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Après avoir écouté hier jeudi 26 septembre, l’ensemble des intervenants au colloque* organisé par l’Ambassade de Norvège en France et le Sénat – Groupe interparlementaire France- Europe du Nord, Jean-Claude MERCERON, Sénateur UDI de la Vendée est intervenu pour conclure les débats en sa qualité de Président délégué pour la Norvège de ce Groupe interparlementaire France-Europe du Nord.Ce colloque sur « L‘égalité Hommes-Femmes au travail, un atout pour l’entreprise : le modèle norvégien, un modèle à suivre » s’est déroulé, après la présentation du modèle norvégien par le Pr Kjell SALVANES, Professeur d’économie à l’Université d’Oslo, en deux temps forts:L’Etat peut-il encore être le moteur de l’égalité entre hommes et femmes dans le monde du travail ? L’égalité au travail, facteur de rentabilité pour les entreprises.
« La question du congé de parentalité me paraît centrale. Toutefois, ce n’est pas la seule : nous devons opérer en France, une révolution culturelle notamment sur l’éventail des formations et des postes accessibles aux femmes pour sortir de la segmentation sur le marché du travail. » a tenu à souligner Jean-Claude MERCERON.
Particulièrement séduit par le modèle norvégien qui développe « une approche globale, particulièrement efficace semble-t-il : une politique publique qui englobe dans une analyse cohérente la vie professionnelle et la vie familiale, d’une part, et les femmes et les hommes, d’autre part. », le Sénateur centriste vendéen de poursuivre son propos : « Pour nous Français, un tel modèle, par son ambition et pas ses résultats, ne peut que nous faire réfléchir et nous donner envie d’avancer »
En effet, comme cela a été précisé lors du colloque, les études montrent que le Produit Intérieur Brut de la Norvège serait inférieur de 15% sans le travail des femmes.
« La question du congé de parentalité me paraît centrale. Toutefois, ce n’est pas la seule : nous devons opérer en France, une révolution culturelle notamment sur l’éventail des formations et des postes accessibles aux femmes pour sortir de la segmentation sur le marché du travail. » a tenu à souligner Jean-Claude MERCERON.
Particulièrement séduit par le modèle norvégien qui développe « une approche globale, particulièrement efficace semble-t-il : une politique publique qui englobe dans une analyse cohérente la vie professionnelle et la vie familiale, d’une part, et les femmes et les hommes, d’autre part. », le Sénateur centriste vendéen de poursuivre son propos : « Pour nous Français, un tel modèle, par son ambition et pas ses résultats, ne peut que nous faire réfléchir et nous donner envie d’avancer »
En effet, comme cela a été précisé lors du colloque, les études montrent que le Produit Intérieur Brut de la Norvège serait inférieur de 15% sans le travail des femmes.