Angers Info

Une exposition toute en lumière Exposition «desDesigners Lux» créée par nos « agitateurs de design » : Maud Rondard et son équipe. Découvrez des objets lumineux et éclairés, tous soigneusement sélectionnés, fruits sortant tout droit de l’imagination de nos designers français. Plus d’infos sur www.desdesigners.fr Design encore... design toujours...
Découvrez la petite boutique «Bowigo éphémère», l’occasion idéale pour quelques idées cadeaux 100% design. Un espace dessiné avec les modules Fabulem, un univers construit de blanc et de rose.
Conseils, informations ... un programme de conférence riche et diversifié
Qu’il s’agisse d’investir, de construire ou encore de se chauffer, le Salon de l’Habitat et de l’Immobilier propose de s’informer autour de différentes thématiques
Vendredi 20 septembre
14h30 : Les nouveaux atouts de la maison bois pour les acquéreurs
16h45: Présentation du programme d’amélioration thermique des logements « Mieux chez moi » d’Angers Loire
Métropole
Samedi 21 septembre
11h30 : Rénovation performante, comment arriver à une basse consommation ?
14h30 : Construction : la réglementation thermique 2012 : nouvelle réglementation
15h00 : Quelles garanties exiger d’un constructeur ?
17h00: L’accession sociale à la propriété et ses modes de financement
Dimanche 22 septembre
11h00 : L’accession sociale à la propriété et ses modes de financement
14h00 : Comment bien choisir son constructeur ?
15h00 : Quel financement pour rénover ?
15h30 : Des aides pour améliorer son logement.
16h30 : Chaudière bois, pompes à chaleur, chaudière gaz : quel chauffage pour votre habitat
17h30 : Géobiologie et Pollutions Electromagnétiques, les deux aspects méconnus de l’habitat

C’est officiel ! Le président du conseil général du Maine-et-Loire, Christophe Béchu, sera candidat aux municipales d'Angers l’année prochaine. En 2008, il avait été battu de 667 voix par la liste emmenée par Jean-Claude Antonini. Le scrutin se déroulera les 23 et 30 mars 2014

La Ville d’Angers cultive l’art d’être ensemble, notamment à travers une politique culturelle qui tisse des liens, qui invite à la rencontre et à la découverte artistique.

Le festival Les Accroche-coeurs, 15e du nom en 2013, y contribue tout particulièrement. Ce temps fort de la rentrée permet une fois de plus d’enchanter et de fidéliser un large public au gré de 200 rendez-vous artistiques et festifs.

Le festival nous emporte cette année vers l’Ouest et nous invite à revêtir LA PLUME sous toutes ses formes. Ce thème fédérateur, associé au code vestimentaire renouvelé à chaque édition, est une particularité forte qui permet ainsi à la cité de transformer ses rues et ses habitants le temps du week-end.

La ville de Brissac-Quincé avait déjà accueilli le championnat de France de montgolfières en 2003. Dix ans plus tard, les montgolfières survoleront à nouveau la campagne angevine du 27 au 31 août 2013.La commune située au cœur du Val de Loire servira de cadre à ce somptueux ballet aérien. Près de 90 ballons assureront le spectacle pour le plus grand plaisir des 10.000 spectateurs attendus.Parallèlement à la compétition, une semaine de fête sera organisée, avec baptêmes de l'air en montgolfière, concert et animations.
Le championnat 2013
Le 39e championnat de France de montgolfières se tiendra à Brissac-Quincé du 27 au 31 août 2013.
Cette compétition organisée par la Fédération française d’Aérostation (FFA) opposera une cinquantaine d’équipages français et 15 ballons anglais. Ces compétiteurs professionnels se disputeront le titre actuellement détenu par Nicolas Schwartz.
Tous les envols se feront à partir du parc du château de Brissac. Chaque équipage est composé d’un pilote, d’un navigateur et de deux personnes au sol pour le "retrouving" (le suivi en voiture pour la récupération après l’atterrissage).

Animations et festivités
La remise des prix de ce 39e championnat de France de montgolfières est prévue le vendredi soir, mais la fête se poursuivra jusqu’au lendemain.

Parmi les animations proposées :
• un Village France fera la promotion du tourisme et des produits locaux auprès des visiteurs. Ouverture le mardi 27 août à 14h30 puis tous les jours jusqu’au samedi 31 août de 10h à 20h. Accès gratuit.

• des ballons Fiesta proposeront des vols et des baptêmes de l'air au public tout au long du championnat

• des animations se tiendront tous les jours à 18h dans le parc du Château. Tarifs : 5 € la soirée, 15 € le pass semaine (soit 5 soirées).

• un concert en plein air intitulé La folie des années 80 viendra clôturer les festivités, le samedi 31août, à 21h. Tarif : 12 € (gratuit jusqu’à 10 ans).

Plus d'informations auprès de l’Office de tourisme de Brissac Quincé au 02 41 91 21 50.

Mercredi 10 juillet, près de dix ans après le lancement de l’Opération de rénovation urbaine (ORU) à Angers, la Ville et la préfecture signaient le 9e et dernier avenant à l'ORU "première génération", impulsée en son temps par l’ancien ministre Jean-Louis Borloo. L’avenant comprend la poursuite du travail à Belle-Beille avec la construction d’une cinquantaine de logements neufs dans le "vieux" quartier, sur le secteur Dauversière/Notre Dame-du-Lac. Il comprend aussi la construction d’une chaufferie à bois collective qui aura pour enjeu de diminuer les charges énergétiques des familles logées dans le parc social.

Mercredi, l’objectif était aussi pour la Ville, comme pour ses nombreux partenaires (bailleurs sociaux, aménageurs, acteurs de la politique de la Ville…), de préparer l’avenir. Et de montrer son savoir-faire partenarial en matière de développement urbain d’une part et d’innovations socio-économiques d’autre part. Ce mercredi, Andry Shivbaran, délégué de l’Agence nationale de la rénovation urbaine (Anru) en charge du Grand-Ouest, était ainsi invité à découvrir le travail accompli ces dix dernières années dans les trois quartiers de Belle-Beille, la Roseraie et du Grand-Pigeon, et à prendre connaissance des projets déjà enclenchés et à venir à Monplaisir.

Une visite-clé pour Angers, puisque c’est début août que l’Agence nationale chargée de la rénovation urbaine désignera les territoires élus pour obtenir les budgets nécessaires aux prochaines opérations. Une étape capitale puisque sur les (presque) 500 millions d’euros investis dans les quartiers angevins depuis 2004, 72 millions d’euros provenaient de l’Agence nationale.

Un Angevin sur quatre bénéficie de la rénovation urbaine

A Angers, on estime qu’un Angevin sur quatre a directement été concerné par l’opération de rénovation urbaine. Durant cette période, près de 7400 logements ont été construits ou réhabilités, trois centres commerciaux restructurés et trente-trois équipements publics construits ou modernisés (cité éducative Annie-Fratellini, nouvelle piscine à la Roseraie, salle omnisports…).

Les ORU ne se résument cependant pas à des projets d’urbanisme. "Le logement, l’amélioration du cadre de vie et la modernisation des équipements publics sont importants, mais ils sont des leviers qui permettent d’aller plus loin et d’engager une nouvelle dynamique dans le quartier, au profit de de son attractivité et de son image, donc de l’emploi; ils permettent aussi d’inventer des solutions pour mieux répondre aux attentes des populations souvent marquées par de vraies difficultés sociales, éducatives parfois...", a rappelé le représentant de l’Anru.

En la matière, Angers a plutôt bien rempli le contrat. Et continue de travailler sur ces aspects liés au retour de l’activité économique dans les quartiers. "A Monplaisir, nous n’avons pas attendu que l’Anru 'deuxième génération' arrive, a expliqué le maire Frédéric Béatse. Dès 2014, nous allons mettre à disposition des entrepreneurs qui en ont besoin des locaux pour le stockage de leur matériel, le travail administratif… En parallèle, nous travaillons à la création d’une cité des métiers axée sur le numérique, qui parle aux jeunes de formations et d’avenir. Nous sommes prêts à innover car nous avons eu le temps d'expérimenter de multiples alliances multipartenariales qui ont porté leurs fruits."

Autant d'éléments auxquels Andry Shivbaran a visiblement été sensible.

Quelle histoire :en 1794, lors d'un épisode tragique de la guerre de Vendée : le 5 février, les "colonnes infernales" menées par Étienne Cordellier se vengent de la défaite qui leur a été infligée quatre jours plus tôt et massacrent la population. Le bilan oscille entre 150 et 300 morts. Les troupes républicaines en profitent pour détruire l'église. Une croix rappelle aux 2 400 habitants d'aujourd'hui le martyre d'alors.

La deuxième fois, c'était en 2010. La petite ville a les honneurs du New York Times. En cause, la volonté de son maire Jean-Pierre Léger de... détruire son église, l'édifice qui, au XIXe siècle, a remplacé celui que la République avait mis à bas. Pour le maire, l'église est surdimensionnée et bancale : "Construit en deux fois, le bâtiment est hétérogène, composé de deux parties mal raccordées. [...] Nous sommes en face d'une fausse église ancienne ; en aucun cas, il ne s'agit d'un monument historique", peut-on lire sur le site de la commune dans un document datant de 2007. Devant les dépenses d'entretien qu'il juge insoutenables pour sa petite commune, le maire se propose de démolir l'église pour en reconstruire une autre, plus modeste.