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Dans un communiqué publié samedi à l'issue d'une réunion de ses responsables en Conseil national à Paris, le MPF lance une mise en garde au chef de l'Etat, qu'il avait soutenu lors du dernier scrutin présidentiel.
"Le Mouvement pour la France a fait partie du comité de liaison de la majorité présidentielle pour y porter les valeurs d'une droite nationale de convictions et pour en constituer l'aile souverainiste", peut-on lire.
"Si, au cours des prochains mois, ces valeurs ne sont pas réaffirmées sans ambiguïté et si la composante souverainiste de la majorité n'est pas davantage prise en compte, nous ne pourrons plus, dans la perspective des échéances électorales de 2012, apporter notre soutien à Nicolas Sarkozy", ajoute-t-on.
Le parti créé par Philippe de Villiers en 1994 ajoute toutefois être prêt au dialogue.
"Nous ne fermons aucune porte. Nous n'excluons aucune hypothèse", écrit-il. "Tout reste à définir. Tout reste possible".
Candidat à l'élection présidentielle en 2007, après l'avoir été en 1995, Philippe de Villiers avait obtenu 2,23% des voix au premier tour et soutenu Nicolas Sarkozy au second, avant de se rapprocher de l'UMP, le parti présidentiel.
Philippe de Villiers a quitté en octobre dernier ses fonctions au Conseil général de Vendée, qu'il présidait depuis 22 ans. Il demeure député européen, mandat pour lequel il a été réélu en 2009.
Elizabeth Pineau, édité par Jean-Loup Fiévet
"Le Mouvement pour la France a fait partie du comité de liaison de la majorité présidentielle pour y porter les valeurs d'une droite nationale de convictions et pour en constituer l'aile souverainiste", peut-on lire.
"Si, au cours des prochains mois, ces valeurs ne sont pas réaffirmées sans ambiguïté et si la composante souverainiste de la majorité n'est pas davantage prise en compte, nous ne pourrons plus, dans la perspective des échéances électorales de 2012, apporter notre soutien à Nicolas Sarkozy", ajoute-t-on.
Le parti créé par Philippe de Villiers en 1994 ajoute toutefois être prêt au dialogue.
"Nous ne fermons aucune porte. Nous n'excluons aucune hypothèse", écrit-il. "Tout reste à définir. Tout reste possible".
Candidat à l'élection présidentielle en 2007, après l'avoir été en 1995, Philippe de Villiers avait obtenu 2,23% des voix au premier tour et soutenu Nicolas Sarkozy au second, avant de se rapprocher de l'UMP, le parti présidentiel.
Philippe de Villiers a quitté en octobre dernier ses fonctions au Conseil général de Vendée, qu'il présidait depuis 22 ans. Il demeure député européen, mandat pour lequel il a été réélu en 2009.
Elizabeth Pineau, édité par Jean-Loup Fiévet