Les spectacles de Vendée propose au public vendredi soir à 20h30 ...
Eric Serra est né près de Paris en septembre 1959. Sa mère meurt alors qu’il n’a que 7 ans, et son père Claude Serra est un auteur de chansons célèbre dans les années 1950 à 1960. A 11 ans, Eric Serra commence à jouer de la guitare et devient rapidement musicien professionnel pour Youssou N’Dour, Mory Kanté et Didier alors qu’il n’a que 15 ans. Au début des années 1980, Eric Serra fait une rencontre qui changera sa vie, celle de Luc Besson qui lui demande de composer la musique de son premier film, un court-métrage intitulé L'Avant dernier (1981) réalisé en 1981, puis de son premier long-métrage pour le cinéma, l’innovant Le Dernier Combat (1983) tourné en 1983. Eric Serra s’exécute et reste depuis un fidèle de Luc Besson, participant de tous ses films pour la musique originale, notamment Subway (1985) et Le Grand Bleu (1988) dont il sera plusieurs fois récompensé.
Sans perdre de vue Luc Besson, Eric Serra joue en tant que bassiste pour Jacques Higelin de 1980 à 1988. Sa renommée traversant les frontières avec le succès des films de Besson, il est même sollicité pour composer la musique originale du 19ème James Bond (si l’on compte le James Bond non reconnu officiellement Jamais plus jamais), GoldenEye (1995) sorti fin 1995.
En 1998, Eric Serra compose enfin pour lui-même et sort son premier album, ’RXRA’, un album réussi où l’on reconnait facilement sa touche, son utilisation des instruments, utilisé avec parcimonie comme pour mieux les entendre et les différencier, donc mieux les apprécier.
On le retrouve ensuite comme compositeur de musique originale sur les films français L'Art (délicat) de la Séduction (2001) réalisé en 2001 par Richard Berry, et Wasabi (2001) la même année avec Jean Réno, mais cette fois en collaboration avec d’autres compositeurs. John McTiernan a pu également profité de son talent, puisqu’Eric Serra a composé la musique originale de son remake Rollerball (2001) réalisé en 2002 avec... Jean Réno, un des acteurs fétiche de Luc Besson et la boucle est bouclé...