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L’échéance du départ tend à rendre toutes les procédures un peu plus urgentes. Pour les quelques équipages qui ne sont pas encore totalement à jour, les dernières heures correspondent à une montée en pression légitime quand il s’agit de traverser plus d’un tiers de l’océan Atlantique d’une seule traite jusqu’aux Açores. L’occasion aussi de se retourner sur le parcours de chacun des concurrents.
Derniers contrôles sur les pontons. Les bénévoles affectés aux vérifications de la conformité des Class40 formulent leurs dernières observations, avant de délivrer le blanc-seing qui permettra aux concurrents de prendre la mer. Dans l’ensemble, les bateaux sont prêts car plusieurs d’entre eux ont déjà participé à d’autres courses d’avant-saison. Cet après-midi, les skippers seront invités à assister au briefing de la flottille 24F où Pierre-André Saladay détaillera les consignes à observer dans le cas d’une demande d’assistance et d’un survol d’un avion ou d’un hélicoptère. Pour certains, ces consignes sont déjà largement connues, mais une bonne piqure de rappel ne fait jamais de mal. La preuve en est : à chaque intervention des avions de la flottille, les pilotes ne peuvent que constater que nombre de procédures ont été oubliées dans l’urgence de la situation.
Variété des origines
C’est aussi une des spécificités de la Class40 que d’accueillir des concurrents aux origines très diverses. Simples amateurs venus pour goûter l’attrait de la haute mer, anciens de la Mini-Transat souhaitant franchir un palier, ou oiseaux du grand large voulant se ressourcer sur des bateaux et des parcours plus modestes, la palette est large.
Du Mini au 40 pieds
Pour nombre de Ministes, le passage au Class40 est pour ainsi dire une évidence. Même attirance pour le grand large, même mélange des genres entre amateurs éclairés et compétiteurs acharnés, seule la taille des bateaux change, de même que les ambitions. Pour un coureur de 6,50, le graal s’appelle la Mini-Transat, en Class40, c’est la Route du Rhum.
L’exemple le plus significatif est celui de Sébastien Rogues (GDF-SUEZ). Après plusieurs saisons sur le circuit Mini, il débarque avec le même partenaire dans la classe supérieure. D’autres l’ont précédé sur ce même chemin, comme Stéphane Le Diraison (Mr Bricolage), Louis Duc (Phoenix Europe Carat) ou Rémi Beauvais (Groupe Picoty-retour), Lionel Régnier (Deltacalor), Emma Creighton et Dan Dytch (Momentum Ocean Racing). Autre habitué, l’Allemand Jörg Riechers (Mare) qui oscille en permanence entre les deux circuits, enchaînant, en ces mois de juin et juillet, le Mini-Fastnet puis Les Sables - Horta avant de retourner en 6,50m sur la Transgascogne. Gaetano Mura et Sam Manuard (BET118) sont aussi des habitués du circuit Mini à plus d’un titre, puisque Samuel est aussi l’architecte de quelques uns des prototypes pouvant prétendre à la victoire finale.
Parcours olympique
Certains sont des purs produits de la voile olympique comme le tandem Victorien Erussard- Thibault Vauchel-Camus (Solidaires en peloton), qui écume le circuit des Formule 18, ces petits catamarans de sport survitaminés. Victorien Erussard a fait aussi une incursion remarquée dans la classe des Multi50. Le large lui est donc familier. C’est aussi le cas d’Aymeric Chappellier qui, avant de briller sur le circuit Mini (il est le dernier vainqueur des Sables – Les Açores – Les Sables), a suivi une préparation olympique, bien utile pour affiner son sens tactique.
Les oiseaux du large
Ils ont bourlingué sur toutes les mers du monde, navigué en multicoque à la poursuite du trophée Jules Verne, enchaîné sur des saisons en monocoques IMOCA, avant de revenir sur un circuit plus accessible financièrement. C’est le cas notamment de Halvard Mabire et Miranda Merron (Campagne de France) qui cumulent à eux deux un nombre impressionnant de milles autour de la planète. Sébastien Audigane (Mare) passe lui aussi avec un égal bonheur du monocoque IMOCA aux côtés de Kito de Pavant, au statut d’équipier de luxe sur Maserati pour le record New York – San Francisco. Jean-Christophe Caso (Groupe Picoty) ne compte plus les unités sur lesquelles il a posé son sac. Autres habitués du large, les Figaristes Armel Tripon et Fabien Delahaye qui viendront épauler Sébastien Rogues à bord de GDF-SUEZ.
Atypiques
Fort heureusement, la Class40 valorise parfois quelques parcours peu classiques, à tout le moins. Ainsi Stéphanie Alran (Phoenix Europe Carac), ancienne championne de saut à la perche, s’est découvert une passion pour la course au large en suivant la Mini-Transat sur un bateau accompagnateur. En 2011, elle s’engageait pour la première fois en Class40 et surprenait bien des concurrents plus expérimentés par sa combativité et sa vitesse de progression. D’autres encore viennent sur la course réaliser un rêve d’enfance comme Dominique Rivard (Marie-Galante), Guadeloupéen d’origine qui a décidé de s’essayer au circuit des Class40 avec comme objectif de participer en novembre 2014 à La Route du Rhum et revenir dans son île par la grande porte… Si chaque parcours est unique, une chose est commune à tous ces marins, la passion du large.
Variété des origines
C’est aussi une des spécificités de la Class40 que d’accueillir des concurrents aux origines très diverses. Simples amateurs venus pour goûter l’attrait de la haute mer, anciens de la Mini-Transat souhaitant franchir un palier, ou oiseaux du grand large voulant se ressourcer sur des bateaux et des parcours plus modestes, la palette est large.
Du Mini au 40 pieds
Pour nombre de Ministes, le passage au Class40 est pour ainsi dire une évidence. Même attirance pour le grand large, même mélange des genres entre amateurs éclairés et compétiteurs acharnés, seule la taille des bateaux change, de même que les ambitions. Pour un coureur de 6,50, le graal s’appelle la Mini-Transat, en Class40, c’est la Route du Rhum.
L’exemple le plus significatif est celui de Sébastien Rogues (GDF-SUEZ). Après plusieurs saisons sur le circuit Mini, il débarque avec le même partenaire dans la classe supérieure. D’autres l’ont précédé sur ce même chemin, comme Stéphane Le Diraison (Mr Bricolage), Louis Duc (Phoenix Europe Carat) ou Rémi Beauvais (Groupe Picoty-retour), Lionel Régnier (Deltacalor), Emma Creighton et Dan Dytch (Momentum Ocean Racing). Autre habitué, l’Allemand Jörg Riechers (Mare) qui oscille en permanence entre les deux circuits, enchaînant, en ces mois de juin et juillet, le Mini-Fastnet puis Les Sables - Horta avant de retourner en 6,50m sur la Transgascogne. Gaetano Mura et Sam Manuard (BET118) sont aussi des habitués du circuit Mini à plus d’un titre, puisque Samuel est aussi l’architecte de quelques uns des prototypes pouvant prétendre à la victoire finale.
Parcours olympique
Certains sont des purs produits de la voile olympique comme le tandem Victorien Erussard- Thibault Vauchel-Camus (Solidaires en peloton), qui écume le circuit des Formule 18, ces petits catamarans de sport survitaminés. Victorien Erussard a fait aussi une incursion remarquée dans la classe des Multi50. Le large lui est donc familier. C’est aussi le cas d’Aymeric Chappellier qui, avant de briller sur le circuit Mini (il est le dernier vainqueur des Sables – Les Açores – Les Sables), a suivi une préparation olympique, bien utile pour affiner son sens tactique.
Les oiseaux du large
Ils ont bourlingué sur toutes les mers du monde, navigué en multicoque à la poursuite du trophée Jules Verne, enchaîné sur des saisons en monocoques IMOCA, avant de revenir sur un circuit plus accessible financièrement. C’est le cas notamment de Halvard Mabire et Miranda Merron (Campagne de France) qui cumulent à eux deux un nombre impressionnant de milles autour de la planète. Sébastien Audigane (Mare) passe lui aussi avec un égal bonheur du monocoque IMOCA aux côtés de Kito de Pavant, au statut d’équipier de luxe sur Maserati pour le record New York – San Francisco. Jean-Christophe Caso (Groupe Picoty) ne compte plus les unités sur lesquelles il a posé son sac. Autres habitués du large, les Figaristes Armel Tripon et Fabien Delahaye qui viendront épauler Sébastien Rogues à bord de GDF-SUEZ.
Atypiques
Fort heureusement, la Class40 valorise parfois quelques parcours peu classiques, à tout le moins. Ainsi Stéphanie Alran (Phoenix Europe Carac), ancienne championne de saut à la perche, s’est découvert une passion pour la course au large en suivant la Mini-Transat sur un bateau accompagnateur. En 2011, elle s’engageait pour la première fois en Class40 et surprenait bien des concurrents plus expérimentés par sa combativité et sa vitesse de progression. D’autres encore viennent sur la course réaliser un rêve d’enfance comme Dominique Rivard (Marie-Galante), Guadeloupéen d’origine qui a décidé de s’essayer au circuit des Class40 avec comme objectif de participer en novembre 2014 à La Route du Rhum et revenir dans son île par la grande porte… Si chaque parcours est unique, une chose est commune à tous ces marins, la passion du large.
Depuis dimanche 30 juin 14 heures, l’ensemble des concurrents s’est amarré au ponton du Vendée Globe à Port Olona à l’exception de Stop Polio, le voilier de Yannick Bestaven. De retour de Lisbonne où le skipper rochelais était venu remplir quelques obligations médiatiques auprès de son partenaire, le Class40 a subi des vents violents au large du cap Finisterre qui ont provoqué des dommages mettant en cause la participation du tandem vainqueur de la dernière Transat Jacques Vabre.
Le cap Finisterre a une sale réputation et n’oublie pas de la justifier régulièrement. Alors qu’il remontait de Lisbonne vers Les Sables d’Olonne, Yannick Bestaven a subi une mer très formée et des vents supérieurs à 50 nœuds. Résultat de l’opération, une grand-voile déchirée au dessus du troisième ris, les aériens (girouettes de tête de mât) arrachés et pas mal de petites bricoles à vérifier avant de repartir pour une traversée océanique. Dans ces conditions Yannick, deuxième de l’édition 2011 des Sables – Horta à trente petites secondes du vainqueur, Stéphane Le Diraison a préféré renoncer plutôt que de prendre le départ dans des conditions précaires.
Contrôles de jauge et dernières consignes
Jusqu’à mercredi 10h, heure du briefing du prologue de la course, les contrôles de jauge vont se succéder : vérification du matériel de sécurité, de la conformité des bateaux par rapport aux règles de classe font maintenant partie de la routine de chaque départ de course. Au total, ils sont neuf bénévoles sous la houlette de Brigitte Fabre, jaugeur officiel de la FFVoile, à vérifier la centaine de points de sécurité depuis les lignes de vie ou la conformité du radeau de sauvetage au nombre minimum de litres d’eau potable embarquée en passant par le pavillon de courtoisie du Portugal, pays hôte de la flotte aux Açores.
Avant le départ, les coureurs devront aussi satisfaire aux différentes obligations : briefing de sécurité de la flottille 24F, les avions de surveillance du golfe de Gascogne, réception officielle, briefing météo avant le départ…
Neuf récidivistes
Pour certains, ces procédures sont familières puisqu’ils étaient déjà de la fête lors de précédentes éditions. Axel Strauss (Red), Jean-Christophe Caso (Groupe Picoty), Olivier Grassi (Marie Galante), Halvard Mabire (Campagne de France), Christophe Coatnoan (Partouche) étaient de l’aventure de 2009, quand Stéphanie Alran (Phoenix Europe Carac), Stéphane Le Diraison (Mr Bricolage), Patrice Bougard (Kogane) et Lionel Régnier (Deltacalor) se lançaient en 2011.
Verbatim :
Yannick Bestaven (Stop Polio) :
« On a tourné le problème dans tous les sens, mais je n’ai pas envie de prendre le départ dans des conditions qui ne permettraient pas d’être compétitif. C’est vraiment un crève-cœur, car avec Eric Drouglazet, on avait vraiment envie de s’étalonner sur cette course. Sans compter que l’on va manquer l’escale aux Açores. Tout le monde nous a proposé un coup de main, mais je ne suis pas certain que ce soit raisonnable… »
Liste des engagés 2013 :
Dominique Rivard – Olivier Grassi (Marie-Galante – n°89, Lombard 2009)
Gaetano Mura – Samuel Manuard (BET 1128 –n°117, Manuard 2012)
Halvard Mabire – Miranda Merron (Campagne de France –n°101, Finot 2009)
Michele Swagerman – Patrick Conway (Croix du Sud –n°64, Lombard 2007)
Lionel Régnier – Giovanni Pastorino (Deltacalor –n°105, Lombard 2011)
Catherine Pourre – Goulven Royer (Eärwen –n°88, Verdier 2009)
Eric Darni – Erwan Rivallain (Ecoelec –n°10, Finot 2006)
Sébastien Rogues – Armel Tripon (aller) – Fabien Delahaye (retour) (GDF SUEZ –n°130, Manuard 2013)
Jean-Christophe Caso – Aymeric Chappellier (Groupe Picoty –n°85, Finot 2010)
Patrice Bougard – Gilles Dadou (Kogane –n°91, Valer 2009)
Bruno Rzelteny – Vincent Duguay (La Belle Equipe – n°55, Verdier 2007)
Jörg Riechers – Sébastien Audigane (Mare –n°115, Manuard 2012)
Emma Creighton – Dan Dytch (Momentum Ocean Racing –n°93 Lombard 2010)
Damien Rousseau – Stéphane Le Diraison (Monsieur Bricolage –n°109 Finot 2011)
Christophe Coatnoan – François Coquerel (Partouche –n°113, Finot 2011)
Mathias Blumencron – Axel Strauss (aller) – Volker Riechers (retour) (Red –n°59, Rogers 2007)
Louis Duc – Stéphanie Alran (Phoenix Europe Carac –n°65, Lombard 2008)
Victorien Erussard – Thibault Vauchel-Camus (Solidaires en Peloton –n°107, Farr 2011).
Le programme Les Sables – Horta – Les Sables
- mardi 2 juillet :
15h00 briefing sécurité avec la flottille 24F
- mercredi 3 juillet :
10h00 briefing prologue
15h00 départ du prologue
17h00 remise des prix du prologue (au PC Course)
- jeudi 4 juillet :
10h00 briefing météo première étape
17h00 sortie des participants et présentation sonorisée des concurrents dans le chenal
19h02 (heure locale) départ de la première étape
Le cap Finisterre a une sale réputation et n’oublie pas de la justifier régulièrement. Alors qu’il remontait de Lisbonne vers Les Sables d’Olonne, Yannick Bestaven a subi une mer très formée et des vents supérieurs à 50 nœuds. Résultat de l’opération, une grand-voile déchirée au dessus du troisième ris, les aériens (girouettes de tête de mât) arrachés et pas mal de petites bricoles à vérifier avant de repartir pour une traversée océanique. Dans ces conditions Yannick, deuxième de l’édition 2011 des Sables – Horta à trente petites secondes du vainqueur, Stéphane Le Diraison a préféré renoncer plutôt que de prendre le départ dans des conditions précaires.
Contrôles de jauge et dernières consignes
Jusqu’à mercredi 10h, heure du briefing du prologue de la course, les contrôles de jauge vont se succéder : vérification du matériel de sécurité, de la conformité des bateaux par rapport aux règles de classe font maintenant partie de la routine de chaque départ de course. Au total, ils sont neuf bénévoles sous la houlette de Brigitte Fabre, jaugeur officiel de la FFVoile, à vérifier la centaine de points de sécurité depuis les lignes de vie ou la conformité du radeau de sauvetage au nombre minimum de litres d’eau potable embarquée en passant par le pavillon de courtoisie du Portugal, pays hôte de la flotte aux Açores.
Avant le départ, les coureurs devront aussi satisfaire aux différentes obligations : briefing de sécurité de la flottille 24F, les avions de surveillance du golfe de Gascogne, réception officielle, briefing météo avant le départ…
Neuf récidivistes
Pour certains, ces procédures sont familières puisqu’ils étaient déjà de la fête lors de précédentes éditions. Axel Strauss (Red), Jean-Christophe Caso (Groupe Picoty), Olivier Grassi (Marie Galante), Halvard Mabire (Campagne de France), Christophe Coatnoan (Partouche) étaient de l’aventure de 2009, quand Stéphanie Alran (Phoenix Europe Carac), Stéphane Le Diraison (Mr Bricolage), Patrice Bougard (Kogane) et Lionel Régnier (Deltacalor) se lançaient en 2011.
Verbatim :
Yannick Bestaven (Stop Polio) :
« On a tourné le problème dans tous les sens, mais je n’ai pas envie de prendre le départ dans des conditions qui ne permettraient pas d’être compétitif. C’est vraiment un crève-cœur, car avec Eric Drouglazet, on avait vraiment envie de s’étalonner sur cette course. Sans compter que l’on va manquer l’escale aux Açores. Tout le monde nous a proposé un coup de main, mais je ne suis pas certain que ce soit raisonnable… »
Liste des engagés 2013 :
Dominique Rivard – Olivier Grassi (Marie-Galante – n°89, Lombard 2009)
Gaetano Mura – Samuel Manuard (BET 1128 –n°117, Manuard 2012)
Halvard Mabire – Miranda Merron (Campagne de France –n°101, Finot 2009)
Michele Swagerman – Patrick Conway (Croix du Sud –n°64, Lombard 2007)
Lionel Régnier – Giovanni Pastorino (Deltacalor –n°105, Lombard 2011)
Catherine Pourre – Goulven Royer (Eärwen –n°88, Verdier 2009)
Eric Darni – Erwan Rivallain (Ecoelec –n°10, Finot 2006)
Sébastien Rogues – Armel Tripon (aller) – Fabien Delahaye (retour) (GDF SUEZ –n°130, Manuard 2013)
Jean-Christophe Caso – Aymeric Chappellier (Groupe Picoty –n°85, Finot 2010)
Patrice Bougard – Gilles Dadou (Kogane –n°91, Valer 2009)
Bruno Rzelteny – Vincent Duguay (La Belle Equipe – n°55, Verdier 2007)
Jörg Riechers – Sébastien Audigane (Mare –n°115, Manuard 2012)
Emma Creighton – Dan Dytch (Momentum Ocean Racing –n°93 Lombard 2010)
Damien Rousseau – Stéphane Le Diraison (Monsieur Bricolage –n°109 Finot 2011)
Christophe Coatnoan – François Coquerel (Partouche –n°113, Finot 2011)
Mathias Blumencron – Axel Strauss (aller) – Volker Riechers (retour) (Red –n°59, Rogers 2007)
Louis Duc – Stéphanie Alran (Phoenix Europe Carac –n°65, Lombard 2008)
Victorien Erussard – Thibault Vauchel-Camus (Solidaires en Peloton –n°107, Farr 2011).
Le programme Les Sables – Horta – Les Sables
- mardi 2 juillet :
15h00 briefing sécurité avec la flottille 24F
- mercredi 3 juillet :
10h00 briefing prologue
15h00 départ du prologue
17h00 remise des prix du prologue (au PC Course)
- jeudi 4 juillet :
10h00 briefing météo première étape
17h00 sortie des participants et présentation sonorisée des concurrents dans le chenal
19h02 (heure locale) départ de la première étape
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