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Juste après le départ de François Hollande pour le sommet UE-Afrique de Bruxelles, Pierre-René Lemas, le secrétaire général de l’Elysée, a annoncé ce mercredi matin la liste des ministres du gouvernement que va diriger Manuel Valls.
Dans l’ordre protocolaire :
ministre des Affaires étrangères et du Développement international : Laurent Fabius. Le meilleur élève du gouvernement précédent ;
ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie : Ségolène Royal. Le grand retour, l’une des deux nouveautés du casting, avec François Rebsamen. Elle retrouve le portefeuille de l’Ecologie 22 ans après y avoir goûté sous Mitterrand. Valls l’a pratiquée sous le gouvernement Jospin ;
ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche : Benoît Hamon. Apparatchik socialiste précoce, il remplace le prof Peillon qui a beaucoup déçu (et qui se consolera au Parlement européen). Hamon a pour lui d’incarner la gauche du PS. C’est surtout un des rares complices de Manuel Valls dans l’ancienne équipe gouvernementale ;
garde des Sceaux, ministre de la Justice : Christiane Taubira. Malgré l’hostilité de Valls à son projet de réforme judiciaire, le nouveau totem de la gauche qui résiste aux « réacs » sauve sa peau ;
ministre des Finances et des Comptes publics : Michel Sapin. Il sera le gardien du dogme économique face à Montebourg. Et le maître d’œuvre du pacte de responsabilité. Il a déjà occupé Bercy en période de crise financière. Valls l’a également pratiqué sous Jospin. Il se débarrasse de la corvée d’annoncer, mois après mois, les chiffres du chômage. Ami proche de Hollande, ce dernier ne l’aurait jamais sacrifié ;
ministre de l’Economie, du Redressement productif et du Numérique : Arnaud Montebourg. Il a donné suffisamment de gages de Vallso-compatibilité. Avec Hamon, il était l’autre bon camarade du nouveau Premier ministre sous Ayrault. Il récupère le numérique, ce qui va lui permettre de ne plus tenter de redresser que de vieilles usines ;
ministre des Affaires sociales : Marisol Touraine. Contre toute attente, elle sauve sa peau. Elle a pour elle d’être une femme et une strauss-kahnienne historique ;
ministre du Travail, de l’Emploi et du Dialogue social : François Rebsamen. Il rate la ministère de l’Intérieur pour la deuxième fois. Pour le coup, ce n’est pas un ami de Valls. Sa nomination a fait l’objet d’un bras de fer avec Hollande. Le voilà ministre des Lots de consolation ;
ministre de la Défense : Jean-Yves Le Drian. Autre bon élève avec Fabius, autre ami cher de Hollande. Il a refusé l’Intérieur ; il aime les militaires ;
ministre de l’Intérieur : Bernard Cazeneuve. Fin, sérieux, indispensable pendant la campagne présidentielle, il a remplacé Cahuzac au pied levé. Il est le nom sur lequel Hollande et Valls ont pu se mettre d’accord pour le poste-clé de la place Beauveau ;
ministre des Droits des femmes, de la Ville, de la Jeunesse et des Sports : Najat Vallaud-Belkacem. Jolie promotion (même si elle perd le porte-parolat), elle devient la ministre des sujets « concernants » ;
ministre de la Décentralisation, de la Réforme de l’Etat et de la Fonction publique : Marylise Lebranchu. Malgré les difficultés (c’est peu de le dire) rencontrées par sa réforme des collectivités territoriales, l’amie de Martine Aubry a pour elle de jouer collectif et d’avoir fait ses preuves à la Justice sous Jospin ;
ministre de la Culture et de la Communication : Aurélie Filippetti. On ne peut pas dire qu’elle a brillé, mais après le fiasco des municipales, impossible de jeter une des rares à avoir reçu l’onction du suffrage universel (elle a été élue dimanche dernier à Metz) ;
ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, porte-parole du gouvernement : Stéphane Le Foll. Le factotum de Hollande passera plu souvent à la télé ;
ministre du Logement et de l’Egalité des territoires : Sylvia Pinel. La promo du siècle pour l’invisible ex-ministre déléguée à l’Artisanat. Fallait pas fâcher Jean-Michel Baylet, le patron des radicaux (et de leurs 22 parlementaires) : à l’Assemblée et au Sénat, les majorités risquent d’être difficiles à trouver pour Manuel Valls ;
ministre des Outre-mers : George-Pau Langevin. La ministre des quotas ?
ministre des Affaires étrangères et du Développement international : Laurent Fabius. Le meilleur élève du gouvernement précédent ;
ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie : Ségolène Royal. Le grand retour, l’une des deux nouveautés du casting, avec François Rebsamen. Elle retrouve le portefeuille de l’Ecologie 22 ans après y avoir goûté sous Mitterrand. Valls l’a pratiquée sous le gouvernement Jospin ;
ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche : Benoît Hamon. Apparatchik socialiste précoce, il remplace le prof Peillon qui a beaucoup déçu (et qui se consolera au Parlement européen). Hamon a pour lui d’incarner la gauche du PS. C’est surtout un des rares complices de Manuel Valls dans l’ancienne équipe gouvernementale ;
garde des Sceaux, ministre de la Justice : Christiane Taubira. Malgré l’hostilité de Valls à son projet de réforme judiciaire, le nouveau totem de la gauche qui résiste aux « réacs » sauve sa peau ;
ministre des Finances et des Comptes publics : Michel Sapin. Il sera le gardien du dogme économique face à Montebourg. Et le maître d’œuvre du pacte de responsabilité. Il a déjà occupé Bercy en période de crise financière. Valls l’a également pratiqué sous Jospin. Il se débarrasse de la corvée d’annoncer, mois après mois, les chiffres du chômage. Ami proche de Hollande, ce dernier ne l’aurait jamais sacrifié ;
ministre de l’Economie, du Redressement productif et du Numérique : Arnaud Montebourg. Il a donné suffisamment de gages de Vallso-compatibilité. Avec Hamon, il était l’autre bon camarade du nouveau Premier ministre sous Ayrault. Il récupère le numérique, ce qui va lui permettre de ne plus tenter de redresser que de vieilles usines ;
ministre des Affaires sociales : Marisol Touraine. Contre toute attente, elle sauve sa peau. Elle a pour elle d’être une femme et une strauss-kahnienne historique ;
ministre du Travail, de l’Emploi et du Dialogue social : François Rebsamen. Il rate la ministère de l’Intérieur pour la deuxième fois. Pour le coup, ce n’est pas un ami de Valls. Sa nomination a fait l’objet d’un bras de fer avec Hollande. Le voilà ministre des Lots de consolation ;
ministre de la Défense : Jean-Yves Le Drian. Autre bon élève avec Fabius, autre ami cher de Hollande. Il a refusé l’Intérieur ; il aime les militaires ;
ministre de l’Intérieur : Bernard Cazeneuve. Fin, sérieux, indispensable pendant la campagne présidentielle, il a remplacé Cahuzac au pied levé. Il est le nom sur lequel Hollande et Valls ont pu se mettre d’accord pour le poste-clé de la place Beauveau ;
ministre des Droits des femmes, de la Ville, de la Jeunesse et des Sports : Najat Vallaud-Belkacem. Jolie promotion (même si elle perd le porte-parolat), elle devient la ministre des sujets « concernants » ;
ministre de la Décentralisation, de la Réforme de l’Etat et de la Fonction publique : Marylise Lebranchu. Malgré les difficultés (c’est peu de le dire) rencontrées par sa réforme des collectivités territoriales, l’amie de Martine Aubry a pour elle de jouer collectif et d’avoir fait ses preuves à la Justice sous Jospin ;
ministre de la Culture et de la Communication : Aurélie Filippetti. On ne peut pas dire qu’elle a brillé, mais après le fiasco des municipales, impossible de jeter une des rares à avoir reçu l’onction du suffrage universel (elle a été élue dimanche dernier à Metz) ;
ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, porte-parole du gouvernement : Stéphane Le Foll. Le factotum de Hollande passera plu souvent à la télé ;
ministre du Logement et de l’Egalité des territoires : Sylvia Pinel. La promo du siècle pour l’invisible ex-ministre déléguée à l’Artisanat. Fallait pas fâcher Jean-Michel Baylet, le patron des radicaux (et de leurs 22 parlementaires) : à l’Assemblée et au Sénat, les majorités risquent d’être difficiles à trouver pour Manuel Valls ;
ministre des Outre-mers : George-Pau Langevin. La ministre des quotas ?
Rédigé par Angers Info le Mercredi 2 Avril 2014 à 15:51
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Jean-Claude Antonini a présenté au préfet sa démission de ses fonctions de maire d'Angers, qu'il exerce depuis 14 ans. Il reste président d'Angers Loire Métropole.
"A nouvelle génération de projet, nouvelle génération politique, j'en ai la conviction." C'est par ces mots que Jean-Claude Antonini exprime sa volonté de passer la main, dans une lettre destinée à tous les Angevins (à télécharger ci-dessous). Il souhaite désormais se consacrer exclusivement à ses fonctions de président d'Angers Loire Métropole, qu'il vient d'engager dans un nouvel espace de développement au sein du pôle métropolitain Loire-Bretagne.Un conseil municipal exceptionnel, présidé par André Despagnet, doyen des élus de la municipalité, se tiendra le jeudi 26 janvier à 11 heures pour élire le nouveau maire d'Angers. Jean-Claude Antonini reste en fonction jusqu'à cette date, et restera ensuite conseiller municipal.
Jean-Claude Antonini donne rendez-vous aux Angevins pour un moment convivial le samedi 28 janvier à 16h30, au théâtre Le Quai.
"A nouvelle génération de projet, nouvelle génération politique, j'en ai la conviction." C'est par ces mots que Jean-Claude Antonini exprime sa volonté de passer la main, dans une lettre destinée à tous les Angevins (à télécharger ci-dessous). Il souhaite désormais se consacrer exclusivement à ses fonctions de président d'Angers Loire Métropole, qu'il vient d'engager dans un nouvel espace de développement au sein du pôle métropolitain Loire-Bretagne.Un conseil municipal exceptionnel, présidé par André Despagnet, doyen des élus de la municipalité, se tiendra le jeudi 26 janvier à 11 heures pour élire le nouveau maire d'Angers. Jean-Claude Antonini reste en fonction jusqu'à cette date, et restera ensuite conseiller municipal.
Jean-Claude Antonini donne rendez-vous aux Angevins pour un moment convivial le samedi 28 janvier à 16h30, au théâtre Le Quai.
Le budget de la Ville pour 2011 a été adopté le 22 avril. Il s’établit à près de 271 millions d’euros avec un haut niveau d’investissement et la maîtrise des dépenses de fonctionnement.
Une hausse de 4,73% pour la taxe d’habitation, la taxe foncière et le foncier non-bâti. Depuis vingt-huit ans, les Angevins s’étaient habitués à la reconduction à l’identique des taux d’imposition par la Ville. Une très légère baisse avait même été votée en 1988 et 1989. "Si nous avons décidé d’augmenter les impôts cette année, c’est qu’il y avait urgence à prendre cette décision pour les années à venir, a souligné le maire, Jean-Claude Antonini. Ceci doit nous permettre, dès l’année prochaine, de maintenir le cercle vertueux de nos finances avec la maîtrise des dépenses de fonctionnement, un niveau d’emprunt adapté et une part d’autofinancement en hausse."
Ces décisions ont été actées par le conseil municipal lors du vote du budget 2011, vendredi 22 avril, par quarante-cinq voix pour et quatorze voix contre, celles des élus de la minorité.
Les taux d’imposition vont donc passer de 16,90% à 17,70% pour la taxe d’habitation, de 31,49% à 32,98% pour la taxe foncière, et de 36,83% à 38,57% pour le foncier non-bâti.
15 euros de plus par an pour la taxe foncière
L’adjoint aux Finances André Despagnet a fait les comptes: "Cette hausse de la taxe d’habitation représente une augmentation de 9 euros par an pour une famille avec trois enfants, locataire d'un appartement d’une valeur locative moyenne de 3000 euros, soit 0,75 euro par mois. Ce sera 1,17 euro par mois pour une famille avec deux enfants, 1,58 euro pour un couple avec un enfant, 1,91 euro pour un célibataire. Quant à la taxe foncière, payée par les seuls propriétaires de logement, l’augmentation sera d’environ 15 euros par an en moyenne."
Un niveau élevé d’investissements
Le niveau d’investissement reste élevé avec plus de 64 millions d’euros inscrits cette année, dont plus de 24 millions pour la rénovation urbaine et la solidarité, 15,28 millions pour la voirie et les déplacements, 12,5 millions pour le patrimoine, l’environnement et l’économie et 12,25 millions pour la culture, l’enfance et le sport. Pour financer les investissements, la Ville aura recours à l’emprunt pour 20 millions d’euros.
36 millions de subventions: un soutien renforcé à la solidarité
À souligner également, l’enveloppe de 36 millions d’euros de subventions avec un soutien renforcé aux associations menant des actions de solidarité et en faveur des familles, mais aussi le soutien aux emplois aidés et une subvention complémentaire de 300000 euros au centre communal d’action sociale en soutien aux Angevins en difficulté financière.
Maîtriser les dépenses de fonctionnement
Côté fonctionnement, ce budget permet de maîtriser la hausse des dépenses à 1,95%, pour un total de 179,55 millions d’euros. Les recettes restent supérieures aux dépenses, à 206,74 millions d’euros, et augmentent de 4,25% en dépit d’une baisse constante des dotations d’Etat.
La différence entre recettes et dépenses permet à la Ville de dégager une épargne brute de plus de 27 millions d’euros, directement réinjectés dans l’économie à travers les investissements.
Contrat d’avenir et de performance
Ce budget s’inscrit évidemment dans le contrat d’avenir et de performance proposé aux Angevins par le maire pour les trois ans à venir. Avec, pour grandes priorités, des objectifs forts en matière de service public, des investissements indispensables à l’avenir du territoire et un renforcement des mesures prises contre la crise.
Ces décisions ont été actées par le conseil municipal lors du vote du budget 2011, vendredi 22 avril, par quarante-cinq voix pour et quatorze voix contre, celles des élus de la minorité.
Les taux d’imposition vont donc passer de 16,90% à 17,70% pour la taxe d’habitation, de 31,49% à 32,98% pour la taxe foncière, et de 36,83% à 38,57% pour le foncier non-bâti.
15 euros de plus par an pour la taxe foncière
L’adjoint aux Finances André Despagnet a fait les comptes: "Cette hausse de la taxe d’habitation représente une augmentation de 9 euros par an pour une famille avec trois enfants, locataire d'un appartement d’une valeur locative moyenne de 3000 euros, soit 0,75 euro par mois. Ce sera 1,17 euro par mois pour une famille avec deux enfants, 1,58 euro pour un couple avec un enfant, 1,91 euro pour un célibataire. Quant à la taxe foncière, payée par les seuls propriétaires de logement, l’augmentation sera d’environ 15 euros par an en moyenne."
Un niveau élevé d’investissements
Le niveau d’investissement reste élevé avec plus de 64 millions d’euros inscrits cette année, dont plus de 24 millions pour la rénovation urbaine et la solidarité, 15,28 millions pour la voirie et les déplacements, 12,5 millions pour le patrimoine, l’environnement et l’économie et 12,25 millions pour la culture, l’enfance et le sport. Pour financer les investissements, la Ville aura recours à l’emprunt pour 20 millions d’euros.
36 millions de subventions: un soutien renforcé à la solidarité
À souligner également, l’enveloppe de 36 millions d’euros de subventions avec un soutien renforcé aux associations menant des actions de solidarité et en faveur des familles, mais aussi le soutien aux emplois aidés et une subvention complémentaire de 300000 euros au centre communal d’action sociale en soutien aux Angevins en difficulté financière.
Maîtriser les dépenses de fonctionnement
Côté fonctionnement, ce budget permet de maîtriser la hausse des dépenses à 1,95%, pour un total de 179,55 millions d’euros. Les recettes restent supérieures aux dépenses, à 206,74 millions d’euros, et augmentent de 4,25% en dépit d’une baisse constante des dotations d’Etat.
La différence entre recettes et dépenses permet à la Ville de dégager une épargne brute de plus de 27 millions d’euros, directement réinjectés dans l’économie à travers les investissements.
Contrat d’avenir et de performance
Ce budget s’inscrit évidemment dans le contrat d’avenir et de performance proposé aux Angevins par le maire pour les trois ans à venir. Avec, pour grandes priorités, des objectifs forts en matière de service public, des investissements indispensables à l’avenir du territoire et un renforcement des mesures prises contre la crise.
Ce mercredi matin, comme prévu, Nicolas Hulot a annoncé sa candidature à la présidentielle de 2012.
La campagne de M. Hulot Nicolas Hulot officiellement candidat à la présidentielle Hulot se lance pour 2012. L'écologiste le plus populaire de France, Nicolas Hulot, a annoncé ce mercredi sa candidature à la présidentielle de 2012, pour « ouvrir la voie d'une société nouvelle, écologique et sociale », ces deux enjeux étant selon lui « indissociables ». « J'ai décidé d'être candidat à l'élection présidentielle et de mettre le capital de confiance que j'ai essayé de construire au seul service du changement », a déclaré l'animateur de télévision, qui est âgé de 55 ans.
« A l'opposé des choix de la majorité actuelle »
Nicolas Hulot a affirmé qu'il défendait un projet « incompatible en l'état » avec les politiques du pouvoir en place, évoquant une candidature « à l'opposé des choix de la majorité actuelle ».
Nicolas Hulot s'est déclaré à Sevran, une ville de Seine-Saint-Denis emblématique de la « souffrance sociale » dont il veut faire son cheval de bataille.
Le Conseil d'administration de la Fondation Nicolas Hulot se réunira le 15 avril pour prendre acte de la démission de Nicolas Hulot, élire un nouveau président et changer l'appellation de la Fondation qui deviendra, conformément à l'article 16 de ses statuts de 1996, la « Fondation pour la Nature et l'Homme ».
La campagne de M. Hulot Nicolas Hulot officiellement candidat à la présidentielle Hulot se lance pour 2012. L'écologiste le plus populaire de France, Nicolas Hulot, a annoncé ce mercredi sa candidature à la présidentielle de 2012, pour « ouvrir la voie d'une société nouvelle, écologique et sociale », ces deux enjeux étant selon lui « indissociables ». « J'ai décidé d'être candidat à l'élection présidentielle et de mettre le capital de confiance que j'ai essayé de construire au seul service du changement », a déclaré l'animateur de télévision, qui est âgé de 55 ans.
« A l'opposé des choix de la majorité actuelle »
Nicolas Hulot a affirmé qu'il défendait un projet « incompatible en l'état » avec les politiques du pouvoir en place, évoquant une candidature « à l'opposé des choix de la majorité actuelle ».
Nicolas Hulot s'est déclaré à Sevran, une ville de Seine-Saint-Denis emblématique de la « souffrance sociale » dont il veut faire son cheval de bataille.
Le Conseil d'administration de la Fondation Nicolas Hulot se réunira le 15 avril pour prendre acte de la démission de Nicolas Hulot, élire un nouveau président et changer l'appellation de la Fondation qui deviendra, conformément à l'article 16 de ses statuts de 1996, la « Fondation pour la Nature et l'Homme ».
La droite, qui a repris le canton de Baugé aux socialistes, dès le premier tour, sait déjà qu’elle conservera la majorité avant même le déroulement du second tour. Elle emporte dans son escarcelle cinq des sept élus du premier tour : Marie-Jo Hamard à Pouancé, Gérard Delaunay à Candé, Serge Piou à Montrevault, Christian Rosello à Saint-Florent--le-Vieil et Philippe Chalopin à Baugé. « Les résultats sont conformes à nos espérances », indiquait Christophe Béchu, « dèçu » par la participation.
Les Ponts-de-Cé : le candidat du PS désavoué !
A gauche, on notera la nette victoire de Stella Dupont à Chalonnes-sur-Loire et de Bruno Cheptou à Doué-la-Fontaine. Le PS qui est peut-être en mesure, si l'on additionne les scores, de ravir aussi le canton de Saint-Georges-sur-Loire dimanche prochain. A noter le bon score des Verts dans certains cantons, comme Angers-Sud ou Angers-Ouest, où Gérard Nussman finit... deuxième !
Parmi les cantons qui ont défrayé la chronique, celui des Ponts-de-Cé où le parti socialiste avait décidé de « lâcher » son conseiller génaral sortant, Philippe Bodard pour des divergences. Ce dernier arrive pourtant en tête, à 54 voix près, devant le maire des Ponts-de-Cé, Joël Bigot, qui ne se maintiendra pas au second où sera également présent le candidat de la majorité départementale, Dominique Léon.
Les résultats sur Angers: Canton Angers Ouest ; Canton Angers Sud ; Canton Angers Trélazé
Les résultats complets par commune cliquez ici
Les Ponts-de-Cé : le candidat du PS désavoué !
A gauche, on notera la nette victoire de Stella Dupont à Chalonnes-sur-Loire et de Bruno Cheptou à Doué-la-Fontaine. Le PS qui est peut-être en mesure, si l'on additionne les scores, de ravir aussi le canton de Saint-Georges-sur-Loire dimanche prochain. A noter le bon score des Verts dans certains cantons, comme Angers-Sud ou Angers-Ouest, où Gérard Nussman finit... deuxième !
Parmi les cantons qui ont défrayé la chronique, celui des Ponts-de-Cé où le parti socialiste avait décidé de « lâcher » son conseiller génaral sortant, Philippe Bodard pour des divergences. Ce dernier arrive pourtant en tête, à 54 voix près, devant le maire des Ponts-de-Cé, Joël Bigot, qui ne se maintiendra pas au second où sera également présent le candidat de la majorité départementale, Dominique Léon.
Les résultats sur Angers: Canton Angers Ouest ; Canton Angers Sud ; Canton Angers Trélazé
Les résultats complets par commune cliquez ici
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Politique
La liste des candidatures a été arrêtée par la préfecture pour le 1er tour des élections cantonales dans le Maine-et-Loire, après la clôture de leur dépôt (ce jour 16h). Il y aura 92 candidats sans compter leurs suppléants.
Le 1er tour des elections cantonales dans le département aura lieu le 20 mars prochain. Les candidats avaient jusqu’à 16H lundi pour déposer leur candidature en préfecture à Angers.
Les cantons renouvelables : Allonnes, Angers-ouest, Angers-sud, Angers-Trelazé, Baugé, Candé, Chalonnes sur Loire, Cholet 1, Cholet 2, Durtal, Gennes, Montrevault, Les ponts de cé, Pouancé, Saint Florent le vieil, Saint Georges sur Loire, Doué la fontaine, Saumur Nord, Saumur Sud, Segré, Gennes.
Allonnes
Guy Bertin (SE, suppléante : Sylvie Bellanger) ; Sylvie Menjon (PS, Bernard Robert) ; Marie Paugham (FN, Patrice Plard)
Angers ouest
Fabrice Giraudi (PRG, Amélie Boutin) ; Fatimata Amy (PS, Philippe Gaudin) ; Thomas Chamaillé (DLR, Hélène Petitfrère) ; Nadine Bouvet (PC – FDG, Thomas Zucchelli) ; Caroline Fel (MD, Antoine Da Costa) ; Gérard Nussmann (EELV, Marianne Prodhomme)
Angers sud
Norma Mevel-Pla (PS, Jean-Pierre Durand) ; Michel Monier (POI, Marie Lavault) ; Gilles Groussard (MD, Karine Engel) ; Bruno Poterie (MoDem, Maryse Chrétien) ; Patrick Mennessier (DLR, Berthe Carré) ; Christel Pfister (PC – FDG, Allan Lebouc) ; Bruno Baron (EELV, Hannen Grati)
Angers Trélazé
Pierre Bahain (MD, Céline Gautier) ; Grégory Blanc (PS, Huguette Macé) ; Rachid Belkala (MoDem, Mathilde Housset-Weber) ; Philippe Denis (PC – FDG, Maud Fagault) ; Jamila Delmotte (EELV, Jean-François Barrat) ; Michel Schaeffer (FN, Maryvonne Spennato)
Baugé
Philippe Chalopin (MD-DVD, Béatrice Tessier) ; Elisabeth Trillon (EELV, Alain Crémois) ; Nelly Cabane (PC – FDG, Jean-Yves Daviau) ; Sébastien Lebouché (PS, Anne-Lise Charbonnier-Marchais) ; Danielle Gentet (FN, Joël Riffault)
Candé
Gérard Delaunay (MD, Evelyne Coué) ; Claude Averty (PC – FDG, Stéphanie Dupeyroux) ; Denis Payen (FN, Rachel Labays)
Chalonnes-sur-Loire
Jean-Claude Sancereau (UMP, Anne de Perthuis) ; Stella Dupont (PS, Gaëtan Robin) ; Annabelle Baholet (PC – FDG, Marc Gicquel) ; Sébastien Cornec (SE, Marie-Madeleine Monnier)
Cholet 1
Jean-Marc Vacher (PS, Anne Hardy) ; Jean-Paul Boisneau (MD, Isabelle Leroy) ; Franck Loiseau (PDG, Dominique Poupard)
Cholet 2
Jean-Pierre Chavassieux (MD, Jacqueline Delaunay) ; Marie-Hélène Aubert (EELV, Auguste Jaunet) ; Julien Fonteneau (PC – FDG, Monique Lang) ; Youssef Laarabi (PS, Pauline Gaillard)
Doué-la-Fontaine
Jean-Pierre Pohu (MD, Maryvonne Martin) ; Philippe Bouttier (PC – FDG, Viviane Saumon) ; Bruno Cheptou (PS, Laurence Sourice-Caillaud) ; Danielle Duret (FN, Gaëtan Dirand)
Durtal
Corinne Bobet (DVG, René-Claude Brunet) ; Jean-Luc Davy (UMP, Claude Clément) ; Isabelle Corlay (PRG, Benoit Pilet) ; Maurice Dufieue (FN, Jeannine Petiteau) ; Sophie Labrune-Delecolle (PC – FDG, Jean-Claude Bottereau)
Gennes
Astrid Lelièvre (PS, Pierre Gautier) ; Alain Lauriou (MD, Marie-Agnès Menini-Munier) ; Catherine Brauer (EELV, Joël Nédélec) ; Jean-Yves Fulneau (SE, Francine Ferrero) ; Christian Thoueil (PC – FDG, Yolande Moreau) ; Marc Lyoen (FN, Monique Bousseaud)
Montrevault
Serge Piou (MD, Françoise Pagerit) ; Christophe Dougé (EELV, Maryline Fonteneau-Grelet) ; Marie-Jeanne Ragueneau (PS, Gérard Véron) ; Hugues Bouvet (PC – FDG, Natacha Bleu-Combelles) ; Anne-Marie Durafour (FN, Philippe Albert-Roulhac)
Les Ponts-de-Cé
Dominique Léon (MD, Martine Juret-Riffault) ; Joël Bigot (PS, Chantal Heulin) ; Mireille Villette (POI, Didier Bourdin) ; Michel Burban (PC – FDG, Sylvie Rivinoff) ; Philippe Bodard (union socialiste et écologiste, Catherine Leclercq)
Pouancé
Mylène Canevet (PS, Jean-Yves Dumont) ; Marie-Josèphe Hamard (SE, Gérard Aubry) ; Sylvain Plouzin (PC – FDG, Marie-Madeleine Bouvier)
Saint-Florent-le-Vieil
François-Xavier Lantoine (PS, Sophie Demange) ; Christian Rosello (SE, Anne Verger)
Saint-Georges-sur-Loire
Martial Ruppert (EELV, Catherine Doineau) ; Jacques Genevois (PS, Maïté Edin) ; Jean-Marie Gaudin (MD, Valérie Levêque) ; Christian Gentils (SE, Françoise Duquesne) ; Jean-Jacques Dufois (PCF – FDG, Jacqueline Denis)
Saumur nord
Jean-Michel Marchand (PRG, Muriel Queyroi) ; Patrick Morineau (MPF, Aline Mathière) ; Jean-Michel Dumont (PCF – FDG, Béatrice Guillon) ; Paul Hugot (MD, Brigitte Jamin) ; Gaëlle Chardon (FDG – PDG, Romain Laveau) ; René Lacalmette (FN, Monique Lyoen)
Saumur sud
Patrick Gayon (SE, Caroline Joncheray) ; Charles-Henri Jamin (PCD-UMP, Régine Catin) ; Jackie Goulet (SE, Géraldine Le Coz) ; Christophe Cardet (EELV, Carole Hanna) ; Patrick Daviaud (MPF, Fabienne Michaud-Tamisier) ; Francis Martin (FN, Claudine Fauchard)
Segré
Gilles Grimaud (SE, Agnès James) ; Emmanuel Drouin (PS, Sonia Lamarche) ; Nathalie Benard (EELV, Alain Frappin) ; Annita Cochin (PC – FDG, Michel Olivier).
Les partis
EELV : Europe Ecologie-Les Verts ; DLR : Debout la République ; DVD : divers droite ; DVG : divers gauche ; FDG : Front de gauche ; MD : Majorité départementale ; MoDem : Mouvement démocrate ; MPF : Mouvement pour la France ; NC : Nouveau Centre ; PDG : Parti de gauche ; PRG : Parti radical de gauche ; POI : Parti ouvrier indépendant ; PC : Parti communiste ; PCD : Parti chrétien démocrate ; PS : Parti socialiste ; SE : sans étiquette ; UMP : Union pour un mouvement populaire.
Les cantons renouvelables : Allonnes, Angers-ouest, Angers-sud, Angers-Trelazé, Baugé, Candé, Chalonnes sur Loire, Cholet 1, Cholet 2, Durtal, Gennes, Montrevault, Les ponts de cé, Pouancé, Saint Florent le vieil, Saint Georges sur Loire, Doué la fontaine, Saumur Nord, Saumur Sud, Segré, Gennes.
Allonnes
Guy Bertin (SE, suppléante : Sylvie Bellanger) ; Sylvie Menjon (PS, Bernard Robert) ; Marie Paugham (FN, Patrice Plard)
Angers ouest
Fabrice Giraudi (PRG, Amélie Boutin) ; Fatimata Amy (PS, Philippe Gaudin) ; Thomas Chamaillé (DLR, Hélène Petitfrère) ; Nadine Bouvet (PC – FDG, Thomas Zucchelli) ; Caroline Fel (MD, Antoine Da Costa) ; Gérard Nussmann (EELV, Marianne Prodhomme)
Angers sud
Norma Mevel-Pla (PS, Jean-Pierre Durand) ; Michel Monier (POI, Marie Lavault) ; Gilles Groussard (MD, Karine Engel) ; Bruno Poterie (MoDem, Maryse Chrétien) ; Patrick Mennessier (DLR, Berthe Carré) ; Christel Pfister (PC – FDG, Allan Lebouc) ; Bruno Baron (EELV, Hannen Grati)
Angers Trélazé
Pierre Bahain (MD, Céline Gautier) ; Grégory Blanc (PS, Huguette Macé) ; Rachid Belkala (MoDem, Mathilde Housset-Weber) ; Philippe Denis (PC – FDG, Maud Fagault) ; Jamila Delmotte (EELV, Jean-François Barrat) ; Michel Schaeffer (FN, Maryvonne Spennato)
Baugé
Philippe Chalopin (MD-DVD, Béatrice Tessier) ; Elisabeth Trillon (EELV, Alain Crémois) ; Nelly Cabane (PC – FDG, Jean-Yves Daviau) ; Sébastien Lebouché (PS, Anne-Lise Charbonnier-Marchais) ; Danielle Gentet (FN, Joël Riffault)
Candé
Gérard Delaunay (MD, Evelyne Coué) ; Claude Averty (PC – FDG, Stéphanie Dupeyroux) ; Denis Payen (FN, Rachel Labays)
Chalonnes-sur-Loire
Jean-Claude Sancereau (UMP, Anne de Perthuis) ; Stella Dupont (PS, Gaëtan Robin) ; Annabelle Baholet (PC – FDG, Marc Gicquel) ; Sébastien Cornec (SE, Marie-Madeleine Monnier)
Cholet 1
Jean-Marc Vacher (PS, Anne Hardy) ; Jean-Paul Boisneau (MD, Isabelle Leroy) ; Franck Loiseau (PDG, Dominique Poupard)
Cholet 2
Jean-Pierre Chavassieux (MD, Jacqueline Delaunay) ; Marie-Hélène Aubert (EELV, Auguste Jaunet) ; Julien Fonteneau (PC – FDG, Monique Lang) ; Youssef Laarabi (PS, Pauline Gaillard)
Doué-la-Fontaine
Jean-Pierre Pohu (MD, Maryvonne Martin) ; Philippe Bouttier (PC – FDG, Viviane Saumon) ; Bruno Cheptou (PS, Laurence Sourice-Caillaud) ; Danielle Duret (FN, Gaëtan Dirand)
Durtal
Corinne Bobet (DVG, René-Claude Brunet) ; Jean-Luc Davy (UMP, Claude Clément) ; Isabelle Corlay (PRG, Benoit Pilet) ; Maurice Dufieue (FN, Jeannine Petiteau) ; Sophie Labrune-Delecolle (PC – FDG, Jean-Claude Bottereau)
Gennes
Astrid Lelièvre (PS, Pierre Gautier) ; Alain Lauriou (MD, Marie-Agnès Menini-Munier) ; Catherine Brauer (EELV, Joël Nédélec) ; Jean-Yves Fulneau (SE, Francine Ferrero) ; Christian Thoueil (PC – FDG, Yolande Moreau) ; Marc Lyoen (FN, Monique Bousseaud)
Montrevault
Serge Piou (MD, Françoise Pagerit) ; Christophe Dougé (EELV, Maryline Fonteneau-Grelet) ; Marie-Jeanne Ragueneau (PS, Gérard Véron) ; Hugues Bouvet (PC – FDG, Natacha Bleu-Combelles) ; Anne-Marie Durafour (FN, Philippe Albert-Roulhac)
Les Ponts-de-Cé
Dominique Léon (MD, Martine Juret-Riffault) ; Joël Bigot (PS, Chantal Heulin) ; Mireille Villette (POI, Didier Bourdin) ; Michel Burban (PC – FDG, Sylvie Rivinoff) ; Philippe Bodard (union socialiste et écologiste, Catherine Leclercq)
Pouancé
Mylène Canevet (PS, Jean-Yves Dumont) ; Marie-Josèphe Hamard (SE, Gérard Aubry) ; Sylvain Plouzin (PC – FDG, Marie-Madeleine Bouvier)
Saint-Florent-le-Vieil
François-Xavier Lantoine (PS, Sophie Demange) ; Christian Rosello (SE, Anne Verger)
Saint-Georges-sur-Loire
Martial Ruppert (EELV, Catherine Doineau) ; Jacques Genevois (PS, Maïté Edin) ; Jean-Marie Gaudin (MD, Valérie Levêque) ; Christian Gentils (SE, Françoise Duquesne) ; Jean-Jacques Dufois (PCF – FDG, Jacqueline Denis)
Saumur nord
Jean-Michel Marchand (PRG, Muriel Queyroi) ; Patrick Morineau (MPF, Aline Mathière) ; Jean-Michel Dumont (PCF – FDG, Béatrice Guillon) ; Paul Hugot (MD, Brigitte Jamin) ; Gaëlle Chardon (FDG – PDG, Romain Laveau) ; René Lacalmette (FN, Monique Lyoen)
Saumur sud
Patrick Gayon (SE, Caroline Joncheray) ; Charles-Henri Jamin (PCD-UMP, Régine Catin) ; Jackie Goulet (SE, Géraldine Le Coz) ; Christophe Cardet (EELV, Carole Hanna) ; Patrick Daviaud (MPF, Fabienne Michaud-Tamisier) ; Francis Martin (FN, Claudine Fauchard)
Segré
Gilles Grimaud (SE, Agnès James) ; Emmanuel Drouin (PS, Sonia Lamarche) ; Nathalie Benard (EELV, Alain Frappin) ; Annita Cochin (PC – FDG, Michel Olivier).
Les partis
EELV : Europe Ecologie-Les Verts ; DLR : Debout la République ; DVD : divers droite ; DVG : divers gauche ; FDG : Front de gauche ; MD : Majorité départementale ; MoDem : Mouvement démocrate ; MPF : Mouvement pour la France ; NC : Nouveau Centre ; PDG : Parti de gauche ; PRG : Parti radical de gauche ; POI : Parti ouvrier indépendant ; PC : Parti communiste ; PCD : Parti chrétien démocrate ; PS : Parti socialiste ; SE : sans étiquette ; UMP : Union pour un mouvement populaire.
Liste de liens
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