« J’étais vraiment ému en quittant New York. C’est toujours un peu dur de quitter des personnes que l’on apprécie et des lieux dans lesquels on est bien pour se retrouver seul en mer. J’ai pu en profiter, redécouvrir la ville, faire des choses vraiment sympas… Je pars avec beaucoup de souvenirs, d’où l’émotion du moment. Le fait que le départ soit un peu loin, c’est plus difficile de se projeter sur la course. L’équipe technique a été bien présente jusqu’au bout et on a pu profiter d’une dernière vue sur Manhattan avant de filer vers le large. »
Un départ particulier
« J’ai quitté les pontons ce mardi en milieu de journée. Ensuite, j’ai passé du temps avec l’équipe qui m’a accompagné jusqu’à la fin de l’après-midi. Je crois que je préfère le format où on part directement : on a moins le temps pour cogiter. Après, ça va être une nuit relativement tranquille, je vais en profiter pour regarder un film tout en assurant une veille du bateau. Il avance à 6-7 nœuds, il y a peu de trafic sur zone donc ça devrait bien se passer ».
Les conditions au ‘top départ’
« Ça s’annonce extrêmement calme pendant la journée et la nuit suivante. Ce n’est jamais facile à négocier ces zones avec très peu d’air mais on va faire avec. Ça risque d’être un peu aléatoire mais le vent va finir par rentrer pour tout le monde et les écarts devraient être limités. Après le waypoint (défini dans le Sud par la direction de course), on devrait avoir plus de vent. On ira chercher un point de passage au Nord d’une dépression et essayer de trouver un trou de souris. »
La physionomie de la course.
« C’est très dur de se projeter sur la suite parce que la situation météo est encore très floue, j’ai rarement vu ça ! L’essentiel du jeu devrait néanmoins être déterminé par la position de l’anticyclone des Açores. S’il est trop haut, il faudra faire du près quasiment jusqu’à l’arrivée. S’il est trop bas, on devrait passer au-dessus et faire une semaine de portant. À 100 milles près, le curseur change donc la donne. Ça s’annonce très intéressant ! »
Paprec et la voile
Avec sept victoires majeures sur le circuit IMOCA en 20 ans et cinq participations au Vendée Globe dont quatre aux côtés de Jean-Pierre Dick, le groupe Paprec figure parmi les acteurs majeurs du sponsoring voile. Il poursuit l’aventure sur le circuit professionnel en créant une écurie dédiée avec Arkéa et avec Yoann Richomme. En parallèle, le groupe participe aux régates TP52 Super Series, alignant un équipage amateur de haut niveau, skippé avec succès par Stéphane Névé, skipper du groupe.
Acteur majeur des circuits de la course au large, Paprec est depuis 2022 le partenaire titre de La Solitaire du Figaro, devenue La Solitaire du Figaro - Paprec. Il est partenaire éponyme de la Transat Paprec, reliant Concarneau à l’île de Saint-Barthélemy. Paprec a contribué à imposer des binômes mixtes au départ, une grande première dans la course au large.
-
Vendée Globe 2024 : une réparation audacieuse et une danse de la victoire !
-
Vendée Globe : le classement ce matin
-
Solidarité en Vendée : du 22 novembre au 22 décembre, des crackers au grand cœur !
-
Avarie à bord de l 'imoca Bureau Vallée
-
Le Mercosur souffle sur les braises de la crise agricole: Agri-Éthique demande de la loyauté envers les agriculteurs français
Premier groupe bancaire à se doter d’une Raison d’être en 2019, le Crédit Mutuel Arkéa est devenu une entreprise à mission en 2022 et s’engage au travers de son plan stratégique “Transitions 2024” à pratiquer une finance au service des territoires et de leurs acteurs afin de se positionner comme le partenaire financier agile et innovant des transitions d’avenir.
Présent sur l’ensemble du territoire national, le Crédit Mutuel Arkéa a fait le choix de maintenir ses centres de décisions en région. Il est un acteur majeur de la création d’emploi sur ses territoires, et s'appuie sur une dynamique de recrutement continue.
Le Crédit Mutuel Arkéa et la voile
L’engagement du groupe Crédit Mutuel Arkéa dans la voile est né il y a 20 ans. Le Crédit Mutuel de Bretagne est présent avec succès sur les circuits Figaro et Class 40. Dans le prolongement, le Crédit Mutuel Arkéa, en partenariat avec le groupe Paprec, a gravi en 2019 un nouvel échelon en s’attaquant au circuit IMOCA et au challenge Vendée Globe 2024 avec le skipper Yoann Richomme. Partageant avec la voile, les valeurs de dépassement de soi et de recherche de performance, Arkéa veut désormais donner du sens à son sponsoring et l’inscrire dans la continuité. En 2024, le Crédit Mutuel Arkéa a donné son nom à la première course au large en Ultim, en solitaire et sans assistance : l’ARKEA ULTIM CHALLENGE - Brest.