Un thriller haletant entre startup du web et ONG parisiennes, un premier roman découvert et financé à par les internautes sur www.bookly.fr
Le roman
Lucie Brasseur aborde dans son livre des sujets qui lui sont chers tels que le rapport à la misère, au travail, à la passion mais aussi la relation aux autres. L’héroïne de son roman, Amy 29 ans, travaille dans une start-up internet et devient bénévole dans un centre d’accueil pour SDF. Une série d’assassinats va la plonger dans les eaux troubles d’un milieu dangereux et inconnu. Là, elle y fera une découverte mystérieuse : le citron vert… Œuvre à la croisée des genres – polar, roman social, mais aussi histoire d’amour – on y découvre de drôles de personnages au rythme d’une vie urbaine très contemporaine. Réseaux sociaux, smartphones et start-ups du web y côtoient la part la plus sombre de l’humanité : les oubliés de la croissance, les accidentés de la vie et ceux qui n’ont pas eu la chance d’être nés sous une bonne étoile.
La street lit’ à la Française
La street lit’ ou littérature de la rue – également connue sous le nom de fiction urbaine – est un genre littéraire apparu aux Etats-Unis. Décors urbains, romans noirs, les œuvres du genre s’attachent à proposer un regard sans concession sur le monde moderne : nouvelles technologies, clivages sociaux, violences du quotidien. Acteurs du réel avant tout, les auteurs du mouvement ont généralement commencé par créer des activités économiques avant d’utiliser leur plume pour agir sur le monde.Lucie Brasseur avec Les Larmes Rouges du Citron Vert ouvre la voie de la street’ lit à la française.
Journaliste, écrivain et citoyenne du monde
Lucie Brasseur, franco-brésilienne originaire de Paris, a vécu dans de nombreuses régions, et continue aujourd’hui à parcourir le monde, vivant là où elle se sent bien pour écrire. Après avoir créé trois entreprises dans des secteurs différents (formation et média), elle décide, suite à deux accidents de voiture successifs, deconsacrer tout son temps et son énergie à sa vraie passion : l’écriture.
A propos de Bookly
Bookly Editions est une maison d’édition participative qui donne la possibilité aux internautes via le site www.bookly.fr de découvrir des auteurs et de participer financièrement à la publication de leurs œuvres. 50 % des recettes du livre sont redistribuées aux supporters du roman, qui ont investi au total 15.000 € pour la publication de ce roman. La parution physique du livre est une coédition entre Les Editions Prisma et Bookly.
Depuis plusieurs années, nous travaillons ensemble notamment au sein du club de réflexion Génération France Paris présidé par Jean-François Copé. Nous partageons les mêmes valeurs : la liberté en matière économique ; la fermeté sur les fonctions régaliennes de l’Etat ; la confiance en la société civile et le monde de l’entreprise. Ce sont ces valeurs que nous avons déclinées dans le projet que nous avons préparé ensemble pour notre capitale intitulé « Réveillons Paris ». Ce projet a d’ailleurs été remis fin juin 2013 à notre candidate Nathalie Kosciusko- Morizet : nombre de propositions inspirent aujourd’hui sa vision pour l’avenir de Paris. La démarche de dissidence que tu as engagée ne se fonde donc pas sur des différences de fond : si l’on veut défendre ces idées et ces valeurs, c’est bien à l’intérieur de cette nouvelle équipe rassemblée et élargie qu’il convient de le faire et non pas à l’extérieur dans la recherche de clivages artificiels et inutiles. Chaque Parisien a bien compris que seules 2 politiques municipales étaient possibles : la poursuite de l’actuelle qui depuis 13 ans a abaissé Paris au rang d’une grosse ville de province, loin de la compétitivité nécessaire des grandes capitales mondiales et celle qui consiste à rompre profondément avec ces 2 mandats
socialistes. C’est cette rupture que je défends autour de Nathalie Kosciusko-Morizet car il n’y a pas d’autre alternative.
Au-delà de l’avenir de Paris, les élections municipales seront également l’occasion pour les Français de sanctionner sévèrement un pouvoir socialiste qui depuis 20 mois a plongé notre pays dans un marasme économique sans précédent. Ce sont ces 2 objectifs qui doivent guider nos choix dans les 3 mois qui viennent : remettre Paris sur le chemin de la croissance et de la compétitivité pour créer des richesses et de l’emploi et contraindre le Président et son gouvernement à changer enfin de politique économique.
Dans les 2 cas, il s’agit de l’avenir de la France devant lequel aucune ambition personnelle, si légitime et fondée soit-elle, ne doit compter.
Les enjeux dépassent les cas personnels même si je comprends ta frustration et ton mécontentement. Paris compte de nombreux talents politiques et il est légitimeque tu souhaites y jouer un rôle compte-tenu de ta forte implication dans le milieu de l’entreprise. Il n’y a en effet aucune justification à voir les responsabilités politiques dans la capitale interdites à des personnalités issues de la société civile et réservées à des professionnels de la politique. L’ouverture est légitime et elle se fera mais pas dans le conflit et la dissidence.
Cher Charles, je te demande donc de bien réfléchir à la suite que tu entends donner au mouvement que tu as lancé et qui inévitablement fera le jeu de nos adversaires. Paris a trop souffert de nos divisions par le passé : ne reproduisons pas les erreurs commises par nos aînés. Compte-tenu de la situation catastrophique de notre pays, nous serions coupables de non-assistance à capitale et pays en danger. Les Parisiens ne nous le pardonneraient pas !
Je fais donc appel à ton sens de la responsabilité et du dialogue pour venir nous rejoindre et construire avec nous le grand rassemblement de l’alternance à Paris.
Alors que la Garde des Sceaux vient d'annoncer « qu'elle enterrait définitivement » le projet d'échevinage des tribunaux de commerce, le Club des juristes, quant à lui, estime nécessaire une redéfinition de la juridiction commerciale. Depuis quelques années, la juridiction économique est l'objet de remises en question (critique de la compétence des juges et de leur impartialité, des professionnels du droit des procédures collectives et du rôle des greffiers). Le projet de loi sur la justice commerciale, attendu au premier semestre 2014, doit être l'occasion d'une discussion publique ouverte et constructive. Le rapport de la Commission Justice du Club des juristes se propose, quant à lui, de réformer la juridiction «afin d'assurer une justice de qualité au secteur économique », souligne Jean-Claude Magendie, Premier Président Honoraire de la Cour d'appel de Paris et président de la commission. 22 propositions tracent les plans de la réforme. Elles s'organisent autour des 5 axes suivants : 1. REPENSER L'ATTRIBUTION DES COMPETENCES DE LA JURIDICTION COMMERCIALE : conférer à la juridiction commerciale les seuls litiges dont la spécificité justifie une compétence particulière (les baux commerciaux et l'ensemble des affaires relevant des procédures collectives). 2. RATIONALISER ET RENFORCER LES MOYENS DE LA JURIDICTION COMMERCIALE : suppression d'une part des greffes des tribunaux de commerce en leur forme actuelle et leurs intégration à la juridiction et, d'autre part, rénovation des relations avec les mandataires judicaires. 3. PROFESSIONNALISER LA JURIDICTION CONSULAIRE : dispenser une formation labellisée et obligatoire aux juges siégeant dans les tribunaux de commerce et faciliter la circulation entre les juges professionnels et non professionnels. Mettre en place un « magistrat référent » afin de combler les besoins de certains tribunaux et assurer la rémunération des juges consulaires. 4. REFORMER LA CARTE JUDICIAIRE COMMERCIALE : par la réduction du nombre des tribunaux de commerce et le rattachement des tribunaux de moins de quinze juges à de grands pôles. (Il rejoint sur cette idée le rapport d'information parlementaire du 24 avril 2013.) 5. MIEUX APPREHENDER LES SITUATIONS DE CONFLIT D'INTERETS : par l'utilisation du magistrat référent comme pilier de la prévention et par la formation des juges consulaires. | |
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A propos du Club des juristes :
Le Club des juristes, créé en 2007, est le premier Think-Tank juridique français. Il a vocation à promouvoir la place du droit dans le débat public. Le Club des juristes fait entendre sa voix à travers les travaux de ses commissions et l'organisation de nombreux événements thématiques (Nuit de l'Eloquence, Prix Olivier Debouzy, Salon du Livre Juridique...).
A propos de la Commission Justice :
Créée en 2011, la Commission Justice est l'une des 6 commissions permanentes du Club des juristes. Elle mène, sous la présidence de Jean-Claude Magendie (Premier Président honoraire de la Cour d'appel de Paris) une réflexion sur la rupture de confiance entre les citoyens et la justice
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