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A 14 mois de la fin de son mandat, le Président de la République, dont 75% des Français estiment que sa réélection n’est pas souhaitable, jette donc les dernières forces de la gauche (ou de ce qu’il en reste) dans la bataille.
Après les grandes annonces des prétendus « gouvernements de combat », c’est une armée mexicaine qui se profile en faisant entrer, pour quelques mois, toutes les subdivisions électorales de 2012.
Ce nouveau gouvernement est-il composé dans la recherche de l’intérêt supérieur de la France ? Où s’agit-il d’une énième opération de sauvetage d’un président qui a échoué sur tout ?
Quelques jours après le départ de Mme TAUBIRA, c’est un parfum de IVème République agonisante qui souffle sur notre pays.
Le retour de Jean-Marc AYRAULT et de 3 ministres écologistes est à cet égard un paradoxe symptomatique, tant on sait par exemple les divisions et les atermoiements sur l’aéroport de Notre-Dame des Landes.
La multiplication des portefeuilles ministériels, 38 !, illustre cette incapacité du Président de la République à trancher et déterminer une politique courageuse et déterminée pour redresser la France. Par exemple, on peut déplorer l’incapacité de penser notre immense espace maritime comme une opportunité majeure pour la France au XXIème siècle, en le maintenant sous la tutelle du ministre de l’Ecologie au lieu de le placer dans la dynamique de Bercy.
Ce remaniement offrait au Président de la République une occasion, la dernière, de prendre conscience de la situation explosive que notre pays traverse, tant sur le plan du chômage que de celui de la sécurité, de l’immigration ou de la perte des valeurs. Ce n’est pas le cas.
La droite française doit en tirer toutes les conséquences pour se préparer dans ces prochains mois. Pour ma part, je poursuis mon action de député de l’opposition, fidèle à mes valeurs, et au travail engagé pour participer à la définition d’un programme et d’un projet de redressement pour la France.
Après les grandes annonces des prétendus « gouvernements de combat », c’est une armée mexicaine qui se profile en faisant entrer, pour quelques mois, toutes les subdivisions électorales de 2012.
Ce nouveau gouvernement est-il composé dans la recherche de l’intérêt supérieur de la France ? Où s’agit-il d’une énième opération de sauvetage d’un président qui a échoué sur tout ?
Quelques jours après le départ de Mme TAUBIRA, c’est un parfum de IVème République agonisante qui souffle sur notre pays.
Le retour de Jean-Marc AYRAULT et de 3 ministres écologistes est à cet égard un paradoxe symptomatique, tant on sait par exemple les divisions et les atermoiements sur l’aéroport de Notre-Dame des Landes.
La multiplication des portefeuilles ministériels, 38 !, illustre cette incapacité du Président de la République à trancher et déterminer une politique courageuse et déterminée pour redresser la France. Par exemple, on peut déplorer l’incapacité de penser notre immense espace maritime comme une opportunité majeure pour la France au XXIème siècle, en le maintenant sous la tutelle du ministre de l’Ecologie au lieu de le placer dans la dynamique de Bercy.
Ce remaniement offrait au Président de la République une occasion, la dernière, de prendre conscience de la situation explosive que notre pays traverse, tant sur le plan du chômage que de celui de la sécurité, de l’immigration ou de la perte des valeurs. Ce n’est pas le cas.
La droite française doit en tirer toutes les conséquences pour se préparer dans ces prochains mois. Pour ma part, je poursuis mon action de député de l’opposition, fidèle à mes valeurs, et au travail engagé pour participer à la définition d’un programme et d’un projet de redressement pour la France.