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Le Premier ministre a affirmé à l'issue de la réunion que "les critères mis en oeuvre par l'Etat pour définir les zones" inconstructibles après la tempête Xynthia étaient "objectifs" et n'appelaient "pas de remise en cause dans la phase actuelle".
Des "délégués à la solidarité" sous l'autorité des préfets devraient également être nommés pour recevoir les sinistrés. Enfin, François Fillon a annoncé qu'il avait demandé aux fédérations d'assureurs de "réduire de trois mois à un mois les délais permettant l'indemnisation" des victimes.
Cette mise au point intervient après un week-end marqué par plusieurs manifestations de sinistrés refusant de quitter leur maison, et par une déclaration du ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, semblant ouvrir la voie à un réexamen de certains cas.
Plus de 1.500 logements sont en théorie voués à la destruction en Vendée et Loire-Atlantique dans les "zones noires" définies par les pouvoirs publics, c'est-à-dire celles qui présentent "un danger de mort avéré".A La Faute-sur-Mer, commune de Vendée où 29 personnes ont péri dans les inondations, la cartographie des "zones noires" est jugée "injuste et terriblement arbitraire" par l'avocat de l'association des victimes des inondations de La Faute-sur-Mer (AVIF).