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Belle, mais tordue, voilà en deux mots la situation météo qui attend les skippers de la Solidaire du Chocolat à partir de demain, 11 mars, pour le coup d'envoi de cette transat France-Mexique.
Jacques Fournier et Jean-Christophe Caso, Crédit photo Bertrand Duquenne
Pour Jacques Fournier et Jean-Christophe Caso, le duo du Class40 du Limousin « Groupe Picoty », l'équation est simple : il faudra aller vite dès le coup de canon, être à l'attaque et travailler sans relâche la stratégie. Les premiers jours de course pourraient être décisifs.
Comment se présente ce début de parcours vers le Mexique ?
Jean-Christophe Caso : « C'est beau, mais compliqué ! La bonne nouvelle c'est que nous allons partir sous un grand soleil, au portant, sous spi... La moins bonne c'est qu'il y a peu de vent globalement sur ce début de parcours et qu'il va falloir jongler avec des transitions météo pas très franches... »
Jacques Fournier : « Les premiers jours de course vont être intenses stratégiquement. Dès le départ, il va falloir être vigilants et réactifs. Il y a des trous d'air à éviter, un front à aller chercher... Nous allons travailler sur plusieurs scénarios envisageables, mais une fois en mer, il faudra être très attentifs aux évolutions de la météo et éventuellement aussi à la stratégie de nos concurrents. »
Tout pourrait donc se jouer dès les premiers jours, voire les premières heures de course ?
Jean-Christophe Caso : « oui et non... Ça va être une course d'attaque, de vitesse : ceux de devant ne seront pas forcément à l'aise et ceux de derrière auront toujours des coups à tenter. Les différentiels de vitesses ne sont pas flagrants entre nos bateaux. Ce n'est pas là dessus que ça va se jouer, mais sur la tactique, le positionnement par rapport aux phénomènes météo, mais aussi par rapport aux autres. »
Jacques Fournier : « Il faudra rester au contact pour bénéficier des mêmes conditions météo que nos camarades de jeu et jouer fin pour tenter de prendre un ascendant... ça va être la chasse à la risée ! Et cela risque de durer toute la première semaine pendant laquelle nous allons être sollicités en permanence tant sur la stratégie que sur l'optimisation des réglages de voile. »
Ce scénario très stratégique et technique, ça vous convient ?
« C'est toujours mieux que de partir avec 40 nœuds de vent au près ! La bagarre va être serrée : sur les 11 bateaux au départ, 7 ou 8 sont en mesure de gagner ou de faire un podium... Donc il va falloir s'accrocher, la route est longue, mais si on arrive à décrocher un podium on sera vraiment très contents. Il y a un bel enjeu et ça c'est très motivant ! », conclut le duo du Limousin.
Demain, dimanche 11 mars, les 11 Class40 engagés sur cette deuxième édition de la Solidaire du Chocolat s'élanceront sous spi et sous le soleil nazairien, à 17h30, vers le lointain Yucatan au Mexique : début d'une longue aventure de près de quatre semaines de suspens et d'émotions partagées.
À terre, les représentants des Pompiers de l'Urgence Internationale, du groupe Picoty, du Lac de Vassivière et de la société Brétéché sont venus en nombre cette semaine, encourager leurs skippers : autant de sourires qui aideront Jacques et Jean-Christophe à tenir bon tout au long de ces 5000 milles (9 300 km) vers le Mexique.
La Solidaire du Chocolat, 2e édition, 5000 milles (9 300 km) en double et 11 partants.
Départ le 11 mars - arrivée estimée à partir du 6 avril.
www.lasolidaireduchocolat.com
Comment se présente ce début de parcours vers le Mexique ?
Jean-Christophe Caso : « C'est beau, mais compliqué ! La bonne nouvelle c'est que nous allons partir sous un grand soleil, au portant, sous spi... La moins bonne c'est qu'il y a peu de vent globalement sur ce début de parcours et qu'il va falloir jongler avec des transitions météo pas très franches... »
Jacques Fournier : « Les premiers jours de course vont être intenses stratégiquement. Dès le départ, il va falloir être vigilants et réactifs. Il y a des trous d'air à éviter, un front à aller chercher... Nous allons travailler sur plusieurs scénarios envisageables, mais une fois en mer, il faudra être très attentifs aux évolutions de la météo et éventuellement aussi à la stratégie de nos concurrents. »
Tout pourrait donc se jouer dès les premiers jours, voire les premières heures de course ?
Jean-Christophe Caso : « oui et non... Ça va être une course d'attaque, de vitesse : ceux de devant ne seront pas forcément à l'aise et ceux de derrière auront toujours des coups à tenter. Les différentiels de vitesses ne sont pas flagrants entre nos bateaux. Ce n'est pas là dessus que ça va se jouer, mais sur la tactique, le positionnement par rapport aux phénomènes météo, mais aussi par rapport aux autres. »
Jacques Fournier : « Il faudra rester au contact pour bénéficier des mêmes conditions météo que nos camarades de jeu et jouer fin pour tenter de prendre un ascendant... ça va être la chasse à la risée ! Et cela risque de durer toute la première semaine pendant laquelle nous allons être sollicités en permanence tant sur la stratégie que sur l'optimisation des réglages de voile. »
Ce scénario très stratégique et technique, ça vous convient ?
« C'est toujours mieux que de partir avec 40 nœuds de vent au près ! La bagarre va être serrée : sur les 11 bateaux au départ, 7 ou 8 sont en mesure de gagner ou de faire un podium... Donc il va falloir s'accrocher, la route est longue, mais si on arrive à décrocher un podium on sera vraiment très contents. Il y a un bel enjeu et ça c'est très motivant ! », conclut le duo du Limousin.
Demain, dimanche 11 mars, les 11 Class40 engagés sur cette deuxième édition de la Solidaire du Chocolat s'élanceront sous spi et sous le soleil nazairien, à 17h30, vers le lointain Yucatan au Mexique : début d'une longue aventure de près de quatre semaines de suspens et d'émotions partagées.
À terre, les représentants des Pompiers de l'Urgence Internationale, du groupe Picoty, du Lac de Vassivière et de la société Brétéché sont venus en nombre cette semaine, encourager leurs skippers : autant de sourires qui aideront Jacques et Jean-Christophe à tenir bon tout au long de ces 5000 milles (9 300 km) vers le Mexique.
La Solidaire du Chocolat, 2e édition, 5000 milles (9 300 km) en double et 11 partants.
Départ le 11 mars - arrivée estimée à partir du 6 avril.
www.lasolidaireduchocolat.com
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Les Sables Info
C'est toujours un grand moment... il y a la tension technique et logistique bien sûr, mais surtout, il y a ces quelques instants où, entre ciel et mer, la longue carène blanche aux couleurs de Maître CoQ prépare son entrée sur la grande scène océanique de la course au large. Ce jeudi 8 mars, à Port La Forêt, le 60 pieds Imoca Maître CoQ a été mis à l'eau. Les premières sorties en mer de Jérémie Beyou et son équipe sont prévues dès le début de la semaine prochaine .
« C'est un grand moment, très émouvant, qui marque le début de notre parcours commun avec Jérémie. Voir le bateau aux couleurs de Maître CoQ est aussi une étape importante : ça y est le projet est vraiment sorti des cartons et il est là, prêt à s'élancer. Grâce aux photos, aux vidéos, aux témoignages, on va pouvoir faire partager ce grand moment avec tous les collaborateurs et partenaires de Maître CoQ... On est déjà dans la course ! » , commente Vincent Robin, directeur marketing de Maître CoQ.
Jérémie Beyou, skipper du 60 pieds Maître CoQ revient sur le travail technique effectué depuis le lancement du programme Vendée Globe de l'entreprise vendéenne en janvier dernier, et sur les liens qui commencent à se nouer entre le spécialiste du poulet et lui...
Le 60 pieds Maître CoQ s'apprête à tirer ses premiers bords, peux-tu faire un tour d'horizon du chantier technique réalisé ces dernières semaines par ton équipe ?
« Nous avons travaillé chez Mer Agitée pour des raisons de logistique et de proximité avec l'équipe de Michel Desjoyeaux. Nous avons commencé par un inventaire complet du bateau et l'expertise de toutes les pièces d'accastillage, notamment.
Nous avons changé le mât d'origine par celui utilisé par Iker Martinez sur la Barcelona World Race l'an dernier. Les échanges ont été très riches avec Iker et son équipe. Toutes les informations qu'ils ont pu nous fournir nous ont été très utiles dans notre travail de vérification et de ré accastillage de ce mât, ainsi que pour la conception des voiles bien sûr. Il y a d'ailleurs eu, parallèlement au chantier un gros travail avec Incidences sur ce nouveau jeu de voiles.
L'électricité, l'électronique et l'informatique ont été revus également. Chacune de ces étapes a pris du temps, car elles sont fondamentales.
Le dernier point fut la décoration du bateau... Aujourd'hui tout est prêt, il ne reste plus qu'à tout remonter, régler, jauger, faire le test à 90° et nous devrions naviguer dès la semaine prochaine. »
Ces dernières semaines, tu as également consacré du temps aux visites et rencontres avec les collaborateurs et les éleveurs partenaires de la société Maître CoQ ...
« L'échange, les rencontres avec les collaborateurs sont au cœur de notre projet. J'ai visité toutes les usines de production, il ne me reste plus qu'à rencontrer les éleveurs d'Auvergne. Cette semaine, j'ai visité un élevage Label Rouge et assisté à l'Assemblée Générale de la CIAB (Coopérative Interdépartementale des Aviculteurs du Bocage ), groupement des éleveurs vendéens partenaires de la société Maître CoQ. Chaque visite, chaque rencontre est très intéressante. Je découvre toutes les facettes du métier et l'accueil est toujours chaleureux et enthousiaste. C'est un régal à chaque fois !
Ces rencontres me permettent également de bien expliquer mon métier, le travail de l'équipe, la vie à bord, le programme du bateau... c'est important pour qu'ils puissent bien suivre la course ensuite.
Comme pour le chantier technique, ces rencontres sont fondamentales. Elles constituent les bases de ma relation avec l'ensemble des collaborateurs de Maître CoQ. Un tel programme ne peut fonctionner que s'il y a des échanges humains, directs et en plus, c'est un vrai plaisir à chaque fois !»
Cette journée de mise à l'eau a été mise à profit par l'équipe de Jérémie Beyou pour peser et jauger le 60 pieds Imoca Maître CoQ. Les premières sorties en mer sont programmées dès lundi prochain, 12 mars, et le monocoque blanc et rouge rejoindra Lorient dans le courant de la semaine prochaine. La première course au programme du Team Maître CoQ : le Grand Prix Guyader, début mai.
Programme sportif du 60 pieds Imoca Maître CoQ
. 8 mars : mise à l'eau
. 3 - 5 avril : stage à Port la Forêt
. 3 - 6 mai : Grand Prix Guyader
. 1er - 5 juin : Record SNSM
. 10 novembre : Départ du Vendée Globe
Jérémie Beyou, skipper du 60 pieds Maître CoQ revient sur le travail technique effectué depuis le lancement du programme Vendée Globe de l'entreprise vendéenne en janvier dernier, et sur les liens qui commencent à se nouer entre le spécialiste du poulet et lui...
Le 60 pieds Maître CoQ s'apprête à tirer ses premiers bords, peux-tu faire un tour d'horizon du chantier technique réalisé ces dernières semaines par ton équipe ?
« Nous avons travaillé chez Mer Agitée pour des raisons de logistique et de proximité avec l'équipe de Michel Desjoyeaux. Nous avons commencé par un inventaire complet du bateau et l'expertise de toutes les pièces d'accastillage, notamment.
Nous avons changé le mât d'origine par celui utilisé par Iker Martinez sur la Barcelona World Race l'an dernier. Les échanges ont été très riches avec Iker et son équipe. Toutes les informations qu'ils ont pu nous fournir nous ont été très utiles dans notre travail de vérification et de ré accastillage de ce mât, ainsi que pour la conception des voiles bien sûr. Il y a d'ailleurs eu, parallèlement au chantier un gros travail avec Incidences sur ce nouveau jeu de voiles.
L'électricité, l'électronique et l'informatique ont été revus également. Chacune de ces étapes a pris du temps, car elles sont fondamentales.
Le dernier point fut la décoration du bateau... Aujourd'hui tout est prêt, il ne reste plus qu'à tout remonter, régler, jauger, faire le test à 90° et nous devrions naviguer dès la semaine prochaine. »
Ces dernières semaines, tu as également consacré du temps aux visites et rencontres avec les collaborateurs et les éleveurs partenaires de la société Maître CoQ ...
« L'échange, les rencontres avec les collaborateurs sont au cœur de notre projet. J'ai visité toutes les usines de production, il ne me reste plus qu'à rencontrer les éleveurs d'Auvergne. Cette semaine, j'ai visité un élevage Label Rouge et assisté à l'Assemblée Générale de la CIAB (Coopérative Interdépartementale des Aviculteurs du Bocage ), groupement des éleveurs vendéens partenaires de la société Maître CoQ. Chaque visite, chaque rencontre est très intéressante. Je découvre toutes les facettes du métier et l'accueil est toujours chaleureux et enthousiaste. C'est un régal à chaque fois !
Ces rencontres me permettent également de bien expliquer mon métier, le travail de l'équipe, la vie à bord, le programme du bateau... c'est important pour qu'ils puissent bien suivre la course ensuite.
Comme pour le chantier technique, ces rencontres sont fondamentales. Elles constituent les bases de ma relation avec l'ensemble des collaborateurs de Maître CoQ. Un tel programme ne peut fonctionner que s'il y a des échanges humains, directs et en plus, c'est un vrai plaisir à chaque fois !»
Cette journée de mise à l'eau a été mise à profit par l'équipe de Jérémie Beyou pour peser et jauger le 60 pieds Imoca Maître CoQ. Les premières sorties en mer sont programmées dès lundi prochain, 12 mars, et le monocoque blanc et rouge rejoindra Lorient dans le courant de la semaine prochaine. La première course au programme du Team Maître CoQ : le Grand Prix Guyader, début mai.
Programme sportif du 60 pieds Imoca Maître CoQ
. 8 mars : mise à l'eau
. 3 - 5 avril : stage à Port la Forêt
. 3 - 6 mai : Grand Prix Guyader
. 1er - 5 juin : Record SNSM
. 10 novembre : Départ du Vendée Globe
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Les Sables d'Olonne Info
La navigatrice Anne Liardet a choisi très symboliquement la Journée internationale de la femme, le jeudi 8 mars, pour présenter son projet de participation au Vendée Globe 2012/2013. Pour son deuxième tour du monde en solitaire sans escale, la navigatrice finistérienne portera les couleurs d'une noble cause : l'Égalité Femmes-Hommes.
Anne Liardet : Photo © Didier Olivre
Anne Liardet déclare : "J’ai la mer dans le sang. J'aime être seule sur l'océan, transmettre le plaisir que je prends sur l’eau, raconter une belle histoire…" Anne Liardet est de ces femmes dont la sincérité séduit en quelques mots. Femme et mère de famille, elle est par-dessus tout une formidable coureuse d'océans, une navigatrice du grand large. En 2004-2005, des millions de personnes s'étaient passionnées pour son premier tour du monde en solitaire, son premier Vendée Globe. Parce qu'Anne sait partager ses aventures, sans faux-semblants. Elle sait aussi s'engager et mettre son énergie au service d'une juste cause. Cette fois c’est au nom de l'Égalité entre les femmes et les hommes qu’elle compte prendre le départ des Sables d’Olonne, le 10 novembre prochain.
L'Everest des mers :
Quelle meilleure plateforme de communication pour une grande cause que le Vendée Globe ? Tous les quatre ans, La course autour du monde en solitaire, sans escale et sans assistance, s'affirme comme un des événements les plus prisés du grand public. En 2009, la course avait drainé 1,7 million de spectateurs et séduit 59 millions d'Internautes. Plus de 2400 journalistes du monde entier ont relayé les exploits des marins solitaires autour de la planète ! Voilà pourquoi le satisfecit est unanime chez tous ceux qui ont l'audace de s'investir dans cet événement devenu mythique.
Un club de partenaires sous la bannière de l’Egalité :
Le bateau d'Anne Liardet portera donc les couleurs de l'Égalité Femmes-Hommes, bien au-delà des frontières de l'Hexagone. Support de communication universel, utilisé et relayé par cette grande dame de la mer, son monocoque de 18 mètres sera un vecteur de promotion idéal. Le projet permettra à différents partenaires (entreprises, associations, collectivités, fondations…) de s'engager dans cet événement mondial qu'est le Vendée Globe, tout en soutenant la cause portée par Anne. Ces Partenaires pourront ainsi partager une aventure humaine exceptionnelle, surfer sur les valeurs portées à la fois par l’événement et la cause de l’Égalité Femmes-Hommes, tout en réalisant une formidable opération de communication. Le savoir-faire de navigatrice d'Anne Liardet, son indéfectible sourire et sa grande facilité à communiquer seront leurs meilleurs atouts dans cette entreprise. Anne Liardet : « Mon projet est certes de repartir en mer, mais il deviendrait un rêve si ce tour du monde pouvait servir la cause de l’Égalité entre les femmes et les hommes. J’aimerais entraîner dans le sillage de ce beau projet, quelques femmes chefs d’entreprises pour lesquelles je porterais fièrement la marque et la sensibilité qu’elles nourrissent pour la cause de l’Égalité… ».
L'Everest des mers :
Quelle meilleure plateforme de communication pour une grande cause que le Vendée Globe ? Tous les quatre ans, La course autour du monde en solitaire, sans escale et sans assistance, s'affirme comme un des événements les plus prisés du grand public. En 2009, la course avait drainé 1,7 million de spectateurs et séduit 59 millions d'Internautes. Plus de 2400 journalistes du monde entier ont relayé les exploits des marins solitaires autour de la planète ! Voilà pourquoi le satisfecit est unanime chez tous ceux qui ont l'audace de s'investir dans cet événement devenu mythique.
Un club de partenaires sous la bannière de l’Egalité :
Le bateau d'Anne Liardet portera donc les couleurs de l'Égalité Femmes-Hommes, bien au-delà des frontières de l'Hexagone. Support de communication universel, utilisé et relayé par cette grande dame de la mer, son monocoque de 18 mètres sera un vecteur de promotion idéal. Le projet permettra à différents partenaires (entreprises, associations, collectivités, fondations…) de s'engager dans cet événement mondial qu'est le Vendée Globe, tout en soutenant la cause portée par Anne. Ces Partenaires pourront ainsi partager une aventure humaine exceptionnelle, surfer sur les valeurs portées à la fois par l’événement et la cause de l’Égalité Femmes-Hommes, tout en réalisant une formidable opération de communication. Le savoir-faire de navigatrice d'Anne Liardet, son indéfectible sourire et sa grande facilité à communiquer seront leurs meilleurs atouts dans cette entreprise. Anne Liardet : « Mon projet est certes de repartir en mer, mais il deviendrait un rêve si ce tour du monde pouvait servir la cause de l’Égalité entre les femmes et les hommes. J’aimerais entraîner dans le sillage de ce beau projet, quelques femmes chefs d’entreprises pour lesquelles je porterais fièrement la marque et la sensibilité qu’elles nourrissent pour la cause de l’Égalité… ».
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Les Sables Info
Deux jours 100% nautiques. Un week-end bien remplit... A fond la forme !
"Les Marinades" est une grande manifestation annuelle proposée par la Ville des Sables d'Olonne. Elle est organisée par l'Institut Sports Océan (l'ISO) ainsi qu'une trentaine d'associations nautiques sablaises. Elle s'enchaînera le samedi 30 juin 2012 et le dimanche 1 juillet 2012. Ce rassemblement permet aux personnes de connaître les multiples et diverses activités nautiques des Sables d'Olonne.
Placée sous le signe de la mer et de la convivialité, cette manifestation est l'occasion pour les clubs et les associations passionnés de nautisme, de se rencontrer, de mettre en avant leur savoir faire et de faire connaître leurs activités, en proposant des démonstrations, baptêmes, initiations ou expositions... accompagnés des groupes musicaux. Elle offrira plusieurs animations gratuites et ouvertes à tous où tout le monde trouvera son compte dans la joie et la bonne humeur.
L'évènement aura lieu à la Base de Mer entre le chenal et la piscine du Remblai le samedi de 14h00 à minuit et le dimanche de 10h00 à 18h00 aux Sables d'Olonne.
Avec la participation de l'association "Au bonheur des Dames".
Renseignements au 02 51 95 15 66.
www.institutsportsocean.com
Placée sous le signe de la mer et de la convivialité, cette manifestation est l'occasion pour les clubs et les associations passionnés de nautisme, de se rencontrer, de mettre en avant leur savoir faire et de faire connaître leurs activités, en proposant des démonstrations, baptêmes, initiations ou expositions... accompagnés des groupes musicaux. Elle offrira plusieurs animations gratuites et ouvertes à tous où tout le monde trouvera son compte dans la joie et la bonne humeur.
L'évènement aura lieu à la Base de Mer entre le chenal et la piscine du Remblai le samedi de 14h00 à minuit et le dimanche de 10h00 à 18h00 aux Sables d'Olonne.
Avec la participation de l'association "Au bonheur des Dames".
Renseignements au 02 51 95 15 66.
www.institutsportsocean.com
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Les Sables Info
Les Samedis de la Mairie ont commencé sur le parvis de la Mairie depuis le samedi 3 mars.
Avec une habileté et un talent rares, Dine et Déon nous bringuebalent dans cet univers à tiroirs, où cabaret d’antan, cocasseries bouillantes, pirouettes cirquassiennes et poésie réaliste se rencontrent toujours avec justesse et pertinence. Alors rien à craindre, même si un jour les vents se mettent à faire frissonner les étoiles, la leur n’est pas près de lever les voiles.
Géraldine Pignol, chanteuse et accordéoniste, débute en musique par un cursus classique en piano (école de musique) puis en orgue (CNR de Poitiers). Amenée à la fin de ses études à voyager, elle découvre l’accordéon en Allemagne aux côtés de jeunes auteurs-compositeurs allemands. Tout de suite c’est le coup de foudre… Géraldine peut enfin improviser et composer en se libérant des partitions. L’intimité induite par le port de l’accordéon la séduit et l’amène à chanter. D’un coup ce sont deux nouveaux instruments qui s’offrent à elle… Elle commence à composer et forme en juin 2002 Dine et Déon, le trio, avec un répertoire d’une vingtaine de compos. Elle retrouve la scène qu’elle aimait déjà étant enfant. De 2003 à 2007 elle se forme principalement en chant et depuis 2006 elle s’attèle à l’accordéon et au piano (cours d’harmonie avec Jérôme Rateau).
Passionné de RockaBilly depuis l’adolescence, Pascal Freyche commence la contrebasse en autodidacte à l'âge de 23 ans. Il joue en amateur pendant 5 ans avec Al Willis and the Swingsters. Avec eux, il écume l'Europe entière. A son actif, plusieurs disques vinyles enregistrés dans l'esprit des grands labels rock’n’Roll des années 50 (Sun records, Starday). Il accompagne ensuite pendant 2 ans Marina et les Backdoormen. Il rencontre Géraldine en 2002. Le répertoire de Dine le séduit, l’accordéon lui étant déjà familier de part le western swing qu’il écoute. Pascal Freyche n’a alors de cesse de perfectionner son jeu en travaillant l’harmonie et la contrebasse à Tous en scène (Tours). Il offre à Dine et Déon une basse rythmique et de plus en plus mélodique.
Gaël Pétetin, batteur-vibraphoniste, commence en musique par une formation classique en clarinette dès l’âge de 6 ans, au CNR de Tours, puis en percussions de 11 à 19 ans. Inspectant des horizons différents en essayant de se détacher du classique, il prend ensuite des cours de Vibraphone et d’harmonie du Jazz avec Franck Tortiller à l’ENM de Massy pendant deux ans. Rapidement, Gaël s’investit dans différents groupes tourangeaux dont le plus surprenant : «Traîne–Savates » (Fusion Jazz Rock Electro) est la rencontre de quatre jeunes musiciens talentueux et avides d’expérimentations. La rencontre avec Pascal et Géraldine a lieu lors de la finalisation de « Cousu main ». Gaël propose plusieurs arrangements finaux au glockenspiel et à la clarinette. Il apprécie la diversité des univers d’une chanson à l’autre et le côté intimiste du répertoire. L’entente entre les trois les mène tout naturellement à partager ensemble le travail de scène.
Nathan Bloch (pianiste) commence ses études musicales au CNR de Tours à l'age de 6 ans. Il y étudie le piano, le solfège, l'écriture et participe à la Maîtrise du conservatoire. En 2001, il part un an au conservatoire de Flint, Michigan, USA afin de perfectionner son apprentissage du piano.Tout en jouant dans des groupes comme les Traine-Savates, Iwerydd ou encore Onze h30, Nathan écrit également les musiques du Théâtre de l'Ante pour les tournées d'été (2005-2009), ou encore celle du Pean Martin Show ainsi que la musique de L'affaire de la rue de Lourcine d'Eugène Labiche monté par la compagnie des Trois Clous. Il travaille actuellement sur la musique de L' Oiseau Vert mis en scène par Jo Bulitt pour le Studio de Monaco. Nathan intègre Dine et Déon en septembre 2009 sur le 5 titres "C'qu'on est con". Il participera également à la tournée du nouveau spectacle prévu pour Mars 2010.
Géraldine Pignol, chanteuse et accordéoniste, débute en musique par un cursus classique en piano (école de musique) puis en orgue (CNR de Poitiers). Amenée à la fin de ses études à voyager, elle découvre l’accordéon en Allemagne aux côtés de jeunes auteurs-compositeurs allemands. Tout de suite c’est le coup de foudre… Géraldine peut enfin improviser et composer en se libérant des partitions. L’intimité induite par le port de l’accordéon la séduit et l’amène à chanter. D’un coup ce sont deux nouveaux instruments qui s’offrent à elle… Elle commence à composer et forme en juin 2002 Dine et Déon, le trio, avec un répertoire d’une vingtaine de compos. Elle retrouve la scène qu’elle aimait déjà étant enfant. De 2003 à 2007 elle se forme principalement en chant et depuis 2006 elle s’attèle à l’accordéon et au piano (cours d’harmonie avec Jérôme Rateau).
Passionné de RockaBilly depuis l’adolescence, Pascal Freyche commence la contrebasse en autodidacte à l'âge de 23 ans. Il joue en amateur pendant 5 ans avec Al Willis and the Swingsters. Avec eux, il écume l'Europe entière. A son actif, plusieurs disques vinyles enregistrés dans l'esprit des grands labels rock’n’Roll des années 50 (Sun records, Starday). Il accompagne ensuite pendant 2 ans Marina et les Backdoormen. Il rencontre Géraldine en 2002. Le répertoire de Dine le séduit, l’accordéon lui étant déjà familier de part le western swing qu’il écoute. Pascal Freyche n’a alors de cesse de perfectionner son jeu en travaillant l’harmonie et la contrebasse à Tous en scène (Tours). Il offre à Dine et Déon une basse rythmique et de plus en plus mélodique.
Gaël Pétetin, batteur-vibraphoniste, commence en musique par une formation classique en clarinette dès l’âge de 6 ans, au CNR de Tours, puis en percussions de 11 à 19 ans. Inspectant des horizons différents en essayant de se détacher du classique, il prend ensuite des cours de Vibraphone et d’harmonie du Jazz avec Franck Tortiller à l’ENM de Massy pendant deux ans. Rapidement, Gaël s’investit dans différents groupes tourangeaux dont le plus surprenant : «Traîne–Savates » (Fusion Jazz Rock Electro) est la rencontre de quatre jeunes musiciens talentueux et avides d’expérimentations. La rencontre avec Pascal et Géraldine a lieu lors de la finalisation de « Cousu main ». Gaël propose plusieurs arrangements finaux au glockenspiel et à la clarinette. Il apprécie la diversité des univers d’une chanson à l’autre et le côté intimiste du répertoire. L’entente entre les trois les mène tout naturellement à partager ensemble le travail de scène.
Nathan Bloch (pianiste) commence ses études musicales au CNR de Tours à l'age de 6 ans. Il y étudie le piano, le solfège, l'écriture et participe à la Maîtrise du conservatoire. En 2001, il part un an au conservatoire de Flint, Michigan, USA afin de perfectionner son apprentissage du piano.Tout en jouant dans des groupes comme les Traine-Savates, Iwerydd ou encore Onze h30, Nathan écrit également les musiques du Théâtre de l'Ante pour les tournées d'été (2005-2009), ou encore celle du Pean Martin Show ainsi que la musique de L'affaire de la rue de Lourcine d'Eugène Labiche monté par la compagnie des Trois Clous. Il travaille actuellement sur la musique de L' Oiseau Vert mis en scène par Jo Bulitt pour le Studio de Monaco. Nathan intègre Dine et Déon en septembre 2009 sur le 5 titres "C'qu'on est con". Il participera également à la tournée du nouveau spectacle prévu pour Mars 2010.
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Les Sables Info
Depuis deux décennies Montaigu devient pendant trois jours la capitale du livre du Grand Ouest. Plus de 250 auteurs sont attendus. L'inauguration aura lieu le samedi à 11h00.
"Je salue l’engagement de tous nos partenaires, parmi lesquels le Conseil Général de la Vendée et le Crédit Mutuel qui nous accompagnent depuis l’origine, et l’investissement des nombreux acteurs locaux qui se mobilisent chaque année pour que le succès soit au rendez-vous" a expliqué Antoine Chéreau Président de la Communauté de communes Terres de Montaigu lundi matin lors de la présentation de la 24 ème édition du Printemps du livre de Montaigu qui se tiendra cette année sur le site du Théâtre de Thalie, le nouveau pôle culturel de la Communauté de communes Terres de Montaigu inauguré en septembre 2010. "Plus de 25 000 personnes ont fréquenté cette nouvelle infrastructure en 2011 2012 un lieu adapté et pratique pour organiser une telle manifestation" indique Antoine Chéreau. "Du roman à la bande dessinée, de l’essai au livre d’art, sans oublier la littérature jeunesse, tous les genres littéraires seront une fois de plus représentés confirmant ainsi la position du Printemps du Livre comme le premier salon généraliste du Grand Ouest" indique Antoine Chéreau. "La Vendée accueille un foisonnement de salons, plus de 100 000 vendéens fréquentent annuellement les bibliothèques du département" ajoute Bruno Retailleau Président du Conseil général. Entrée libre de 10h00 à 19h00. Renseignements au 02 51 46 44 44 ou par mail printempsdulivre@terresdemontaigu.fr. Site:www.terresdemotaigu.fr
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Les Sables d'Olonne Info
"Je propose un mode de consommation responsable" déclare François Bayrou.
Le candidat du modem et candidat à l'élection présidentielle, François Bayrou sera ce dimanche l'invité de deux émissions importantes :
- "BFMTV 2012", à partir de 18h00 sur BFM TV.
- "Capital", à partir de 20h50 sur M6.
"Achetez français, produire français : est-ce vraiment possible ?"
Le "made in France" est devenu l'argument clé pour les candidats à la présidentielle. François Bayrou répondra aux questions du journaliste Thomas Sotto sur cette nouvelle évolution. Les sujets abordés dans Capital : Fabriqué en France, made in France, origine France, mais qui a-t-il derrière ces étiquettes ? Vouloir acheter français, c'est une chose, y arriver, en est une autre. Les consommateurs se perdent facilement derrière les différents labels. Certaines des entreprises françaises arrivent à produire en France mais pour elles, c'est un combat quotidien. Le seul moyen de s'en sortir pour leur patron c'est introduire du nouveau dans leur domaine. Vu sur l'Allemagne, que vaut le modèle Allemand ? La relocalisation des entreprises en France, qu'en est-il ?
Vous pouvez suivre l'émission ici
Vous pouvez commenter en direct l'interview de François Bayrou sur twitter ici
- "BFMTV 2012", à partir de 18h00 sur BFM TV.
- "Capital", à partir de 20h50 sur M6.
"Achetez français, produire français : est-ce vraiment possible ?"
Le "made in France" est devenu l'argument clé pour les candidats à la présidentielle. François Bayrou répondra aux questions du journaliste Thomas Sotto sur cette nouvelle évolution. Les sujets abordés dans Capital : Fabriqué en France, made in France, origine France, mais qui a-t-il derrière ces étiquettes ? Vouloir acheter français, c'est une chose, y arriver, en est une autre. Les consommateurs se perdent facilement derrière les différents labels. Certaines des entreprises françaises arrivent à produire en France mais pour elles, c'est un combat quotidien. Le seul moyen de s'en sortir pour leur patron c'est introduire du nouveau dans leur domaine. Vu sur l'Allemagne, que vaut le modèle Allemand ? La relocalisation des entreprises en France, qu'en est-il ?
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