mené au maximum de sa puissance. C’est une affaire de confiance dans la conception de la machine, dans la qualité des constructions. A ce titre, les deux bateaux de tête, construits chez CDK à Port-la-Forêt, dans un des chantiers les plus réputés en la matière, s’ils passent l’examen des mers du sud sans encombre, auront montré qu’un grand pas aura été fait en la matière.
L’ascension de JP
Il reste que personne n’est à l’abri d’un incident technique pouvant handicaper la marche du bateau. Jean-Pierre Dick, aux prises avec ce que l’on suppose être un souci de hook de foc et de gennaker de capelage, a dû faire l’ascension de son mât sur une bonne vingtaine de mètres pour réparer. Avec au final, deux heures d’un travail exténuant pour remettre son voilier en configuration de marche optimale. Jean-Pierre, visiblement épuisé à l’issue de l’exercice, pourra se consoler, en se disant qu’il dispose maintenant d’une machine capable de rivaliser avec les deux leaders. Il n’est après tout qu’à un peu plus d’une journée de route de la tête de course. Tous les espoirs sont donc permis…
Entre les deux leaders, la lutte ne baisse toujours pas d’intensité : trajectoires au cordeau, optimisation du plan de voilure, les deux adversaires se rendent coup pour coup. Même leur communication reste sous contrôle, quand ils avouent du bout des lèvres avoir, eux aussi, leur comptant de plantés de vagues. On ne dévoile pas ses faiblesses à la concurrence
Coques en vrac
Pour autant devant, les choses ne seront pas forcément simples. Pour Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec 3), Alex Thomson (Hugo Boss) et Bernard Stamm (Cheminées Poujoulat), la course poursuite risque de comporter encore quelques figures de styles. Retrouver le bateau en vrac suite à un planté magistral dans une vague, peut révéler des caractères fort contrastés, du méthodique qui prendra patiemment le temps de tout remettre en état dans l’ordre, à l’énervé qui, à la manière du capitaine Haddock, s’en prendra à la mer entière et traitera les éléments de « coloquinte, courge » ou autre cucurbitacée.
Tous les concurrents, de plus ou moins bon gré, finissent par l’avouer. Le départ au tas est une des composantes de la navigation dans les mers du sud. Aujourd‘hui les bateaux sont menés à près de 100% de leur potentiel et chaque arrêt buffet est aussi une contrainte supplémentaire infligée au matériel. Jusqu’en 2008-2009, on abordait encore les mers du sud avec la volonté affichée d’en garder sous le pied, partant du principe que le matériel a de la mémoire. Depuis la victoire de Michel Desjoyeaux, les hommes de tête considèrent maintenant qu’un bateau doit pouvoir être mené au maximum de sa puissance. C’est une affaire de confiance dans la conception de la machine, dans la qualité des constructions. A ce titre, les deux bateaux de tête, construits chez CDK à Port-la-Forêt, dans un des chantiers les plus réputés en la matière, s’ils passent l’examen des mers du sud sans encombre, auront montré qu’un grand pas aura été fait en la matière.
L’ascension de JP
Il reste que personne n’est à l’abri d’un incident technique pouvant handicaper la marche du bateau. Jean-Pierre Dick, aux prises avec ce que l’on suppose être un souci de hook de foc et de gennaker de capelage, a dû faire l’ascension de son mât sur une bonne vingtaine de mètres pour réparer. Avec au final, deux heures d’un travail exténuant pour remettre son voilier en configuration de marche optimale. Jean-Pierre, visiblement épuisé à l’issue de l’exercice, pourra se consoler, en se disant qu’il dispose maintenant d’une machine capable de rivaliser avec les deux leaders. Il n’est après tout qu’à un peu plus d’une journée de route de la tête de course. Tous les espoirs sont donc permis…
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L'exposition fait écho à celle du Prieuré Saint-Nicolas avec l'association Chaum'art. 6 artistes comme Aurélie Pineau, Christelle Dion, Hélène Pineau, Paul Pineau et Virginie Héraud exposent leurs créations. Les objets artisanaux, écologiques et locaux qu'ils fabriquent peuvent être des idées de cadeaux uniques et originaux. L'objectif de chacun est l'art de la récupération.
Vous y trouverez les mosaïques en coquillage ou en verre d'Aurélie Pineau, le linge de maison de Christelle Dion (nappes, torchons, sacs...), et aussi des objets en bois flotté d'Hélène Pineau et Virginie Héraud, sans oublier les bijoux créés en famille. La curiosité s'invite !
Jusqu'au 30 décembre ouvert tous les jours de 14h00 à 18h00 à la salle de Gardes, La Chaume. Entrée Libre.
Vous y trouverez les mosaïques en coquillage ou en verre d'Aurélie Pineau, le linge de maison de Christelle Dion (nappes, torchons, sacs...), et aussi des objets en bois flotté d'Hélène Pineau et Virginie Héraud, sans oublier les bijoux créés en famille. La curiosité s'invite !
Jusqu'au 30 décembre ouvert tous les jours de 14h00 à 18h00 à la salle de Gardes, La Chaume. Entrée Libre.
L'association Chaum'art organise une exposition éclectique et originale mettant en rapport une quarantaine d'artistes avec pour thème : la Transversalité. Des artistes aux styles bien différents....
Professionnels et amateurs vous ouvrent les portes de leurs créations pour vous faire partager leurs passions. Découvrez l'art de la peinture en admirant les plus belles oeuvres de ces artistes d'exception. "Ce qui fait le charme de l'exposition, c'est la diversité de chacun" indique Flamen Jean-Claude, artiste plasticien.
Françoise Parmentier : "J'ai toujours peint à propos de tout et autour de tous les événements de ma vie. Images fugitives, thèmes récurrents, situations inattendues, émotions violentes, chagrins sans retour... Tout est prétexte au dessin, à la photo, à la peinture."
Paskal Tirmant et Léa Tirmant : "La série des roulottes est née de nos passions communes. Les toiles et les monotypes font écho aux sculpteurs. Peinture, sculpture et écriture se cherchent et se répondent, chacune dans une perception qui leur est propre mais qui participe du même univers de liberté et de voyage."
Flamen Jean-Claude vient de Brem-sur-Mer. Autodidacte, il vous propose de la peinture sur verre et inox. Son travail original représente l'interaction lumière / matière : "La peinture sur verre existe depuis le temps des Romains. Le fait d'avoir inventé le support en inox, ça permet de créer une polarisation et cette dernière donne l'impression que c'est devenu un vitrail. Ce sont des tableaux à part entière qui eux captent la lumière environnante, qu'elle soit artificielle ou naturelle, ça la restitue dans le tableau."
Ainsi vous apprécierez son oeuvre intitulé "4 saisons".
En 2001 à Paris, l'artiste, récompensé par le Syndicat National des Artistes Professionnels, s'est vu décerner le Prix "Signature" pour avoir trouver quelque chose qui n'a jamais été fait dans le domaine de la peinture.
Téléphone : 06 07 26 20 26.
Jacky Martineau, artiste verrier va offrir un césar en verre optique au dernier skipper du Vendée Globe : "C'est le prix du coeur. Ils ont fait plus de jours de mer donc plus de galères" ironise l'artiste. "Le trophée est en verre de couleur bleutée car il est doppé au cobalt avec des inclusions d'étain."
Vous découvrirez également d'autres créations de cet artiste ; tout ce qu'il touche se transforme en un véritable bijou d'Art : "Avec mon oeil, je joue sur l'interaction : lumière ./ matière." Il utilise un verre optique scientifique qui vient d'Allemagne, sans défaut . Une fois le bloc de verre reçu : "Je l'usine pour le mettre en forme, je le polis pour le rendre transparent, je le chauffe, je le contrains et il implose. A l'intérieur du verre vous avez des fractures. Pour la coloration, j'intègre un miroir sélectif. Les couleurs se modifient selon la clarté du moment et peuvent être différentes d'un lieu à un autre."
Téléphone : 06 79 74 67 84.
Jacques Appercel habite à Saint-Gilles-Croix-de-Vie, ancien professeur d'arts plastiques, son thème est la mer. Il présente deux styles différents : l'abstrait "je travaille avec des pigments (de la poudre que l'on mélange avec un produit spécial qui permet de l'étaler) uniquement avec des spatules, taloches... ce qui permet d'obtenir des reliefs. Et aussi sur des tableaux plus figuratifs, parties sur des photos, des documents que j'ai pris en Bretagne." Vous remarquerez dans un de ces tableaux la progression d'un bateau s'enfonçant dans la vase. "J'ai voulu exprimer la trace de la vie, tout en gardant un côté joyeux de par la couleur, l'ambiance..." Jacques a voulu transmettre le travail des hommes qui ont travaillé des années sur ces bateaux avec le respect qui s'impose.
Contact Mail : jacques.appercel@free.fr
Valérie Lelièvre, autodidacte : "Mon but est de traduire sur la toile ce que je ressens". Ses peintures sur toiles présentées touchent le milieu de la mer. Cette artiste complète fait également de l'abstrait, des nues... qu'il soit à l'acrylique, à l'huile, sur la soie, elle maîtrise plusieurs techniques.
Contact mail : valseg22@free.fr
Alain Coupas : Qui d'autre que lui ne pourra parler de sa peinture que lui-même.
Cette exposition réunit aussi Pascal Audin avec la peinture sur bois avec "les Totems", la peinture expressionniste de François Husson, les frères Paulico, Marc Moreau, Paul Pineau, Patrick Hénaff, Marie-Christine Doussin, Bertrand Giraudeau, les portraits en rouge et noir d'Harrys et les marines de Martine Favreau... Et bien d'autres artistes.
Venez visiter et vous ne serez pas au bout de vos surprises !
Ouvert jusqu'au 6 janvier 2013, tous les jours de 14h00 à 19h00 au Prieuré Saint-Nicolas, La Chaume aux Sables d'Olonne.
Entrée libre.
Téléphone : 06 63 61 45 44.
Françoise Parmentier : "J'ai toujours peint à propos de tout et autour de tous les événements de ma vie. Images fugitives, thèmes récurrents, situations inattendues, émotions violentes, chagrins sans retour... Tout est prétexte au dessin, à la photo, à la peinture."
Paskal Tirmant et Léa Tirmant : "La série des roulottes est née de nos passions communes. Les toiles et les monotypes font écho aux sculpteurs. Peinture, sculpture et écriture se cherchent et se répondent, chacune dans une perception qui leur est propre mais qui participe du même univers de liberté et de voyage."
Flamen Jean-Claude vient de Brem-sur-Mer. Autodidacte, il vous propose de la peinture sur verre et inox. Son travail original représente l'interaction lumière / matière : "La peinture sur verre existe depuis le temps des Romains. Le fait d'avoir inventé le support en inox, ça permet de créer une polarisation et cette dernière donne l'impression que c'est devenu un vitrail. Ce sont des tableaux à part entière qui eux captent la lumière environnante, qu'elle soit artificielle ou naturelle, ça la restitue dans le tableau."
Ainsi vous apprécierez son oeuvre intitulé "4 saisons".
En 2001 à Paris, l'artiste, récompensé par le Syndicat National des Artistes Professionnels, s'est vu décerner le Prix "Signature" pour avoir trouver quelque chose qui n'a jamais été fait dans le domaine de la peinture.
Téléphone : 06 07 26 20 26.
Jacky Martineau, artiste verrier va offrir un césar en verre optique au dernier skipper du Vendée Globe : "C'est le prix du coeur. Ils ont fait plus de jours de mer donc plus de galères" ironise l'artiste. "Le trophée est en verre de couleur bleutée car il est doppé au cobalt avec des inclusions d'étain."
Vous découvrirez également d'autres créations de cet artiste ; tout ce qu'il touche se transforme en un véritable bijou d'Art : "Avec mon oeil, je joue sur l'interaction : lumière ./ matière." Il utilise un verre optique scientifique qui vient d'Allemagne, sans défaut . Une fois le bloc de verre reçu : "Je l'usine pour le mettre en forme, je le polis pour le rendre transparent, je le chauffe, je le contrains et il implose. A l'intérieur du verre vous avez des fractures. Pour la coloration, j'intègre un miroir sélectif. Les couleurs se modifient selon la clarté du moment et peuvent être différentes d'un lieu à un autre."
Téléphone : 06 79 74 67 84.
Jacques Appercel habite à Saint-Gilles-Croix-de-Vie, ancien professeur d'arts plastiques, son thème est la mer. Il présente deux styles différents : l'abstrait "je travaille avec des pigments (de la poudre que l'on mélange avec un produit spécial qui permet de l'étaler) uniquement avec des spatules, taloches... ce qui permet d'obtenir des reliefs. Et aussi sur des tableaux plus figuratifs, parties sur des photos, des documents que j'ai pris en Bretagne." Vous remarquerez dans un de ces tableaux la progression d'un bateau s'enfonçant dans la vase. "J'ai voulu exprimer la trace de la vie, tout en gardant un côté joyeux de par la couleur, l'ambiance..." Jacques a voulu transmettre le travail des hommes qui ont travaillé des années sur ces bateaux avec le respect qui s'impose.
Contact Mail : jacques.appercel@free.fr
Valérie Lelièvre, autodidacte : "Mon but est de traduire sur la toile ce que je ressens". Ses peintures sur toiles présentées touchent le milieu de la mer. Cette artiste complète fait également de l'abstrait, des nues... qu'il soit à l'acrylique, à l'huile, sur la soie, elle maîtrise plusieurs techniques.
Contact mail : valseg22@free.fr
Alain Coupas : Qui d'autre que lui ne pourra parler de sa peinture que lui-même.
Cette exposition réunit aussi Pascal Audin avec la peinture sur bois avec "les Totems", la peinture expressionniste de François Husson, les frères Paulico, Marc Moreau, Paul Pineau, Patrick Hénaff, Marie-Christine Doussin, Bertrand Giraudeau, les portraits en rouge et noir d'Harrys et les marines de Martine Favreau... Et bien d'autres artistes.
Venez visiter et vous ne serez pas au bout de vos surprises !
Ouvert jusqu'au 6 janvier 2013, tous les jours de 14h00 à 19h00 au Prieuré Saint-Nicolas, La Chaume aux Sables d'Olonne.
Entrée libre.
Téléphone : 06 63 61 45 44.
Cette nuit, alors que Jean Le Cam progressait à plus de 20 nœuds dans une mer formée et des vents supérieurs à 40 nœuds, son bateau SynerCiel a fait « un planté magistral ». « Un arrêt buffet » que le skipper a pris le temps de nous raconter depuis sa bannette où il se remet de ses émotions.
« Attends, je mets dans mon « lit d’hôpital » (rires – ndlr : ma bannette). J’ai fait le planté de ma vie ! Arrêt buffet alors que j’avançais à plus de 20 nœuds. La mer était grosse, vraiment très grosse avec plus de 6 mètres de houle et le vent soufflait à 40 / 45 nœuds. SynerCiel a descendu une vague vertigineuse et s’est planté en bas ! Un peu comme si tu venais t’encastrer avec ta voiture dans une motte de beurre à pleine vitesse ! Je me suis explosé sur la cloison du vérin de quille. Je suis parti avec le siège de la table à cartes qui s’est arraché. »
Plus de peur que de mal !
« Le bonhomme va bien et le bateau aussi. Je n’ai rien de cassé mais j’ai le genou, la main, le dos et la joue un peu équimosés et je me suis pris un sacré coup sur la tête. Donc je me suis mis dans mon lit pour reprendre un peu mes esprits et me remettre de mes émotions. J’en ai fait des plantés mais jamais des comme celui-là ! Vu de l’extérieur, je pense que les safrans devaient être hors de l’eau ! Heureusement qu’avec le satellite (ndlr : aménagement intérieur du bateau), il n’y a rien qui traine dans le bateau. Tout est rangé et sécurisé et rien n’a valdingué à part moi et ma chaise !
De mieux en mieux
« La dépression s’évacue par le nord et la houle et le vent commencent déjà à diminuer. Là, je n’ai plus que 30 nœuds de vent. Ce n’était tellement pas rigolo les deux derniers jours que la moindre amélioration est un vrai plus. Je suis content car j’ai conforté mon avance sur Mike et que maintenant, je vais pouvoir allonger la foulée en direction de l’autre porte. »
Classement du 18 décembre à 9h :
1er : Banque Populaire – Armel Le Cléach à 12 424,7 milles de l’arrivée
2e : Macif - François Gabart à 18,5 milles du premier
3e : Virbac Paprec 3 – Jean-Pierre Dick à 411,8 milles du premier
6e : SynerCiel - Jean Le Cam à 1 484,6 milles du premier
« Attends, je mets dans mon « lit d’hôpital » (rires – ndlr : ma bannette). J’ai fait le planté de ma vie ! Arrêt buffet alors que j’avançais à plus de 20 nœuds. La mer était grosse, vraiment très grosse avec plus de 6 mètres de houle et le vent soufflait à 40 / 45 nœuds. SynerCiel a descendu une vague vertigineuse et s’est planté en bas ! Un peu comme si tu venais t’encastrer avec ta voiture dans une motte de beurre à pleine vitesse ! Je me suis explosé sur la cloison du vérin de quille. Je suis parti avec le siège de la table à cartes qui s’est arraché. »
Plus de peur que de mal !
« Le bonhomme va bien et le bateau aussi. Je n’ai rien de cassé mais j’ai le genou, la main, le dos et la joue un peu équimosés et je me suis pris un sacré coup sur la tête. Donc je me suis mis dans mon lit pour reprendre un peu mes esprits et me remettre de mes émotions. J’en ai fait des plantés mais jamais des comme celui-là ! Vu de l’extérieur, je pense que les safrans devaient être hors de l’eau ! Heureusement qu’avec le satellite (ndlr : aménagement intérieur du bateau), il n’y a rien qui traine dans le bateau. Tout est rangé et sécurisé et rien n’a valdingué à part moi et ma chaise !
De mieux en mieux
« La dépression s’évacue par le nord et la houle et le vent commencent déjà à diminuer. Là, je n’ai plus que 30 nœuds de vent. Ce n’était tellement pas rigolo les deux derniers jours que la moindre amélioration est un vrai plus. Je suis content car j’ai conforté mon avance sur Mike et que maintenant, je vais pouvoir allonger la foulée en direction de l’autre porte. »
Classement du 18 décembre à 9h :
1er : Banque Populaire – Armel Le Cléach à 12 424,7 milles de l’arrivée
2e : Macif - François Gabart à 18,5 milles du premier
3e : Virbac Paprec 3 – Jean-Pierre Dick à 411,8 milles du premier
6e : SynerCiel - Jean Le Cam à 1 484,6 milles du premier
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Les Sables Info
Depuis le 11 décembre dernier, en fin d’après-midi, François Gabart n’avait plus quitté la tête de la course. Ce matin au premier pointage, le skipper de Macif, suite à une route légèrement plus nord que celle d’Armel Le Cleac’h perd en distance au but et doit logiquement céder sa place à Banque Populaire. 1490 milles plus loin, Jean Le Cam sur SynerCiel fait le break avec ses poursuivants directs et l’addition devrait être encore un peu plus salé en fin de journée. Encore plus en retrait, Tanguy De Lamotte devrait ranger sa guitare virtuelle pour affronter le gros coup de tabac qui lui tombe dessus. Au programme, un vent de 35 à 50 nœuds dans les rafales et surtout une mer d’environ 9 mètres de haut. Il est certain que connaissant le skipper d’Initiatives Coeur, ces conditions feront l’objet d’une photo ou d’une petite vidéo.
Hier matin, les deux skippers en tête de ce Vendée Globe 2012 préparaient peut-être sans le savoir, le fait marquant de cette nouvelle matinée. En effet, Après 24 heures d’une route sous la porte est Australie, François Gabart sur Macif et Armel Le Cleac’h sur Banque Populaire se sont légèrement séparés, l’un préférant piquer plus nord que son compagnon de route. Résultat de ce petit décalage, un changement en tête de la course. Banque Populaire est donc le nouveau leader avec 18,4 milles d’avance. En revanche, si Macif s’est acquitté du passage de la porte à 22h TU, hier, Banque Populaire, à l’heure où nous écrivons ces lignes, doit tout juste passer la latitude de cette cinquième porte obligatoire. Les conditions actuelles sur zone, du nord ouest de 20 nœuds, devraient se transformer en un vent de nord de 20 nœuds se renforçant dans les 24 prochaines heures. Le petit décalage au nord de Macif pourrait lui permettre de toucher cette bascule en premier et filer plus rapidement vers la sixième porte, celle de Nouvelle-Zélande, distante de 1324 milles. Les deux solitaires sont actuellement à 55 milles de la longitude de la ville de Hobart en Tasmanie et à 1200 milles de l’antiméridien (180°).
Vers une cassure
Actuellement sous la porte Amsterdam, après l’avoir validé, Synerciel navigue dans des conditions musclées, 40 nœuds de sud ouest. Jean Le Cam va certainement prendre la poudre d’escampette grâce au front dans lequel il évolue et qui part avec lui. Car juste derrière le français, une petite zone de hautes pressions va barrer la route à Mike Golding sur Gamesa (qui vient de valider la porte), creusant encore un peu plus l’écart entre les deux hommes. Un écart qui se porte ce matin à 174 milles. Cette petite zone de transition pourrait être l’occasion pour Dominique Wavre et Javier Sanso de se refaire aussi sur le britannique. Les skippers de Mirabaud et d’Acciona 100% EcoPowered sont respectivement à 190 et 350 milles dans l’ouest de la porte ouest Australie.
Conditions extrêmes
Si la vidéo de Tanguy De Lamotte jouant de la guitare avec sa ligne de survie fait le tour du web, le point intéressant de cette séquence est de constater l’état de la mer, la force du vent et les couleurs de l’Indien. Mais aujourd’hui Tanguy va monter d’un cran avec des conditions encore plus difficiles, un vent oscillant entre 35 et 50 nœuds et surtout une très grosse mer de 9 mètres de haut. On pensait l’Indien relativement clément il y une semaine, mais il n’en n’est rien et Tanguy sera au centre des débats pour nous retranscrire la beauté et surtout la violence des éléments.
Pendant ce temps…
Jean Pierre Dick, toujours troisième du Vendée Globe, navigue sous la longitude de la porte est Australie, distante de 160 milles. Il est exactement à l’endroit où les deux leaders avaient hier envoyé leur empannage. Le skipper de Virbac Paprec 3 aura une petite transition météo à négocier avant de toucher la porte dans la soirée. 600 milles plus au nord, le couple helvético anglais, Stamm-Thomson, navigue dans un flux d’ouest de 25 noeuds qui va se renforcer à une trentaine de noeuds et qui devrait les accompagner dans leur descente sous la Tasmanie.
1871 milles derrière, Akéna Vérandas va devoir composer avec un vent d’ouest de 35 à 40 nœuds qui se tient un bon moment. De son côté, Bertrand de Broc sur Votre Nom Autour du Monde avec EDM Projets rend, lui aussi, une petite visite aux iles Amsterdam et Saint-Paul. Il est actuellement à 80 milles de Saint-Paul, dans un vent de 30 à 35 nœuds.
À l’arrière de la flotte, Alessandro di Benedetto sur Team Plastique navigue dans un vent de sud de 15 neouds qui va malheureusement se casser la figure dans la journée. Alessandro est pointé ce matin à 3888.7 milles de l’actuel leader Armel Le Cleac’h sur Banque Populaire.
Vers une cassure
Actuellement sous la porte Amsterdam, après l’avoir validé, Synerciel navigue dans des conditions musclées, 40 nœuds de sud ouest. Jean Le Cam va certainement prendre la poudre d’escampette grâce au front dans lequel il évolue et qui part avec lui. Car juste derrière le français, une petite zone de hautes pressions va barrer la route à Mike Golding sur Gamesa (qui vient de valider la porte), creusant encore un peu plus l’écart entre les deux hommes. Un écart qui se porte ce matin à 174 milles. Cette petite zone de transition pourrait être l’occasion pour Dominique Wavre et Javier Sanso de se refaire aussi sur le britannique. Les skippers de Mirabaud et d’Acciona 100% EcoPowered sont respectivement à 190 et 350 milles dans l’ouest de la porte ouest Australie.
Conditions extrêmes
Si la vidéo de Tanguy De Lamotte jouant de la guitare avec sa ligne de survie fait le tour du web, le point intéressant de cette séquence est de constater l’état de la mer, la force du vent et les couleurs de l’Indien. Mais aujourd’hui Tanguy va monter d’un cran avec des conditions encore plus difficiles, un vent oscillant entre 35 et 50 nœuds et surtout une très grosse mer de 9 mètres de haut. On pensait l’Indien relativement clément il y une semaine, mais il n’en n’est rien et Tanguy sera au centre des débats pour nous retranscrire la beauté et surtout la violence des éléments.
Pendant ce temps…
Jean Pierre Dick, toujours troisième du Vendée Globe, navigue sous la longitude de la porte est Australie, distante de 160 milles. Il est exactement à l’endroit où les deux leaders avaient hier envoyé leur empannage. Le skipper de Virbac Paprec 3 aura une petite transition météo à négocier avant de toucher la porte dans la soirée. 600 milles plus au nord, le couple helvético anglais, Stamm-Thomson, navigue dans un flux d’ouest de 25 noeuds qui va se renforcer à une trentaine de noeuds et qui devrait les accompagner dans leur descente sous la Tasmanie.
1871 milles derrière, Akéna Vérandas va devoir composer avec un vent d’ouest de 35 à 40 nœuds qui se tient un bon moment. De son côté, Bertrand de Broc sur Votre Nom Autour du Monde avec EDM Projets rend, lui aussi, une petite visite aux iles Amsterdam et Saint-Paul. Il est actuellement à 80 milles de Saint-Paul, dans un vent de 30 à 35 nœuds.
À l’arrière de la flotte, Alessandro di Benedetto sur Team Plastique navigue dans un vent de sud de 15 neouds qui va malheureusement se casser la figure dans la journée. Alessandro est pointé ce matin à 3888.7 milles de l’actuel leader Armel Le Cleac’h sur Banque Populaire.
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Les Sables Info
Il y a presque 4 ans jour pour jour et à environ 300 milles de sa position actuelle, Mike démâtait dans le dernier Vendée Globe. Aujourd'hui, un incident à bord aurait pu lui faire revivre une situation similaire mais grâce à l'expérience de Mike et sa réaction immédiate, le pire a pu être évité.
"C'est sur à un moment je me suis dit : Ah non s'il vous plait, pas encore un Noël à Perth" nous expliquait Golding. "Mais c'est bon, désormais les choses sont à peu près rentrées dans l'ordre. Il faut juste que je me réconcilie avec le bateau et accepte que ça va être une journée difficile. Sinon on s'enferme dans cette spirale infernale de mauvaise humeur et c'est là que les choses commencent à se corse."
Il était à peu près 4 heures du matin, Mike terminait un changement de voile pour faire route vers le sud dans un vent un peu plus soutenu, quand la drisse d'enrouleur de l'énorme Code 0 a cassé dans une rafale de 35 noeuds. Auparavant le vent était de 18 noeuds. Alors que le bateau était largement surtoilé, que la voile principale faseyait et qu'il n'y avait aucun moyen de l'enrouler, le pilote a lâché. Mike s'est aussitôt élancer pour faire balancer la quille, coucher Gamesa sur le côté afin de réduire la pression sur le gréement et faire descendre ce code 0.
"Je suis de retour en course maintenant. Le code 0 est jeté au fond du bateau avec tous les bouts. Je suis en mode réparation sur l'enrouleur. Je n'ai pas eu la chance d'inspecter le bout dans sa globalité mais j'espère que les dégâts ne sont pas trop importants.
J'ai beaucoup à faire encore, je dois mettre le solent et prendre deux ris et surtout essayer de retrouver ma serennité. La bonne nouvelle c'est que je suis sur la route de Jean Le Cam, il faut juste que je le rattrape maintenant.
Quand tout ça est arrivé, j'ai vraiment eu un flashback d'il y a 4 ans. C'est extrêmement dangereux car nous avons 20 noeuds, ce qui nous donne un 'faux' sentiment de sécurité et la minute d'après il y a une rafale à 35 noeuds."
Mike Golding se trouve désormais à 805 milles de la porte des glaces Autralia Ouest, en 7ème position et à 133 milles derrière Jean Le Cam, 6ème à bord de Synerciel.
"C'est sur à un moment je me suis dit : Ah non s'il vous plait, pas encore un Noël à Perth" nous expliquait Golding. "Mais c'est bon, désormais les choses sont à peu près rentrées dans l'ordre. Il faut juste que je me réconcilie avec le bateau et accepte que ça va être une journée difficile. Sinon on s'enferme dans cette spirale infernale de mauvaise humeur et c'est là que les choses commencent à se corse."
Il était à peu près 4 heures du matin, Mike terminait un changement de voile pour faire route vers le sud dans un vent un peu plus soutenu, quand la drisse d'enrouleur de l'énorme Code 0 a cassé dans une rafale de 35 noeuds. Auparavant le vent était de 18 noeuds. Alors que le bateau était largement surtoilé, que la voile principale faseyait et qu'il n'y avait aucun moyen de l'enrouler, le pilote a lâché. Mike s'est aussitôt élancer pour faire balancer la quille, coucher Gamesa sur le côté afin de réduire la pression sur le gréement et faire descendre ce code 0.
"Je suis de retour en course maintenant. Le code 0 est jeté au fond du bateau avec tous les bouts. Je suis en mode réparation sur l'enrouleur. Je n'ai pas eu la chance d'inspecter le bout dans sa globalité mais j'espère que les dégâts ne sont pas trop importants.
J'ai beaucoup à faire encore, je dois mettre le solent et prendre deux ris et surtout essayer de retrouver ma serennité. La bonne nouvelle c'est que je suis sur la route de Jean Le Cam, il faut juste que je le rattrape maintenant.
Quand tout ça est arrivé, j'ai vraiment eu un flashback d'il y a 4 ans. C'est extrêmement dangereux car nous avons 20 noeuds, ce qui nous donne un 'faux' sentiment de sécurité et la minute d'après il y a une rafale à 35 noeuds."
Mike Golding se trouve désormais à 805 milles de la porte des glaces Autralia Ouest, en 7ème position et à 133 milles derrière Jean Le Cam, 6ème à bord de Synerciel.
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Les Sables Info
Le Team Maître CoQ a déjà tout mis en œuvre cette semaine pour lancer la saison sportive 2013. Le 60 pieds Imoca Maître CoQ va être révisé et optimisé.
Après le retour de Jérémie à Lorient lundi dernier, le Team Maître CoQ s’est rapidement organisé pour préparer 2013. Tout le matériel du bord a été débarqué et les voiles dégréées. L’atelier a été rangé pour accueillir le bateau à la crête rouge, le temps d’un chantier technique hivernal.
Le 60 pieds sera au sec ce mardi et un chantier complet de révision et d’optimisation sera lancé en janvier. L’accastillage et les équipements du Maître CoQ vont être entièrement démontés, la peinture de pont sera refaite, certaines pièces et aménagements optimisés. La mise à l’eau est prévue en avril, juste avant les premières épreuves Imoca de la saison.
Jérémie a également répondu à de nombreuses sollicitations presse depuis son retour à terre et, dès le mois prochain, il entamera une nouvelle tournée de visites des sites de production Maître CoQ et des éleveurs partenaires du maître volailler.
Maître CoQ et le Vendée Globe
Performance, innovation constante, progression, haute technicité, courage, dépassement de soi : ces valeurs, qui expriment la réussite de Maître CoQ et font le quotidien de ses collaborateurs, sont aussi celles des coureurs au large.
2010 et 2011 ont été deux années de croissance forte pour l'entreprise et la marque :
- un chiffre d'affaires passé de 320 à 400 M€,
- la vente de produits à marque Maître CoQ en progression de 18%,
- la volonté de poursuivre le développement en accélérant la reconnaissance de la marque par les consommateurs, pour hisser Maître CoQ à 75% de notoriété assistée d'ici 3 ans.
C'est pourquoi le volailler vendéen s'est logiquement tourné vers un partenariat sportif puissant, axé sur la technologie et l'audace : la voile, au travers du Vendée Globe.
« Le Vendée Globe, de par son ancrage régional, ses valeurs, ses histoires d'hommes et de femmes de défi, s'inscrit parfaitement dans la culture de la marque Maître CoQ. Pour nous, cette épreuve représente une opportunité unique de véhiculer nos valeurs et notre volonté de réussite. »
Le 60 pieds sera au sec ce mardi et un chantier complet de révision et d’optimisation sera lancé en janvier. L’accastillage et les équipements du Maître CoQ vont être entièrement démontés, la peinture de pont sera refaite, certaines pièces et aménagements optimisés. La mise à l’eau est prévue en avril, juste avant les premières épreuves Imoca de la saison.
Jérémie a également répondu à de nombreuses sollicitations presse depuis son retour à terre et, dès le mois prochain, il entamera une nouvelle tournée de visites des sites de production Maître CoQ et des éleveurs partenaires du maître volailler.
Maître CoQ et le Vendée Globe
Performance, innovation constante, progression, haute technicité, courage, dépassement de soi : ces valeurs, qui expriment la réussite de Maître CoQ et font le quotidien de ses collaborateurs, sont aussi celles des coureurs au large.
2010 et 2011 ont été deux années de croissance forte pour l'entreprise et la marque :
- un chiffre d'affaires passé de 320 à 400 M€,
- la vente de produits à marque Maître CoQ en progression de 18%,
- la volonté de poursuivre le développement en accélérant la reconnaissance de la marque par les consommateurs, pour hisser Maître CoQ à 75% de notoriété assistée d'ici 3 ans.
C'est pourquoi le volailler vendéen s'est logiquement tourné vers un partenariat sportif puissant, axé sur la technologie et l'audace : la voile, au travers du Vendée Globe.
« Le Vendée Globe, de par son ancrage régional, ses valeurs, ses histoires d'hommes et de femmes de défi, s'inscrit parfaitement dans la culture de la marque Maître CoQ. Pour nous, cette épreuve représente une opportunité unique de véhiculer nos valeurs et notre volonté de réussite. »
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