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Le compte à rebours pour les élections cantonales des 20 et 27 mars, qui verront le renouvellement de la moitié des conseillers généraux dans tous les départements, sauf Paris, est lancé lundi 14 février, premier jour de dépôt des candidatures pour le premier tour.
C'est la dernière fois que les Français éliront leurs conseillers généraux puisqu'ils devraient être remplacés, à partir de 2014, par les conseillers territoriaux, qui siègeront aussi à la région. Leur mandat a d'ailleurs été réduit à trois ans, au lieu de six jusqu'à présent.
Les candidats ont jusqu'au 21 février pour s'inscrire. Les listes par cantons seront mises en ligne par le ministère de l'intérieur à partir du 7 mars, jour d'ouverture de la campagne officielle, après vérification de l'éligibilité de chaque candidat. 2 023 cantons qui avaient été renouvelés en 2004, 1 926 en métropole et 85 outre-mer, ainsi que trois cantons qui font l'objet d'une élection partielle, sont concernés.
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C'est la dernière fois que les Français éliront leurs conseillers généraux puisqu'ils devraient être remplacés, à partir de 2014, par les conseillers territoriaux, qui siègeront aussi à la région. Leur mandat a d'ailleurs été réduit à trois ans, au lieu de six jusqu'à présent.
Les candidats ont jusqu'au 21 février pour s'inscrire. Les listes par cantons seront mises en ligne par le ministère de l'intérieur à partir du 7 mars, jour d'ouverture de la campagne officielle, après vérification de l'éligibilité de chaque candidat. 2 023 cantons qui avaient été renouvelés en 2004, 1 926 en métropole et 85 outre-mer, ainsi que trois cantons qui font l'objet d'une élection partielle, sont concernés.
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Rédigé par Angers Info le Lundi 14 Février 2011 à 11:42
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Les élus du conseil général étaient réunis en séance cet après-midi afin de débattre des arbitrages budgétaires pour 2011. Le président UMP Christophe Béchu a exprimé sa volonté de demander une augmentation « de 6 % à 8 % de l'impôt sur le foncier bâti soit moins que la moyenne nationale. Cela représente 12 € à 15 € par an par foyer fiscal. Et cela pour faire face à nos dépenses de solidarité.»
Lors du débat d'orientation budgétaire en cours, le président Béchu a annoncé une baisse des investissements du département en 2011 de 16 millions d'euros comparé à 2010 et une seule hausse des dépenses de fonctionnement à hauteur de l'inflation, soit 2 %.
Lors du débat d'orientation budgétaire en cours, le président Béchu a annoncé une baisse des investissements du département en 2011 de 16 millions d'euros comparé à 2010 et une seule hausse des dépenses de fonctionnement à hauteur de l'inflation, soit 2 %.
Le 3 novembre 2010, le ministre de la Défense, Hervé Morin, visite l’Ecole supérieure et d’application du Génie (ESAG) d’Angers (Maine-et-Loire). « Maison mère » du Génie, l’Ecole est née de la fusion de l’Ecole d’application du Génie et de l’Ecole supérieure du Génie militaire, en 1995.
L’ESAG est un pôle unique de formation dans les domaines du combat, du génie et de l’infrastructure. Il possède notamment une division de formation au déminage considérée comme l’une des meilleures au monde, par la qualité de l’enseignement et les outils pédagogiques qu’elle propose. Elle dispose notamment d’une base de données sur les mines considérée comme une référence mondiale.
Près de 3000 stagiaires français et étrangers, issus de toutes les armées, sont accueillis chaque année dans cette école. Ils suivent un enseignement technique recouvrant les sciences de l’ingénieur du bâtiment, complété par un enseignement administratif. Les étudiants suivent aussi une formation opérationnelle dense.
L’ESAG entretient également des liens privilégiés avec « l’US army engineer Center » à Fort Leonard Wood (Missouri), et a signé des conventions de partenariat avec l’école allemande « la Pionierschule » de Munich et la « Royal school of military engieneering » britannique.
L’ESAG est par ailleurs chargée des études de doctrine et de prospective, du patrimoine et des traditions du génie, et de la cohérence des formations et parcours professionnels
L’ESAG est un pôle unique de formation dans les domaines du combat, du génie et de l’infrastructure. Il possède notamment une division de formation au déminage considérée comme l’une des meilleures au monde, par la qualité de l’enseignement et les outils pédagogiques qu’elle propose. Elle dispose notamment d’une base de données sur les mines considérée comme une référence mondiale.
Près de 3000 stagiaires français et étrangers, issus de toutes les armées, sont accueillis chaque année dans cette école. Ils suivent un enseignement technique recouvrant les sciences de l’ingénieur du bâtiment, complété par un enseignement administratif. Les étudiants suivent aussi une formation opérationnelle dense.
L’ESAG entretient également des liens privilégiés avec « l’US army engineer Center » à Fort Leonard Wood (Missouri), et a signé des conventions de partenariat avec l’école allemande « la Pionierschule » de Munich et la « Royal school of military engieneering » britannique.
L’ESAG est par ailleurs chargée des études de doctrine et de prospective, du patrimoine et des traditions du génie, et de la cohérence des formations et parcours professionnels
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