Autres articles
-
Découvrez ici le nouveau gouvernement
-
"Notre mobilisation pour soutenir la candidature de Nicolas Sarkozy n’aura pas suffi"
-
François Hollande élu président de la République avec 51,67 % de voix
-
Nicolas Sarkozy aux Sables d'Olonne : «Les choses vont se jouer sur le fil du rasoir»
-
Élection du Président de la République française: les paris sont ouverts! sur www.unibet2012.com
Dominique Strauss-Kahn reste en prison. La juge du tribunal pénal de New York a refusé la demande de libération sous caution. Cette accusation compromet l’avenir politique de DSK et rebat les cartes de l'élection présidentielle de 2012 en France. Dominique Strauss-Kahn reste en prison. La juge du tribunal pénal de New York, Melissa Jackson, a refusé la demande de libération sous caution de DSK. Le parquet a fait valoir que les rapports préliminaires des experts corroborent les accusations de la plaignante et que si l'accusé retournait en France, il ne serait pas possible de le faire revenir aux Etats-Unis. Le directeur général du FMI, Dominique Strauss-Kahn, a été inculpé dimanche 15 mai d'agression sexuelle, de tentative de viol et de séquestration par le parquet de New York. L'ancien ministre français de l'Economie, âgé de 62 ans, a été interpellé à l'aéroport "JFK" et placé en garde à vue après les accusations d'une employée d'un hôtel de Manhattan où il séjournait. Cette affaire – inédite dans la vie politique française - est un coup de massue pour le Parti socialiste où beaucoup plaçaient leurs espoirs dans DSK pour reconquérir le pouvoir face à Nicolas Sarkozy à l’occasion des élections présidentielles de 2012.
Le Parti socialiste cherche à garder le cap et a maintenu le calendrier de ses primaires, mais cette interpellation a sidéré la classe politique française, qui soulignait la présomption d'innocence due au patron du FMI.
Nommé en novembre 2007 à la tête du FMI, DSK s'était retrouvé en 2008 au centre d'une controverse, accusé d'avoir eu une liaison avec l'une de ses subordonnées. Une enquête interne avait conclu à l'absence d'"abus hiérarchique", mais DSK avait présenté des excuses en reconnaissant "une erreur de jugement".
Le Parti socialiste cherche à garder le cap et a maintenu le calendrier de ses primaires, mais cette interpellation a sidéré la classe politique française, qui soulignait la présomption d'innocence due au patron du FMI.
Nommé en novembre 2007 à la tête du FMI, DSK s'était retrouvé en 2008 au centre d'une controverse, accusé d'avoir eu une liaison avec l'une de ses subordonnées. Une enquête interne avait conclu à l'absence d'"abus hiérarchique", mais DSK avait présenté des excuses en reconnaissant "une erreur de jugement".