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Depuis dix ans, Angers a acquis l'expérience des opérations de rénovation urbaine (ORU). C'est donc en toute logique qu'elle espère être éligible aux budgets qui lui permettraient d'engager la deuxième ORU, au bénéfice notamment de Monplaisir. Réponse de l'Agence nationale de la rénovation urbaine cet été, très certainement.
Mercredi 10 juillet, près de dix ans après le lancement de l’Opération de rénovation urbaine (ORU) à Angers, la Ville et la préfecture signaient le 9e et dernier avenant à l'ORU "première génération", impulsée en son temps par l’ancien ministre Jean-Louis Borloo. L’avenant comprend la poursuite du travail à Belle-Beille avec la construction d’une cinquantaine de logements neufs dans le "vieux" quartier, sur le secteur Dauversière/Notre Dame-du-Lac. Il comprend aussi la construction d’une chaufferie à bois collective qui aura pour enjeu de diminuer les charges énergétiques des familles logées dans le parc social.
Mercredi, l’objectif était aussi pour la Ville, comme pour ses nombreux partenaires (bailleurs sociaux, aménageurs, acteurs de la politique de la Ville…), de préparer l’avenir. Et de montrer son savoir-faire partenarial en matière de développement urbain d’une part et d’innovations socio-économiques d’autre part. Ce mercredi, Andry Shivbaran, délégué de l’Agence nationale de la rénovation urbaine (Anru) en charge du Grand-Ouest, était ainsi invité à découvrir le travail accompli ces dix dernières années dans les trois quartiers de Belle-Beille, la Roseraie et du Grand-Pigeon, et à prendre connaissance des projets déjà enclenchés et à venir à Monplaisir.
Une visite-clé pour Angers, puisque c’est début août que l’Agence nationale chargée de la rénovation urbaine désignera les territoires élus pour obtenir les budgets nécessaires aux prochaines opérations. Une étape capitale puisque sur les (presque) 500 millions d’euros investis dans les quartiers angevins depuis 2004, 72 millions d’euros provenaient de l’Agence nationale.
Un Angevin sur quatre bénéficie de la rénovation urbaine
A Angers, on estime qu’un Angevin sur quatre a directement été concerné par l’opération de rénovation urbaine. Durant cette période, près de 7400 logements ont été construits ou réhabilités, trois centres commerciaux restructurés et trente-trois équipements publics construits ou modernisés (cité éducative Annie-Fratellini, nouvelle piscine à la Roseraie, salle omnisports…).
Les ORU ne se résument cependant pas à des projets d’urbanisme. "Le logement, l’amélioration du cadre de vie et la modernisation des équipements publics sont importants, mais ils sont des leviers qui permettent d’aller plus loin et d’engager une nouvelle dynamique dans le quartier, au profit de de son attractivité et de son image, donc de l’emploi; ils permettent aussi d’inventer des solutions pour mieux répondre aux attentes des populations souvent marquées par de vraies difficultés sociales, éducatives parfois...", a rappelé le représentant de l’Anru.
En la matière, Angers a plutôt bien rempli le contrat. Et continue de travailler sur ces aspects liés au retour de l’activité économique dans les quartiers. "A Monplaisir, nous n’avons pas attendu que l’Anru 'deuxième génération' arrive, a expliqué le maire Frédéric Béatse. Dès 2014, nous allons mettre à disposition des entrepreneurs qui en ont besoin des locaux pour le stockage de leur matériel, le travail administratif… En parallèle, nous travaillons à la création d’une cité des métiers axée sur le numérique, qui parle aux jeunes de formations et d’avenir. Nous sommes prêts à innover car nous avons eu le temps d'expérimenter de multiples alliances multipartenariales qui ont porté leurs fruits."
Autant d'éléments auxquels Andry Shivbaran a visiblement été sensible.
Mercredi, l’objectif était aussi pour la Ville, comme pour ses nombreux partenaires (bailleurs sociaux, aménageurs, acteurs de la politique de la Ville…), de préparer l’avenir. Et de montrer son savoir-faire partenarial en matière de développement urbain d’une part et d’innovations socio-économiques d’autre part. Ce mercredi, Andry Shivbaran, délégué de l’Agence nationale de la rénovation urbaine (Anru) en charge du Grand-Ouest, était ainsi invité à découvrir le travail accompli ces dix dernières années dans les trois quartiers de Belle-Beille, la Roseraie et du Grand-Pigeon, et à prendre connaissance des projets déjà enclenchés et à venir à Monplaisir.
Une visite-clé pour Angers, puisque c’est début août que l’Agence nationale chargée de la rénovation urbaine désignera les territoires élus pour obtenir les budgets nécessaires aux prochaines opérations. Une étape capitale puisque sur les (presque) 500 millions d’euros investis dans les quartiers angevins depuis 2004, 72 millions d’euros provenaient de l’Agence nationale.
Un Angevin sur quatre bénéficie de la rénovation urbaine
A Angers, on estime qu’un Angevin sur quatre a directement été concerné par l’opération de rénovation urbaine. Durant cette période, près de 7400 logements ont été construits ou réhabilités, trois centres commerciaux restructurés et trente-trois équipements publics construits ou modernisés (cité éducative Annie-Fratellini, nouvelle piscine à la Roseraie, salle omnisports…).
Les ORU ne se résument cependant pas à des projets d’urbanisme. "Le logement, l’amélioration du cadre de vie et la modernisation des équipements publics sont importants, mais ils sont des leviers qui permettent d’aller plus loin et d’engager une nouvelle dynamique dans le quartier, au profit de de son attractivité et de son image, donc de l’emploi; ils permettent aussi d’inventer des solutions pour mieux répondre aux attentes des populations souvent marquées par de vraies difficultés sociales, éducatives parfois...", a rappelé le représentant de l’Anru.
En la matière, Angers a plutôt bien rempli le contrat. Et continue de travailler sur ces aspects liés au retour de l’activité économique dans les quartiers. "A Monplaisir, nous n’avons pas attendu que l’Anru 'deuxième génération' arrive, a expliqué le maire Frédéric Béatse. Dès 2014, nous allons mettre à disposition des entrepreneurs qui en ont besoin des locaux pour le stockage de leur matériel, le travail administratif… En parallèle, nous travaillons à la création d’une cité des métiers axée sur le numérique, qui parle aux jeunes de formations et d’avenir. Nous sommes prêts à innover car nous avons eu le temps d'expérimenter de multiples alliances multipartenariales qui ont porté leurs fruits."
Autant d'éléments auxquels Andry Shivbaran a visiblement été sensible.
Rédigé par Angers Info le Vendredi 12 Juillet 2013 à 17:31
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