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Les Français passeront à l'heure d'été dans la nuit du samedi 30 au dimanche 31 mars, dernier week-end du mois. Chacun "perdra" donc une heure de sommeil étant donné que dimanche à 2 heures, il sera en fait 3 heures. A noter, le passage à l'heure d'hiver se fera le dimanche 27 octobre prochain.
Et voilà une heure de sommeil perdue... mais quel plaisir de voir le soleil se coucher plus tard ! En adoptant certains gestes, vous pourrez vous adapter plus facilement à ce changement d'heure. Voici nos conseils pour un changement d'heure en douceur.
Et voilà une heure de sommeil perdue... mais quel plaisir de voir le soleil se coucher plus tard ! En adoptant certains gestes, vous pourrez vous adapter plus facilement à ce changement d'heure. Voici nos conseils pour un changement d'heure en douceur.
Rédigé par Fontenay Info le Dimanche 31 Mars 2013 à 11:15
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La grande arrivée est toujours prévue pour ce dimanche (demain !) dans la matinée, entre 5 et 10 h du matin.
Alors qu'Alessandro Di Benedetto (Team Plastique) navigue encore à plus de 5000 milles de l'arrivée, malgré une belle progression sur son plan Finot-Conq à quille fixe de 1998, François Gabart (MACIF) et Armel Le Cléac'h (Banque Populaire) attaquent les derniers milles d'une giration à vitesse grand V. Les Sables d'Olonne ne sont désormais plus qu'à une journée de mer. Alex Thomson (Hugo Boss) a incurvé sa route pour surveiller Jean-Pierre Dick (Virbac Paprec 3) lors du passage d'un front pendant que derrière le reste de la flotte poursuit sa remontée de l'Atlantique, avec le retour prévu de Dominique Wavre (Mirabaud) dans l'hémisphère nord en milieu de matinée.
Avec toujours 100 milles d'écart, François Gabart (MACIF) et Armel Le Cléac'h (Banque Populaire) progressent ce matin toujours à bonne allure en direction des Sables d'Olonne. Poussés par un vent d'ouest-nord-ouest d'une vingtaine de nœuds, qui a basculé au sud-sud-ouest, les deux jeunes marins filent à respectivement 14 et 17 nœuds depuis cette dernière heure. Le leader a empanné cette nuit vers une heure du matin. Son fidèle poursuivant avait effectué la même manœuvre un peu plus tôt dans la matinée d'hier (5 h 30 du matin), ce qui lui a permis de faire route directe depuis, avec une vitesse sensiblement supérieure depuis le dernier classement de 20 h, avec 137,4 milles parcourus à 15 noeuds de moyenne contre 107 pour François Gabart (soit 11,7 nœuds de moyenne). Reste que les chances pour le skipper de Banque Populaire de reprendre la tête sont maintenant liées à des facteurs autres que ceux de la stratégie météorologique puisque la situation est maintenant claire jusqu'à l'arrivée, à savoir un vent de sud-sud-ouest fraîchissant jusqu'à 30 nœuds qui va basculer à l'ouest-nord-ouest (25 noeuds), impliquant pour les deux hommes un dernier empannage. C'est une course de vitesse dans une houle de plus de 4 mètres qui va maintenant faire les dernières heures de ce sprint planétaire...avant la grande arrivée, toujours prévue pour ce dimanche (demain !) dans la matinée, entre 5 et 10 h du matin.
Alex Thomson, prévenant troisième
A 130 milles dans le sud-ouest des Açores, Alex Thomson (Hugo Boss) a incurvé sa route pour se rapprocher de Jean-Pierre Dick (Virbac Paprec 3), qu'il vient de doubler ce matin. Si le skipper niçois, à 40 milles dans l'est du Gallois, est parvenu jusque-là, malgré la perte totale de sa quille, a progresser sans trop d'encombres, les conditions météorologiques qui se durcissent actuellement, avec un flux de 25-30 nœuds de sud-ouest pourraient rendre les effets de cette avarie beaucoup plus compliqués à gérer, dans le froid du vent et la mer démontée. Le geste du skipper gallois est à saluer, applaudir même. Il montre toute la solidarité, nécessaire, de ces marins solitaires mais solidaires qui doivent assurer seuls au milieu des océans leur propre sécurité, mais également celle de leurs partenaires de course et d'aventure. L'histoire du Vendée Globe est jalonnée de ces moments héroïques qui donnent à cet course ce caractère si fort et singulier, quand l'adversaire devient la mer et que le concurrent d'hier celui que l'on doit sauver. Ces dispositions prises par Alex Thomson sont heureusement pour l'instant seulement préventives et ce coup de vent sera pour Jean-Pierre Dick l'occasion de se faire une dernière opinion de ce que sa nouvelle configuration de navigation peut lui permettre de supporter. Il s'est donné jusqu'à demain pour prendre une décision...
Dominique Wavre dans l'Atlantique Nord ce matin
Pendant que Jean Le Cam (SynerCiel), cinquième, et Mike Golding (Gamesa), sixième à une centaine de milles l'un de l'autre glissent paisiblement dans un alizé de nord-est d'une quinzaine de noeuds, après s'êtres extirpés des calmes du pot au noir, le Suisse Dominique Wavre (Mirabaud) s'apprête à franchir l'équateur, aux alentours de 10 h ce matin. Un passage synonyme de délivrance pour ce groupe de marins très expérimentés qui de leurs propres aveux, n'avaient jamais traversé un Atlantique Sud aussi désagréable et compliqué. A 50 milles de l'île Fernando de Noronha, Arnaud Boissières (Akena Vérandas) poursuit sa remontée dans un vent d'est de 15 nœuds, à près de 3000 milles du leader, 120 milles devant l'Espagnol Javier Sanso (Acciona 100 % EcoPowered). Les deux marins devraient bénéficier de ce bon flux toute la journée.
Du près à l'arrière
Après une très belle remontée de l'Atlantique Sud, Bertrand de Broc (Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets) est maintenant freiné, au près dans un vent de nord-est qui l'empêche de faire route directe vers le nord, tout comme Tanguy de Lamotte (Initiatives-coeur), 350 milles dans son sillage. Pour Alessandro Di Benedetto (Team Plastique), la progression est encore plus difficile, face au vent dans un puissant flux de nord d'une trentaine de nœuds. Dans le sillage exact des deux leaders qui s’apprêtent à bientôt franchir la ligne d'arrivée, à 4470 milles de son étrave, le skipper franco-italien poursuit sa course, faite de blessures, d'avaries, d'enthousiasme et de plaisir, de formidables moments de mer qui se plait à partager avec le charme qu'on lui connait. Pour les premiers, la boucle se termine, pour les derniers l'aventure est loin d'être terminée. Tant mieux !
Avec toujours 100 milles d'écart, François Gabart (MACIF) et Armel Le Cléac'h (Banque Populaire) progressent ce matin toujours à bonne allure en direction des Sables d'Olonne. Poussés par un vent d'ouest-nord-ouest d'une vingtaine de nœuds, qui a basculé au sud-sud-ouest, les deux jeunes marins filent à respectivement 14 et 17 nœuds depuis cette dernière heure. Le leader a empanné cette nuit vers une heure du matin. Son fidèle poursuivant avait effectué la même manœuvre un peu plus tôt dans la matinée d'hier (5 h 30 du matin), ce qui lui a permis de faire route directe depuis, avec une vitesse sensiblement supérieure depuis le dernier classement de 20 h, avec 137,4 milles parcourus à 15 noeuds de moyenne contre 107 pour François Gabart (soit 11,7 nœuds de moyenne). Reste que les chances pour le skipper de Banque Populaire de reprendre la tête sont maintenant liées à des facteurs autres que ceux de la stratégie météorologique puisque la situation est maintenant claire jusqu'à l'arrivée, à savoir un vent de sud-sud-ouest fraîchissant jusqu'à 30 nœuds qui va basculer à l'ouest-nord-ouest (25 noeuds), impliquant pour les deux hommes un dernier empannage. C'est une course de vitesse dans une houle de plus de 4 mètres qui va maintenant faire les dernières heures de ce sprint planétaire...avant la grande arrivée, toujours prévue pour ce dimanche (demain !) dans la matinée, entre 5 et 10 h du matin.
Alex Thomson, prévenant troisième
A 130 milles dans le sud-ouest des Açores, Alex Thomson (Hugo Boss) a incurvé sa route pour se rapprocher de Jean-Pierre Dick (Virbac Paprec 3), qu'il vient de doubler ce matin. Si le skipper niçois, à 40 milles dans l'est du Gallois, est parvenu jusque-là, malgré la perte totale de sa quille, a progresser sans trop d'encombres, les conditions météorologiques qui se durcissent actuellement, avec un flux de 25-30 nœuds de sud-ouest pourraient rendre les effets de cette avarie beaucoup plus compliqués à gérer, dans le froid du vent et la mer démontée. Le geste du skipper gallois est à saluer, applaudir même. Il montre toute la solidarité, nécessaire, de ces marins solitaires mais solidaires qui doivent assurer seuls au milieu des océans leur propre sécurité, mais également celle de leurs partenaires de course et d'aventure. L'histoire du Vendée Globe est jalonnée de ces moments héroïques qui donnent à cet course ce caractère si fort et singulier, quand l'adversaire devient la mer et que le concurrent d'hier celui que l'on doit sauver. Ces dispositions prises par Alex Thomson sont heureusement pour l'instant seulement préventives et ce coup de vent sera pour Jean-Pierre Dick l'occasion de se faire une dernière opinion de ce que sa nouvelle configuration de navigation peut lui permettre de supporter. Il s'est donné jusqu'à demain pour prendre une décision...
Dominique Wavre dans l'Atlantique Nord ce matin
Pendant que Jean Le Cam (SynerCiel), cinquième, et Mike Golding (Gamesa), sixième à une centaine de milles l'un de l'autre glissent paisiblement dans un alizé de nord-est d'une quinzaine de noeuds, après s'êtres extirpés des calmes du pot au noir, le Suisse Dominique Wavre (Mirabaud) s'apprête à franchir l'équateur, aux alentours de 10 h ce matin. Un passage synonyme de délivrance pour ce groupe de marins très expérimentés qui de leurs propres aveux, n'avaient jamais traversé un Atlantique Sud aussi désagréable et compliqué. A 50 milles de l'île Fernando de Noronha, Arnaud Boissières (Akena Vérandas) poursuit sa remontée dans un vent d'est de 15 nœuds, à près de 3000 milles du leader, 120 milles devant l'Espagnol Javier Sanso (Acciona 100 % EcoPowered). Les deux marins devraient bénéficier de ce bon flux toute la journée.
Du près à l'arrière
Après une très belle remontée de l'Atlantique Sud, Bertrand de Broc (Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets) est maintenant freiné, au près dans un vent de nord-est qui l'empêche de faire route directe vers le nord, tout comme Tanguy de Lamotte (Initiatives-coeur), 350 milles dans son sillage. Pour Alessandro Di Benedetto (Team Plastique), la progression est encore plus difficile, face au vent dans un puissant flux de nord d'une trentaine de nœuds. Dans le sillage exact des deux leaders qui s’apprêtent à bientôt franchir la ligne d'arrivée, à 4470 milles de son étrave, le skipper franco-italien poursuit sa course, faite de blessures, d'avaries, d'enthousiasme et de plaisir, de formidables moments de mer qui se plait à partager avec le charme qu'on lui connait. Pour les premiers, la boucle se termine, pour les derniers l'aventure est loin d'être terminée. Tant mieux !
La veille, ils étaient 500 prêts à partir, le jour même, la police a compté le double. 1000 tracteurs et environ 2000 manifestants dans les rues de La Roche Sur yon. C’est dire combien chaque agriculteur, éleveur comme céréalier, se sentait concerné par le sujet de l’eau. Arrivés après les heures d’embauche et partis avant la débauche, l’objectif n’était pas de gêner les
autres travailleurs ni de laisser une image déplorable de la ville après leur passage. Les agriculteurs, malgré leur exaspération, ont respecté les consignes : pas de fumier ni lisier. C’est de l’eau, et de l’eau de qualité, stockée dans une tonne, qui a éclaboussé la préfecture. Cette eau était aussi symbolisée par la goutte d’eau géante formée par une soixantaine de tracteurs avec le message « EAU secours de l’agriculture ». Pour les agriculteurs vendéens, il est devenu plus qu’intolérable qu’une partie du département ne puisse pas stocker l’eau qui coule l’hiver (alors que l’autre partie le peut) à cause d’une ligne mal écrite dans un texte règlementaire. Et pour les agriculteurs français, et plus particulièrement les éleveurs, il n’est
plus acceptable de complexifier encore les règles qui s’imposent sur la gestion de leur fumier, lisier. « fumier à l’abris mais toujours des sans-abris » avaient-ils écrit sur les grilles de la préfecture pour rappeler que la France compte obliger les agriculteurs à investir de nouveau pour stocker plus longtemps le fumier ou lisier avant de pouvoir l’épandre. C’est « la directive de trop » pour certains agriculteurs qui avaient écrit sur leur tracteur « Batho tu nous fais prendre l’eau ». Ces règles touchent en priorité l’élevage. Les troupeaux disparaissent
déjà et les prairies sont remplacées par des cultures. Accroître et complexifier les contraintes et les contrôles accélère cette érosion. Concernant les contrôles, Joël Limouzin, président de la FDSEA de Vendée, a prévenu les agents de la police de l’eau : les agriculteurs n’accepteront plus qu’ils arrivent armés dans les exploitations et visitent les bâtiments, les champs, sans avoir prévenu l’exploitant au préalable. Au final la délégation n’aura pas appris grand-chose auprès du Préfet. Si la manifestation a eu lieu cette semaine c’est parce que les négociations doivent se tenir avant la fin du mois pour une présentation du texte au conseil national de l’environnement mi-février. Le fait que les ministères soient disposés à rencontrer la profession agricole ne paraît pas être une avancée. De plus, le ministre Le Foll a décliné de répondre sur le sujet mardi soir aux 100 manifestants de la FDSEA de Maine et Loire qui l’attendaient sur le quai de la gare… Pour le stockage de l’eau en ZRE, pas plus de réponse même si le préfet dit appuyer le dossier au niveau national.
autres travailleurs ni de laisser une image déplorable de la ville après leur passage. Les agriculteurs, malgré leur exaspération, ont respecté les consignes : pas de fumier ni lisier. C’est de l’eau, et de l’eau de qualité, stockée dans une tonne, qui a éclaboussé la préfecture. Cette eau était aussi symbolisée par la goutte d’eau géante formée par une soixantaine de tracteurs avec le message « EAU secours de l’agriculture ». Pour les agriculteurs vendéens, il est devenu plus qu’intolérable qu’une partie du département ne puisse pas stocker l’eau qui coule l’hiver (alors que l’autre partie le peut) à cause d’une ligne mal écrite dans un texte règlementaire. Et pour les agriculteurs français, et plus particulièrement les éleveurs, il n’est
plus acceptable de complexifier encore les règles qui s’imposent sur la gestion de leur fumier, lisier. « fumier à l’abris mais toujours des sans-abris » avaient-ils écrit sur les grilles de la préfecture pour rappeler que la France compte obliger les agriculteurs à investir de nouveau pour stocker plus longtemps le fumier ou lisier avant de pouvoir l’épandre. C’est « la directive de trop » pour certains agriculteurs qui avaient écrit sur leur tracteur « Batho tu nous fais prendre l’eau ». Ces règles touchent en priorité l’élevage. Les troupeaux disparaissent
déjà et les prairies sont remplacées par des cultures. Accroître et complexifier les contraintes et les contrôles accélère cette érosion. Concernant les contrôles, Joël Limouzin, président de la FDSEA de Vendée, a prévenu les agents de la police de l’eau : les agriculteurs n’accepteront plus qu’ils arrivent armés dans les exploitations et visitent les bâtiments, les champs, sans avoir prévenu l’exploitant au préalable. Au final la délégation n’aura pas appris grand-chose auprès du Préfet. Si la manifestation a eu lieu cette semaine c’est parce que les négociations doivent se tenir avant la fin du mois pour une présentation du texte au conseil national de l’environnement mi-février. Le fait que les ministères soient disposés à rencontrer la profession agricole ne paraît pas être une avancée. De plus, le ministre Le Foll a décliné de répondre sur le sujet mardi soir aux 100 manifestants de la FDSEA de Maine et Loire qui l’attendaient sur le quai de la gare… Pour le stockage de l’eau en ZRE, pas plus de réponse même si le préfet dit appuyer le dossier au niveau national.
Compte tenu des conditions météorologiques annoncées par Météo-France marquées par un épisode de pluie verglaçante et de neige mêlées vendredi 18 janvier 2013 sur le
département de la Vendée, les conditions de circulation sont actuellement difficiles sur l’ensemble du réseau routier du département. Les mesures suivantes ont été prises : Interdiction de circuler aux véhicules Poids lourds de plus de 7,5 tonnes sur tout le département et sur tous les axes (autoroute, routes départementales et voies communales) sauf A87. Par ailleurs l’autoroute A83 (Nantes – Niort) est fermée à la circulation à tous les véhicules dans les deux sens entre la sortie n°5 - Les Essarts et la sortie n°7 - Sainte- Hermine. Le préfet de la Vendée appelle les automobilistes à observer la plus grande prudence. Dans de telles circonstances, il convient de limiter les déplacements au strict nécessaire, d’adopter une vitesse réduite, d’augmenter les distances de sécurité entre deux véhicules et d’allumer ses feux de croisements.
département de la Vendée, les conditions de circulation sont actuellement difficiles sur l’ensemble du réseau routier du département. Les mesures suivantes ont été prises : Interdiction de circuler aux véhicules Poids lourds de plus de 7,5 tonnes sur tout le département et sur tous les axes (autoroute, routes départementales et voies communales) sauf A87. Par ailleurs l’autoroute A83 (Nantes – Niort) est fermée à la circulation à tous les véhicules dans les deux sens entre la sortie n°5 - Les Essarts et la sortie n°7 - Sainte- Hermine. Le préfet de la Vendée appelle les automobilistes à observer la plus grande prudence. Dans de telles circonstances, il convient de limiter les déplacements au strict nécessaire, d’adopter une vitesse réduite, d’augmenter les distances de sécurité entre deux véhicules et d’allumer ses feux de croisements.
Chaque année, c'est pareil! La revente de cadeaux fait sourire tout le monde mais les sites Internet se frottent les mains: cette pratique se généralise. Et qui plus est, le Web est anonyme alors pourquoi ne pas faire de nouveaux heureux avec vos cadeaux?
Pour éviter les arnaques, Softonic vous présente une liste de 5 sites pour revendre ou troquer vos pires cadeaux de Noël sur Internet. Du géant de l'e-commerce au site de petites annonces incontournable, il ne vous reste plus qu'à fixer le prix de revente de votre cadeau.
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Amazon est le leader incontesté du commerce mondial en ligne. Sur le site, on trouve absolument de tout, à tous les prix. Peu de gens le savent mais sur Amazon, il est aussi possible de laisser une petite annonce. Passer par Amazon, c'est aussi l'assurance d'une excellente visibilité. Le site Web est l'un des plus visités et les applis pour iPhone et Android sont très bien ficelées. Un incontournable donc pour revendre à bon prix et en toute sécurité vos cadeaux de Noël!
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Le Bon Coin Le site du Bon Coin est devenu un véritable phénomène de société. C'est l'un des sites les plus visités en France. La clé de son succès: le classement par département et par ville de ces petites annonces. En plus de revendre le cadeau que vous ne vouliez pas, vous faites même économiser de l'essence à l'acheteur! Les articles proposés par les utilisateurs peuvent aussi être consultés depuis l'appli Android.
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Alors qu’un rapport de l’Inspection générale des Finances (IGF) met le doigt sur le nombre surréaliste d’agences d’Etat, Véronique BESSE, député de la Vendée, « demande au Gouvernement de mettre fin aux agences d’État qui ne servent à rien ».
« Plutôt que de se précipiter en taxant les Français et les entreprises et en laissant tomber les collectivités locales, le Gouvernement devrait commencer par faire le ménage au sein des agences d’Etat qui coûtent 50 milliards € aux contribuables chaque année ».
« Le rapport de l’IGF est claire : la moitié des 1244 agences d’Etat n’a pas d’utilité. La lutte contre le gaspillage devrait être la priorité du Gouvernement, comme j’ai déjà pu le dire à la tribune de l’Assemblée nationale », précise Véronique BESSE.
Véronique BESSE demande que « la deuxième priorité soit la lutte contre la fraude aux prestations sociales et aux prélèvements, qui est estimée à 20 milliards d’euros ».
Véronique BESSE
Député de la Vendée
« Plutôt que de se précipiter en taxant les Français et les entreprises et en laissant tomber les collectivités locales, le Gouvernement devrait commencer par faire le ménage au sein des agences d’Etat qui coûtent 50 milliards € aux contribuables chaque année ».
« Le rapport de l’IGF est claire : la moitié des 1244 agences d’Etat n’a pas d’utilité. La lutte contre le gaspillage devrait être la priorité du Gouvernement, comme j’ai déjà pu le dire à la tribune de l’Assemblée nationale », précise Véronique BESSE.
Véronique BESSE demande que « la deuxième priorité soit la lutte contre la fraude aux prestations sociales et aux prélèvements, qui est estimée à 20 milliards d’euros ».
Véronique BESSE
Député de la Vendée