Angers Info

Le 3 novembre 2010, le ministre de la Défense, Hervé Morin, visite l’Ecole supérieure et d’application du Génie (ESAG) d’Angers (Maine-et-Loire). « Maison mère » du Génie, l’Ecole est née de la fusion de l’Ecole d’application du Génie et de l’Ecole supérieure du Génie militaire, en 1995.

L’ESAG est un pôle unique de formation dans les domaines du combat, du génie et de l’infrastructure. Il possède notamment une division de formation au déminage considérée comme l’une des meilleures au monde, par la qualité de l’enseignement et les outils pédagogiques qu’elle propose. Elle dispose notamment d’une base de données sur les mines considérée comme une référence mondiale.

Près de 3000 stagiaires français et étrangers, issus de toutes les armées, sont accueillis chaque année dans cette école. Ils suivent un enseignement technique recouvrant les sciences de l’ingénieur du bâtiment, complété par un enseignement administratif. Les étudiants suivent aussi une formation opérationnelle dense.

L’ESAG entretient également des liens privilégiés avec « l’US army engineer Center » à Fort Leonard Wood (Missouri), et a signé des conventions de partenariat avec l’école allemande « la Pionierschule » de Munich et la « Royal school of military engieneering » britannique.

L’ESAG est par ailleurs chargée des études de doctrine et de prospective, du patrimoine et des traditions du génie, et de la cohérence des formations et parcours professionnels

Le projet prévoit 376 appartements et 40 maisons individuelles, le tout traversé par une grande coulée verte.Un nouveau quartier va naître aux portes d’Angers, entre la rocade Est et le bourg de Saint-Barthélemy, sur les terrains de l’ancienne coopérative agricole « Les Vergers d’Anjou ».Le programme conçu par le groupe Gambetta, pour 35 millions, comprendra 416 logements dont 376 appartements (84 locatifs à vocation sociale) et 40 maisons individuelle. Une grande coulée verte irriguera les trois quarts du site, le long de l’ancienne ligne de chemin de fer Angers-La Flèche. Chemins paysagers, venelles et même un grand parc arboré sont prévus.La commercialisation est lancée. La première tranche sera livrée fin 2012

Le site d’information participative Mediapart attaqué par de hauts responsables politiques, la légalité des révélations sur les liens entre Eric WOERTH et la famille BETTENCOURT contestée par les dirigeants de l’UMP, les échanges virulents entre Arnaud MONTEBOURG et Nonce PAOLINI sur l’éthique de TF1 (accusée d’être une « télé-fric »), le possible rachat du quotidien Le Parisien par le Groupe Dassault, les manifestations des journalistes de l’Agence France Presse contre le pouvoir au mois de mai sur le thème « AFP menacée, presse bâillonnée, libertés en danger », l’attaque de Jean-Luc MELENCHON contre le présentateur du journal télévisé de France 2 (et de la 25ème Nuit du SCOOP), le renvoi précipité de deux chroniqueurs humoristiques de France Inter, l’émergence du site indépendant Wikileaks, la chute de la France à la 44ème place du classement mondial de la liberté de la presse (elle était 11ème en 2002 lors de sa création) : 2010 aura été marquée par le questionnement permanent de l’indépendance des médias à l’égard du pouvoir politique. Pourtant, ce thème a été choisi voilà un an à l’issue du 24ème Festival : prémonition ou coup de chance ? On pouvait difficilement être moins éloigné de l’actualité…
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Mais le 25ème Festival du SCOOP élargira son programme à bien d’autres thématiques et prendra le temps d’un retour aux sources, pour contempler un quart de siècle d’histoire journalistique. Un anniversaire qui rejoindra celui d’Envoyé Spécial, puisque Françoise JOLY et Guilaine CHENU, les deux présentatrices, animeront une soirée spéciale entièrement dédiée à l’inoxydable émission de France 2.

Des images vidéo, des photos, des rencontres, des débats, des rencontres, des journées dédiés aux étudiants et aux scolaires, des journalistes, des hommes politiques, des experts et toujours un public enthousiaste feront de ce 25ème anniversaire, nous l’espérons tous, un paroxysme dans l’épopée du SCOOP.

Retiré de la vie politique en 2008, Raymond Perron restera comme l'un des pères du tramway angevin.
Adjoint au maire en charge des transports pour la Ville d'Angers de 2001 à 2008, Raymond Perron est décédé des suites d'une longue maladie, le week-end dernier.
Ancien ingénieur des travaux publics et directeur de l'Equipement, Raymond Perron avait fait son entrée sur la scène politique en 2001, aux côtés du maire Jean-Claude Antonini. C'est en sa qualité de vice-président en charge des déplacements à Angers Loire Métropole qu'il avait porté le projet de la première ligne de tramway de l'agglomération.
"Très affecté" par la disparition de Raymond Perron, Jean-Claude Antonini a immédiatement souhaité rendre hommage "au remarquable adjoint qu'il n'a cessé d'être à mes côtés. Nous lui devons en très grande partie le succès de la première ligne de tramway. C'était par ailleurs quelqu'un de très humain, de très cultivé et d'une gentillesse absolue."