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Le bateau du petit Nicolas
Le duo calédo-vendéen est donc à nouveau freiné dans sa progression vers le Mexique mais le moral reste au beau fixe, car les deux marins savent très bien que désormais, ce qui compte c’est de partager une belle histoire, comme l’écrit si justement le petit Nicolas, un enfant soutenu par 1 Maillot pour la Vie
Alizé, houle bleue, pluie ou soleil : la vie est devenue plus douce à bord de Vale Inco Nouvelle Calédonie depuis qu’Yves et Lionel évoluent à la faveur de brises portantes. Malheureusement, dès leur première nuit de surf, une rafale plus violente que les autres a eu raison de l’un de leurs spinnakers…
Toute la magie de la course au large est là, dans ce petit mot si riche de sens… La voile est bien plus qu’un sport, c’est un voyage. Un dimanche, sous le soleil, à Saint Nazaire, les skippers larguent les amarres. Ils ne sont bientôt plus qu’un point sur l’horizon et, très vite, l’imagination des terriens prend le relais, jusqu’au bout de la course... Une position sur une carte, un message de temps en temps, une photo : il n’en faut pas plus pour écrire une belle histoire, pourvu qu’elle dure et qu’elle ait du sens.
Toujours debouts !
Ainsi, malgré leurs soucis de voiles qui ne leur permettent plus de régater avec les autres concurrents de la Solidaire du Chocolat, Yves et Lionel ont le méritent d’être toujours en course.
Lorsque l’on a passé de long mois à chercher des financements, à monter un programme qui intéresse partenaires, médias et grand public, et que la compétition tourne à la course poursuite, c’est plutôt difficile à vivre. Yves et Lionel relève le défi avec humour, toujours : « on digère lentement la disparition du spi lourd (leur petit spi a éclaté lundi dernier, ndr) il va falloir encore quelques jours pour en faire notre deuil car on perd bien 1 nœud de vitesse moyenne. Tout va bien à bord, et on s'applique à ne rien casser afin de pouvoir aller jusqu'au bout. Nous allons retrouver bientôt notre sister-ship « Crédit Maritime » pour essayer de faire un match de fond de cours. S’il a tous ses spis cela ne sera pas facile, mais on y croit !
Nous avons fait un briefing interne Lionel et moi et nous sommes tombés d'accord à l'unanimité : c'est la dernière fois que l'on part en course avec des voiles cuites, qu'on se le dise ! Les voiles c'est comme les pâtes c'est bon quand ce n'est pas trop cuit, alors les prochaines voiles, au minimum al dente ! »
La semaine prochaine aux Antilles
Le duo du Class40 Vale Inco Nouvelle Calédonie dispose encore d’un spi, dit « léger » celui-ci, qui ne peut être utilisé que dans une brise relativement faible (en dessous de 25 noeuds). Cette grande voile d’avant va d’ailleurs sans doute être bien utile à l’approche des Antilles où l’alizé semble s’essoufler.
Le Class40 Vale Inco Nouvelle Calédonie est attendu au niveau de l’île de Saint Barthélemy en début de semaine prochaine. Et d’ici une quinzaine de jours, ils devraient rallier Progeso, au Mexique.
Alizé, houle bleue, pluie ou soleil : la vie est devenue plus douce à bord de Vale Inco Nouvelle Calédonie depuis qu’Yves et Lionel évoluent à la faveur de brises portantes. Malheureusement, dès leur première nuit de surf, une rafale plus violente que les autres a eu raison de l’un de leurs spinnakers…
Toute la magie de la course au large est là, dans ce petit mot si riche de sens… La voile est bien plus qu’un sport, c’est un voyage. Un dimanche, sous le soleil, à Saint Nazaire, les skippers larguent les amarres. Ils ne sont bientôt plus qu’un point sur l’horizon et, très vite, l’imagination des terriens prend le relais, jusqu’au bout de la course... Une position sur une carte, un message de temps en temps, une photo : il n’en faut pas plus pour écrire une belle histoire, pourvu qu’elle dure et qu’elle ait du sens.
Toujours debouts !
Ainsi, malgré leurs soucis de voiles qui ne leur permettent plus de régater avec les autres concurrents de la Solidaire du Chocolat, Yves et Lionel ont le méritent d’être toujours en course.
Lorsque l’on a passé de long mois à chercher des financements, à monter un programme qui intéresse partenaires, médias et grand public, et que la compétition tourne à la course poursuite, c’est plutôt difficile à vivre. Yves et Lionel relève le défi avec humour, toujours : « on digère lentement la disparition du spi lourd (leur petit spi a éclaté lundi dernier, ndr) il va falloir encore quelques jours pour en faire notre deuil car on perd bien 1 nœud de vitesse moyenne. Tout va bien à bord, et on s'applique à ne rien casser afin de pouvoir aller jusqu'au bout. Nous allons retrouver bientôt notre sister-ship « Crédit Maritime » pour essayer de faire un match de fond de cours. S’il a tous ses spis cela ne sera pas facile, mais on y croit !
Nous avons fait un briefing interne Lionel et moi et nous sommes tombés d'accord à l'unanimité : c'est la dernière fois que l'on part en course avec des voiles cuites, qu'on se le dise ! Les voiles c'est comme les pâtes c'est bon quand ce n'est pas trop cuit, alors les prochaines voiles, au minimum al dente ! »
La semaine prochaine aux Antilles
Le duo du Class40 Vale Inco Nouvelle Calédonie dispose encore d’un spi, dit « léger » celui-ci, qui ne peut être utilisé que dans une brise relativement faible (en dessous de 25 noeuds). Cette grande voile d’avant va d’ailleurs sans doute être bien utile à l’approche des Antilles où l’alizé semble s’essoufler.
Le Class40 Vale Inco Nouvelle Calédonie est attendu au niveau de l’île de Saint Barthélemy en début de semaine prochaine. Et d’ici une quinzaine de jours, ils devraient rallier Progeso, au Mexique.
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