Bertrand Bonello est l'un des programmateurs invités de l'édition 2011. Sous le titre Souvenirs d'autres films, il a choisi une huitaine de titres en lien avec ses Souvenirs de la maison close, de L'Homme qui rit de Paul Leni à Boulevard de la mort de Quentin Tarantino, de L'Inconnu de Tod Browning à La Mort de Maria Malibran de Werner Schroeter. Il viendra naturellement rencontrer le public pour discuter de L'Apollonide, mais aussi présenter deux raretés de sa filmographie, Qui je suis, sur Pier Paolo Pasolini, et Ingrid Caven, musique et voix, comme son nom l'indique, en compagnie de l'actrice et chanteuse, muse de Rainer Werner Fassbinder et de Jean-Jacques Schuhl, et présidente du jury international de cette édition 2011. Nous y reviendrons dans de prochaines informations.
Le Festival International du Film de La-Roche-sur-Yon, Ad Vitam et Capricci s'associent pour célébrer l'un des plus grands cinéastes de notre temps, Jia Zhang Ke. C'est un triple événement. D'abord la présentation au festival, en sa présence, de tous les films du cinéaste chinois. Ensuite la sortie, en 2012, d'un coffret DVD intégral chez Ad Vitam, qui l'accompagne depuis de longues années. Enfin la parution chez Capricci, en 2012 également, de Mon gène cinématographique, recueil de notes de travail, d'interventions et d'entretiens donnés par le cinéaste couvrant l'ensemble de sa carrière, de Xiao Wu, artisan pickpocket (1998) à son dernier film à ce jour, I Wish I Knew (2011). Jia sur grand écran, à la Roche ; Jia en DVD ; Jia en livre : trois supports, trois moments inséparables pour un cinéaste qui aura su, mieux que quiconque, passer de la pellicule au numérique, aller et venir entre la fiction et le documentaire, les longs et les courts métrages, articuler le passé et l'avenir de la Chine.
Le Festival International du Film de La-Roche-sur-Yon, Ad Vitam et Capricci s'associent pour célébrer l'un des plus grands cinéastes de notre temps, Jia Zhang Ke. C'est un triple événement. D'abord la présentation au festival, en sa présence, de tous les films du cinéaste chinois. Ensuite la sortie, en 2012, d'un coffret DVD intégral chez Ad Vitam, qui l'accompagne depuis de longues années. Enfin la parution chez Capricci, en 2012 également, de Mon gène cinématographique, recueil de notes de travail, d'interventions et d'entretiens donnés par le cinéaste couvrant l'ensemble de sa carrière, de Xiao Wu, artisan pickpocket (1998) à son dernier film à ce jour, I Wish I Knew (2011). Jia sur grand écran, à la Roche ; Jia en DVD ; Jia en livre : trois supports, trois moments inséparables pour un cinéaste qui aura su, mieux que quiconque, passer de la pellicule au numérique, aller et venir entre la fiction et le documentaire, les longs et les courts métrages, articuler le passé et l'avenir de la Chine.