Les Sables d'Olonne Info

Le dimanche 18 mai, les pilotes partiront de l’hippodrome de la Malbrande dès 8h30 pour rejoindre les deux épreuves spéciales qualifiantes pour les Championnats de France. La 1ère débutera à l’île d’Olonne et la seconde partira des Pitrassières à Sainte-Foy pour se terminer à la Violette à Olonne sur-Mer. Le public pourra, sur ces deux parcours, trouver des points d’accessibilité sécurisés pour voir de près la course où près de 100 véhicules sont engagés. La veille et le jour du départ, le public pourra admirer à l’hippodrome, les véhicules en compétition mais aussi une exposition de voitures américaines.

Avec pour objectif le développement et la pratique du sport automobile sur un lieu sécurisé et encadré, l’association Ecurie Côte de Lumière accueillera le camion de la sécurité routière du Conseil Général sur site. Celui-ci proposera aux visiteurs de tous les âges des tests ludiques de prévention et de sensibilisation aux dangers de la route.

Sur le site de Tanchet, lac, plage, routes en bord de mer et forêt réuniront les 16 équipes masculines (Rouen, Saint-étienne, Lyon, Montpellier, Besançon,...) et les 13 équipes féminines (Sartrouville, Charleville, Aix...) de ce championnat national qui permettra aux 2 premières équipes d’accéder, à l’issue de la saison, à l’Elite en intégrant la D1 Nationale.
Les « Beach Girls » Sablaises composées d’Estelle Gaudin, Annabelle Texier, Emilie Roux, Mélodie Rioteau, Nathalie Jacob, Eva Breuer et Juliette Bouron auront à coeur de faire une belle course devant leur public. Même si l’objectif est avant tout de se maintenir à ce niveau, elles espèrent monter sur la plus haute marche du podium, comme l’avaient fait les garçons lors des 2 derniers Grands Prix D1 en 2012 et 2013. Le spectacle devrait être magnifique avec une natation de 750 m en mer, un parcours cycliste de 20 km en 5 boucles et pour terminer 5 km de course à pied, soit 3 tours autour du lac.

Les épreuves populaires ne seront pas oubliées avec des épreuves pour tous, des plus jeunes aux plus confirmés, mais aussi une épreuve en relais associant un nageur, un cycliste et un coureur à pied.

Programme :
Samedi 17 Mai :
13h30 : épreuves jeunes
16h : épreuve M (1,5 km natation, 40 km
vélo, 10 km course à pied)
Dimanche 18 Mai :
10h : épreuve S en individuel ou relais (0,750
km en mer, 20 km vélo, 5 km course à pied)
13h : Grand Prix National Féminin
14h30 : Grand Prix National Masculin.

L'association des Vendéens de Paris a fêté ses 120 ans en 2013.
Pour marquer le coup de cette longévité associative et honorer l’œuvre des acteurs qui se sont succédé des décennies, l'association a publié un ouvrage qui retrace son histoire de 1893 à aujourd'hui.

Le Journal des 120 ans est un numéro spécial de 60 pages du magazine trimestriel 'Le Vendéen de Paris et d'Île-de-France". Il reprend des textes issus d'archives, de la mémoire d’adhérents, mais également d’actions contemporaines.

Le Journal des 120 ans est mis en vente et expédié pour 10€. Vous pouvez le commander et envoyer un chèque à l'ordre de l'UFVP à Martine Para, Secrétaire UFVP, 2 rue de Sderot 92160 ANTONY.
Téléphone : 01 42 37 97 17.

Pour contacter l'association :
Email : contact@vendeensdeparis.fr
Site internet : www.vendeensdeparis.fr
Facebook : Facebook.com/AssociationDesVendeensDeParis
Twitter : @VendeensParis

Siège social :
Centre des Provinces Françaises
2 Rue Achille Luchaire
75014 PARIS.

Le premier bureau est constitué d'H. Colins, président (1924-1933), de F. Ydier, secrétaire-trésorier et d'Abel Léveillé. Les membres d'honneur sont le docteur Marcel Baudouin et René Valette, directeur de la Revue du Bas-Poitou. La présidence d’honneur est offerte au maire des Sables-d’Olonne et au sous-préfet.
Cette création démarre sous les meilleurs auspices puisque trois sarcophages du Haut-Moyen âge sont découverts dans une propriété privée des Sables-d'Olonne la même année. En décembre 1924, des tessons de poteries néolithiques et des éclats de silex sont également ramassés au lieu-dit le « bar des Roches » au bout du Remblai. Les deux fouilles archéologiques sont menées par les membres d'Olona et ces découvertes majeures pour l'histoire sablaise font l'objet des premières publications scientifiques de la société d'histoire locale.

Mais l’une des préoccupations essentielles d'Olona, à cette époque, reste la création d’un musée aux Sables-d’Olonne, dans le but d'y exposer les nombreux objets archéologiques, historiques ou maritimes recueillis par l'association. Malheureusement, faute de locaux, ce musée ne verra jamais le jour...

En revanche, afin de promouvoir l'histoire locale sablaise et vendéenne, la société fait paraître le premier « bulletin Olona » en 1929. Il comprend alors huit pages et la couverture est confiée au peintre sablais Émile Roy. Cette première série se termine en 1938.
Puis la société entre en sommeil à partir de 1939 pour ne réapparaître qu’après la Seconde Guerre mondiale. Il faut cependant attendre l'année 1955 pour qu’un bulletin trimestriel soit de nouveau publié, à l’initiative de l’infatigable président Ferdinand.Ydier (1955-1962). Chevalier de la Légion d'Honneur et président honoraire de la société Olona, il décède en 1965.
Parallèlement, la société participe activement à la création et au développement du musée de l'Abbaye Sainte-Croix en y effectuant, en 1963, le dépôt de ses collections. Cette année-là, la première exposition temporaire du Musée, intitulée « Les Sables et la Mer », est organisée conjointement par le Musée des Sables, Olona et la Ligue Maritime d'Outre Mer.

Mais l’oeuvre marquante d'Olona reste la publication, sous la présidence de Mme Pauline Durand-Épaud (1967-1979), de l’incontournable Histoire des Sables-d’Olonne en quatre tomes (La période révolutionnaire, 1972 ; Les origines, 1975 ; L’Empire, 1976 ; Le XIXe siècle, 1980), tirés des manuscrits d’Henri Renaud de la Faverie et de l’abbé Renolleau. Mme Durand-Épaud est élevée au grade de Chevalier des Arts et des Lettres en 1988.
Ses successeurs, Anne-Marie Perray, Constant Friconneau, Colette Devant, Joël Perocheau et Hervé Retureau vont poursuivre et amplifier le rayonnement d'Olona.
La vitalité de l’association ne s’est jamais démentie comme en témoigne la parution du 227ème numéro du bulletin Olona en mars 2014. Des conférences historiques (Les-Sables au temps de Collinet...) et des expositions sur le patrimoine local (les camées et le costume sablais, la construction navale...) continuent d’enrichir chaque année la vie culturelle sablaise.

La société Olona compte à ce jour plus de 620 adhérents, et à l'heure de son 90ème anniversaire, la fringante « vieille dame » demeure l'une des associations sablaises les plus actives.

Exposition visible à la salle Audubon aux Sables d'Olonne.

Le Festival de Poupet a le plaisir de vous présenter sa nouvelle création : RDV EN TRAIN CONNU. Une soirée comme seul poupet sait les faire, avec de la musique, des animations insolites et totalement décalées ! Au programme de ce samedi 5 juillet, 8 heures de spectacle non-stop à partir de 18h30. Seulement 300 places disponibles !

Toutes les infos sur la soirée sont disponibles ici.

Attention ! Pour les détenteurs du pass saison 2014, cette soirée exceptionnelle n'est pas incluse dans l'abonnement !

Les salariés de Bouygues Télécom ne doivent pas être pris en otage par le calendrier électoral et les petits calculs politiciens du pouvoir. Ils ont le droit de savoir si les informations sur une réduction massive des effectifs, de l'ordre de 2000 personnes sur 9000, sont exactes ou non.

Nous demandons au groupe Bouygues Télécom de dire dès aujourd'hui ce qu'il en est précisément, et au gouvernement de Messieurs Montebourg et Valls de prendre ses responsabilités en exigeant la transparence. Il est parfaitement immoral et inefficace que le gouvernement repousse à l'après-élection européenne l'annonce d'informations capitales qu'il a déjà en sa possession.
Il devrait au contraire être aux côtés des salariés du groupe et travailler dès maintenant à une solution alternative plus respectueuse de l'emploi.

Communiqué de Marine Le Pen, présidente du Front National.

Ce matin dans une brume épaisse au large de New York, Virbac-Paprec 70 a pointé son étrave devant la statue de la Liberté, que l’on devinait à peine. Un moment incroyable vécu par l’équipage après une traversée de 12 jours et plus de 4000 parcourus entre Nice et New York. A leur arrivée à quai, après un bon petit déjeuner, les navigants nous font partager leurs impressions sur cette traversée de l’Atlantique riche en belles glissades au portant.

Thierry Duprey Du Vorsent : « Nous avons réalisé une très belle traversée avec une route sud agréable au portant sous gennaker. Le bateau n’a pas trop souffert. Nous avons vécu de jolis moments de glisse avec seulement un virement de bord en 12 jours de navigation, ce qui est assez exceptionnel ! Nous sommes partis avec une lune naissante qui nous a éclairés toutes les nuits. L’ambiance était très bonne à bord.»

Jean-Yves Gau : « i[C’était tout simplement somptueux, c’est émouvant d’arriver par la mer à New York !»

Julien Penven : « C’était une première pour moi en navigation au large. Les premières 24 heures ont été un peu difficiles. Une fois cette période passée, nous avons partagé une belle tranche de vie ! Notre réadaptation s’est faite progressivement, avant d’arriver dans le fourmillement de la mégalopole nous avons rencontré de nombreux bateaux et des animaux marins.»

Olivier Cusin : « Je viens de réaliser un de mes rêves en allant à New York en bateau. Je me suis régalé. L’arrivée était hallucinante. J’ai hâte de manger des crudités après 12 jours de lyophilisés.»

Clément Surtel : « Nous avons rencontré quelques bancs de dauphins, des poissons volants, j’ai parfois eu l’impression de faire route vers les Antilles. C’est ma troisième arrivée new yorkaise mais c’est toujours aussi magique ! »

Laurent Simon : « C’est une chance incroyable de faire une transat sur un multicoque de 70 pieds. C’est un magnifique voyage que l’on a parcouru entre Nice et New York très intense du début à la fin. Nous étions un peu déçus en entrant dans le chenal brumeux de ne pas voir la statue de la liberté après tout ce chemin parcouru, finalement nous l’avons vue quand même, c’était un beau moment. »