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Cette réunion planétaire virtuelle sera l’occasion d’aborder des thèmes liés à l’actualité scientifique et environnementale et de confronter les points de vues et les cultures sur des sujets transversaux tels que l’énergie, l’accès aux soins, la recherche, la gestion des risques…
Un festival au format atypique : 24 heures d’émission en direct de toute la planète pour parler de sciences, d’environnement, de technologie et de développement. Le festival Science Frontières casse le cadre habituel et invente une sorte de «Planéthon», s’arrêtant là où il est midi sur Terre pour parler de science, d'environnement, de développement. 24H de direct retransmis sur Terre.tv et à suivre également sur sciencesetavenir.fr. Les explications du président du festival, Jean-Yves Casgha, journaliste à RFI et directeur deTerre.tv, qui retransmet les 24 heures de direct sur internet.
Sciences et Avenir.fr : Comment est née l’idée d’une telle émission pour le festival Science Frontières ?
Jean-Yves Casgha : Quand j’ai créé ce festival il y a 27 ans, il avait de l’avance sur son temps. Mais avec les années il s’est institutionnalisé et on a perdu ce coup d’avance. Pour la 27ème édition, il fallait que ça change ! En plus, nous diffusions un message de développement durable, d’économies d’énergie… alors que notre festival était devenu de plus en plus gros, que nous déplacions de plus en plus de monde, et que son bilan carbone était vraiment défavorable ! La majorité des intervenants vient de la région, comme le biologiste Didier Raoult qui est à Marseille. Pour la diffusion, nous mettons à profit un outil dont nous disposons depuis 5 ans, le site Terre.tv, qui diffuse uniquement des vidéos.
Nous serons partout sur la planète, sans polluer. Nous évitons aussi la production de déchets polluants, comme les verres et bouteilles plastiques …
Pourquoi avoir opté pour ce format de direct pendant 24H ?
J’ai fait le compte du temps passé avec les invités lors des précédentes éditions du festival : 6 heures par jour pendant 4 jours. 6x4=24, le calcul a été vite fait et l’idée est née de tout concentrer en un seul jour, comme pour un premier Téléthon de la Terre ! A chaque fois qu’il est midi quelque part sur la planète nous serons en lien avec une personne –scientifique ou membre d’une ONG- qui veut faire bouger quelque chose, changer le monde. Parmi nos partenaires il y a l’Inserm (sur des sujets comme le sida, le paludisme, les maladies liées à l'environnement, les virus, les maladies infectieuses…), ou encore l’Institut de recherche pour le développement (IRD), le Cnes… Sur place, il est possible de venir à la bibliothèque de l’Alcazar à Marseille pour suivre l’émission en direct, avec les invités qui seront en plateau.
Cependant il y aura forcément moins de rencontres que lors d’un festival classique ?
Bien sûr, c’est la limite de l’exercice ; il n’y aura pas toutes ces conversations de couloirs entre scientifiques de différents domaines qui se rencontrent et qui discutent… C’est aussi parce que nous avons déjà organisé 26 festivals au format classique que nous pouvons tenter cette expérience ! Nous connaissons beaucoup de gens, les liens existent. Ce ne sera pas désincarné !
Propos recueillis par Cécile Dumas, Sciences et Avenir.fr le 27/10/11.
Plus d'information, cliquez ici
Sciences et Avenir.fr : Comment est née l’idée d’une telle émission pour le festival Science Frontières ?
Jean-Yves Casgha : Quand j’ai créé ce festival il y a 27 ans, il avait de l’avance sur son temps. Mais avec les années il s’est institutionnalisé et on a perdu ce coup d’avance. Pour la 27ème édition, il fallait que ça change ! En plus, nous diffusions un message de développement durable, d’économies d’énergie… alors que notre festival était devenu de plus en plus gros, que nous déplacions de plus en plus de monde, et que son bilan carbone était vraiment défavorable ! La majorité des intervenants vient de la région, comme le biologiste Didier Raoult qui est à Marseille. Pour la diffusion, nous mettons à profit un outil dont nous disposons depuis 5 ans, le site Terre.tv, qui diffuse uniquement des vidéos.
Nous serons partout sur la planète, sans polluer. Nous évitons aussi la production de déchets polluants, comme les verres et bouteilles plastiques …
Pourquoi avoir opté pour ce format de direct pendant 24H ?
J’ai fait le compte du temps passé avec les invités lors des précédentes éditions du festival : 6 heures par jour pendant 4 jours. 6x4=24, le calcul a été vite fait et l’idée est née de tout concentrer en un seul jour, comme pour un premier Téléthon de la Terre ! A chaque fois qu’il est midi quelque part sur la planète nous serons en lien avec une personne –scientifique ou membre d’une ONG- qui veut faire bouger quelque chose, changer le monde. Parmi nos partenaires il y a l’Inserm (sur des sujets comme le sida, le paludisme, les maladies liées à l'environnement, les virus, les maladies infectieuses…), ou encore l’Institut de recherche pour le développement (IRD), le Cnes… Sur place, il est possible de venir à la bibliothèque de l’Alcazar à Marseille pour suivre l’émission en direct, avec les invités qui seront en plateau.
Cependant il y aura forcément moins de rencontres que lors d’un festival classique ?
Bien sûr, c’est la limite de l’exercice ; il n’y aura pas toutes ces conversations de couloirs entre scientifiques de différents domaines qui se rencontrent et qui discutent… C’est aussi parce que nous avons déjà organisé 26 festivals au format classique que nous pouvons tenter cette expérience ! Nous connaissons beaucoup de gens, les liens existent. Ce ne sera pas désincarné !
Propos recueillis par Cécile Dumas, Sciences et Avenir.fr le 27/10/11.
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Tags :
Environnement
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