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"Le Conseil d'État a estimé que la question prioritaire de constitutionnalité posée remplissait les conditions juridiques pour être renvoyée, en vue de son examen, au Conseil constitutionnel", a écrit le Conseil d'État.Ce dispositif prévoit la publication au Journal officiel des 500 signatures d'élus minimum requises pour se présenter au premier tour de l'élection présidentielle. Si les "Sages" déclarent que la disposition est contraire à la Constitution, elle disparaîtra de l'ordre juridique français.
Le Conseil d'État fonde sa décision sur "les changements ayant affecté la vie politique et l'organisation institutionnelle du pays" depuis 1976, date à laquelle l'exigence de publicité des parrainages est entrée en vigueur. Marine Le Pen crédité entre 15 et 21% des voix dans les sondages avait déposé fin décembre un recours devant le Conseil d'État contre ce système.Marine Le Pen disposerait de 350 promesses de signatures, sur les 500 requises.
Le Conseil d'État fonde sa décision sur "les changements ayant affecté la vie politique et l'organisation institutionnelle du pays" depuis 1976, date à laquelle l'exigence de publicité des parrainages est entrée en vigueur. Marine Le Pen crédité entre 15 et 21% des voix dans les sondages avait déposé fin décembre un recours devant le Conseil d'État contre ce système.Marine Le Pen disposerait de 350 promesses de signatures, sur les 500 requises.