Les lycéens tentent de rejoindre la gare
Les autorités craignent en effet que les jeunes rejoignent le parvis de la gare, occupé, lui, par plus d’une centaine de cheminots. Venus de toute la région, ils ont répondu à l’appel des syndicats CGT, FO et Sud.
Des cheminots devant la gare
Le responsable de la CGT déplore ensuite « la baisse permanente des emplois à la SNCF dans la Région : moins de 630 emplois depuis 2006 ». Il s’oppose aussi à la fermeture du dépôt de Thouars et des ateliers du Mans.
Une assistance des plus sages
Pendant ce temps-là, à quelques mètres de là, les reines des Sables d’Olonne attendent sagement l’arrivée du convoi officiel et le groupe bordelais O Zabumba assure l’animation devant l’entrée de la gare pour le plus grand plaisir des personnes présentes et notamment des élèves de CM1 et CM2 de l’école primaire Clemenceau des Sables d’Olonne.
Le geste symbolique des officiels
A midi pile, le TGV fait son entrée officielle en gare des Sables d’Olonne. Pdg de la SNCF, Guillaume Pépy, non dans la rame mais sur le quai, accueille les personnalités, aussitôt assaillies par une myriade de photographes et de journalistes. Quelques instants plus tard, Dominique Bussereau, secrétaire d’Etat, chargé des Transports : Jacques Auxiette, président du Conseil régional des Pays de la Loire ; Philippe de Villiers, président du Conseil général de la Vendée ; les maires Louis Guédon et Pierre Regnault, respectivement présidents des communauté de communes des Olonnes et du pays yonnais ; Hubert du Mesnil, président de Réseau Ferré de France, et Guillaume Pepy, président de la SNCF, montent symboliquement sur une estrade, implantée devant la gare, pour procéder symboliquement à l’électrification de la ligne ferroviaire entre Paris-Montparnasse et Les Sables-d’Olonne via Nantes et La Roche-sur-Yon.
12 h 20, le TGV est officiellement arrivé aux Sables d’Olonne. La foule se disperse alors que les officiels et les journalistes montent à bord d’autocars. Direction le centre des Congrès des Atlantes pour les discours.