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Alors que la campagne présidentielle s'enlise, la mise en œuvre du Brexit annonce un gigantesque plan social, sans précédent, pour les pêcheurs français.
Yannick MOREAU, député de la Vendée littorale et secrétaire national LR à la Mer et à la Pêche, tire une nouvelle fois le signal d'alarme : "les pêcheurs français vont être les premières victimes du Brexit si celui-ci est mal négocié. Les efforts du ministre Vidalies ne suffiront pas à défendre les intérêts français : il faut une prise de conscience nationale, relayée au plus haut niveau de l'Etat, et que ce sujet soit débattu par les candidats à l’élection présidentielle."
"Alors que les professionnels de la Pêche se sont organisés pour évaluer les conséquences du départ du Royaume Uni de l'Union européenne, le Gouvernement français est très en retrait" s'inquiète Yannick MOREAU.
"La question de la Pêche doit figurer dans le mandat de négociation donné à la Commission européenne, dans une vision globale de la négociation. C'est le principe de la coopération entre les Etats membres qui serait menacé si tel n'était pas le cas" avertit Yannick MOREAU, pour qui le maintien de la répartition des quotas est un point essentiel.
"Cette négociation sera difficile : le Gouvernement français actuel et le suivant devront être déterminés pour que la pêche française ne soit pas sacrifiée au profit d'un mauvais compromis. La question de l'accès au marché unique des produits de la mer britanniques devra être posée, puisque le Royaume-Uni est aujourd’hui très dépendant de ses clients européens".
"Cette négociation du Brexit peut aussi être une opportunité de renouveler la politique de la Pêche, vers plus de lisibilité et de stabilité, avec notamment l'instauration de quotas pluriannuels." conclut-il.
Yannick MOREAU, député de la Vendée littorale et secrétaire national LR à la Mer et à la Pêche, tire une nouvelle fois le signal d'alarme : "les pêcheurs français vont être les premières victimes du Brexit si celui-ci est mal négocié. Les efforts du ministre Vidalies ne suffiront pas à défendre les intérêts français : il faut une prise de conscience nationale, relayée au plus haut niveau de l'Etat, et que ce sujet soit débattu par les candidats à l’élection présidentielle."
"Alors que les professionnels de la Pêche se sont organisés pour évaluer les conséquences du départ du Royaume Uni de l'Union européenne, le Gouvernement français est très en retrait" s'inquiète Yannick MOREAU.
"La question de la Pêche doit figurer dans le mandat de négociation donné à la Commission européenne, dans une vision globale de la négociation. C'est le principe de la coopération entre les Etats membres qui serait menacé si tel n'était pas le cas" avertit Yannick MOREAU, pour qui le maintien de la répartition des quotas est un point essentiel.
"Cette négociation sera difficile : le Gouvernement français actuel et le suivant devront être déterminés pour que la pêche française ne soit pas sacrifiée au profit d'un mauvais compromis. La question de l'accès au marché unique des produits de la mer britanniques devra être posée, puisque le Royaume-Uni est aujourd’hui très dépendant de ses clients européens".
"Cette négociation du Brexit peut aussi être une opportunité de renouveler la politique de la Pêche, vers plus de lisibilité et de stabilité, avec notamment l'instauration de quotas pluriannuels." conclut-il.