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L'actualité et l'information sur la ville de Paris et ses environs

 

Un pionnier de l'industrie informatique avec 16 ans d'expérience pour diriger la stratégie et la croissance de l'entreprise


Paris le 5 novembre 2012 - Aujourd'hui, Barracuda Networks Inc ., fournisseur leader de solutions de sécurité et de protection des données, a annoncé la nomination de son nouveau PDG et membre du conseil d'administration : M. William « BJ » Jenkins. Ancien directeur du département des systèmes de sauvegarde et de restauration chez EMC, M. Jenkins, qui travaille depuis 16 ans dans l'industrie informatique, dirigera la stratégie et la croissance de l'entreprise qui s'oriente vers une introduction en Bourse (IPO).

 


« Barracuda Networks est un modèle de société axée sur la clientèle qui se concentre sur l'offre d'abonnements à des solutions informatiques haut de gamme », commente M. Jenkins. « Tout au long de ma carrière, j'ai eu la chance d'observer différentes entreprises du secteur des technologies, et j'ai pu me rendre compte de cette formidable opportunité que nous avons chez Barracuda Networks. L'entreprise a une renommée fantastique, une très bonne marque, de nombreux clients et associés ainsi qu'un éventail de produits novateurs qui génèrent de grandes opportunités pour les clients qui souhaitent simplifier leurs déploiements informatiques. Je suis enthousiaste et honoré à l'idée de rejoindre l'équipe et d'exploiter les réussites de l'entreprise. »

 

« BJ est un leader agréable et dynamique, et nous sommes impatients de l'avoir parmi nous, en cette période si passionnante dans l'histoire de notre entreprise », explique Michael Perone, co-fondateur, directeur général adjoint et directeur marketing chez Barracuda Networks. « Son expérience est impressionnante. Il était à la tête de l'une des plus grosses croissances d'EMC et a facilité sa transition : l'entreprise qui était à la base « mono-produit », propose désormais un portfolio de produits et éprouve un grand succès entraînant innovations et forte hausse du chiffre d'affaires. Nous sommes certains que BJ sera un élément clé du succès de notre entreprise. »

 

M. Jenkins a rejoint EMC en 1998, et a occupé une grande partie des postes clés de l'entreprise avant de devenir directeur du départem ent des systèmes de sauvegarde et de restauration. Il a par exemple été l'état-major de ce même département, où il a mené à bien, avec succès, l'insertion post-acquisition de Data Domain comme base du nouveau département créé. Le département des systèmes de sauvegarde et de restauration est, depuis sa création, un moteur essentiel à la croissance de l'entreprise qui est rapidement devenue le meilleur choix de la liste « Fortune 1000 » concernant les systèmes de protection des données de dernière génération. Au fil des années, il a également occupé les postes de vice-directeur marketing international sénior ; vice-directeur des ventes télécom, média et divertissement, et ventes externalisées ; vice-directeur marketing terrain international ainsi que directeur des opérations des réseaux internationaux. M. Jenkins est diplômé de l'université de l'Illinois et a obtenu son MBA à la Harvard Business School.

 

Barracuda Networks a développé, à l'échelle mondiale, une marque et une renommée de prédilection pour les solutions informatiques à la fois puissantes et simples d'emploi. Le portfoliodes produits de l'entreprise, basés sur des abonnements, englobe des solutions de sécurité, de réseau, d'application, de stockage et de protection des données. L'entreprise a commencé ses recherches pour un nouveau PDG en juillet, lorsque l'ancien PDG Dean Drako avait annoncé sa démission. En octobre, Barracuda Networks a réalisé un financement et une recapitalisation lorsque Francisco Partners et Sequoia Capital ont augmenté leurs actions grâce à un nouvel investissement de 130 millions de dollars , ayant pour but d'accélérer la croissance et d'augmenter les opérations de ventes, de développement et d'assistance.

 

 

A propos de Barracuda Networks Inc.

Barracuda Networks Inc. combine des solutions matérielles et logicielles, des services « dans le nuage » (« cloud services »), et de la téléassistance pour fournir des solutions complètes de sécurité, de réseau et de stockage. Le portefeuille produits de l'entreprise inclut des offres de protection contre les menaces liées aux emails, à l'Internet et aux messageries instantanées ainsi que des produits qui améliorent le fonctionnement des applications et les accès réseau, l'archivage de messages, la protection et la sauvegarde des données.

Aujourd'hui, Barracuda Networks dispose de 10 bureaux à travers le monde dont 1 en France et des distributeurs dans 100 pays. Plus de 130 000 clients internationaux dont Coca-Cola, FedEx, L'Université d'Harvard, IBM, L'Oréal et Europcar ont choisi de protéger leur infrastructure informatique avec la gamme de produits Barracuda Networks, des solutions à des prix abordables, faciles à déployer et à gérer. Le siège de la société se situe à Campbell en Californie.

Pour plus d'informations : www.barracudanetworks.com

 


Rédigé par Paris Info le 05/11/2012 à 16:18 | Commentaires (0) Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest
Compétitivité : « Les entrepreneurs exhortent le Gouvernement à suivre le rapport Gallois. Il y a urgence à agir ! »

Le poids actuel des cotisations sociales qui pèsent sur les entrepreneurs français est de 22 points plus élevé en France que chez notre voisin Allemand. Qui peut sérieusement contester le fait que cela est un handicap évident et que cela ne peut plus durer ? Ouvrons les yeux, depuis vingt ans, la part de marché des entreprises françaises est passée de 7,1 % à 3,9 % des échanges mondiaux, va-t-on vraiment attendre que cette part soit nulle pour réagir ?

Pour un même coût du travail, 4 000 euros brut, nous entrepreneurs, payons 1 217 euros de charges patronales alors que notre voisin allemand n'en paye que 695. C'est près du double. Et le salarié français perçoit un salaire net de 2 400 euros, alors que le salarié allemand reçoit un salaire net de 2 615 euros. Résultat : ce sont les salariés français et l'emploi en France qui sont pénalisés. Comment peut-on à partir de ce constat simple mais issu de notre quotidien d'entrepreneur, nier que notre pays connaît un problème de coût du travail ?

Arrêtons la caricature ! Entreprendre, ce n'est pas spéculer, défiscaliser et s'exiler. Au contraire, c'est créer, bousculer, défricher, conquérir. Ce problème de compétitivité nuit à l'expression de l'audace créatrice de nos talents dont il faut arrêter l'exode. Nous, entrepreneurs, demandons au Gouvernement de nous entendre, de nous comprendre et d'agir maintenant !

L'obsession de l'entrepreneur français c'est de se développer ... pourquoi dès lors une entreprise ne pourrait-elle pas travailler plus de 35h quand elle rencontre une période tendue de production par exemple ?

Nous entrepreneurs ne pouvons plus accepter l'incapacité de nos dirigeants à prendre les mesures que tout le monde connait depuis des années pour redresser notre économie. Il y a notamment trois points incontournables à nos yeux dans ce que le rapport Gallois préconise :

1.    Réduire les dépenses publiques pour alléger le fardeau fiscal. La question n'est pas comme nous l'avons trop entendu de payer une facture qu'on ne peut pas payer mais de faire baisser cette facture. Et nous nous félicitons du fait que le Rapport Gallois souligne sans détour cette réalité cruelle.

2.    Il faut instaurer une TVA compétitivité pour rendre les produits étrangers plus chers et favoriser les produits français. Nous regrettons son abrogation qui allait de pair avec une baisse des cotisations sociales sur les salaires de nos salariés comme l'évoque clairement le rapport Gallois.

Sur la hausse de la CSG prônée par le rapport Gallois : La croissance ne se décrète pas. Il faut en créer les conditions. Aucun autre pays n'envisage de doper la croissance en augmentant le coût du travail. Un smicard paye déjà 1300 ? de CSG par an, soit plus d'un mois de smic, trouve-ton cela insuffisant au point de le faire contribuer encore plus ?

3.    Simplifier les démarches entrepreneuriales, administratives, sociales et fiscales. 6000 dispositifs d'aide aux PME existent. Comment peut-on se repérer dans un tel labyrinthe ? Ce n'est pas tout, des seuils poussent le patron à s'inquiéter dès qu'il veut embaucher un 10e salarié car il va avoir 50 nouvelles obligations à remplir à partir de ce stade. Il faut faire sauter ces verrous pour créer des emplois. Les premières victimes en sont d'ailleurs les plus jeunes et les séniors dont le rapport Gallois est une bouée de sauvetage qui peut éviter qu'ils soient les premières victimes d'un marché du travail trop rigide.

Nous ne pouvons plus attendre. Tous nos indicateurs sont au rouge, du commerce extérieur à la recherche. Le constat est acablant, n'attendons plus.





A propos de Didaxis

Créée en 2004 par Guillaume Cairou, Didaxis est un groupe de sociétés leader du conseil en prestations intellectuelles de haut niveau. La société réalise un chiffre d'affaire estimé à près de 45 millions d'euros en 2010 en progression constante depuis 6 ans. En 2010 Didaxis intègre la 1ère place du classement informatique Fast500 EMEA établi par Deloitte avec +2 234% de croissance.

En 2011 :
- Didaxis rejoint le palmarès des PME les plus performantes de France.
- Guillaume Cairou son PDG est nommé au Prix de l'Entrepreneur de l'Année 2011 (Ernst&Young).
En 2012:
- Didaxis est nommé par l'EXPRESS entreprise d'avenir.

Rédigé par Paris Info le 05/11/2012 à 12:35 | Commentaires (0) Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest
Le lundi 19 novembre, la Chaire Mutations‐Anticipations‐Innovations (MAI) de l’IAE de Paris organisera une conférence sur le thème « Restructurations d’entreprise : entre légalité et légitimité ». Ouvert au grand public, cet événement réunira des chercheurs en sciences de gestion, des syndicalistes, des dirigeants d’entreprises, des experts et des représentants des pouvoirs publics. Florent NOEL, Professeur de Gestion des Ressources Humaines à l’IAE de Paris, lancera la séance en présentant une synthèse des derniers travaux de recherche réalisés par la Chaire MAI sur les restructurations d’entreprises. Jean‐Pierre AUBERT, Délégué à l'évolution
des métiers et de l'emploi à la SNCF et Secrétaire Général de la Chaire MAI, animera les débats.
Restructurations d’entreprise : entre légalité et légitimité
Constats des chercheurs : il ne suffit pas de procéder à une restructuration en respectant les formes légales pour qu’elle soit considérée comme légitime par les salariés et l’opinion publique. Inversement, des pratiques contestables d’un strict point de vue juridique semblent parfois faire l’objet d’une acceptation sociale forte. Cela doit
inviter les acteurs à dialoguer et élaborer des compromis sociaux. La table‐ronde réunira syndicalistes, dirigeants d’entreprises, représentants des pouvoirs publics, experts et chercheurs qui débattront des solutions et des pratiques innovantes qui pourraient être envisagées. Y participeront : Alain Braud, Directeur des Relations Sociales Michelin France ; Hervé Dufoix, DRH de l’AFPA ; Christian Janin, Secrétaire Confédéral de la CFDT ; Maurad Rabhi, Secrétaire Général de la Confédération Textile de la CGT ; Martin Richer, Consultant.
Chaire Mutations‐Anticipations‐Innovations
Créée en 2008, et dirigée par Géraldine SCHMIDT, Directeur de la Recherche à l’IAE de Paris, la Chaire MAI analyse toutes les formes de réorganisations majeures (fusions d’entreprises, fermetures de sites, cession ou réduction d’activité, etc.) qui ont un impact sur l’emploi. Pour Géraldine SCHMIDT, « Les situations de crise résultent tout d’abord d’un manque d’anticipation : les décisions prises mettent les salariés devant le fait accompli. Les associer en amont permettrait de mener des négociations plus apaisées, réunissant les acteurs à tous les niveaux d’intervention : régional, national, international. Le défaut
d’évaluation sur le long terme des pratiques et dispositifs de négociation, de reclassement et de revitalisation des
territoires rend difficile la capitalisation des « bonnes pratiques ».
Irriguer l’enseignement et éclairer les pratiques
Les résultats des travaux de la Chaire MAI, menés sous forme de recherche‐intervention dans les entreprises, irriguent également les enseignements assurés à l’IAE de Paris. Dans le Master RH, par exemple, en formation initiale et continue, des modules sont dédiés aux restructurations d’entreprises, et par assurés des chercheurs et des experts de la Chaire. Les diplômés sont donc mieux armés pour analyser ce genre de situation. « Restructurations d’entreprise : entre légalité et légitimité » ‐ lundi 19 novembre 2012 de 18h30 à 20h30 A l’IAE de Paris, 21 rue Broca 75005 Paris – www.iae‐paris.com
Entrée gratuite‐ Inscription préalable requise auprès de Paula Berdugo (berdugo.iae@univ‐paris1.fr)

Rédigé par Paris Info le 31/10/2012 à 13:30 | Commentaires (0) Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest
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