-« Nous sommes favorables à l’Europe. Elle est indispensable. Mais arrogance des technocrates, et des « bobos » parisiens « bien penseurs et beaux parleurs d’un environnement en chambre ».
-« Nous sommes prêts à la régionalisation de la ressource, et à travailler à la diminution de l’impact de nos pratiques sur la mer ».
-Opposés aux quotas individuels transférables (QIT), car « un humain ne peut être propriétaire d’une ressource vivante qu’il n’a pas pêchée », et parce qu’il y aurait un risque de « patrimonialisation des quotas », les participants ont plébiscité une individualisation par pêcheries (les OP) de manière à renforcer la mutualisation dans la gestion.
-La surcapacité des flottes ne concerne pas la France. Depuis 2002, les améliorations techniques ne compensent plus la diminution de la flotille. En Pays-de-la-Loire, la production a diminué de 5% par an depuis 2002.