Le News World Summit dont le thème de l’édition 2012 était #HacktheNewsroom était organisé par le GEN, le réseau mondial des rédacteurs en chef.
Journalisme papier, web et digital : trois jours de rencontre au sommet Du 30 mai au 1er juin, l’Hôtel de Ville de Paris a accueilli le News World Summit organisé par le GEN (Global Editor Network). Trois jours pour définir le journalisme de demain. Durant trois jours, les intervenants du News World Summit ont tenté de définir le journalisme de demain. La “stratégie quatre écrans”, qui repense le journalisme à travers les supports (mobiles, tablettes, ordinateurs ou encore
télévision connectée), est désormais au coeur des préoccupations des rédactions. Divers moments forts ont ponctué cette rencontre, donnant matière à réfléchir aux nombreux professionnels présents dans le public. Dernier retour sur la journée du 1er juin : Au-delà de Google News “Internet permet à chacun d'être un diffuseur ou un éditeur ” nous disait Krishna Bharat, fondateur de Google News, vendredi durant le NEWS! 2012. "Il ne suffit plus de se fier uniquement à une source, à un point de vue". C'est bien cette idée que Bharat a développée en créant Google News il y a dix ans. Une philosophie à laquelle il adhère toujours aujourd'hui.
Internautes et téléspectateurs dans le “sofa social” “Il y a 5 ans, il n’existait pas d’applications ni aucun des terminaux dont nous profitons aujourd’hui“, se souvient Phil Fearnley, directeur News and Knowledge de la BBC. Difficile donc de se projeter ce vendredi matin “Au-delà de la télévision connectée“, qui n’en est qu’à ses prémices. Par ailleurs, Bruno Patino, directeur de la stratégie numérique à France Télévisions, a rappelé l’évolution du comportement des téléspectateurs ces douze derniers mois. Ils souhaitent désormais parler des programmes via les réseaux sociaux au moment même de leur diffusion. “La social TV est un phénomène en plein essor“, a-t-il assuré. Michel Lévy-Provençal (vidéo), créateur de Joshfire, en est tout aussi convaincu : demain, la télé sera une expérience multiple.
La revanche du lecteur
Fini le temps des sommaires figés. Désormais, les internautes remplissent eux-mêmes leur panier sur le marché de l’information numérique. Help yourself ! C’est un peu comme si le lecteur, après des années à consulter des contenus imposés, avait, de rage, jeté en l’air le puzzle médiatique. Les pièces retombent, mais en désordre. Le lecteur, aujourd’hui, lit ce que bon lui semble, ce qui n’est pas toujours au goût des groupes de presse. “De plus en plus, les applications numériques abandonnent le contrôle de l’information aux utilisateurs“, explique le britannique Nic Newman, consultant en média numérique. Sur les terminaux
intelligents – ordinateurs, téléphones ou tablettes – ces applications fournissent à leurs propriétaires une sélection personnalisée d’articles.
Rendez-vous pris pour fin mai 2013...
La première agence mondiale d’échange de maisons continue de transformer l’expérience du voyage
HomeExchangeGold a pour ambition d’offrir à ses Membres le luxe qui ne s’achète pas : être l’hôte privilégié de résidences très exclusives, sans la moindre transaction financière. Passer d’une demeure très privée à une autre, une nouvelle opportunité pour les propriétaires de belles maisons qui y trouvent des avantages uniques, loin des formules classiques comme l’hôtellerie ou la location. Près de 1 000 maisons et appartements dans 60 destinations seront échangés cet été, parmi lesquels une somptueuse plantation de café à Sao Paulo, des maisons de rêve sur la plage de Bali, des lofts d’artistes à New York et des demeures de charme en Toscane.
"HomeExchangeGold est un réseau social informel, basé sur l’échange de maisons et d’appartements qui sortent de l’ordinaire » résume Ed Kushins, fondateur et président de HomeExchange.com. “Notre mission est de favoriser les rencontres entre les propriétaires et de faciliter l’organisation de leurs vacances. Dépenser des fortunes dans les hôtels, c’est dépassé. L’échange de maisons, c’est l’avenir.”
Sur le site HomeExchangeGold, tout est conçu pour faciliter les recherches et les contacts, tandis qu’un service de conciergerie exclusif aide les Membres à organiser leurs échanges en rapprochant les personnes ayant des profils et des aspirations similaires.
Pour les voyageurs du 21è siècle, l’option de la résidence privée gagne du terrain par rapport à d’autres modes d’hébergement. Économique, confortable, respectueuse de l’environnement, la formule séduit les voyageurs responsables du monde entier. Échanger sa maison, et en particulier sa résidence secondaire, permet d’utiliser intelligemment les ressources existantes, contrairement aux établissements de vacances qui prolifèrent et restent vides hors saison. Dans le même esprit pragmatique, les adeptes n’hésitent pas à inclure dans leurs échanges voitures, vélos, bateaux, équipements de plage ou de ski, et jusqu’aux cartes d’adhérents aux club de golf locaux.
HomeExchange.com, qui célèbre cette année son 20è anniversaire, aura été l’un des pionniers du logement chez l’habitant en tant qu’alternative à l’hôtel. Non seulement elle permet aux voyageurs de se loger sans frais, n’importe où dans le monde, mais c’est toute l’expérience du voyage qui se trouve modifiée, créant entre les Membres une relation de confiance basée sur la réciprocité, favorisant les échanges culturels. En vingt ans, la petite communauté de pionniers née en Californie est devenue un réseau international en pleine expansion, qui séduit même les voyageurs les plus exigeants.
HomeExchangeGold : Abonnement annuel 500 USD (environ 380 €), ouvrant droit à un nombre illimité d’échanges sans frais supplémentaire.
Pour plus d’information :www.homeexchangegold.com.
A propos de HomeExchange.com
Fondé en 1992 par le californien Ed Kushins, HomeExchange.com est la plus grande agence internationale d’échange de maisons en ligne, et celle qui connaît la plus forte croissance. 400 000 échanges ont été accomplis en vingt ans. En 2012, ses Membres effectueront plus de 75 000 échanges dans 142 pays. HomeExchange.com permet à plus de 40 000 familles de troquer leur maison ou leur appartement en toute sécurité, et de vivre des expériences de voyage uniques, loin des sentiers battus du tourisme de masse. Le site est disponible en 16 langues, dont le français Trocmaison.com, lancé en 2005 tandis que le site international HomeExchangeGold.com se positionne sur le segment du luxe.
Pôle “Cabinet”
Ancien chef de cabinet de François Hollande, Faouzi Lamdaoui est désormais conseiller à l’égalité et à la diversité. Cité comme ministrable, puis pressenti pour être candidat aux législatives dans la Somme, ce fidèle collaborateur du Président se retrouve finalement à l’Élysée. Au sein du pôle “Cabinet”, il va côtoyer le conseiller “justice”, Pierre Valleix. Ce magistrat de 59 ans, passé par le cabinet d’Élisabeth Guigou au ministère de la Justice, était conseiller de Jean-Pierre Bel à la présidence du Sénat après avoir été avocat général près la cour d’appel de Montpellier et procureur de la République à Châteauroux.
Également venue du cabinet de Jean-Pierre Bel, Sophie Brocas, conseillère “administration et services publics”, est une ex-journaliste devenue haute fonctionnaire au ministère de l’Intérieur. Cette spécialiste de l’organisation territoriale de l’État a travaillé à deux reprises avec Pierre-René Lemas, place Beauvau, il y a dix ans, et récemment au Sénat. Autre fonctionnaire de l’Intérieur, Gilles Clavreul occupe à 39 ans le poste de conseiller “affaires territoriales”. Ancien élève de l’ENA, il s’occupait des carrières du corps préfectoral depuis 2008. Il a également été sous-préfet auprès du préfet des Hauts-de-Seine de 2002 à 2004.
Le conseiller chargé des relations avec le Parlement, Bernard Rullier, est un administrateur du Sénat, qui était jusqu’alors directeur adjoint du cabinet de Jean-Pierre Bel. Ancien secrétaire général du groupe PS au Sénat, Bernard Rullier est également passé par les cabinets Vaillant et Queyranne entre 1997 et 2002. La benjamine du pôle “Cabinet”, Constance Rivière, 32 ans, nommée conseillère “institutions, société et libertés publiques”, fait partie des brillants experts qui ont entouré le candidat Hollande durant la campagne. Protégée de Pierre Moscovici, Constance Rivière, ancienne élève de l’ENA, vient du Conseil d’État.
Pôle diplomatique
Traditionnellement très charpenté à l’Élysée, le pôle diplomatique s’appuie sur des hauts fonctionnaires chevronnés. Autour du “conseiller diplo” et sherpa G8, Paul Jean-Ortiz, on retrouve Philippe Léglise-Costa, un X-Ponts qui a débuté sa carrière au Monde avant d’entrer au Quai d’Orsay. Ancien conseiller technique d’Hubert Védrine, il était depuis 2008 représentant permanent adjoint de la France auprès de l’Union européenne. La conseillère “Afrique”, Helène Le Gal, est passée de 2000 à 2002 par le cabinet de Charles Josselin, ministre délégué à la Coopération et à la Francophonie. Elle était depuis 2009 consule générale à Québec après avoir été sous-directrice d'Afrique centrale et orientale. Le conseiller “affaires stratégiques Asie”, Christian Lechervy, était directeur adjoint de la prospective au Quai d’Orsay. Ancien ambassadeur au Turkménistan, il a été conseiller de 2000 à 2002 au cabinet d’Alain Richard, ministre de la Défense de Lionel Jospin.
Le diplomate Emmanuel Bonne, en poste à la représentation française à l’ONU, spécialiste du Moyen-Orient, devient conseiller “Afrique du Nord, Moyen-Orient, Nations unies”. Le conseiller “Russie, Balkans, Amériques”, Fabien Penone, est un pur produit du Quai d’Orsay, qu’il a rejoint après l’ENA en 1997. Il était, depuis 2010, chef du service des relations extérieures de la Communauté et de l’Union à la direction de l’Union européenne. Quant au conseiller G8-G20, Matthieu Peyraud, il vient de la sous-direction des affaires économiques internationales du ministère des Affaires étrangères et a également été deuxième conseiller à Madrid.
Pôle “Économie-finances”
Trois conseillers ont été nommés au pôle “Économie et finances”. Sandrine Duchêne, jusqu’alors cheffe du département de la conjoncture à l’Insee, est la nouvelle conseillère “politique économique et finances publiques”. Elle a également été en charge de la sous-direction du service public de l’emploi à la délégation générale à l’emploi et à la formation professionnelle. Le conseiller “politiques fiscales et sectorielles”, Hervé Naerhuysen, sorti de l’ENA en 2007, arrive de la direction générale du Trésor. Arnaud Oseredczuk, 40 ans, conseiller “financement de l’économie et euro” vient de l’Autorité des marchés financiers. Conseiller référendaire à la Cour des comptes, sorti de l’ENA en 1998, il était affecté à la direction des enquêtes et de la surveillance des marchés de l’Autorité des marchés financiers, présidée par Jean-Pierre Jouyet.
Pôle “Politiques publiques”
Au sein du pôle “Politiques publiques”, on retrouve comme conseiller “culture et communication” l’incontournable David Kessler. Ex-conseiller de Lionel Jospin à Matignon, cet agrégé de philosophie, ancien élève de l’ENA, a notamment été directeur général du CNC, directeur de France Culture et conseiller auprès du maire de Paris, Bertrand Delanoë. Son nom s’est imposé comme une évidence compte tenu de son parcours, de son expérience et de son engagement à gauche.
Dans le même pôle “Politiques publiques”, le professeur Olivier Lyon-Caen, chef du service neurologie de l’hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, est nommé conseiller “santé et recherche médicale”. Patrick Vieu, ancien élève de l’ENA, haut fonctionnaire spécialiste des transports, est nommé conseiller “environnement et territoires”. Outre le cabinet de Jean-Pierre Bel au Sénat, passablement “pillé”, l’Élysée a également recruté au sein de l’Association des régions de France (ARF), présidée par Alain Rousset. Michel Yahiel, inspecteur général des affaires sociales, jusqu’alors délégué général de l’ARF, est nommé conseiller “travail, emploi, protection sociale”. Ancien DRH de la ville de Paris, il est passé dans les années 1990 par les cabinets de René Teulade et de Jean-Louis Bianco.
Pôle “Presse et communication”
L’ARF perd également sa cheffe de cabinet, Claudine Ripert-Landler, qui rejoint le pôle “Presse et communication” de l’Élysée. Spécialiste des médias, ex-directrice générale adjointe du groupe Canal +, passée par les cabinets de Roger Fauroux et de Jean-Yves Le Drian au début des années 1990, Claudine Ripert-Landler est nommée conseillère “communication, stratégie, international”, tandis que Christian Gravel, également conseiller “communication”, s’occupe plutôt de la presse. Bras droit de Manuel Valls, Christian Gravel s’est imposé durant la campagne comme l’un des éléments les plus fiables et les plus efficaces de l’équipe de campagne de François Hollande. Autre arrivée à l’Élysée, celle de Paul Bernard, normalien de 35 ans, qui quitte la mairie de Paris pour devenir conseiller chargé des interventions et des études, sous l’autorité du conseiller politique Aquilino Morelle.
Alors que l’équipe élyséenne est quasiment au complet, la compagne du chef de l’État constitue aussi son propre cabinet. Valérie Trierweiller a déjà choisi son directeur de cabinet. Il s’agit d’un ancien journaliste, éditorialiste à RFI, et ami du couple présidentiel, Patrice Biancone.
Ça Vous Regarde - Le débat : Charlie hebdo : la... par LCP