Les Sables d'Olonne Info

Des terrains, d'une surface totale de 1186 m2, appartenant à la ville des Sables ont été cédés à Vendée Logement esh, afin de permettre la mise en oeuvre d'une opération immobilière de location-accession.

L'opération immobilière comprend la construction de six logements R+1 : cinq de type T4 (86 à 93 m2) et un de type T5 (97 m2), sur des parcelles de terrain comprises entre 128 et 144 m2.

Les maisons sont cédées à des jeunes ménages ayant des revenus ne dépassant pas le plafond de ressources PSLA (Prêts Social à la Location Accession).

La location-accession permet d'accéder à la propriété en offrant toutes les garanties d'une accession sans risque et de bénéficier d'une exonération de la taxe foncière pendant 15 ans. Autre avantage qui peut faciliter la levée d'option après la période locative : la possibilité pour le locataire-accédant de bénéficier du prêt à taux zéro.

"C'est une belle opération, elle permet à des personnes, aux conditions de ressources moyennes, de devenir propriétaire. A ce jour, 190 maisons en location-accession ont été construites sur la Vendée. Nous sommes prêts à continuer à développer ce programme lié à un partenariat collectif. La cession des terrains à titre gratuit où quasiment gratuit dans les communes nous permet de diminuer le coût de l'opération qui va directement au bénéfice des locataires. Nos sociétés n'apportent aucun dividende aux actionnaires et aux administrateurs. Le partenariat que nous développons avec la ville des Sables est ancien. En 1951, lorsque nous avons réalisé les premières maisons à la Roche-sur-Yon, les Sables d'Olonne étaient présents pour les premiers logements en location-attribution : les gens payaient un loyer et devenaient propriétaires au bout de 25 ans.
Aujourd'hui, ils payent un loyer et au bout d'un an, ils deviennent propriétaires. Ils gèrent directement avec la banque qui finance ce projet. Les normes des logements sont classiques et sont de niveau BBC.
Notre projet est à quelques mètres d'ici puisque 19 logements sociaux vont être prochainement construits. L'esprit de la coopération, c'est bien vivre ensemble.

2012 est l'année mondiale des coopératives. A l'initiative de la coopérative Vendée Logement, nous seront présents sur le Vendée Globe. nous aurons un stand regroupant 17 coopératives vendéennes (agricole, bancaire, des scop = Sociétés coopératives et participatives...)" explique Jean-Yves Gicquel, Président de Vendée Logement esh.

"Nous avons permis à six jeunes ménages d'emménager dans des locaux très confortables. Pour la municipalité, l'accession à la propriété des jeunes ménages est une priorité puisque nous voulons les maintenir aux Sables d'Olonne. Nous aurons d'autres logements sociaux en prévision à deux pas d'ici. Les logements sont spacieux et répondent à un besoin extraordinaire, il y a des patios, des garages et sont prévus pour des handicapés ou personnes accidentées... Je suis agréablement surprise par ces constructions" ajoute Nicole Gréau, adjoint au Maire.

Jeudi 18 octobre 2012, Le navigateur genevois Dominique Wavre est fin prêt pour le Vendée Globe 2012. Il participera pour la quatrième fois à cette épreuve, et prendra à cette occasion le départ de son dixième tour du monde en course, ce qui constitue un record.

« Nous sommes quasiment prêts », déclare-t-il. « Nous avons beaucoup navigué ces derniers mois, et testé tous nos systèmes. Tout fonctionne à la perfection. Il ne nous reste plus qu’à régler quelques points de détail avant le départ, mais l’essentiel est fait et nous vivrons les jours qui précèdent le départ sereinement. »

Dominique Wavre précise que trois éléments fondamentaux ont été au cœur de sa préparation : l’homme, le bateau et l’équipe.

Le marin est en grande forme. Wavre a accordé une grande importance à sa préparation physique, pratiquant la course à pieds, le vélo, et s’astreignant à des séances de musculation ; il s’est aussi adjoint les services d’une ostéopathe qui lui a permis de travailler des domaines spécifiques. Quant au moral, il est au beau fixe.

« Je ne suis pas encore dans l’esprit de la compétition », précise-t-il. « Pour l’instant, je demeure accaparé par les préparatifs, et je fais en sorte de rester très concentré sur les différentes tâches à accomplir. Mais j’ai la chance d’être serein, car notre feuille de route est parfaitement respectée. Je dirais même que nous sommes en avance sur notre planning par rapport à mes expériences précédentes : nous avons débuté les préparatifs très tôt, et ne nous sommes pas dispersés. Nous avons vraiment essayé de tout anticiper ; nous avons tout testé et nous nous sommes consacrés entièrement au Vendée Globe depuis le mois de janvier. »

Le voilier Mirabaud est lui aussi au sommet de sa forme suite aux différentes mises à jour effectuées cette année. « La base est bonne », précise son skipper, « et je connais mon voilier sur le bout des doigts. Cela dit, nous avons procédé à de nombreuses mises à jour, qu’il a fallu valider en navigation (siège baquet, nouvelle casquette de roof, barre franche…). Par ailleurs, le nouveau mât est désormais 100% opérationnel et il a été testé dans toutes les conditions. »

Reste, enfin, l’équipe. « Nous sommes désormais une véritable équipe, impliquée dans les derniers détails de la préparation sous la supervision de Michèle Paret. Nous avons notamment débuté l’avitaillement, révisé le moteur de fond en comble, démonté la colonne de winch ou contrôlé l’électronique. Bref, rien n’est laissé au hasard. »

Les journées de toute l’équipe sont bien remplies, et Dominique évite de se projeter dans l’avenir afin de se concentrer pleinement sur les tâches du moment. Mais son enthousiasme transparaît lorsqu’il évoque la course : « Un événement extraordinaire, que je me réjouis énormément de disputer. Ce sera l’aboutissement de plus d’un an de travail. Oui, ça va être fantastique ! »

Le départ du Vendée Globe aura lieu samedi 10 novembre aux Sables d’Olonne. Le record de l’épreuve est de 84 jours, 3 heures, 9 minutes et 8 secondes.

En grande forme, Mike était accompagné de son équipe de préparateurs, Graham Tourell, Mikey Ferguson et de son ingénieur composite, Ian McCabe.

Le skipper a retrouvé des endroits familiers aux Sables d'Olonne : "C'est bon d'être de retour aux Sables. C'était très agréable d'arriver la nuit dernière. Nous avons été accueillis par un couple et il y avait des gens un peu partout sur le ponton. Des personnes, situées aux fenêtres et balcons, nous acclamaient. Cela m'évoque de bons souvenirs sur la chaleur et la passion qu'ont les sablais pour cette course et ses skippers."

Gamesa est le quatrième IMOCA Open 60, d'une flotte prévue de 20 skippers, à prendre sa place dans le port de plaisance, le second à arriver en Vendée après Kito de Pavant, Groupe Bel.

"Nous avons eu de très bonnes conditions pour arriver jusqu'en Vendée. Chargé des pièces de rechange et de la nourriture, nous avancions rapidement avec le bateau. Malgré le vent, tout s'est bien passé. Nous avons fait quelques miles à grande vitesse accompagnés de plusieurs bonds. C'était agréable de faire un peu de surf », ironise Mike Golding. «C'est excitant d'être ici. Après une longue attente, aujourd'hui je me sens vraiment bien d'être là. Ensuite, nous sommes tous allés prendre un bon repas : steak / frites, bien sûr."

Dans les prochains jours, une liste complète de travail attend l'équipe technique Gamesa ; mais toutes les tâches sont relativement courtes. «Je dois dire que je suis vraiment content de l'état du bateau. Habituellement, il ya quelque chose d'insidieux avec le bateau, quelque chose qui vous inquiète, mais cette fois je suis satisfait. Nous avons beaucoup travaillé avec l'équipe à terre pour obtenir ce résultat. Même si c'était au détriment des temps de navigation sur l'eau, je suis d'accord. J'ai passé un été frustrant. Et à trois semaines du départ du Vendée Globe : Je peux dire que nous sommes mieux préparés avec le bateau que jamais. C'est là que j'ai toujours voulu être".

Le soir, Mike Golding est rentré en Angleterre. Il sera de retour aux Sables d'Olonne ce week-end pour l'ouverture officielle au public du village du Vendée Globe. Cette étape sera suivie par quelques jours d'interviews aux médias. Le skipper sera rejoint par la gamme complète de la Sailing Team Gamesa avant de prendre le départ de la course du Vendée Globe 2012-2013.

Les Sables, les voilà ! Armés de leurs boites à outils et de leur savoir-faire, les membres de l’équipe technique de Jérémie Beyou s’installent cette semaine aux Sables d’Olonne. Pendant ces 23 jours qui vont précéder le grand départ, ils seront sur le pont 7 jours sur 7.

Le Team Maître CoQ est composé de sept personnes (Jérémie Beyou, Florence Bellec, Tanguy Brodu Bruno Behuret, Fanch Guiffant, Erwan Steff) épaulées de prestataires extérieurs réguliers tels que Ronan Floch, Gautier Nollet, l’équipe de NKE…

Depuis le mois de février dernier, ils sont tous à 100% mobilisés sur le même objectif : le Vendée Globe 2012 de Maître CoQ. Tous connaissent très bien Jérémie et tous ont déjà eu l’occasion de préparer un Vendée Globe…

Marc Liardet, de « Mer Agitée », ancien Boat Captain du bateau lorsqu’il était aux mains de Michel Desjoyeaux va également intervenir au sein du Team Maître CoQ lors de ces dernières semaines de préparation.

Et Nicolas Troussel, skipper du M34 Bretagne-Crédit Mutuel Elite travaillera aux côtés de Jérémie sur la météo et la stratégie des premières heures de course.

Préparation express et experte

Dès le mois de février dernier, le Team Maître CoQ, ce noyau dur de techniciens expérimentés a su concentrer toute son énergie autour de Jérémie Beyou pour préparer ce Vendée Globe en un temps limité. Ce que certaines équipes ont réalisé en deux ans, le Team Maître CoQ a eu moins de dix mois pour le faire.

Autour de Jérémie, Bruno, Erwan et Fanch ont également participé avec plaisir et énergie à l’accueil des salariés de Maître CoQ et de leurs familles ainsi que des partenaires éleveurs pour leur faire visiter le bateau : 5000 personnes au total ont ainsi pu découvrir les coulisses du tour du monde de leur skipper…

Aujourd’hui, tout est prêt à bord du Maître CoQ. Un peu de matelotage et de nettoyage sont encore au programme de ces derniers jours à terre. L’ensemble du gréement va être vérifié, la coque carénée, avant une ultime vérification de tous les élastiques, nœuds et autres petits détails de taille qui permettront à Jérémie de partir serein.

Et, lorsqu’il larguera les amarres le 10 novembre prochain, l’équipe restera, même à distance, mobilisée et à disposition du skipper Maître CoQ.

Le regard de Jérémie Beyou sur son équipe

« Il y a des anciens comme Fanch, Bruno, Florence et des nouveaux : Erwan et Tanguy. Il y a aussi des prestataires extérieurs comme Gautier, Ronan de la voilerie Incidences, l’équipe de NKE…

Tous ont de riches expériences sur différentes équipes, tous me connaissent bien.

Ils défendent de véritables valeurs techniques et humaines. Ils connaissent parfaitement les contraintes liées à un projet monté à moins de 10 mois de l’échéance d’un tour du monde. Ils s’impliquent et respectent les objectifs fixés. Les échanges sont simples et directs entre nous, c’est une excellente équipe en qui j’ai confiance.

Le soutien de Marc Liardet lors des dernières semaines de préparation sera très riche. Il est, humainement, vraiment agréable et professionnellement super pointu. Son expérience, et en particulier sur ce bateau, représente un apport très important et riche à quelques semaines du départ.

Je suis enfin très content que Nicolas Troussel vienne m’aider sur la préparation de la phase de départ. Nous allons travailler la météo, la stratégie des premières heures de course, le placement sur la ligne de départ. C’est un régatier de haut niveau, il a navigué avec nous : les échanges avec lui sont à chaque fois très intéressants. »

Le Team Maître CoQ à la loupe

Florence Bellec, assistante de gestion : Discrète, sérieuse, rigoureuse, « des traits de caractère indispensables à ma fonction » , Florence Bellec est en charge de l’administratif et de la comptabilité de la société de Jérémie Beyou (Be You).

Elle occupe ce poste depuis 2006, date du lancement du premier projet Vendée Globe de Jérémie. Florence est la seule de l’équipe à être restée à Lorient, dans les locaux de la société Be You, mais elle rejoindra le Team Maître CoQ aux Sables d’Olonne, quelques jours avant le départ.

Erwan Steff, responsable de projet : « Je suis là pour faciliter la vie de Jérémie. »

Rigoureux, efficace, le contact facile, Erwan planifie, cordonne équipe et fournisseurs, assure le suivi financier du budget technique, veille à ce que l’équipe ait toujours le matériel nécessaire à disposition… Derrière son sourire et son air posé, ce « faux calme » cogite en permanence et court du matin au soir, téléphone en alerte. Son objectif : mettre de l’huile dans les rouages du « Maître CoQ team » afin de le porter vers la plus belle des performances possibles.

François Guiffant (Fanch) Boat Captain : « Nous sommes tous polyvalents, il faut avoir un fonctionnement souple, être disponibles… » Préparateur de Jérémie pendant cinq saisons en Figaro Bénéteau et Boat Captain lors des trois années de préparation au Vendée Globe 2009, Fanch a toujours été aux côtés de Jérémie sur les courses importantes de sa carrière.

En mer, Fanch est responsable du bateau. À terre, il est en charge du gréement, de l’accastillage, du plan de pont… Polyvalent, compétent, consciencieux, il intervient à plusieurs niveaux, toujours avec une efficace discrétion.

Bruno Behuret, responsable énergie, mécanique, systèmes embarqués : « Il n’y pas de problèmes, que des solutions ! » Spécialiste des moteurs et des systèmes embarqués Bruno était déjà aux côtés de Jérémie pour son premier Vendée Globe.

Pendant des années, Bruno a exercé une profession à mille lieues du monde de la course au large : commercial pour des constructeurs automobiles. A 37 ans, il quitte cet univers et crée sa société de convoyages et de préparation de voiliers de course. Il travaillera pendant 7 ans pour Roland Jourdain, puis avec Jérémie Beyou, Jean-Pierre Dick, avant de revenir mettre ses compétences au service du Team Maître CoQ.

Tanguy Brodu, responsable électricité, électronique et informatique : Passionné de voile, cet ingénieur en électricité a tout de suite intégré des équipes techniques et navigantes de coureurs au large : Lalou Roucayrol en 2001 (trimaran Banque Populaire), Franck Cammas (Groupama 2) de 2003 à 2005, Yann Eliès (Generali) pour le Vendée globe 2008.

Il crée ensuite son entreprise BT Marine avec pour clients Franck Cammas et son VOR, les MOD70, le trimaran de Thomas Coville et Jérémie Beyou.... Bref, le savoir-faire de Tanguy n’est plus à démontrer !

Gautier Nollet (prestataire extérieur), représentant de la société Gepeto Composite : Son esprit bouillonnant d’idées, Gautier a choisi de le mettre au service des marins. Son diplôme d’ingénieur en poche, Gautier choisit de s’orienter vers les bateaux de course et leurs besoins en pièces composites sur mesure. En 2007, Gautier intègre l’équipe de Jérémie pour la préparation de son premier Vendée Globe. Il est alors responsable technique, en charge du bureau d’étude et du composite.

Aujourd’hui, il travaille pour plusieurs skippers, mais épaule à nouveau avec plaisir l’équipe de Jérémie pour ce deuxième Vendée Globe.

Ronan Floch (prestataire extérieur), représentant d’Incidences Voiles Brest : Ronan assure le design, le développement et les modifications des voiles du 60 pieds Imoca Maître CoQ. Il a participé de près au design et à la mise au point des voiles du dernier 60 pieds Imoca de Michel Desjoyeaux. Armel Le Cléach’ a également fait appel à lui pour du conseil et du suivi technique.

Ronan travaille sur les voiles du Figaro Bénéteau de Jérémie depuis 2010 : une collaboration technique nourrie d’excellentes relations humaines et de respect mutuel qui s’est naturellement prolongée avec le programme Maître CoQ.

Marc Liardet, conseil : membre de l’équipe de « Mer Agitée » de Michel Desjoyeux, et ancien Boat Captain du 60 pieds Imoca Maître CoQ lorsqu’il était skippé par… Michel Desjoyeaux, il connaît ce bateau mieux que personne. Il apporte son précieux regard extérieur d’expert extrêmement exigeant. Il a participé à la préparation de ce bateau pour son dernier Vendée Globe victorieux : son aide sera précieuse.

Nicolas Troussel, stratégie : skipper du M34 Bretagne-Crédit Mutuel Elite, ancien Figariste et régatier de haut niveau, Nicolas est connu pour être un fin stratège. Quelques jours avant le départ, il réfléchira avec Jérémie aux meilleures options, combinaisons de voiles, placements à choisir en fonction des prévisions météo. Là encore, cet avis extérieur et expert sera un atout de plus pour le Team Maître CoQ.

Ce vendredi 19 octobre, 6 grands artistes du cinéma français seront mis à l'honneur en émettant 1 bloc de 6 timbres à 5,60 €. Le supplément de 2,00 € intégralement reversé à l’association permet, comme chaque année, de la soutenir dans la réalisation de ses actions à destination des personnes vulnérables.
Sans cette source de financement, certains projets de la Croix-Rouge française ne pourraient pas être menés à bien.
Ce bloc sera vendu en avant-première le vendredi 19 octobre à l’ENTREPOT de 9h à 17h où 2 séances de cinéma seront proposées au tarif préférentiel de 7,80 € à 10h30 et à 14h30 Films non encore sélectionnés, mais présence d’un ou plusieurs artistes du bloc.
Et le samedi 20 octobre au GRAND REX qui fête ses 80 ans en 2012 de 9h à 17h30 avec 2 visites proposées : Visite guidée du Grand Rex au tarif préférentiel de 5 € (sur présentation de l’invitation 1er Jour) et Les Etoiles du Rex à 5 €. Sortie ce jour là du Collector Grand Rex à 4.90€.
Invitation 1er jour à télécharger sur le site www.leportaildutimbre.fr

Françoise Dorléac (1942-1967) :
Fauchée en pleine gloire à 25 ans par un accident de la route, elle est la vedette incontournable des DEMOISELLES DE ROCHEFORT, aux côtés de sa soeur Catherine Deneuve. Après des études au conservatoire d’Art dramatique, elle débute au cinéma en 1957 dans le court métrage LES LOUPS DANS LA BERGERIE et au théâtre en 1960 dans GIGI de Colette. En 1964, elle est aux côtés de Jean-Paul Belmondo dans L’HOMME DE RIO. Durant sa brève carrière, elle tournera près de vingt films.

Jean Marais (1913-1998) :
Découvert et lancé par Jean Cocteau dans OEDIPE ROI, il est révélé par la pièce que celui-ci lui écrit en 1938, LES PARENTS TERRIBLES. Il débute au cinéma en 1941 dans LE PAVILLON BRULE et doit sa consécration au film L’ETERNEL RETOUR de Jean Delannoy, où il incarne l’éternelle jeunesse, et dont Cocteau a écrit le scénario et les dialogues. Il tourna auprès des plus grandes vedettes féminines comme Madeleine Robinson, Danielle Darrieux ou Michèle Morgan et avec les grands créateurs dont Visconti, Renoir ou Sacha Guitry. Il reçut un César d’honneur pour l’ensemble de sa carrière en 1993. Son dernier rôle le vit jouer dans un film de Bertolucci, BEAUTE VOLEE, en 1995.

Jacqueline Maillan (1923-1992) :
Voici 20 ans que disparaissait cette humoriste légendaire à l’âge de 60 ans. Elle fit les beaux jours du théâtre de boulevard dans les années 1960 et 70 aux côtés de grands du rire comme Francis Blanche, Jean Poiret ou Sophie Desmarets. Elle fut aussi la star féminine de POUIC-POUIC et la virtuose de PAPY FAIT DE LA RESISTANCE. Elle reste d’une très grande popularité et sut interpréter le mode de l’humour tant en chansons, sur la scène qu’à l’écran.

Michel Serrault (1928-2007) :
Il est l’inoubliable Zaza de LA CAGE AUX FOLLES aux côtés de Jean Poiret, son ami et complice de toujours, le pépé bougon des ENFANTS DU MARAIS, le notaire cynique de GARDE A VUE et l’inquiétant DOCTEUR PETIOT. Artiste au talent polymorphe, il a donné vie aux personnages de plus de 135 longs métrages. C’est l’adaptation au cinéma de la pièce de boulevard LA CAGE AUX FOLLES qui lui vaut son premier César du Meilleur Acteur en 1979. Il est à ce jour le seul acteur français à voir sa carrière couronnée de trois Césars.

Philippe Noiret (1930-2006) :
Il campa le peu scrupuleux Inspecteur René Boirond des RIPOUX, Alfredo le projectionniste de CINEMA PARADISO, le mari de Clara dans LE VIEUX FUSIL ou Alexandre, le toujours bienheureux. Avec sa voix chaleureuse, son élégance et son cigare, Philippe Noiret reste l’un des acteurs les plus charismatiques du cinéma français. Il débute sur scène en 1953 au TNP (Théâtre National Populaire) et interprète plus de quarante rôles des grands classiques (Le Cid, Macbeth, l’Ecole des femmes…).
Il obtiendra deux César du meilleur acteur parmi les nombreuses distinctions qui lui furent attribuées tout au long de sa carrière.

Annie Girardot (1931-2011) :
Elle réussit à jouer en scène MADAME MARGUERITE malgré la maladie d’Alzheimer dont elle était atteinte à la fin de sa vie. Annie Girardot, qui sortit avec deux prix du Conservatoire d’Art Dramatique, fut engagée dès ses débuts à la Comédie Française. Dès les années 60, elle s’oriente vers le cinéma et tourne sous la direction de Visconti (ROCCO ET SES FRERES), Roger Vadim (LE VICE ET LA VERTU), Gérard Oury, Marcel Carné ou André Cayatte (MOURIR D’AIMER). Alternant comédies et drames, elle est l’actrice la plus populaire de la fin des années 70. Elle tournera dans près de 125 films, et remportera le César de la meilleure actrice en 1977 pour DOCTEUR FRANÇOISE GAILLAND et deux fois le César de la meilleure actrice dans un second rôle.

Interview : « Un voyage intérieur »

Pourquoi une troisième participation au Vendée Globe ?
JP : « Retrouver cette course du Vendée Globe est important pour moi, c'est une sorte de revanche. Lors de la dernière édition, j'ai été contraint d'abandonner pour un problème de casse matérielle, alors que j'avais fait un bon début de course et que je naviguais en tête. La déception était immense, et la frustration était telle au
moment de l'abandon que j'avais déjà décidé dans un coin de ma tête de ne pas en rester là. Je savais déjà que je repartirais quatre ans plus tard et que je me donnerais tous les moyens pour achever le travail interrompu de façon accidentelle. Et me revoilà en effet avec un nouveau bateau.
Virbac-Paprec 3 est champion du monde et détient le record de distance parcourue en 24 heures en IMOCA 60. Il a donc fait ses preuves et démontré son potentiel. »

L’âge de la maturité ?
« Depuis ma dernière participation à cette course mythique, j'ai gagné en expérience, et ajouté deux belles victoires à mon palmarès. Je travaille aussi beaucoup sur moi même, et je me prépare physi-quement et mentalement. Je nage pratiquement tous les matins, à la fois pour m'entretenir et pour me détendre. J’aborde ce Vendée Globe d’une façon différente de mes précédents. »

Quels sont tes objectifs pour ton ultime Vendée Globe ?
« Lors de mon premier Vendée Globe, mon objectif était de participer et de bien figurer. Le but premier était de terminer la course, sans véritable ambition pour le classement. Plus de dix années se sont écoulées, je repars pour mon troisième Vendée Globe, et mes objectifs ont bien sûr beaucoup évolué. Cette fois, je compte rivaliser avec les meilleurs : je pars au mieux pour gagner, au moins pour être sur le po-dium ! »

Souffres-tu de la solitude en mer ?
« J'aime me retrouver seul face à moi même, responsable et concentré sur un objectif clair. C'est un voyage intérieur intéressant, que j'apprécie. Je me découvre, j'apprends à gérer les éventuels conflits entre mes pulsions qui peuvent m'inciter à prendre des risques, et la sagesse, qui m'aide à tempérer mes élans excessifs. Il faut trouver l'équilibre entre les deux faces de sa personnalité, le téméraire et le rationnel, et parvenir à une complète maîtrise de soi-même pour une meilleure efficacité en mer. »

Qu’est ce qui t’attire dans cette aventure ?
« C'est aussi l'expérience de l'homme dans la nature qui m'attire. Face aux éléments pendant près de trois mois, on accède à une forme d'osmose avec la nature. On parvient à vivre en fonction du soleil, on adapte sa vie aux températures froides et chaudes, on réinvente les rythmes du jour et de la nuit, on redécouvre des relations naturelles avec les animaux... C'est pour moi une fausse solitude, car les animaux et la nature nous accompagnent. Ce ne sont plus les contacts humains qui régissent notre vie, mais d'autres formes de compagnie. Nous ne sommes jamais vraiment seuls. »

Le grand monocoque siglé au nom des trois milles souscripteurs engagés autour de Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets, est en route pour Les Sables d’Olonne, prêt à s’amarrer à Port Olona. Un convoyage express soit environ douze heures de navigation pour parcourir les quelque 140 milles qui séparent les deux ports.

Ensuite va commencer une dernière ligne droite, loin d’être de tout repos pour Bertrand et son équipe qui, parallèlement aux derniers travaux indispensables, s’apprêtent à donner un dernier coup de collier pour récupérer les fonds nécessaires. A l’initiative d’EDM Projets, Bertrand a pu rencontrer plusieurs des responsables d’entreprises impliquées, l’occasion de faire passer le message : « Il reste trois semaines pour doubler la mise… ». En demandant aux entreprises soit d’accroitre leur participation, soit de faire jouer leur réseau, Bertrand de Broc espère bien pouvoir boucler totalement son projet. L’achat de deux voiles de portant neuves, le renforcement du budget communication, la consolidation de l’équipe technique sont indispensables au bon fonctionnement du projet et à la préparation optimale du skipper et de son bateau. Ces frais supplémentaires se rajoutent donc au budget initial.

Paroles d’experts

Quand on est pressé par le temps, il faut savoir l’utiliser intelligemment. Compte tenu de la date d’acquisition de son bateau, Bertrand de Broc a choisi de faire largement appel à tous ceux qui pouvaient l’aider à optimiser sa démarche. Parmi eux, des représentants de la voilerie Incidences Ronan Floc’h et Sébastien Audigane qui ont apporté aussi leur expérience de navigants sur des grands bateaux de dernière génération ou bien encore Ronan Le Goff, équipier d’avant sur plusieurs records autour du monde, qui n’a pas manqué de délivrer quelques précieux conseils et astuces.

Il suffit de passer le pont

Bertrand a toujours vécu sur les rives de l’Odet, à Sainte-Marine. Il y a quarante ans, le pont de Cornouaille introduisait une petite révolution en procédant au désenclavement de l’est du Pays Bigouden. Le bac devenait subitement obsolète et le pont ouvrait de nouvelles perspectives d’échanges entre les ports de la côte sud de Cornouaille. Enfant du pays, Bertrand de Broc a tenu à saluer cet anniversaire en allant tirer quelques bords sous voiles sous l’arche du pont. Une belle occasion de faire des photos aériennes originales, au prix de quelques manœuvres d’orfèvre.

Un stand aux Sables d’Olonne

A partir de vendredi 19 octobre, l’équipe de Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets sera donc à poste sur le village du Vendée Globe de Port Olona. Vente de tee-shirts, incitations à souscrire, il restera trois semaines pour trouver de quoi boucler le budget. C’est le dernier sprint de cette course de fond commencée maintenant depuis le début du mois de janvier 2012. Optimisme et lucidité seront les deux mots d’ordre de ces vingt et un jours restant. Un seul slogan : on ne lâche rien.

Retrouvez toute l’actualité sur : votrenomautourdumonde.fr

https://www.facebook.com/bertrand.de.broc.vendeeglobe2012

« EDM Projets avec Ateliers de France réalise, grâce à ses métiers intégrés, des projets d’architecture dans le monde entier.

L’envie de se surpasser face à un environnement exigeant, rigueur, performance et courage sont autant de valeurs dans lesquelles EDM Projets se reconnaît et s’engage quotidiennement.

Ces valeurs sont aussi celles de cette fabuleuse course de tous les extrêmes qu’est le Vendée Globe. C’est pourquoi EDM Projets a choisi de s’associer à l’aventure de Bertrand de Broc pour l’édition 2012/2013, partenariat qui a permis l’acquisition du bateau « Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets ».