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Ce nouveau dispositif est réservé aux primo-accédants et n'est pas soumis aux conditions de ressources.
Le « Prêt à taux zéro plus » appelé aussi « Prêt à taux zéro renforcé » ou « Prêt à taux zéro universel » est le nouveau dispositif d'aide gouvernementale qui est entré en vigueur depuis le 1er janvier 2011. Pour la Ministre de l'Économie, Madame Christine Lagarde, ce nouveau dispositif se veut plus simple et efficace pour remplacer « un maquis compliqué d'aides ».
Un prêt à taux zéro renforcé
Le montant de l'aide est modulé en fonction de la zone géographique et des performances énergétiques du logement. Jusqu'à fin 2010, le découpage se faisait en 3 zones (A, B ou C). Avec le PTZ+, le découpage se fait en 4 zones (la zone B est subdivisée en B1 et B2) comme pour les autres dispositifs.
Les pages sur le PTZ+
+Le Prêt à taux zéro plus : les principales modalités du PTZ+ et les barèmes applicables dès 2011
+Le simulateur PTZ+ pour calculer le montant et les conditions de remboursement.
+Les conditions d'accès au PTZ+ : les opérations finançables, le statut de primo-accédant, le nombre de personnes et les ressources.
+Le montant du PTZ+ : comment est-il calculé ? Définition du montant total de l'opération, de la quotité et de la justification de la performance énergétique du logement.
+Les sanctions prévues sur le PTZ+ en cas de non-respect des engagements de l'emprunteur.
Les dispositifs qui disparaissent en 2011
Le crédit d'impôt sur les intérêts d'emprunt. Mesure phare de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, ce mécanisme avait été mis en place peu de temps après son élection dans le cadre du « paquet fiscal » (ou loi TEPA). La mesure permet de déduire de ses impôts 20% des intérêts d'emprunt immobilier pour l'acquisition d'une résidence principale, pendant 5 ans (et 40% la première année, ou, 40% pendant 7 ans pour les logements neufs en BBC). Cette mesure couteuse, dont l'efficacité est contestée, n'était ni soumise à condition de ressources ni réservée à une première acquisition. Cependant, l'arrêt de cette mesure au 31 décembre 2010 ne sera pas rétroactive, et les personnes en bénéficiant pourront continuer à en profiter pendant la durée prévue de 5 ans (ou 7 ans).
Le Pass Foncier. Financé conjointement avec les organismes 1% logement, le Pass Foncier permet de différer le paiement du terrain après le remboursement de son habitation (ou de différer une partie des remboursements). Depuis le 29 juillet 2010, les plafonds ont déjà été revus fortement à la baisse. Ce dispositif s'arrêtera définitivement le 31 décembre 2010.
En revanche, les autres dispositifs d'aide à l'accession comme l'allocation d'aide personnalisée au logement (APL) ne sont pas remis en cause. Le Plan épargne logement sera lui adapté à la rigueur budgetaire.
Un prêt à taux zéro renforcé
Le montant de l'aide est modulé en fonction de la zone géographique et des performances énergétiques du logement. Jusqu'à fin 2010, le découpage se faisait en 3 zones (A, B ou C). Avec le PTZ+, le découpage se fait en 4 zones (la zone B est subdivisée en B1 et B2) comme pour les autres dispositifs.
Les pages sur le PTZ+
+Le Prêt à taux zéro plus : les principales modalités du PTZ+ et les barèmes applicables dès 2011
+Le simulateur PTZ+ pour calculer le montant et les conditions de remboursement.
+Les conditions d'accès au PTZ+ : les opérations finançables, le statut de primo-accédant, le nombre de personnes et les ressources.
+Le montant du PTZ+ : comment est-il calculé ? Définition du montant total de l'opération, de la quotité et de la justification de la performance énergétique du logement.
+Les sanctions prévues sur le PTZ+ en cas de non-respect des engagements de l'emprunteur.
Les dispositifs qui disparaissent en 2011
Le crédit d'impôt sur les intérêts d'emprunt. Mesure phare de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, ce mécanisme avait été mis en place peu de temps après son élection dans le cadre du « paquet fiscal » (ou loi TEPA). La mesure permet de déduire de ses impôts 20% des intérêts d'emprunt immobilier pour l'acquisition d'une résidence principale, pendant 5 ans (et 40% la première année, ou, 40% pendant 7 ans pour les logements neufs en BBC). Cette mesure couteuse, dont l'efficacité est contestée, n'était ni soumise à condition de ressources ni réservée à une première acquisition. Cependant, l'arrêt de cette mesure au 31 décembre 2010 ne sera pas rétroactive, et les personnes en bénéficiant pourront continuer à en profiter pendant la durée prévue de 5 ans (ou 7 ans).
Le Pass Foncier. Financé conjointement avec les organismes 1% logement, le Pass Foncier permet de différer le paiement du terrain après le remboursement de son habitation (ou de différer une partie des remboursements). Depuis le 29 juillet 2010, les plafonds ont déjà été revus fortement à la baisse. Ce dispositif s'arrêtera définitivement le 31 décembre 2010.
En revanche, les autres dispositifs d'aide à l'accession comme l'allocation d'aide personnalisée au logement (APL) ne sont pas remis en cause. Le Plan épargne logement sera lui adapté à la rigueur budgetaire.
Rédigé par Angers Info le Mardi 18 Janvier 2011 à 14:49
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Le taux de rémunération du Livret A est modifié deux fois par an, le 1er février et le 1er août.
Le taux de rémunération du Livret A sera porté à 2 % le 1er février, contre 1,75 % actuellement. Ce relèvement découle de l'accélération de l'inflation en décembre annoncée en tout début de matinée par l'Insee.Le taux de rémunération du Livret A avait été relevé d'un demi-point, à 1,75 %, le 1er août 2010. Les sommes déposées sur les Livret A ont augmenté de près de 6,5 milliards d'euros sur les onze premiers mois de 2010, pour atteindre 191,4 milliards d'euros, selon les dernières statistiques de la Caisse des dépôts et consignations, qui gère la majeure partie de cette épargne.Dans son rapport annuel publié l'été dernier, l'Observatoire de l'épargne réglementée chiffrait à 59,3 millions le nombre de Livrets A et Livrets bleus (son équivalent dans les réseaux du Crédit mutuel) détenus par les personnes physiques fin 2009.
Les Angevins sont invités à une réunion publique le 18 janvier pour faire le point sur le projet Rives nouvelles, en présence des trois équipes retenues par la Ville.
Après deux phases de sélection, en juillet et en novembre 2010, trois équipes sont encore en lice pour plancher sur le projet de requalification des rives de la Maine. Elles seront présentées aux Angevins lors d'une réunion publique, le 18 janvier aux greniers Saint-Jean.
Leurs travaux seront conduits en concertation étroite avec les Angevins et notamment les 90 membres du "groupe-projet". Ceux-ci ont déjà réalisé plusieurs visites de terrain, sur les rives de la Maine mais aussi de la Garonne et du Rhône, pour découvrir les opérations de rénovation conduites à Bordeaux et Lyon. Ils se sont également réunis pour différents ateliers thématiques. Leurs travaux seront également présentés lors de la réunion publique.
Les trois équipes encore en course ont maintenant jusqu'à l'automne pour peaufiner leurs propositions, qui feront l'objet d'une exposition ouverte à tous dans le forum du Quai. Leur cahier des charges: faire renaître les berges au profit des Angevins, en faire un lieu d'échanges et de vie, protéger durablement la qualité de l'environnement et des espaces naturels.
Réunion publique aux greniers Saint-Jean (place du tertre Saint-Jean), mardi 18 janvier à 19h30. Entrée libre.
Après deux phases de sélection, en juillet et en novembre 2010, trois équipes sont encore en lice pour plancher sur le projet de requalification des rives de la Maine. Elles seront présentées aux Angevins lors d'une réunion publique, le 18 janvier aux greniers Saint-Jean.
Leurs travaux seront conduits en concertation étroite avec les Angevins et notamment les 90 membres du "groupe-projet". Ceux-ci ont déjà réalisé plusieurs visites de terrain, sur les rives de la Maine mais aussi de la Garonne et du Rhône, pour découvrir les opérations de rénovation conduites à Bordeaux et Lyon. Ils se sont également réunis pour différents ateliers thématiques. Leurs travaux seront également présentés lors de la réunion publique.
Les trois équipes encore en course ont maintenant jusqu'à l'automne pour peaufiner leurs propositions, qui feront l'objet d'une exposition ouverte à tous dans le forum du Quai. Leur cahier des charges: faire renaître les berges au profit des Angevins, en faire un lieu d'échanges et de vie, protéger durablement la qualité de l'environnement et des espaces naturels.
Réunion publique aux greniers Saint-Jean (place du tertre Saint-Jean), mardi 18 janvier à 19h30. Entrée libre.
La Vallée de l'Ohio, en 1930. Harry Powell, un "prêcheur" itinérant et fanatique, qui porte tatoués les mots "love" (amour) sur la main droite et "hate" (haine) sur la main gauche, a déjà plusieurs meurtres à son actif : de riches veuves dont il s'est approprié la fortune. Arrêté pour un simple vol, il partage la cellule de Ben Harper, un condamné à mort qui a tué un homme en dérobant dix mille dollars dans une banque. Pas plus que la police, Powell ne parvient à lui faire avouer où il a dissimulé son butin. C'est un secret que John et Pearl, les deux enfants de Ben, sont les seuls à connaître. Une fois libéré, Powell va traquer la famille d'Harper pour récupérer le butin...
Séance en présence de Olivia Rosenthal, écrivain, romancière et dramaturge française dans le cadre du projet "Ecrire avec, lire pour ". LA NUIT DU CHASSEUR de Charles Laughton avec Robert Mitchum, Shelley Winters, Lillian Gish ...USA - 1955 - 1h33 - Version originale sous-titrée
http://www.les400coups.org/soirees.php?soiree=39
Séance en présence de Olivia Rosenthal, écrivain, romancière et dramaturge française dans le cadre du projet "Ecrire avec, lire pour ". LA NUIT DU CHASSEUR de Charles Laughton avec Robert Mitchum, Shelley Winters, Lillian Gish ...USA - 1955 - 1h33 - Version originale sous-titrée
http://www.les400coups.org/soirees.php?soiree=39
Le musée Jean-Lurçat et de la tapisserie contemporaine présente un ensemble de plus de cinquante œuvres, tapisseries et cartons d’une trentaine d’artistes, représentatifs de la tapisserie catalane contemporaine. Construite en partenariat avec le musée du cloître de Sant Cugat et l’historien d’art Francesc Mirallés, l’exposition a été présentée en 2009 au musée de Sant Cugat puis au Centre Culturel Caixa de Terrassa, en Catalogne.
C’est à Sant Cugat, dans la Manufacture Aymat que naît en 1955, sous l’impulsion de Miquel Samaranch son directeur, l’Ecole catalane de tapisserie. Il demande au jeune artiste Grau-Garriga de diriger l’atelier expérimental. Celui-ci fera le voyage en France pour rencontrer Jean Lurçat (dont le chef-d’œuvre Le chant du monde, est exposé à Angers). De retour à Sant Cugat, il fait venir de Madrid de jeunes liciers qu’il formera et qui tisseront les artistes de sa génération comme Ràfols Casamada, Tàpies, ou Guinovart, ainsi que leurs admirables aînés, Pablo Picasso ou Joan Miró.
Il favorise aussi l’émergence de liciers-créateurs catalans formés dans son atelier, qui s’inscrivent dans le mouvement de la Nouvelle tapisserie.
Après ses premières expositions à Angers en 1989, Grau-Garriga s’installe en Anjou. L’artiste y a tissé des liens étroits avec le musée Jean-Lurçat et de la tapisserie contemporaine, qui présente de façon permanente son travail des dix dernières années.
Josep Royo et Carles Delclaux ont également favorisé l’essor de l’atelier Aymat et son rayonnement international : le premier, qui s’engage dans une longue collaboration avec Miró fera date dans le domaine du textile, ouvrira une voie tout à fait nouvelle dans l’art de la tapisserie, et le second assure, à la suite de Grau-Garriga et Royo, la continuité de la manufacture Aymat-Samaranch en créant un centre-école à Gérone.
Parallèlement à ce renouveau, un ensemble d’artistes indépendants catalans explorent de nouveaux matériaux (jute, corde, chanvre mais aussi plastique, métal...) et cherchent à s’affranchir des limites bidimensionnelles. Pour Francesc Mirallés, la notion d’Ecole catalane s’applique aussi à ce courant hétérodoxe, dont deux de ses principales représentantes, Aurèlia Muñoz et Maria Teresa Codina, vont représenter la Catalogne aux Biennales de la tapisserie de Lausanne de 1965 et 1967, aux côtés de Grau-Garriga. A leur suite, d’autres artistes talentueuses, comme Mariona Sanahuja, Lluïsa Ramos, Teresa Lanceta ou Marga Ximènez vont s’inscrire dans ce courant de la Nouvelle tapisserie qui explore le volume et les matériaux.
De toutes ces œuvres émane, au-delà de la variété des techniques et des démarches, la force de la culture catalane faite d’ombre et de lumière, de violence et de douceur.
C’est à Sant Cugat, dans la Manufacture Aymat que naît en 1955, sous l’impulsion de Miquel Samaranch son directeur, l’Ecole catalane de tapisserie. Il demande au jeune artiste Grau-Garriga de diriger l’atelier expérimental. Celui-ci fera le voyage en France pour rencontrer Jean Lurçat (dont le chef-d’œuvre Le chant du monde, est exposé à Angers). De retour à Sant Cugat, il fait venir de Madrid de jeunes liciers qu’il formera et qui tisseront les artistes de sa génération comme Ràfols Casamada, Tàpies, ou Guinovart, ainsi que leurs admirables aînés, Pablo Picasso ou Joan Miró.
Il favorise aussi l’émergence de liciers-créateurs catalans formés dans son atelier, qui s’inscrivent dans le mouvement de la Nouvelle tapisserie.
Après ses premières expositions à Angers en 1989, Grau-Garriga s’installe en Anjou. L’artiste y a tissé des liens étroits avec le musée Jean-Lurçat et de la tapisserie contemporaine, qui présente de façon permanente son travail des dix dernières années.
Josep Royo et Carles Delclaux ont également favorisé l’essor de l’atelier Aymat et son rayonnement international : le premier, qui s’engage dans une longue collaboration avec Miró fera date dans le domaine du textile, ouvrira une voie tout à fait nouvelle dans l’art de la tapisserie, et le second assure, à la suite de Grau-Garriga et Royo, la continuité de la manufacture Aymat-Samaranch en créant un centre-école à Gérone.
Parallèlement à ce renouveau, un ensemble d’artistes indépendants catalans explorent de nouveaux matériaux (jute, corde, chanvre mais aussi plastique, métal...) et cherchent à s’affranchir des limites bidimensionnelles. Pour Francesc Mirallés, la notion d’Ecole catalane s’applique aussi à ce courant hétérodoxe, dont deux de ses principales représentantes, Aurèlia Muñoz et Maria Teresa Codina, vont représenter la Catalogne aux Biennales de la tapisserie de Lausanne de 1965 et 1967, aux côtés de Grau-Garriga. A leur suite, d’autres artistes talentueuses, comme Mariona Sanahuja, Lluïsa Ramos, Teresa Lanceta ou Marga Ximènez vont s’inscrire dans ce courant de la Nouvelle tapisserie qui explore le volume et les matériaux.
De toutes ces œuvres émane, au-delà de la variété des techniques et des démarches, la force de la culture catalane faite d’ombre et de lumière, de violence et de douceur.
Impôts, allocations, assurances, prestations de santé... Voici les principales modifications auxquelles contribuables, consommateurs ou épargnants vont être confrontés en ce début d'année.
IMPÔTS, TAXES
Tableau du barème de l'impôt 2011. La dernière tranche est majorée de 1 %.
tranche du revenu 2010 (quotient familial) taux d'imposition (barème 2011 : TMI)
Jusqu'à 5 963 0 %
de 5 964 à 11 896 € 5,5 %
de 11 897 à 26 420 € 14 %
de 26 421 à 70 830 € 30 %
plus de 70 830 € 41 %
• Hausse de la TVA sur les forfaits triple play
Les offres groupées d'accès à la télévision, Internet et téléphonie fixe sont davantage taxées à un taux unique de 19,6 %.
• Niches fiscales
Coup de rabot de 10 % sur les niches qui permettent de réduire l'impôt sur le revenu en faisant un choix d'investissement : crédit d'impôt sur les équipements en faveur du développement durable, réduction d'impôt au titre de certains investissements outremer ou de l'investissement locatif dans le neuf (dispositif Scellier).
• Mariés ou divorcés : fin de l’avantage fiscal
Un couple marié ou pacsé remplira une seule déclaration de revenus commune et un couple divorcé deux déclarations, une pour chacun.
• Plus-values boursières
Taxées à partir de janvier dès le 1er euro et quel que soit leur montant : prélèvement forfaitaire libératoire de 19 % et prélèvements sociaux de 12,3 %.
• Plus-values immobilières
Hors résidence principale, elles sont taxées à 19 % au lieu de 16 %.
• Réduction d’impôt PME
La réduction de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) est ramenée de 75 % à 50 % pour l’investissement direct ou indirect d’un particulier dans une PME (limite : 45 000 €).
• Stock-options
La CSG payée par le salarié passe de 2,5 % à 8 %, pour les sommes dépassant la moitié du plafond de la Sécurité sociale.
• Retraites chapeaux
Taxées à 7 % par mois entre 500 et 1 000 €, à 14 % au-delà de 1 000 €.
• Redevance audiovisuelle
Elle passe à 123 € en début d'année et fin de l'extension de la redevance aux ordinateurs, tablettes et smartphones qui permettent de recevoir la télévision.
• Restauration
L'exonération des avantages en nature proposés aux restaurateurs qui nourrissent leurs employés est supprimée.
ÉLECTRICITÉ
• Baisse du tarif social
Jusqu’à maintenant, les foyers modestes bénéficiaient, selon la taille du foyer, d'un abattement de 30, 40 ou 50 % sur leur facture d'électricité. Ces abattements sont portés respectivement à 40, 50 et 60 %.
• Particuliers
Hausse des tarifs de 3 %.
POSTE
• Ouverture du secteur postal européen à la concurrence.
ASSURANCE
• Habitation
Augmentation entre 3,5 % et 8 %. (7 % chez Axa, entre 7 % et 8 % chez Aviva France et MMA, 4,4 % chez la Maaf et 3,5 % chez la Maif).
• Automobile
Augmentation des prix comprise entre 2,5 % et 4,5 %.
• Santé + 5,3 % à + 8,5 %.
SÉCURITÉ SOCIALE
Le plafond mensuel passe à 2 946 € (contre 2 885 € en 2010).
TICKETS RESTAURANT
Limite d'exonération de la participation de l'employeur portée à 5,29 (5,21 € avant). Il est possible d'acheter des fruits et légumes dans les supermarchés avec les tickets restaurant depuis le 2 décembre.
LOGEMENT
• Dispositif Scellier
Nouveau zonage pour mieux adapter le dispositif au marché locatif. Seuls les BBC (bâtiments basse consommation) pourront bénéficier de la réduction d'impôt de 22 % sur le prix d'achat en 2011, à partir du 1er avril. La loi doit disparaître en 2013.
• Intérêts d’emprunt
Suppression du crédit d'impôt sur les intérêts d'emprunts immobiliers.
• Prêt à taux zéro plus (ou 2011)
Réservé aux primo-accédants, sans condition de ressources, quel que soit le lieu de logement et sans frais de dossier. Il est octroyé par des banques conventionnées par l'Etat, l'emprunteur reste libre de prendre une banque différente pour son prêt principal.
• Fiscalité écologique Crédit d'impôt
- Pompes à chaleur : 36 % au lieu de 40 %
- Double vitrage : 22 % au lieu de 25 %
- Panneaux solaires : 25 % au lieu de 50 %
• Allocations
Les allocations logement sont versées à compter du 1er jour du mois de la demande, et non plus avec une rétroactivité de 3 mois.
La prestation d'accueil jeune enfant est versée à la validation de la demande par la CAF et non plus à compter du premier jour de la naissance de l'enfant.
SANTÉ
• Médicaments
Les médicaments vignettes bleues sont remboursés à 30 % (au lieu de 35 %), les seringues, les pansements… à 60 % au lieu de 65 %.
• Forfait hospitalier
Le forfait de 18 € s'appliquera désormais sur les actes médicaux supérieurs à 120 € au lieu de 91 €. En dessous, il faut payer le ticket modérateur de 20 %.
• Généralistes
La consultation chez le généraliste augmente de 1 €, à 23 €.
• Complémentaire santé
Relèvement du plafond pour la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) à 26 % en 2011 puis à 30 % en 2012.
• Affections de longue durée et les diabétiques
Les dépenses de transport des patients en affection longue durée (ALD) ne sont plus remboursées si l'état de santé ne le justifie pas. Les nouvelles personnes souffrant d'hypertension artérielle non compliquée paieront le ticket modérateur.
Pour les diabétiques non insulinodépendants, création d'un forfait pour les bandelettes d'autotest glycémique.
AUTO
• Bonus-malus :
Les seuils sont réduits de 5 g/km.
Emission (CO2/km) Bonus-malus
moins de 60 g + 5 000 €
60 à 89 g + 800 €
90 à 109 g + 400 €
110 à 154 g 0 €
156 à 160 g – 200 €
161 à 195 g – 750 €
196 à 245 g – 1 600 €
246 g et plus – 2 600 €
• Prime à la casse :
Suppression de la prime à la casse.
EMPLOI
• Smic
Augmentation de 1,6 % soit 1 365 € brut par mois (35 heures). Le Smic horaire passe à 9 €.
• Cotisation Apec
La cotisation forfaitaire annuelle est supprimée. Désormais, la contribution Apec est calculée à hauteur de 0,06 % sur la totalité du salaire, dans la limite du plafond de la tranche B (11 784 !).
• Forfait social
A la charge de l'employeur, il s'applique à l'intéressement, la participation, l'épargne salariale, les retraites supplémentaires… Il passe de 4 % à 6 %.
• Emploi à domicile
Suppression de l'abattement de 15 points sur les cotisations patronales de Sécurité sociale proposé aux ménages déclarant leur employé au salaire réel.
JUSTICE
• Carte judiciaire
Fermeture de 23 tribunaux de grande instance.
• Vie en prison
Le prix de location des téléviseurs est de 8 €.
UNION EUROPÉENNE
La Hongrie prend la présidence du Conseil de l'Union européenne jusqu'à fin juin (en remplacement de la Belgique).
L’Estonie adopte l’euro, la zone euro compte dorénavant 17 pays.
Tableau du barème de l'impôt 2011. La dernière tranche est majorée de 1 %.
tranche du revenu 2010 (quotient familial) taux d'imposition (barème 2011 : TMI)
Jusqu'à 5 963 0 %
de 5 964 à 11 896 € 5,5 %
de 11 897 à 26 420 € 14 %
de 26 421 à 70 830 € 30 %
plus de 70 830 € 41 %
• Hausse de la TVA sur les forfaits triple play
Les offres groupées d'accès à la télévision, Internet et téléphonie fixe sont davantage taxées à un taux unique de 19,6 %.
• Niches fiscales
Coup de rabot de 10 % sur les niches qui permettent de réduire l'impôt sur le revenu en faisant un choix d'investissement : crédit d'impôt sur les équipements en faveur du développement durable, réduction d'impôt au titre de certains investissements outremer ou de l'investissement locatif dans le neuf (dispositif Scellier).
• Mariés ou divorcés : fin de l’avantage fiscal
Un couple marié ou pacsé remplira une seule déclaration de revenus commune et un couple divorcé deux déclarations, une pour chacun.
• Plus-values boursières
Taxées à partir de janvier dès le 1er euro et quel que soit leur montant : prélèvement forfaitaire libératoire de 19 % et prélèvements sociaux de 12,3 %.
• Plus-values immobilières
Hors résidence principale, elles sont taxées à 19 % au lieu de 16 %.
• Réduction d’impôt PME
La réduction de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) est ramenée de 75 % à 50 % pour l’investissement direct ou indirect d’un particulier dans une PME (limite : 45 000 €).
• Stock-options
La CSG payée par le salarié passe de 2,5 % à 8 %, pour les sommes dépassant la moitié du plafond de la Sécurité sociale.
• Retraites chapeaux
Taxées à 7 % par mois entre 500 et 1 000 €, à 14 % au-delà de 1 000 €.
• Redevance audiovisuelle
Elle passe à 123 € en début d'année et fin de l'extension de la redevance aux ordinateurs, tablettes et smartphones qui permettent de recevoir la télévision.
• Restauration
L'exonération des avantages en nature proposés aux restaurateurs qui nourrissent leurs employés est supprimée.
ÉLECTRICITÉ
• Baisse du tarif social
Jusqu’à maintenant, les foyers modestes bénéficiaient, selon la taille du foyer, d'un abattement de 30, 40 ou 50 % sur leur facture d'électricité. Ces abattements sont portés respectivement à 40, 50 et 60 %.
• Particuliers
Hausse des tarifs de 3 %.
POSTE
• Ouverture du secteur postal européen à la concurrence.
ASSURANCE
• Habitation
Augmentation entre 3,5 % et 8 %. (7 % chez Axa, entre 7 % et 8 % chez Aviva France et MMA, 4,4 % chez la Maaf et 3,5 % chez la Maif).
• Automobile
Augmentation des prix comprise entre 2,5 % et 4,5 %.
• Santé + 5,3 % à + 8,5 %.
SÉCURITÉ SOCIALE
Le plafond mensuel passe à 2 946 € (contre 2 885 € en 2010).
TICKETS RESTAURANT
Limite d'exonération de la participation de l'employeur portée à 5,29 (5,21 € avant). Il est possible d'acheter des fruits et légumes dans les supermarchés avec les tickets restaurant depuis le 2 décembre.
LOGEMENT
• Dispositif Scellier
Nouveau zonage pour mieux adapter le dispositif au marché locatif. Seuls les BBC (bâtiments basse consommation) pourront bénéficier de la réduction d'impôt de 22 % sur le prix d'achat en 2011, à partir du 1er avril. La loi doit disparaître en 2013.
• Intérêts d’emprunt
Suppression du crédit d'impôt sur les intérêts d'emprunts immobiliers.
• Prêt à taux zéro plus (ou 2011)
Réservé aux primo-accédants, sans condition de ressources, quel que soit le lieu de logement et sans frais de dossier. Il est octroyé par des banques conventionnées par l'Etat, l'emprunteur reste libre de prendre une banque différente pour son prêt principal.
• Fiscalité écologique Crédit d'impôt
- Pompes à chaleur : 36 % au lieu de 40 %
- Double vitrage : 22 % au lieu de 25 %
- Panneaux solaires : 25 % au lieu de 50 %
• Allocations
Les allocations logement sont versées à compter du 1er jour du mois de la demande, et non plus avec une rétroactivité de 3 mois.
La prestation d'accueil jeune enfant est versée à la validation de la demande par la CAF et non plus à compter du premier jour de la naissance de l'enfant.
SANTÉ
• Médicaments
Les médicaments vignettes bleues sont remboursés à 30 % (au lieu de 35 %), les seringues, les pansements… à 60 % au lieu de 65 %.
• Forfait hospitalier
Le forfait de 18 € s'appliquera désormais sur les actes médicaux supérieurs à 120 € au lieu de 91 €. En dessous, il faut payer le ticket modérateur de 20 %.
• Généralistes
La consultation chez le généraliste augmente de 1 €, à 23 €.
• Complémentaire santé
Relèvement du plafond pour la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) à 26 % en 2011 puis à 30 % en 2012.
• Affections de longue durée et les diabétiques
Les dépenses de transport des patients en affection longue durée (ALD) ne sont plus remboursées si l'état de santé ne le justifie pas. Les nouvelles personnes souffrant d'hypertension artérielle non compliquée paieront le ticket modérateur.
Pour les diabétiques non insulinodépendants, création d'un forfait pour les bandelettes d'autotest glycémique.
AUTO
• Bonus-malus :
Les seuils sont réduits de 5 g/km.
Emission (CO2/km) Bonus-malus
moins de 60 g + 5 000 €
60 à 89 g + 800 €
90 à 109 g + 400 €
110 à 154 g 0 €
156 à 160 g – 200 €
161 à 195 g – 750 €
196 à 245 g – 1 600 €
246 g et plus – 2 600 €
• Prime à la casse :
Suppression de la prime à la casse.
EMPLOI
• Smic
Augmentation de 1,6 % soit 1 365 € brut par mois (35 heures). Le Smic horaire passe à 9 €.
• Cotisation Apec
La cotisation forfaitaire annuelle est supprimée. Désormais, la contribution Apec est calculée à hauteur de 0,06 % sur la totalité du salaire, dans la limite du plafond de la tranche B (11 784 !).
• Forfait social
A la charge de l'employeur, il s'applique à l'intéressement, la participation, l'épargne salariale, les retraites supplémentaires… Il passe de 4 % à 6 %.
• Emploi à domicile
Suppression de l'abattement de 15 points sur les cotisations patronales de Sécurité sociale proposé aux ménages déclarant leur employé au salaire réel.
JUSTICE
• Carte judiciaire
Fermeture de 23 tribunaux de grande instance.
• Vie en prison
Le prix de location des téléviseurs est de 8 €.
UNION EUROPÉENNE
La Hongrie prend la présidence du Conseil de l'Union européenne jusqu'à fin juin (en remplacement de la Belgique).
L’Estonie adopte l’euro, la zone euro compte dorénavant 17 pays.
Liste de liens
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