En préambule de l'enquête sur le Grand Ouest, le journaliste de Capital Arnaud Brunet écrit : " La cote de l'immobiler tient bon sur la façade Atlantique et dans les centres villes. Mais elle baisse depuis un an en périphérie et dans les cités que le TGV ignore ".
Concernant le chef-lieu de la Vendée, Jean-Michel Dhomps indique : " Le vent a subitement tourné : non seulement les prix se sont stabilisés dans tous les quartiers de la ville mais les délais de vente ont doublé. Trois à quatre mois sont désormais nécessaires pour écouler une maison avec jardin ".
Une carte détaillée et des commentaires font dans Capital le point quartier par quartier.
Quelques chiffres : celà va de 2 600 euros le m2 dans le Pentagone à 1 000 euros le m2 aux Forges dans l'ancien et le récent de plus de 5 ans.
Aux Sables d'Olonne, Caroline Montaigne affirme : " Depuis un an, la cote est figée, même sur le remblai, où 5 500euros le m2 constitue désormais un plafond... Dans le centre, prévoyez de 3 000 à 3 500 le m2. Si vous préférez une maison, prospectez les quartiers des Présidents, de Saint-Pierre et Arago : comptez au minimum 350 000 m2 pour 150 m2 habitables...
Il faut aussi savoir que dans les communes périphériques (Château-d'Olonne et Olonne-sur-Mer) les pavillons de lotissement ont perdu jusqu'à 10 % de leur valeur.